(francais / srpskohrvatski.

V. Kapuralin, presidente del SRP di Croazia, è intervenuto con una relazione sulla crisi del capitalismo alla Conferenza internazionale organizzata dal PRCF -Polo della Rinascita Comunista in Francia- a Parigi il 4 e 5 maggio scorsi )


Medjunarodna konferencija od PRCF u Parisu

1) Succès éclatant de la première conférence internationale du PRCF - Paris 4-5 mai 2013
2) Izlaganje Vladimira Kapuralina na međunarodnoj konferenciji PRCF u Parisu / Intervention de Vladimir KAPURALIN, dirigeant du Parti Socialiste Ouvrier de Croatie (SRP)


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Succès éclatant de la première conférence internationale du PRCF!

Nous publions dans cette article un compte rendu de la conférence puis le rapport introductif de Georges Gastaud devant la conférence du PRCF sur les questions internationales. Nous publierons les discours des délégués étrangers au fur et à mesure qu’ils nous parviendront. Un numéro spécial d’Etincelles publiera l’ensemble des messages et interventions.

SUCCÈS ÉCLATANT de la 1ère CONFÉRENCE INTERNATIONALE du PRCF

Malgré quelques coups bas dérisoires de dernière minute*, la première conférence du PRCF sur les questions internationales a été un grand succès, tant du point de vue des contenus développés que du point de vue de l’ambiance extrêmement chaleureuse, fraternelle et internationaliste de cette première rencontre internationaliste présidée et animée par Pierre Pranchère, Léon Landini, G. Gastaud, A. Manessis et V. Flament. Que soient chaleureusement remerciés tous les militants qui se sont donnés sans compter pour le succès politique et organisationnel de cette conférence.

Il ne peut être question, dans ce premier aperçu, de donner un compte-rendu exhaustif des travaux de cette conférence qui, outre le reportage à paraître dans Initiative communiste et la publication des textes prononcés sur le tout nouveau site informatique du PRCF, donnera lieu à un numéro spécial de la revue Etincelles ;  le rapport de Georges Gastaud, détaillant les vues propres du PRCF sur l’issue révolutionnaire à apporter à la crise systémique du capitalisme plombée par la crise explosive de l’euro, la dialectique de l’internationalisme prolétarien et du patriotisme populaire permettant d’articuler dynamiquement les « quatre sorties » (de l’euro, de l’UE, de l’OTAN et du capitalisme) dans le cadre d’un large front populaire, patriotique et internationaliste, la réflexion sur les tâches du Mouvement communiste international et sur le traitement dialectique des contradictions en son sein, a été écouté avec une grande attention par les délégués français et étrangers, ainsi que les appels passionnés de l’orateur à l’unité d’action des communistes en France (étaient présents ou représentés par des messages d’amitié et d’analyse, les camarades de « Réveil communiste », de la Gauche communiste, du réseau « faire vivre et renforcer le PCF », des sections PCF de Douai et de Vénissieux, de Rouges vifs-Paris, d’Action communiste de Normandie).

