http://us6.campaign-archive1.com/?u=a8010181fb&id=c3d4f8bf31&e=c98a6900d1
di Fosco Giannini ( segretario regionale Marche PdCI) e Maurizio Belligoni ( segretario regionale Marche PRC)
Pubblicato su 2 settembre 2013 da Donne in rosso
http://donneinrosso.wordpress.com/2013/09/02/comunicato-dellunione-generale-delle-donne-siriane-sulla-probabile-aggressione-degli-usa-e-delloccidente-alla-nostra-cara-patria/
di Marcia Campos, Presidente della Federazione Democratica Internazionale delle Donne (Widf/Fdim)
San Paolo del Brasile, 2 settembre 2013
by Jean Bricmont - August 14, 2013
Oggetto: Martedì: ASSEMBLEA / DIBATTITO Fermiamo l'aggressione alla Siria
Data: 08 settembre 2013 09.36.54 GMT+02.00
ASSEMBLEA / DIBATTITO Fermiamo l'aggressione alla Siria
Martedì 10 settembre, ore 17, presso l'Università Centrale
Via Mezzocannone 16 (di fronte al Cinema ASTRA)
Dopo la Jugoslavia, l'Afghanistan, l'Iraq e la Libia, le maggiori potenze mondiali si apprestano ad aggredire un altro paese.
Ancora una volta si vuole giustificare questo attacco con micidiali armi di distruzioni di massa dietro le insegne ipocrite delle ragioni umanitarie.
Ma i veri motivi continuano ad essere quelli di rapina, saccheggio e sfruttamento per il profitto.
No all'aggressione alla Siria, con o senza ONU
Mobilitiamoci contro questo nuovo crimine
Rete NapoliNoWar
http://napolinowar.wordpress.com
Evento Facebook: https://www.facebook.com/events/1408455289381032/
Passaparola!
From: Agence Cubaine D´Information
Sent: Wednesday, August 28, 2013 5:54 PM
La Havane, 28 août (acn) Le ministère des Affaires étrangères de la
République de Cuba a fait la déclaration suivante concernant les menaces
croissantes contre la République de la Syrie, que nous reproduisons
ci-dessous.
Très alarmantes deviennent les récentes déclarations du gouvernement
américain et plusieurs alliés de l'OTAN exhortant à une action militaire
en Syrie, en ignorant les efforts de certains États pour parvenir à une
solution politique au conflit de cette nation arabe.
Nous devons rappeler que ceux qui plaident aujourd'hui pour une action
militaire contre la Syrie sont les mêmes pays qui ont commencé des guerres
sanglantes sans un mandat du Conseil de Sécurité des Nations Unies, par le
mensonge délibéré de l'existence d'armes de destruction massive en Syrie
ou sous prétexte de la protection civile, causant la mort de plusieurs
personnes innocentes y compris des enfants, qui ont été qualifiés comme
«dommages collatéraux».
L’appel pour attaquer la Syrie, est fait quand son Gouvernement a autorisé
la Mission de Recherche des Nations Unies sur l'utilisation présumée
d'armes chimiques dans le pays, qui a commencé les travaux sur le terrain.
Cuba condamne tout recours aux armes chimiques ou à autres de destruction
massive et elle est fermement attachée à la Convention sur l'interdiction
du Développement, la Production, le Stockage et de l'Emploi des Armes
Chimiques et sur leur Destruction, et le strict respect de ses dispositions.
L’informations disponible sur la crise en Syrie est fragmentée, imprécise
et sujette à de fréquentes manipulations.
Une agression contre la Syrie entraînerait de graves conséquences pour la
région déjà troublée du Moyen-Orient, serait une violation flagrante des
principes de la Charte des Nations Unies et du Droit International et elle
augmenterait les dangers pour la paix et la sécurité internationales.
Cuba réaffirme sa conviction qu'il est nécessaire de trouver une solution
politique et elle exprime sa ferme opposition à toute tentative de
déstabiliser l'indépendance, la souveraineté et l'intégrité territoriale
de la Syrie et l'autodétermination de son peuple.
