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[Le Figaro 13 février 2002]

JUSTICE La comparution de Slobodan Milosevic devant
le Tribunal pénal international pour la Yougoslavie

Une parodie de procès

PAR FRANÇOIS TERRÉ *

Quels qu'aient pu être ses comportements génocides ­
crimes contre l'humanité, crimes de guerre ­,
le procès de Slobodan Milosevic est contraire au
droit pénal international et constitue un précédent
dangereux. Au lieu de le juger sur un territoire
de l'ancienne Yougoslavie, ce qui ne l'aurait pas privé
de son juge naturel, on l'a transféré, moyennant
finances, devant une inadmissible juridiction
d'exception.

Les adversaires des juridictions d'exception,
c'est-à-dire de celles qui sont créées de manière
exceptionnelle ­ on les dit ad hoc ­, auraient dû
et devraient contester l'existence même du Tribunal
pénal international pour la Yougoslavie (TPIY).
Créé de manière totalement irrégulière par le Conseil
de sécurité de l'ONU, au mépris de la charte des
Nations unies, dénoncé par les représentants de
certains Etats (ex. : le Brésil), ce TPIY, ins titué
en 1993, a reçu pour mission de juger les personnes
présumées responsables de vio la tions graves du
droit humanitaire commises sur le territoire de
l'ex-Yougoslavie depuisS 1991.

Les règles présidant au fonctionnement du TPIY sont
attentatoires aux principes de non-rétroactivité
de la loi pénale et de légalité des délits et des
peines. Curieusement, le Conseil de sécurité a aussi
donné au TPIY une grande latitude pour adopter
«un règlement qui régira la phase préalable à
l'audience, les recours et la recevabilité des
preuves, la protection des victimes et des témoins ».
De ce pouvoir contestable, le TPIY, maître de sa
procédure, a usé et abusé au point de procéder à
une modification de ce règlement à douze reprises
entre février 1994 et juillet 1997.

Le contenu du règlement révèle des atteintes aux
principes les plus élémentaires de la procédure
pénale. Ainsi, sous prétexte de protection des
témoins à charge musulmans (pourquoi pas les autres?),
on a permis à ceux-ci de témoigner sous une cagoule
la voix déformée... (Alexandre del Valle,
Islamisme et Etats-Unis, une alliance contre l'Europe,
p. 263). Maintes dispositions exorbitantes
caractérisent la procédure retenue (régl. art. 50,
53, 60, 66, 69, 70, 75, 79). Ainsi, « dans le cas où
la communication de pièces se trouvant en la possession
du procureur pourrait nuire à de
nouvelles enquêtes ou en cours, le procureur peut
demander à la chambre de première instance
siégeant à huis clos d'être dispensée de l'obligation
de communiquer les pièces de la défense »!
Et, curieusement ou non, « la chambre de première
instance n'exige pas la preuve de ce qui est
de notoriété publique » (art. 89).

Pourtant, en 1999, lors de la passation de ses
pouvoirs, le procureur canadien devant le TPIY avait
déclaré : « La justice internationale a fait plus
de progrès au cours des cinq dernières années que
dans les cinquante précédentes. La culture de
l'impunité des puissants ne fait plus partie du
paysage pour le prochain millénaire. »

Lui succédant, Carla Del Ponte d'affirmer:
« Faire comparaître Milosevic, Karadzic ou Mladic, pour
ne citer qu'eux, est une de mes priorités, ma tâche
principale. Et, s'il faut mettre le paquet, on le
mettra » (interv. Paris-Match, 31 août 1999).
Est-ce là un propos digne d'un procureur ? Toujours
est-il que le paquet, on l'a mis !

La complexité de la situation dans l'ex-Yougoslavie
a empêché, sinon provoqué, les difficultés de
capture des responsables ou présumés tels. D'où le
recours à des démarches souvent indignes:
dissimulation de documents, tromperies et ruses
pour attirer des personnages prêts à coopérer à
l'oeuvre dite de justice (ex. : Slavko Dokmanovic).
Pis: marchandage avec un gouvernement
consistant à promettre, en quelque sorte, une
«rançon» pour la livraison de Milosevic.

Si abominable qu'ait pu être celui-ci, un Etat ne
livre ni ne vend ses nationaux ; le cas échéant, il les
juge lui-même. Le fait qu'il s'agissait d'ailleurs
d'un chef d'Etat renforçait même cette exigence. « Il
est probable que, si la Yougoslavie n'avait pas
été économiquement aux abois... le
gouvernement de Belgrade n'aurait pas cédé aux
injonctions de Washington, qui faisait dépendre
l'octroi d'une aide au transfert de Milosevic »
(Pascal Boniface, Le Figaro, 3 juillet 2001). Une
livraison à laquelle s'opposera en vain la Cour
suprême de Serbie.