Concernant les participants étrangers, ont défilé à la tribune, souvent interpellés par des questions de la salle auxquelles ils ont répondu de manière fraternelle, les représentants du Front populaire de Libération de la Palestine, du PC Danois, du PC de Pologne, du cercle communiste Julien Lahaut de Belgique, de la KSM (JC communiste de Tchéquie), du PC de Croatie, du PC des Peuples d’Espagne, du PC marxiste-léniniste de Grande-Bretagne, du PCUS (Russie et CEI**), du CSP-PC (Italie), du PC de Suède, du PADS (Algérie), du Parti Sadi du Mali, du PC de Cuba représenté par M. l’ambassadeur de Cuba, du Front populaire tunisien, de l’EMEP (Turquie), du FRUD (Djibouti), de la Marche patriotique de Colombie. Avaient adressé de très chaleureux messages le PC d’Israël, le PC des ouvriers de Hongrie (que le gouvernement fasciste hongrois veut forcer à changer de nom), la Jeunesse populaire de Pologne, le PC de Russie, Miguel Urbano Rodrigues, ancien député communiste portugais au Conseil de l’Europe, le PC d’Irlande, le Parti socialiste populaire du Mexique, le PC brésilien, le PC du Mexique, le comité Ernst Thälmann d’Allemagne, l’ABW-KPD d’Allemagne, le World Workers Party des USA, la philosophe Virginia Fontes, le Front polisario... De premiers contacts fructueux ont été pris avec le PC allemand, avec la Gauche radicale d’Afghanistan, avec le PC du Népal. Etaient également présentes sur place ou représentés par un message d’amitié l’Association d’amitié franco-coréenne, Cuba si France, les Antifascistes italiens, les Amis des républicains espagnols. Grand moment d’émotion quand l’hymne cubain et l’hymne soviétique – avec les paroles d’origine – ont été écoutés par toute la salle debout, ou lorsque les Français ont chanté « Ma France » de Ferrat. Condamnation unanime également du soutien apporté par Hollande aux forces communautaristes et djihadistes « syriennes » télécommandées par le Qatar, l’Arabie séoudite et la CIA.  Grands moments d’émotion aussi quand la conférence a salué le camarade polonais Zbigniew Wiktor, persécuté par la réaction pour sa fidélité au communisme, la JC tchèque, qui tient haut le drapeau rouge malgré les tentatives d’interdiction, les patriotes du Mali – qui ont montré que l’intervention de Hollande vise moins à réunifier le Mali qu’à pérenniser le séparatisme du nord sous protectorat français  – , le FPLP, dont plusieurs dirigeants sont dans les prisons israéliennes, Mumia Abu-Jamal, ou la mémoire du président Chavez. Très chaleureux moments aussi de fraternité internationaliste quand les camarades du PCPE, du PC italien, de Russie, etc. ont entonné dans leur langue, à côté des Français, l’Internationale, ou les chants révolutionnaires de leurs pays respectifs.

Il apparaît de plus en plus que les tentatives multiples, de droite comme « de gauche », pour briser la dynamique du PRCF, sont vaines et vouées à l’échec. Après le succès du stand PRCF à la fête de l’Huma, l’engagement remarqué du PRCF sur des bases 100% anti-UE dans la manif du 30 septembre contre la « gouvernance européenne », les efforts conjoints du PRCF et d’autres organisations communistes UNITAIRES pour s’adresser à la classe ouvrière en lutte, le travail commun du PRCF avec des patriotes non communistes (mais non anticommunistes) pour sortir la France de l’UE par la voie progressiste, après le succès éclatant du meeting du 2 février 2013 place de Stalingrad, à l’approche des Assises du communisme auxquelles des militants du PRCF sont prêts à participer dans un esprit fraternel, l’heure est à la confiance dans l’unité d’action des communistes, dans l’unité des progressistes anti-UE, dans l’unité internationale des forces communistes et anti-impérialistes contre les guerres impérialistes, contre l’Europe impériale et contre le capitalisme en phase dégénérative aigüe.

Présents sur tous les terrains, une délégation du PRCF, accompagnée par des délégués communistes étrangers, s’est ensuite rendue à la manifestation du Front de gauche, non pas pour suivre le mot d’ordre inconsistant de « 6ème République » (dans le cadre de l’Union européenne dictatoriale !!!), mais pour interpeller fraternellement les manifestants sur la nécessité de la quadruple rupture (euro, UE, Otan, capitalisme).

Le temps des affrontements de classe revient en France face au bilan tragiquement régressif des Hollandréou et des Zapat-Euro français. Plus que jamais, union et action pour affronter l’oligarchie capitaliste, briser la tenaille politique de l’UMPS et de l’UM’Pen, et sortir notre pays de l’UE avant que ne soient arasés les acquis civilsationnels de la Révolution française, du Front populaire, du Conseil National de la Résistance et de la grande grève ouvrière de Mai 68.