La Havane, le 28 Août, 2013
---
http://www.voltairenet.org/article180035.html
Cuba appelle l’Assemblée générale de l’ONU à empêcher l’action militaire des États-Unis contre la Syrie
RÉSEAU VOLTAIRE | LA HAVANE (CUBA) | 2 SEPTEMBRE 2013
Déclaration du ministère des Affaires étrangères de Cuba sur la menace des États-Unis contre la Syrie
Le Ministère des Affaires étrangères de la République de Cuba a pris connaissance avec une profonde préoccupation de la déclaration formulée ce samedi 31 août par le président des États-Unis, Barack Obama, annonçant sa décision d’entreprendre des actions militaires contre la République Arabe Syrienne.
Sans laisser aucune marge aux démarches actuellement en cours pour arriver à une solution politique du conflit, sans présenter aucune preuve et avec un mépris total des opinions de nombreux pays, dont celles de certains de ses principaux alliés, et des Nations Unies, le président des États-Unis a annoncé sa décision de violer le Droit international et la Charte des Nations Unies, entrainant encore plus de morts et de destructions, provoquant en outre, inéluctablement, l’aggravation du conflit dont souffre cette nation arabe.
Le ministère des Affaires étrangères de la République de Cuba appelle les membres du Conseil de sécurité à honorer leur mandat, qui est d’empêcher toute rupture de la paix, et à stopper une intervention militaire qui menace la sécurité internationale dans une région du monde particulièrement volatile.
Cuba estime que l’Assemblée générale, seul organe des Nations Unies où sont représentés tous les États, a également pour responsabilité d’agir pour stopper l’agression, d’autant plus qu’en raison de la position prééminente des États-Unis au sein du Conseil de sécurité, il est fort probable que celui-ci se retrouve bloqué et ne puisse pas prendre de décision sur la question. L’Assemblée générale, dans l’exercice de ses prérogatives, doit donc se réunir d’urgence et prendre les mesures indispensables.
Le Secrétaire général des Nations Unies doit s’impliquer directement pour empêcher les actes que le président des États-Unis a présentés comme des faits presque inévitables.
Pour s’acquitter de l’énorme responsabilité qu’implique sa charge en ce qui concerne la sauvegarde de la paix et de la stabilité mondiales, il reviendrait au secrétaire général de l’Onu d’entreprendre auprès du gouvernement des États-Unis des démarches diplomatiques urgentes et vigoureuses.
Le G-20 va se réunir à Saint-Petersbourg, en Russie, le 5 et le 6 septembre. Ce forum, qui va rassembler nombre des principaux leaders du monde, ne saurait pas ne pas s’acquitter de l’obligation d’aborder avec le président des États-Unis la situation créée et d’entreprendre des actions concrètes pour la résoudre.
Sans tout ce qui est fait pour lui cacher la vérité et sans le flot gigantesque d’information tendancieuse, manipulée et incomplète dont il est submergé, le peuple des États-Unis, qui lors des guerres qui se sont succédées depuis celle du Vietnam jusqu’à nos jours a eu à endurer la mort de dizaines de milliers de ses jeunes, ne resterait certainement pas indifférent face à une nouvelle conflagration qui se traduira par une plus grande perte de vies humaines et, le moment venu, il se souviendra de la responsabilité des politiciens corrompus et des médias menteurs.
On peut se demander ce que va faire le Congrès des États-Unis, en reprenant ses travaux le 9 septembre, quand il aura à trancher entre le début d’une nouvelle guerre et la préservation de la paix internationale, entre la vie et la mort. Si, à l’instar du Parlement britannique, il rejette les visées agressives annoncées par le président, il fera une contribution surprenante et précieuse à la paix mondiale et au système politique controversé de son pays. S’il les approuve, il devra en assumer les conséquences face au verdict implacable de l’Histoire.
Cuba en appelle également aux leaders d’opinion des États-Unis et du monde pour empêcher que la loi de la jungle l’emporte sur la raison, pour empêcher le déclenchement d’attaques illégales contre d’autres pays, pour empêcher qu’on cherche à remplacer la diplomatie par la guerre.