Aux gens de loi qui s'accommodent de tout cela,
on sera tenté de dire, comme Voltaire à
Montesquieu défendant la vénalité des charges:
« Il est bien difficile à l'esprit le plus philosophique
de ne pas payer son tribut à l'amour propre. Si
un épicier parlait de législation, il voudrait que tout
le monde achetât de la cannelle et de la muscade. »

* Membre de l'Institut.

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Subject: Newsletter FREE SLOBO ! - n° 12
Date: Wed, 13 Feb 2002 23:20:28 +0100 (CET)
From: ICDSM <icdsminfonet@...>

VERBATIM :
LE PRESIDENT MILOSEVIC REPOND AU TPI LE 13 FEVRIER

Les principaux points de la déclaration de Slobodan
Milosevic mercredi devant les « juges » de l'OTAN :

Contre Carla Del Ponte.
«Après tout ce que nous avons entendu ici en deux
jours, nous avons été non seulement convaincus que
cette procédure était partiale, mais aussi que votre
procureur avait déjà prononcé mon jugement et ma
sentence. L'accusation a orchestré une campagne
médiatique. C'est un procès parallèle à travers les
médias qui, aux côtés de cet animal appelé tribunal,
sont ici pour procéder à un lynchage parallèle au
procès. J'ai dit que je ne pourrais pas bénéficier
d'un procès juste et équitable ici.»

Sur la légalité du tribunal de l'OTAN.
«Je conteste la légalité de ce tribunal car il n'a pas
été établi sur le fondement de la loi. Le Conseil de
sécurité ne peut pas transférer à ce tribunal des
droits dont il ne dispose pas. C'est pour cela que ce
tribunal n'a pas la compétence pour me juger (...).
Je vous ai posé une question concernant la légalité de
ce tribunal. J'attends de ce tribunal et de vous en
particulier que vous répondiez à ces questions que je
considère de la première importance pour la justice
internationale et la justice en général.»

Sur son enlèvement.
«J'ai également soulevé la question de l'illégalité de
mon arrestation à laquelle un représentant du tribunal
est mêlé. Cette arrestation a eu lieu à Belgrade et a
violé la constitution de la Yougoslavie et de la
Serbie. Vous n'avez pas tenu compte de cela. (...)
Vous êtes familier des textes internationaux à ce
sujet. Vous avez déjà discuté de la question des
arrestations illégales dans d'autres affaires. C'est
ainsi une grave omission de votre part. Vous étiez
légalement contraints de convoquer une audience
consacrée à la question de l'arrestation illégale qui
a eu lieu sur ma personne et vous ne l'avez pas fait».

LES CRITIQUES DE SLOBODAN MILOSEVIC CONTRE LE TRIBUNAL

LA HAYE (d'après AFP) - Au cours de sa première
intervention depuis le début de son procès, l'ancien
président yougoslave Slobodan Milosevic a une nouvelle
fois attaqué, mercredi, la légitimité du Tribunal
pénal international (TPI) de La Haye.
Voici un résumé des principales critiques portées
contre le TPI par M. Milosevic depuis son transfert à
La Haye, en juin, mais également par ses conseils.

- Critiques sur la légitimité.
Selon M. Milosevic, le TPI, créé en 1993 par le
Conseil de sécurité de l'ONU pour juger les crimes de
guerre commis dans l'ex-Yougoslavie, est entaché d'un
vice initial: le Conseil de sécurité n'avait pas la
compétence pour créer un tribunal international. Ce
pouvoir appartient à l'Assemblée générale de l'ONU ou
à une conférence internationale. Le TPI "n'a pas la
compétence pour me juger", a déclaré M. Milosevic
mercredi.

- Critiques sur le fonctionnement du Tribunal.
Les conseils de M. Milosevic jugent contraire au
principe de séparation des pouvoirs qu'un tribunal
puisse fixer lui-même son règlement. Au TPI, on note
qu'"il n'y a pas de parlement mondial", qui pourrait
procéder aux modifications du règlement, et que le
tribunal ne fait qu'appliquer le mandat du Conseil de
sécurité.

- Critiques sur son financement
L'avocat français Jacques Vergès, qui représente les
intérêts de M. Milosevic devant la Cour européenne de
Strasbourg, juge anormal qu'une partie du financement
du TPI (14%) soit assurée non par l'ONU, mais par des
Etats ou des particuliers: "ces donateurs ne sont
évidemment pas des amis de la Serbie. Puis-je accepter
de comparaître devant un tribunal payé en partie par
mes ennemis?". Borislav Milosevic, frère de l'accusé,
a mentionné l'homme d'affaires américain Georges Soros
parmi ces contributeurs.