* Certaines attaques dérisoires de dernière minute émanaient même de prétendus révolutionnaires dont l’inactivité sur le terrain n’a d’égale que la volonté, heureusement vaine, de nuire à autrui...

** le PRCF n’est nullement engagé, faut-il le dire, par l’intervention personnelle, faite à partir de la salle, d’une participante d’origine russe qui a trouvé certaines vertus patriotiques à Poutine et à laquelle le délégué du PCUS a très courtoisement, mais très fermement répondu. Une chose est de défendre la Russie contre l’ingérence et l’encerclement de l’impérialisme occidental au nom du droit des nations à disposer d’elles-mêmes, une autre de cautionner le régime anticommuniste en place : et pour le PRCF l’internationalisme prolétarien, la solidarité de classe des communistes, prime en toutes circonstances.

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Ci dessous vous pouvez lire les interventions des camarades:

Quelques photos de l’événement: http://www.initiative-communiste.fr/?attachment_id=17539 - http://www.initiative-communiste.fr/?attachment_id=17540http://www.initiative-communiste.fr/?attachment_id=17543http://www.initiative-communiste.fr/?attachment_id=17545


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исти текст на ћирилици:

КРИЗА КАПИТАЛИЗМА
Излагање Владимира Капуралина на међународној конференцији ПРЦФ у Парису
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SRP na Međunarodnoj konferenciji Pole de Renaissance Communiste en France posvećenoj aktualnim događajima u svijetu



U našu redakciju stiglo je priopćenje za medije koje prenosimo u cijelosti:

U Parizu, 4-5 maja 2013.

Drage drugarice i drugovi,

Pozdravljam vas ispred Socijalističke Radničke Partije Hrvatske i svoje lično ime, a imam legitimitet i pozdraviti vas i ispred koordinacionog odbora komunističkih i radničkih partija, kojeg čini pet partija sa područja nekadašnje Jugoslavije.

Eskalacija nasilja u svijetu, koja je u tijeku, od tektonskih geopolitičkih promjena 90-ih godina prošlog stoljeća i koju provode najreakcionarnije sile razuzdanog kapitalizma, razlikuje se od intervencija i agresija koje su se događale nakon II sv. rata. Ove prve su uglavnom sprovodile SAD, dok su UN nastojale koliko toliko odgovoriti ulozi zbog koje su bile ustanovljene.

Urušavanjem socijalizma u istočnoj Evropi, 90-ih godina prošlog stoljeća, intervencije se izvode prema novim doktrinama, upotrebom novih tehnologija i poprimaju nove oblike.

Počelo je 1991. godine Prvim zaljevskim ratom, brutalnom agresijom od strane SAD-a i njenih saveznika na Irak. Nastavljeno je 1999. agresijom dotad neviđenih razmjera na SR Jugoslaviju, koja je rezultirala otimanjem dijela teritorija jednoj suverenoj državi, mimo svih međunarodnih pravnih standarda. 2001. godine uslijedila je agresija na Afganistan, koja traje do današnjih dana, a 2003. je godine slijedilo Drugi zaljevski rat, odnosno ponavljanje agresije na Irak. 2011. godine, imperijalističke sile razvijenog centra predvođene SAD-om, EU i vodećim monetarnim institucijama, uništile su Libiju, jednu socijalno prilično uravnoteženu zemlju.

Krimen libijskog vođe Gadafija sastojao se u tome što je uspješno već četiri desetljeća onemogućavao imperijalistima neograničenu eksploataciju libijske nafte i koji je dio te blagodati usmjeravao za dobrobit naroda, osiguravajući mu radna mjesta, besplatno obrazovanje, zdravstvo i stanovanje, i još k tome neku vrstu neposrednog odlučivanja. Tako je Gadafi ispunio oba kriterija iz strategije zaštite nacionalnih interesa SAD-a da bude likvidiran:

– suprotstavljanje neograničenoj imperijalnoj kontroli nad svjetskim resursima i

- remećenje svjetskog imperijalnog poretka diktature kapitala u formi parlamentarne demokracije i tobožnjih ljudskih prava, razvijanjem nekog Gadafijevog poluplemenskog socijalizma kao specifične Libijske alternative.