Le ministère des Affaires étrangères lance aussi un appel à préserver la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de la Syrie et le droit de son peuple à l’autodétermination ainsi qu’à promouvoir le règlement du conflit par la voie diplomatique et sans effusion de sang.
Ministère des Affaires étrangères de la République de Cuba
Oggetto: I: Siria: le prime vittime di ogni guerra sono verità e umanità
Data: 31 agosto 2013 14.19.14 GMT+02.00
I tamburi dei signori della guerra rullano sul destino della Siria. Mentre sullo schermo di un pc in Italia quest'articolo sta prendendo forma, mentre miliardi di persone nel mondo stanno proseguendo (lì dove la miseria, l'impoverimento, le guerre e i tantissimi altri frutti della barbarie umana lo permettono) la loro vita quotidiana, nelle loro chiuse stanze i Signori della Guerra stanno elaborando strategie, meditando azioni belliche, disegnando traccianti e segnando punti sulle mappe. Discutono di numeri, bombe, aerei, su una mappa che appare la pista del monopoli o un plastico di Bruno Vespa. Ma non è così. Perché sotto quei punti, dietro quegli asettici numeri, son nascosti la vita e il destino di migliaia, forse milioni, di persone. La prima vittima di ogni guerra, qualsiasi guerra, è l'umanità, la vita assassinata. Possiamo nasconderci dietro tutte le retoriche perifrasi dell'immensa ricchezza semantica delle lingue occidentali, ma il significato è sempre quello: le guerre sono solo un immenso genocidio, le armi assassinano. I signori della guerra, e il main stream in servizio permanente, potranno alzare alta qualsiasi propaganda, ma non riusciranno mai a rispondere ad una domanda immediata, semplice e lineare: come si può "difendere i civili", "esportare la democrazia" o colpire un "tiranno" massacrando un popolo? Ogni nuova, crudele, macchina da guerra ancora una volta ci svela il vero volto delle nostre "democrazia", della nostra "civiltà". Se ancora una volta si ricorre ad una follia al di fuori della ragione (alienum est a ratione, come detto decenni fa), l'umanità non ha ancora compiuto alcun passo. Quale altra specie animale ha ideato qualcosa anche solo lontanamente paragonabile alla guerra? E' inutile invocare il progresso, la civiltà, lo sviluppo, la democrazia, la libertà. Sono tutte parole che suonano false se si pensa ancora che sia utile massacrare, uccidere, spargere sangue.
Ci stanno raccontando che la guerra civile è una fatalità, un mostro che non è stato possibile fermare prima e che nessun altro mezzo esiste oltre l'intervento bellico esterno. Le forniture di armi ai ribelli, gli affari dei mercanti di morte dimostrano esattamente il contrario: la guerra è stata fomentata, permessa, favorita da chi oggi afferma di essere costretto ad intervenire per fermarla. Continuano a raccontarci (esattamente come già ai tempi della Somalia, della Serbia, dell'Afghanistan, dell'Iraq e della Libia) che non ci sarebbe alternativa ad un intervento armato. Ed infatti non hanno mai speso nessuna parola, mai sostenuto in alcuna maniera Mussalah ("riconciliazione" in arabo), che da mesi tenta di costruire un'opzione nonviolenta alla guerra civile in corso.
Intanto, passano gli anni (e le guerre) e nessuno si prende la briga di andare a leggere cosa realmente dice il diritto internazionale (a partire dalla Carta di San Francisco, che esordisce con le parole "Noi popoli delle Nazioni Unite, decisi a salvare le future generazioni dal flagello della guerra", e i "Covenants" del 1966 sui diritti civili e politici e sui diritti economici, sociali e culturali dove leggiamo che "la guerra è vietata, anzi proscritta") , dove non esiste alcuna legittimità alla pretesa degli Stati Uniti di ergersi a gendarme e poliziotto del mondo con il potere di attaccare, bombardare, invadere altri Stati. Le uniche risposte le hanno fornite la "democratica"(esattamente come il mito dei progressisti europei Barack Obama) Madeleine Albright, quando considerò accettabile il quotidiano massacro di migliaia di iracheni per colpa dell'embargo, e l'Amministrazione Bush quando affermò che la guerra "contro il terrorismo" non si sarebbe fermata fin quando il resto del mondo non avesse accettato che gli USA potessero continuare a vivere secondo la loro volontà (quindi, fin quando tutto il resto del mondo non avesse accettato l'autorità imperiale a stelle e strisce e di fornire petrolio, altre fonti energetiche e tutto quello che l'Impero chiedeva a coloro che considera meno che sudditi).