- Critiques sur l'impartialité du Tribunal
Sur un plan plus politique, la décision du procureur
Carla Del Ponte de ne pas ouvrir d'enquête sur les
dégâts "collatéraux" provoqués par les bombardements
de l'OTAN contre la Serbie, en 1999, a suscité de
vives critiques.
Cette décision jette une "ombre importante" sur la
crédibilité du Tribunal, a estimé le président
Vojislav Kostunica.

LE PRESIDENT MILOSEVIC CONTRE LE TRIBUNAL DE L'OTAN

mercredi 13 février 2002, 17h10
"M. Milosevic vous avez le droit de parler" ou de
"garder le silence". Le juge britannique Richard May
s'adresse à l'ancien président yougoslave.
Il est 15h30 dans une salle située au premier étage du
Tribunal pénal international (TPI) de La Haye.
"Non, je pense que cela n'a pas de sens que je
commence à parler aujourd'hui, pour être interrompu
une demi-heure plus tard", répond M. Milosevic,
allusion à l'heure fixant la fin de l'audience de
mercredi.
Arborant une cravate aux couleurs de la Yougoslavie,
il ajoute qu'il a "passé deux jours à écouter les
présentations de l'accusation".
Mais, l'ancien président yougoslave, qui était resté
silencieux depuis mardi et qui s'est comporté pendant
les audiences comme s'il assistait à un spectacle qui
lui a été imposé de toute évidence contre son gré,
change d'avis.
De manière hautaine, il lance au magistrat
britannique: "Ce tribunal n'a pas la compétence pour
me juger". L'ancien homme fort de Belgrade rappelle au
juge qu'il attend toujours des réponses sur les
questions concernant la légalité du Tribunal qu'il
avait déjà soulevées lors des audiences préalables au
procès.
"La dernière fois, je vous avais posé plusieurs
questions auxquelles je n'ai pas eu de réponse",
enchaîne-t-il. "La première question, c'est la
question de la légalité de ce tribunal à laquelle vous
n'avez pas répondu", poursuit-il, "je m'attends à ce
que vous consultiez la CIJ (Cour internationale de
justice) pour avis, c'est une question d'une extrême
importance. J'ai déjà parlé de l'illégalité de mon
arrestation".
"Vous étiez légalement obligés de convoquer une
audience consacrée à la question de l'arrestation
illégale qui a eu lieu sur ma personne et vous ne
l'avez pas fait. C'est ainsi une grave omission de
votre part", poursuit l'ancien homme fort de Belgrade.
Il accuse ensuite le procureur du TPI, Carla Del
Ponte, d'avoir déjà "proclamé la sentence" à l'avance
et d'orchestrer une campagne médiatique contre lui.
"L'accusation a lancé une campagne médiatique contre
moi", martèle-t-il, "c'est un procès parallèle à
travers les médias".
Slobodan Milosevic boit un verre d'eau. Le juge lève
la séance.
L'ancien président ramasse des feuilles où il a rédigé
des notes pendant les audiences, sort de la salle,
portant un attaché-case volumineux, escorté par deux
policiers.

LE COMBAT DE L'ICDSM - CONFERENCE DE PRESSE
A LA HAYE LE 12 FEVRIER.
REVUE DE PRESSE:
SES AVOCATS DENONCENT UNE «COUR MARTIALE».
«UN PRISONNIER POLITIQUE»

Par Marc SEMO, LIBERATION (Paris), Le mercredi 13
février 2002 La Haye envoyé spécial