Sa istim ciljem nastavlja se agonija iračkog naroda, traži se povod za napad na Iran, a posebno opasan po svjetski mir je razvoj sukoba legitimne sirijske vojske sa pobunjenicima i stranim plaćenicima, različitih struja, koje su poticane opskrbljene i financirane od imperijalističkih centara moći. 

Razlog što do sada tamo nije došlo do ponavljanja libijskog scenarija, nalazimo prvenstveno u odlučnom protivljenju Rusije i Kine, koji je u slučaju priprema agresije na Libiju ili SR Jugoslaviju izostao.

U svim tim slučajevima radi se o klasičnoj borbi za prostor u cilju osvajanja tuđih teritorija na kojima se po ustaljenom postupku obara postojeća vlast i uspostavljaju podanički protektorati u kojima novopostavljena marionetska vodstva omogućavaju eksploataciju prirodnih resursa i infrastrukture, ali i korištenje novoosvojenog prostora u strateškom nadmetanju.

Tome u prilog svjedoči i najnovija intervencija francuske tzv. socijalističke vlade u bivšoj koloniji Mali, radi ovladavanja njezinim bogatim rudnim blagom, sa jasnom tendencijom neokolonijalne dominacije u Africi.

Za sve te intervencije značajan je neselektivni odabir živih ciljeva, odnosno rastući udio civilnih žrtava u odnosu na vojne i velika infrastrukturna razaranja, koje agresori eufemistički nazivaju kolateralne žrtve.

Parametri po kojima se intervencije i agresije nakon 90-ih godina prošlog stoljeća razlikuju od onih prije tog perioda, su više nego očiti. Iako SAD i dalje određuju: gdje, protiv koga, kada i zašto intervenirati i u tim intervencijama imaju glavnu ulogu, ali one više nisu same, cilj im je dio tereta vođenja rata i ljudskih žrtava, prebaciti na svoje saveznike i domaće marionete. A novu dimenziju predstavlja uključivanje subjekata poput NATO i EU. Tokom cijelog tog perioda obezvrjeđivana je uloga UN i ona je supstituirana sa NATO. Upravo brutalnu intervenciju u Libiji, su formalno i omogućile UN, čime su od subjekta mira, postale subjektom agresije, svrstavši se uz agresora.

Novi intervencijski val o kojemu je riječ razlikuje se i po apsurdnoj upotrebi oružja, koja kontaminiraju prostor, za jedan vrlo dugi vremenski period. To determinira kapitalizam kao destruktivni poredak.

Tehnologija zla, koju imperijalizam primjenjuje, osim što ukida suverenitet država i naroda, omogućila je izabranima da odlučuju o životu i smrti pojedinaca i čitavih naroda. Suština današnjeg načina upotrebe sile sastoji se u određivanju tko smije a tko ne smije ubijati. Naravno jedini režimi koji imaju pravo ubijati su režimi tzv. zapadne demokracije, jer oni to čine na osnovu procedure koju izvlače iz dubine korijena njihovog poimanja slobode u korištenju argumenta sile. Pa smo tako svjedoci, da ljudi mogu biti ubijeni i u spavaćoj sobi u pidžami i da sve to bude prenašano video linkom, za strogo odabranu publiku. Time je u realni svijet derivirala nekadašnja imaginarna filmska priča u kojoj je agent 007, tada jedini imao licencu da ubije.

Kriza koja traje već petu godinu ugrožava radne ljude i većinu građana i u samoj EU i ona ne posustaje. Zaduživanja i nezaposlenost rastu, a stečena radna i socijalna prava se reduciraju.