La seconda vittima di ogni guerra è la verità, è la nuda realtà dei fatti. La guerra non accetta obiezioni, la macchina bellica non contempla nulla che non sia propaganda, yes-men, yes-women, collaborazionismo. Tutto dev'essere piegato ai suoi obiettivi, tutto quel che non è funzionale ai carri armati dei signori della guerra dev'essere manipolato, piegato, adattato, cancellato.
L'OPZIONE KOSOVO, LE BUFALE DI BUSH E BLAIR
In questi giorni ci stanno raccontando che Obama starebbe studiando un'opzione Kossovo per la Siria, la ripetizione del bombardamento su Belgrado del 1999. John Pilger in un articolo recente ( http://www.globalist.ch/Detail_News_Display?ID=48191&typeb=0&Venti-di-guerra-ricordando-le-bufale-del-Kosovo-) ha ripercorso tutte le tappe di quell'azione Nato, a partire dalle tante menzogne. La prima delle quali fu addossare alla delegazione serba la colpa della fine dei negoziati di Rambouillet, "dimenticandosi" che Madeleine Albright (quando ormai l'accordo era praticamente raggiunto) tentò di imporre l'occupazione militare di tutta la Jugoslavia da parte della NATO e degli USA. Blair e Clinton "giustificarono" il bombardamento di Belgrado (così chirurgico che, per bombardare 14 carrarmati, furono colpiti 372 centri industriali, la sede della televisione, ponti ed altri luoghi civili) con il massacro da parte delle milizie di Milosevic di almeno "225.000 uomini di etnia albanese di età compresa tra i 14 e i 59 anni". Dopo la fine dell'intervento armato l'FBI rimase diverse settimane in Kossovo senza trovare alcuna traccia di fosse comuni e di stermini di massa. Mentre, un anno dopo, il Tribunale Internazionale per i Crimini di Guerra (un ente di fatto istituito dalla Nato) affermò che il numero definitivo di corpi trovati nelle "fosse comuni" in Kosovo era 2.788, compresi i combattenti di entrambe le parti e i serbi e i rom uccisi dall'Esercito di Liberazione Albanese del Kosovo (KLA). Pilger sottolinea che "il Kosovo è oggi un criminoso e violento libero mercato di droga e prostituzione amministrato dalle Nazione Unite. Più di 200.000 serbi, rom, bosniaci, turchi, croati ed ebrei sono stati purificati etnicamente dal KLA mentre le forze della Nato rimanevano in attesa. Gli squadroni della morte della KLA hanno bruciato, saccheggiato o demolito 85 tra chiese ortodosse e monasteri, secondo quanto riportato dalle Nazioni Unite."