« C'est un grand hôtel moderne et un peu triste, à
quelques centaines de mètres à peine du Tribunal pénal
international pour l'ex-Yougoslavie, où descendent
régulièrement avocats et membres des familles des
accusés qui retrouvent dans ses interminables couloirs
ou dans ses bars en sous-sol bruyants et enfumés un
peu de l'atmosphère du pays. Là, depuis hier, se
déroulent toutes les manoeuvres politiques et les
batailles en marge du procès de l'ancien président
yougoslave. Ses avocats-conseils et ses partisans
regroupés dans un Comité international pour la défense
de Slobodan Milosevic (ICDM) ­ où figurent en bonne
place le dramaturge britannique Harold Pinter et
Ramsay Clark, ancien ministre américain de la Justice
démocrate ­ ont lancé hier une première
contre-offensive avec une lettre ouverte adressée aux
chefs d'Etat et de gouvernement.
Cour martiale. «Le président Milosevic est un
prisonnier politique victime d'un procès spectacle
purement politique, organisé par une institution
politique déguisée en tribunal et contrôlée par les
pays qui ont organisé l'agression contre la
Yougoslavie. (...) S'il était condamné par une telle
cour, dont le caractère et la partialité sont
évidents, ce serait la fin du principe d'égalité des
nations qui est à la base du système des Nations
unies», affirme ce texte présenté hier dans une
conférence de presse. «Ce n'est pas une cour
internationale mais une cour martiale», renchérit
l'avocat canadien Christopher Black, vice-président de
l'ICDM, qui pourfend l'illégalité du TPI. (...)
Groupe de juristes. L'ancien président yougoslave a,
lui, refusé de nommer des avocats afin de prendre en
charge lui-même sa défense, mais il se fait
conseiller, payant théoriquement de sa poche un groupe
de juristes qui, selon la formule ironique d'un
militant des droits de l'homme, «font ainsi du recel
de crimes contre l'humanité». Outre Christopher Black
et deux avocats serbes, Me Ognanovic et Me Tomanovic,
le Français Jacques Vergès, jadis avocat du FLN
algérien, du nazi Klaus Barbie ou du terroriste
Carlos, est l'une des figures de proue de ce collège.
«J'approuve l'attitude de Milosevic qui refuse le
tribunal, car rentrer dans les débats d'un tel procès
biaisé signifierait les authentifier», explique
l'avocat français, grand praticien de la «défense de
rupture», manifestement ravi de se retrouver ainsi à
nouveau sous les feux de la rampe. Son anglais
incertain le prive des networks américains, mais il se
rattrape largement avec les télévisions et les radios
françaises... »

IVAN BONFANTI: MILOSEVIC E' COLPEVOLE PERCHE' HA PERSO

Slobodan Milosevic e' <<il presidente che condusse la Jugoslavia prima e
la Serbia poi alla catastrofe della sconfitta>>, e per questo e'
colpevole di tutto. Lo scrive il giornalista Bonfanti su "Liberazione"
del 13/02/2001, nell'ambito di un pezzo letterariamente ardito, ricco di
accenti fantasy e lombrosiani ("cinico statista", "con una mano
incendiava gli animi della Serbia contadina e con l'altra si divideva la
Bosnia insieme al 'nemico' Franjo Tudjman, l'autoproclamato erede degli
ustascia di Ante Pavelic, i più volenterosi carnefici di Hitler" - anche
per Pavelic la colpa e' di Milosevic?!). Bonfanti va compreso: ingrato
e' il mestiere del giornalista che per guadagnarsi il pane deve
dimostrare tesi precostituite, a qualsiasi costo.
(I. Slavo)

LA NATO e l'ONU SPONSOR DEI TERRORISTI IN KOSOVO
di Jared Israel e Rick Rozoff
[16 Settembre 2001]

Traduzione inviataci da Alessandro Lattanzio

Parecchi hanno iniziato a visitare il sito di
Emperor's Clothes A causa dei nostri articoli
sull'11 Settembre.
Vi consigliamo di leggere il seguente testo sul
Kosovo. Sin da quando la NATO e l'ONU sono in
Kosovo, esso si ritrova sotto il vero dominio degli
USA. L'atteggiamento statunitense verso i terroristi
chiarisce la reale connessione dell'Establishment
USA con il terrore. E vedendo il Kosovo noi troviamo
che lo stesso atteggiamento di disonestà e
disinformazione di cui siamo stati testimoni l'11
Settembre.
Per capire come NATO e ONU operano in Kosovo,
considerate il dispaccio seguente. È stato redatti
dalla KFOR il24 maggio 2001. (KFOR significa Kosovo
Force. KFOR è la forza d'occupazione NATO in Kosovo.
COMKFOR è il Comando della forza d'occupazione NATO
in Kosovo.)

Ecco il dispaccio KFOR:

"KFOR News Update
Pristina, 24 Maggio 2001 del Magg. Axel-Bernd
Jandesek, portavoce KFOR "Più di 450 membri
dell'UCPMB si sono arresi"
"Dalla fine della politica "soft" del COMKFOR verso
gli estremisti dell'UCPMB più di 450 ex-estremisti
hanno tratto vantaggio da tale politica. Queste
persone hanno volontariamente gettato le armi e
consegnati in numerosi checkpoints della KFOR. La
KFOR ha interrogato e rilasciato tutti i membri
dell'UCPMB che non erano sospettati di aver commesso
gravi atti delittuosi."
[KFOR Online 24 Maggio 2001 (1)]


UCPMB è la sigla usata dai terroristi etnici
albanesi quando attaccavano la Serbia vera e
propria.
Qualche osservazione:

1) Nota che il titolo di questa notizia parla di 450
membri dell'UCPMB che si arrendono, ma il testo
suggerirebbe tutti eccetto pochi che sono stati
rilasciati.