Neke zemlje poput Grčke, Portugala i Španjolske tlači se do iznad granica izdržljivosti. Njemačka nastoji ostaviti utisak da je krizu prevladala, ali krijući istinu o stanju nižih slojeva svojih građana. 

Nekoliko je argumenata zbog kojih ne prihvaćamo tumačenje vodećih imperijalističkih krugova da se radi o monetarnoj ili financijskoj krizi:

Prvo: ona traje predugo i da se radi isključivo o financijskoj krizi, bila bi već prevladana.

Drugo: ne radi se o nedostatku novca, jer njega ima više nego ikada. Samo što se on ne koristi kao u Gadafijevoj Libiji ili Chavezovoj Venezueli, za dobrobit širokih slojeva stanovništva, već se višak vrijednosti u obliku profita slijeva u džepove plutokracije na čelu moćnih financijskih institucija.

Stoga na osnovu svih relevantnih pokazatelja zaključujemo da se radi o krizi sistema kao takvog u cjelini.

Urušavanjem socijalizma u Istočnoj Evropi, nestale su mnoge energije iz kojih je snagu crpio radnički i sindikalni pokret evropskog zapada. Osim toga restrukturiranjem privrede, sve većim udjelom servisnog udjela rada u odnosu na onaj proizvodni nepovoljno utječe na nivo revolucionarne svijesti zaposlenih.

Rast nezaposlenosti, pad broja zaposlenih, sve veći udio zapošljavanja na određeno radno vrijeme u odnosu na neodređeno, obnavljanje radnih ugovora, često i na vrlo kratke intervale, uzrokuje trajnu nesigurnost radnika i dovodi do neprestanog smanjenja broja organiziranih radnika.

Društvene mreže i spontane, često vrlo masivne akcije radnika i nezadovoljnih građana nisu dovoljna zamjena za nedostatak svijesti i radničke solidarnosti, koji su danas, na puno nižoj razini od one prije jednog stoljeća, pa imamo primjere jačanja ekstremističkih grupa, sve do eksplicitno fašističkih.

Budući da su kritika i samokritika ugrađeni u same temelje djelovanja revolucionarne ljevice moramo pogledat istini u oči i prihvatiti činjenicu da i sami snosimo veliku odgovornost za postojeće stanje.

Sveprisutna nesloga, rivalstvo, personalne ambicije, fragmentacija do atomizacije na ljevici, multipliciranje broja organizacija sa malobrojnim članstvom, oportunizam, skretanje sa revolucionarnog puta i priklanjanje reformizmu i socijaldemokraciji, uz eksplicitnu podršku pojedinih komunističkih partija vojnim intervencijama, čini nas nepouzdanim i neozbiljnim osloncem za široke mase.

Time direktno radimo u korist vlastite štete i pomažemo svojem klasnom neprijatelju. Condicio sine qua non bilo kakvog pomaka u toj borbi je prevladavanje postojećih podijeljenosti na klasnoj osnovi.

Kapitalizam, koji je ispunio svoju povijesnu misiju ne nudi više odgovore na potrebe čovječanstva i on stvara sve dublje društvene, političke, ali i ekološke krize, čime se određuje kao destruktivan poredak. Analiza te destrukcije nameće potrebu pomaka težišta akcije iz esencijalne sfere u egzistencijalnu. Ne uspije li čovječanstvo ukinuti kapitalizam, ukinuti će on čovječanstvo.

Vladimir Kapuralin
Socijalistička Radnička Partija Hrvatske


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Intervention de Vladimir KAPURALIN, dirigeant du Parti Socialiste Ouvrier de Croatie (SRP)

CONFÉRENCE SUR LES QUESTIONS INTERNATIONALES, PARIS 4 ET 5 MAI 2013

V. Kapuralin était mandaté par la Coordination des Partis Communistes et Ouvriers de l’ex-Yougoslavie, à la conférence du PRCF sur les questions internationale, Paris, 4-5 mai 2013