IL SOSTEGNO "INTERNAZIONALE" AI COMBATTENTI ANTI-ASSAD E LE FORNITURE DI ARMI EUROPEE
In Siria sta per scoppiare una nuova guerra. Nossignori, in Siria è già guerra da oltre due anni. Il Paese è già insanguinato dalla morte di migliaia di persone, vittime di un'atroce guerra civile. Una guerra civile dove le "Grandi Potenze" non arriveranno nelle prossime ore ma sono già presenti dall'inizio. Già un anno fa l'ottimo portale Sirialibia(http://http://www.sibialiria.org) ha redatto un elenco di tutti gli attori internazionali che stanno partecipando alla guerra civile in Siria. "Turchia e Libano del Nord (Tripoli e Akkar): offrono ospitalità a combattenti, servizi logistici e contrabbando di armi, spie e uomini; inoltre ospitano le famiglie dei combattenti siriani come rifugiati e le utilizzano presso i media; Qatar: finanzia sia l’approvvigionamento in armi che la disinformazione attraverso la sua tivù satellitare Al-Jazeera e altri canali (Al Jadeed in Libano, On Tv in Egitto, Orient Tv ospitata in Egitto e in altri paesi); Giordania: lavoro di intelligence, contrabbando di combattenti, ospitalità per le loro famiglie come rifugiati, e loro uso presso i media; Egitto, Tunisia, Libia, Afghanistan, Pakistan, Cecenia: forniscono combattenti jihadisti (fra gli altri il giornalista britannico Robert Fisk ne ha incontrati molti ad Aleppo); Francia e Gran Bretagna: lavoro di intelligence, telecomunicazioni high-tech e spionaggio." Il 28 Maggio di quest'anno la Rete Italiana per il Disarmo ha denunciato che i Paesi dell'Unione Europea hanno deciso di "cancellare l’embargo di armi verso la Siria" così da dare "la possibilità ai paesi membri di fornire armamenti ai ribelli in lotta con il regime di Assad".
A questo elenco andrebbe poi aggiunto il Sudan che, come denunciato dal Washington Post e dal settimanale Sud Sudanese The New Nation, fornisce armi ai "ribelli": armi automatiche, munizioni, fucili di precisione per i cecchini, missili anti carri armati, missili anti aerei FN-6 a ricerca automatica di calore, prodotti a Khartoum, acquistati dal Qatar e spedite in Siria tramite la Turchia.
L'Italia non è esente da questa partecipazione alla guerra civile siriana. Il 1° Agosto di due anni fa Giorgio Beretta denunciò su Unimondo (http://www.unimondo.org/Notizie/Siria-ministro-Frattini-quei-carro-armati-sparano-italiano-sui-civili-di-Hama-131207 ) che sui "carri armati T72 di fabbricazione sovietica" in dotazione all'esercito di Assad (e accusati di aver sparato sulla folla ad Hama nelle settimane precedenti) "sono da anni installati i sistemi di puntamento e di controllo del tiro TURMS-T" prodotti da Selex Galileo, ex Galileo Avionica, una controllata di Finmeccanica. Il 28 Agosto OPAL, l'Osservatorio Permanente sulle Armi Leggere e Politiche di Sicurezza e Difesa di Brescia, ha documentato che "Tranne quelle verso la Giordania e il Libano, le esportazioni dei paesi dell’Unione Europea di fucili, carabine, pistole e mitragliatrici sia automatiche che semiautomatiche verso le nazioni confinanti con la Siria sono raddoppiate o addirittura triplicate tra il 2010 e il 2011. Lo documentano i rapporti ufficiali dell’Unione Europea: la Turchia è passata dai poco più di 2,1 milioni di euro di importazioni di armi leggere europee del 2010 agli oltre 7,3 milioni del 2011; Israele da 6,6 milioni di euro ad oltre 11 milioni di euro e addirittura l’Iraq da meno 3,9 milioni di euro del 2010 a quasi 15 milioni nel 2011".