2) Il dispaccio definisce i membri dell'UCPMB
'eatremisti'. Ciò suggerisce che tale gente fosse su
posizioni politiche estreme. Ma, infatti, queste
persone sono terroristi organizzati in unità
militari, che attuavano pesanti attacchi militari in
Serbia. Seminavano mine. Terrorizzavano gli albanesi
che "non-cooperativi". Rapivano, torturavano e
uccidevano poliziotti e cittadini serbi.
Combattevano contro i soldati jugoslavi. Da sempre
illegali, parecchi, tra l'altro, sono assassini. Su
che basi la KFOR conclude che molti di tali
terroristi non hanno commesso gravi crimini?

3) una volta che i terroristi sono stati rilasciati,
perché non dovrebbero ritornare nella loro
precedente "occupazioni" - minare, terrorizzare,
rapire e uccidere in Serbia?
Per comprendere il significato di queste domande,
considerate gli obblighi ufficiali della KFOR e
dell'organizzazione sorella, l'UNMIK (United Nations
Mission in Kosovo). Queste responsabilità, sono
basate sugli accordi, grazie ai quali KFOR e UNMIK
hanno occupato il Kosovo. Questo accordo è la
risoluzione del Consiglio di Sicurezza dell'ONU
N°1244, o UNSCR 1244 (o anche UN 1244 in breve)
Il seguente è uno dei principi supremi:

"Riaffermando l'obbligo di tutti gli stati membri
verso la sovranità e l'integrità della Repubblica
Federale di Jugoslavia e degli altri stati della
regione, così come stabilito nel trattato di
Helsinki"

Nota: il trattati di Helsinki può essere letto su:
http://www.hri.org/docs/Helsinki75.html

Riguardo le responsabilità specifiche:

"[Il Consiglio di Sicurezza] decide che le
responsabilità dell'autorità della sicurezza
internazionale (cioè KFOR e UNMIK), che deve essere
dispiegata e attuata in Kosovo, dovrà includere:

"Reprimere rinnovate ostilità, mantenere e, quando
necessario, rinforzare il cessate-il-fuoco...;
smilitarizzare l'UCK e altri gruppi armati di
albanesi, come richiesto dal paragrafo 15 seguente;
stabilire un ambiente sicuro in cui i rifugiati e i
profughi possano ritornare a casa in sicurezza,
l'autorità civile internazionale può operare, e una
amministrazione transitoria può essere attuata, e
gli aiuti umanitari possono essere consegnati;"
-KFOR Online sulla risoluzione del Consiglio di
Sicurezza dell'ONU N°1244 (2)
per liberare 450 terroristi che hanno commesso dei
delitti in Serbia (parte della Repubblica Federale
di Jugoslavia) la KFOR disinvoltamente contraddice
il suo mandato principale:
"Riaffermare la sovranità e l'integrità territoriale
della Repubblica Federale di Jugoslavi..."
e che:
La smilitarizzazione dell'UCK e altri gruppi armati
di albanesi... (e) stabilendo un ambiente sicuro...
Secondo l'ex-presidente degli USA William Clinton,
queste richieste sono state largamente soddisfatte
nel giugno 2000. In una lettera al Congresso,
Clinton dichiara:

"L'UCK ha accettato, il 21 giugno 1999, a cessare il
fuoco, di ritirarsi dalle zone di scontro in Kosovo,
e a consegnare le armi. Il 20 settembre 1999 il
comandante della KFOR Tenente-Generale Sir Mike
Jackson ha accettato la certificazione dell'UCK di
aver completato i processo di smilitarizzazione
secondo gli accordi del 21 Giugno. L'UNMIK, inoltre,
ha stabilito un servizio d'emergenza civile noto
come Kosovo Protection Corps che è inteso a fornire
un'assistenza civica alle emergenze e ad altre forme
di assistenza umanitaria.

...Il personale della KFOR provvede alla sicurezza
nelle città, villaggi, e nella campagna." - Lettera
del Presidente Clinton al Congresso USA sulle Forze
in Kosovo. 16 Giugno 2000 (3) LA BUGIA DI CLINTON
N°1: "IL 20 SETTMBRE, 1999 L'UCK HA COMPLETATO LA
SUA SMILITARIZZAZIONE"

Riguardo a ciò il Russian Press Digest ha
commentato:

"Il capo della missione ONU in Kosovo, Bernard
Kouchner, ha annunciato che i rappresentanti
dell'UCK hanno consegnato 10.000 armi di ogni tipo,
ciò ha permesso alla missione di parlare di
completamento del processo di disarmo.
'Siamo soddisfatti dal fatto che l'UCK abbia dato
10.000 armi da fuoco, anche se noi sappiamo che
hanno altre 100.000 armi da fuoco' ironizzava uno
dei membri della missione ONU in Kosovo."
-Russian Press Digest, 21 Settembre 1999 (4)
Articoli in altri giornali confermano che la
supposta smilitarizzazione dell'UCK è stato un
imbroglio. Ciò nonnè una sorpresa, a seguito di tale
smilitarizzazione, l'UCK ha continuato la sua azione
gangsteristica e terroristica. Tutto ciò è
documentato nell'articolo 'Campi di Concentramento e
Gangster e Terrorismo in Kosovo.' (4a)

LA BUGIA DI CLINTON N°2: "L'UNMIK ha costituito il
Kosovo Protection Corps [che é]...civile e
umanitario"

Un articolo de La Stampa, è vivamente descritto il
modo in cui è stato costituito il civico e
umanitario Kosovo Protection Corps (KPC).

"Poco dopo le mezzanotte, un comandante locale
dell'UCK consegnava, alle truppe italiane della
KFOR, il primo carico di armi. La consegna era stata
preceduta da un a breve cerimonia...nel corso della
quale un gruppo di guerriglieri dell'UCK,
simbolicamente hanno consegnato sei mitragliatrici a
una squadra di soldati italiani, ricevendo in cambio
le nuove uniformi del 'Kosovo Protection Corps' il
gruppo di protezione civile nella quale è stato
trasformato l'UCK. Al comandante della base, Gezim
Ostremi è stato chiesto se le sue forze fanno ancora
parte dell'UCK, ha risposto, dopo aver guardato
l'orologio, 'E' mezzanotte, ora siamo il Kosovo
Protection Corps.'"
--La Stampa, 20 Settembre 1999 (5)

Non era una eccezione, è la regola. KFOR e UNMIK
hanno semplicemente cambiato l'UCK (terrorista) nel
Kosovo Protection Corps (civile e umanitario).
I criminali di guerra dell'UCK, non saranno mai
incarcerati. Non saranno obbligati a seguire corsi
di rieducazione, come le persone arrestate per guida
in stato d'ebbrezza. Invece sono stati premiati con
l'uniforme nuova del KPC, un titolo rispettabile,
status dell'ONU (!) e pagato (!).

E hanno un leader: Agem Ceku. Per visionarne il
curriculum vitae vedere: 'UN Appoints an Alleged War
Criminal in Kosovo.' (6)

In breve, fin a quando è stato nominato al vertice
del KPC, Agem Ceku ha guidato l'UCK. E prima ancora
è stato un ufficiale croato, implicato in crimini di
guerra contro migliaia di civili nella Krajna della
Jugoslavia.(7)

KFOR e UNMIK possono trasformare dei terroristi che
riempiono il KPC in bravi cittadini? Considerate che
il caso di Gezim Ostremi, il comandante dell'UCK già
menzionato nell'articolo de La Stampa.

Durante l'estate del 2001, due anni dopo la
formazione del KPC, qualche giornale occidentale
rivelava che Ostremi guidava gli assalti
terroristici in Macedonia! The Irish Times
commentava:

"Prima dell'inizio della guerra in Macedonia, il
comandante Gezim Ostremi era pagato dall'ONU per
aiutarla a formare il Kosovo Protection Corps (KPC),
[allora] nominato suo chief-of-staff."
-The Irish Times, 5 Luglio 2001 (8)
Secondo The Irish Times, il ruolo di Ostremi quale
leader terrorista fu uno shock per i vertici
dell'ONU e della NATO in Kosovo:

"Il coordinamento della comunità internazionale nei
Balcani è stato gettato nella confusione (dalla
rivelazione)."
-The Irish Times, 5 Luglio 2001 (8)

Ahh, che confusione!

Sembra che sempre i leaders del nostro nuovo impero
sono implicati in qualche atto disdicevole che
suggerisce non solo ipocrisia ma comportamento
criminale, essi e i loro media accusano la
confusione, l'inefficienza, la perplessità e la
mancanza di preparazione, tutto è un errore umano.
"Questa vasta burocrazia pasticciona, non complotta
atti diabolici, deve solo fare attenzione", questa è
l'idea.

Apparentemente qualcuno ha effettuato uno studio che
rivela come la gente ordinaria può causare disguidi
ufficiali tanto così a lungo, quanto la parte
colpevole è libero e veloce nel "confessare"
stupidità o incompetenza )piuttosto che intenzioni
diaboliche...)

Quando abbiamo domandato nessun aeroplano decollasse
dalla Andrews Air Force Base, che è proprio accanto
Washington, DC, a intercettare l'American Airlines
Flight 77 durante il più di 55 minuti di volo verso
il Pentagono, il segretario della difesa Donald
Rumsfeld offriva la seguente "confessione":

"RUMSFELD: Tony, è accaduto poiché gli USA non
credevano di dover stare in massima allerta ogni
minuto del giorno."
-Fox News Sunday, (09:00) 16 Settembre 2001 (9)

e quando gli aerei degli USA bombardano, in
Afghanistan, i depositi della Croce Rossa,
chiaramente marcati e geograficamente isolati, per
la seconda volta, tutti i media parlano di errori.
(Attualmente il secondo bombardamento è stato
condotto in due ondate o più da parte di parecchi
tipi di bombardamento).
Qui vi sono parecchi esempi di notizie:
* "Grave errore, venerdì, un deposito della Croce
Rossa è stato accidentalmente bombardato ancora un
avolta." (The Lexington Herald Leader, 30
Ottobre 2001)

* "...per due volte colpito accidentalmente un
deposito della Croce Rossa" (The Herald (Glasgow),
30 Ottobre 2001)

* "...un secondo attacco errato su un deposito della
Croce Rossa Cross" (USA TODAY, 30 Ottobre 2001).

Emperor's Clothes intervistò esponenti della Croce
Rossa in Svizzera, riguardo gli attacchi. Basato su
ciò che questi esponenti ci hanno detto, è
semplicemente impossibile credere che i militari USA
hanno bombardato dei depositi per errore. (10)

Ritornando su Ostremi, il Chief-of-staff Kosovo
Protection Corp (KPC), come può essere una sorpresa,
per KFOR e UNMIK, la sua attività di terrorista?

Secondo The Irish Times,

"la carenza di supervisione (del KPC), significa che
le settimane precedenti la nomina a comandante da
parte dell'ONU, Ostremi aveva lasciato il comando
dei ribelli in Macedonia, come qualcuno che si
prendeva delle ferie."
-The Irish Times, 5 July 2001 (8)

Ahh, la carenza di supervisione, il cugino della
confusione e dell'azione dei burocrati pasticcioni.

Nota che non un solo burocrate è stato arrestato per
negligenza criminale, che ha permesso al
Chief-of-Staff del KPC, una organizzazione ufficiale
dell'ONU, di condurre un'invasione terrorista di uno
stato sovrano. Tutto ciò perché "abbiamo commesso
degli errori".

Comunque. Non era solo Ostremi che ONU e KFOR si
sono lasciati sfuggire dalla carenza di
supervisione.

"Centinaia di riservisti del KPC sono stati
richiamati, a Marzo, dal loro comandante albanese,
Agim Ceku,. Scomparvero dai campi di addestramento
dell'UCK, per riemergere (come terroristi)in
Macedonia."
-London Times, 10 Giugno 2001 (11)

L'intera struttura dell'UCK è stata attivata nella
forma dei riservisti del KPC, per combattere in
Macedonia.

Vi sorprenderete sul come i riservisti del KPC sono
capaci di commettere atti terroristici nel
territorio poco famigliare della Macedonian. Non si
sarebbero persi? No problem.

"Imbarazzante per la NATO, i riservisti del KPC [che
attaccano la Macedonia!] hanno utilizzato le mappe
della NATO del Kosovo Protection Corps."
-London Times, 10 Giugno 2001 (11)

Abbiamo commentato ciò in 'Ci dispiace Virginia ma
loro sono truppe della NATO, non ribelli':

[ripreso da 'Sorry Virginia']
"Non è affascinante come il London Times impiega il
termine "imbarazzante", come se la NATO abbia
mancato di etichetta?
Vedete, potrebbe essere "imbarazzante" se ordinaste
il vino sbagliato per accompagnare il vostro squalo
alla griglia con datteri? Oppure sarebbe
"imbarazzante" se portaste un'auto rubata nel garage
del massacro di san Valentino?

"Da quando la NATO ili ha tracciati e l'UCK li usa
per una invasione, è ragionevole presumere che
queste mappe dettagliate, includenti strade, la
localizzazione di infrastrutture e dati topografici
come colline, ecc.

"La Macedonia è uno stato sovrano. Non è sotto il
controllo della NATO o dell'ONU. Il Kosovo
Protection Corps non ha nessuna valida ragione per
mettere piede nel territorio Macedone.
"Il KPC non è ufficialmente una strutture militare.
"Mettete tutto questo insieme, per quale scopo la
NATO fornisce al KPC le mappe militari della
Macedonia? Se non per uno scopo ovvio: attaccarla!"