I MASSACRI E GLI STUPRI DEI "RIBELLI"
Ci hanno raccontato in questi mesi, e ancor più nelle ultime settimane e giorni, uno scontro tra il Male e il Bene, con i "ribelli" (sostenuti e fomentati dalle armi occidentali e delle petro-monarchie del Golfo Persico) civili, democratici, bastioni di civiltà. Nel luglio scorso sono nati in Siria i primi figli del jihad al nikah, il matrimonio ad ore che in alcuni casi rende lecito anche lo stupro. Nei mesi scorsi lo Sceicco wahabita Mohammed al-Arifi ha fatto un appello per l'arruolamento delle donne per la jihad in Siria ed emanato una fatwa per il jihad al nikah, un matrimonio che - dopo averlo "consumato" - i miliziani possono sciogliere (anche dopo poche ore appunto) ripetendo per tre volte la formula rituale del ripudio per annullare le nozze, così che queste vere e proprie "schiave del sesso" possano essere sposate da un altro miliziano. In tutto questo la volontà della donna non viene minimamente contemplata e, anzi, il jihad al nikah rende lecito al "marito temporaneo" lo stupro della donna che non volesse acconsentire. Nella notte tra il 22 e il 23 luglio a Khan al-Asal, un villaggio a maggioranza sciita e alawita a sud-ovest di Aleppo, è stato teatro di una terribile strage criminale. Secondo alcune dettagliate ricostruzioni (riportate al linkhttp://www.sibialiria.org/wordpress/?p=1821 ) affiliati allo Stato islamico dell'Iraq e del Levante, Jabhat al-Nusra e sostenitori del califfato islamico hanno dapprima attaccato e poi invaso il villaggio e, dopo aver massacrato i militari siriani, hanno ucciso tutti quelli che si trovavano per le strade, fatto irruzione nelle abitazioni e ucciso i giovani sparando alle loro teste, decapitato gli anziani e bruciato decine di donne, completando l'orrore criminale accanendosi sui corpi dei morti prima di gettarli in una fossa comune alla periferia del villaggio. Il quotidiano britannico Telegraph ha denunciato che a Deir Ezzor e Hassaké molti sono stati costretti a fuggire altrove, a convertirsi forzatamente o a “pagare per la rivoluzione". Un'altra strage (fonte: http://www.sibialiria.org/wordpress/?p=1835 ) è stata compiuta da Jabhat al-Nusra, Liberi del Levante, Brigate dei Mouhajirin, Aquile del Levante, Aquile della dignità e Brigata dei libici in 10 villaggi abitati prevalentemente da alawiti tra Kafrayya, Talla, Barmasse, Anbaté e Beit Shokouhi. A Balluta la popolazione è stata radunata fuori dalle case e sono stati uccisi tutti i giovani e i bambini con coltelli di fronte alle loro famiglie. Ad Abu Mecca sono stati sgozzati tutti gli abitanti, così come ad Istarba.
LE ARMI CHIMICHE
I media main-stream, ripetendo quando affermato da Obama, Cameron, Hollande e Letta, ci hanno raccontato in queste ore che non è più possibile attendere e che la Siria ha varcato la "linea rossa" utilizzando armi chimiche per massacrare la propria popolazione. La "linea rossa" sarebbe stata attraversata con l'attacco del 21 Agosto alle 3 del mattino. Il video che da giorni le televisioni italiane ci stanno mostrando a tutte le ore è stato caricato su youtube il 20 agosto. Alcuni esperti di armi non convenzionali hanno notato che le persone riprese nel video non mostrano i sintomi di intossicazione da gas sarin e i soccorritori "non hanno protezioni, quindi la tossicità del prodotto è più bassa" (Gwyn Winfiled intervistato da Repubblica per esempio il 22 Agosto). Secondo Jean Pascal Zanders, esperto in armi chimiche e biologiche per l'istituto dell'Unione europea per la sicurezza, i soccorritori (equipaggiati e non protetti come vediamo nel video) sarebbero dovuti morire all'istante a loro volta. Medici Senza Frontiere, nel suo comunicato (http://medicisenzafrontiere.it/msfinforma/comunicati_stampa.asp?id=3220&ref=listaHomepage) del 24 Agosto riferisce semplicemente di aver avuto notizie (che non ha avuto modo di verificare, in quanto " il personale di MSF non è stato in grado di accedere alle strutture") di "un gran numero di pazienti giunti con sintomi quali convulsioni, eccesso di salivazione, pupille ristrette, visione offuscata e difficoltà respiratorie" sottolineando che "MSF non può né confermare scientificamente la causa di questi sintomi, né stabilire chi è responsabile per l'attacco". Ben diverso dalla conferma dell'uso di gas sarin da parte di Assad, come vorrebbero farci credere. Secondo Jean Pascal Zanders, esperto in armi chimiche e biologiche per l'istituto dell'Unione europea per la sicurezza, i soccorritori sarebbero dovuti morire all'istante a loro volta. SyriaTruth (un sito di oppositori ad Assad non armati, coordinato da un esule) riferisce di progetti organizzati dalle "brigate turkmene" di Latakia e Damasco, in particolare "la bandiera dell'Islam" e "le brigate dei discendenti del Profeta", e che i villaggi di Zamalka e Ein Tarma (dove si sarebbe verificata la strage) sono poco distanti dalle zone residenziali principali della capitale, abitate per lo più da siriani filogovernativi, e dall'aeroporto militare di Mezzeh. Su youtube si trova anche questo video http://www.youtube.com/watch?v=XPXwGKDrMQw&feature=share , nella cui didascalia leggiamo "Da una conversazione tra dirigenti della società di mercenari britannica "Britam Defence", pubblicata dal Daily Mail di Londra, viene la prova che gli Usa hanno sollecitato il Qatar a fornire armi chimiche ai "ribelli", in modo che gli Usa possano accusare il governo di Assad di ricorrere a tali armi, La fonte sono messaggi email tra i dirigenti di cui sopra scoperti da un hacker malesiano." Il rappresentante ufficiale del Ministero degli Affari Esteri della Russia presso l'ONU ha fornito foto scattate da satelliti russi che documentano che è stato lanciato un razzo che conteneva sostanze chimiche tossiche sulle zone orientali nei pressi di Damasco dalle aree occupate dai ribelli. Carla Del Ponte (ex procuratore capo del Tribunale penale internazionale) già nel maggio scorso dichiarava in un'intervista alla Radio Svizzera Italiana "Abbiamo potuto raccogliere alcune testimonianze sull'utilizzo di armi chimiche, e in particolare di gas nervino, ma non da parte delle autorità governative, bensì da parte degli oppositori, dei resistenti". All'inizio di giugno in Turchia sono stati arrestati alcuni guerriglieri appartenenti al Fronte al-Nusra (la principale formazione jihadista attiva in Siria) nelle cui abitazioni sono state rinvenute sostanze chimiche come il sarin.
IL MUOS E IL RISCHIO CHE LA SICILIA DIVENTI UNA BASE USA
L'ultima manipolazione da parte del Governo Italiano (il Ministro Bonino sono giorni che ripete "senza l'ONU l'Italia non partecipa") e dei media main stream è sulla partecipazione italiana. Tutti "dimenticano" che in Italia sono presenti diverse basi USA (che quindi rispondono al governo statunitense e non al Parlamento italiano). E ovviamente (dopo aver trasformato la straordinaria manifestazione del 9 Agosto scorso in una giornata di scontri violenti) senza minimamente citare il MUOS, la cui costruzione ha subito una fortissima accelerazione nei giorni scorsi ( http://www.nomuos.info/ricominciano-lavori-teniamo-alto-la-guardia/ ), dopo il precedente violento sgombero del presidio No Muos (https://www.youtube.com/watch?v=1iwa1Smd7MM&feature=youtube_gdata_player). L'accellerazione nella costruzione nel MUOS, la presenza di basi militari USA (attrezzate anche per i droni, gli aerei senza pilota) fanno temere che la Sicilia non sarà assolutamente estranea alla mobilitazione militare.E, anzi, così come avvenuto con la guerra in Libia (quando dall'isola partirono quasi tutte le operazioni) potrebbe essere una delle basi più importanti della "nuova" guerra USA. Si considerano i baluardi della civiltà e della democrazia nel mondo, proclamano altissima la bandiera della libertà, dei diritti umani e della libertà. La Sicilia mostra la realtà: violentano l'ambiente, mettono a rischio la salute, s'impongono manu militari sulle popolazioni. Rullano i tamburi di guerra e le infowar dominano il mondo dell'informazione...
Alessio Di Florio
Associazione Antimafie Rita Atria
Associazione Culturale Peppino Impastato
PeaceLink - Telematica per la Pace
abruzzo@...
http://www.ritaatria.it
http://www.peacelink.it/abruzzo
http://www.peppinoimpastato.com
Gearóid Ó Colmáin, Dissident Voice 8 agosto 2013
Anderson Cooper della CNN è stato scoperto fabbricare false notizie sulla Siria per giustificare l’intervento militare
JG Vibes, Intellihub, 30 agosto 2013
By WW Editor on August 31, 2013
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