[Fine estratto da 'Sorry Virginia']
lo si può leggere su:
http://www.emperors-clothes.com/mac/times.htm

Per le prova che i terroristi del KPC usino armi
fornite dalla NATO, per attaccare la Macedonia, e
che sono guidati da "consiglieri" degli USA, vedi
l'articolo sulla Macedonia su:
http://www.emperors-clothes.com/mac/list-m.htm

LA BUGIA DI CLINTON N°3: '...il personale della KFOR
garantisce la sicurezza nelle città, villaggi e in
campagna.'

Ciò conforta. Ma Emperor's Clothes ha pubblicate
delle interviste con testimoni che riportano
l'esatto contrario: KFOR e UNMIK sono responsabili
per il regime di terrore che regna da quando
controllano il Kosovo. Per esempio:

* KFOR ha aperto i confini con l'Albania,
permettendo ai gangsters dell'UCK di passare
liberamente tra il Kosovo e le loro basi nel nord
dell'Albania. (12)

* KFOR guarda mentre la gente della parte sbagliata
viene terrorizzata e cacciata di casa. (13)

* I serbi che rimangono in Kosovo sono forzati in
ghetti stile campo di concentramento, diretti dalla
KFOR, e terrorizzati dall'UCK. (14)

* I serbi che restano in Kosovo vivono nel terrore
continuo. Parlando la lingua sbagliata, e quindi
apparendo essere dei serbi, possono essere uccisi.
(14a) Perfino stare alla finestra può essere mortale
se sei un serbo in uno dei nuovi ghetti del Kosovo.
(14)

UNMIK e KFOR sono totalmente consapevoli del
terrorismo monumentale praticato dal Kosovo
Protection Corps, creatura dell'ONU. L'ONU ha
perfino preparato un rapporto speciale per il
segretario generale Kofi Annan che documenta il
violento razzismo e gangsterismo del KPC. (15) Ma
certamente l'UNMIK e KFOR non hanno bisogno di un
rapporto speciale. Questo management da grande
potenza e l'organizzazione militare con i loro
ridondanti servizi segreti, sono perfettamente
capaci di vedere cosa accade davanti ai loro occhi.

Considerate il caso seguente.

16 Febbraio 2001:

"...[una] esplosione distrugge un autobus che
trasporta più di 50 serbi che tornavano in Kosovo
dopo aver visitato i loro parenti rifugiati in
Serbia. [Gli attaccanti] uccidono 11 civili serbi,
incluso un bambino di due anni."
-The Daily Telegraph (Londra), 28 Marzo 2001 (16)

Quattro sospetti vengono arrestati, ma " l'identità
degli uomini arrestati si dimostrano assai
imbarazzanti per i governi occidentali." (The Daily
Telegraph
(Londra), 28 Marzo 2001) (16)

Perché 'imbarazzanti'?

Non è 'imbarazzante' una strana parola da usare per
un crimine?

Imbarazzante poiché:

"Erano tutti membri del Kosovo Protection Corps,
l'organizzazione di difesa civile filo-occidentale
che deriva dall'UCK quando venne smilitarizzato nel
1999. Alcuni membri dell'UCK sono stati addestrati
dalle SAS."
...

"Legami tra il KPC e le organizzazioni criminali e
la violenza politica, in Kosovo, sono un segreto di
pulcinella. Il KPC è stato coinvolto nell'assassinio
di 11 serbi - un incidente che è stato condannato
dal mondo intero - avvenne in un momento assai
critico per la Nato e l'ONU nel Kosovo."
-The Daily Telegraph (Londra), 28 Marzo 2001 (16)

Nota che quando il Presidente Clinton dichiarava il
Kosovo Protection Corps fosse una vittoria
dell'UNMIK, scriveva:

"L'UNMIK dopo aver istituito un servizio di
emergenza civile noto come
Kosovo Protection Corps."

Ma nel suo commento blandamente critico il Daily
Telegraph dichiarava che il KPC:

"che deriva dall'UCK quando venne smilitarizzato nel
1999."

Così, perfino nella critica, i media occidentali
tiravano i loro pugni. La smilitarizzazione è
accettata come un fatto in un articolo che dimostra
che ciò è una menzogna! E il KPC è presentato come
se fosse spuntato dal suolo, come un seme piantato e
innaffiato dall'UNMIK e dalla KFOR.

(1/2, continua)

(segue)

L'arresto dei terroristi del KPC che fecero
esplodere quell'autobus è certamente 'imbarazzante'
poiché:

a) "L'UNMIK istituisce il Kosovo Protection Corps"
(vedere la lettera di Clinton al Congresso del 16
Giugno 2000 (3)) e

b) " Legami tra il KPC e le organizzazioni
criminali e la violenza politica, in Kosovo, sono
un segreto di pulcinella. " (Telegraph, 28 Marzo
2001 (16)) e quindi

c) KFOR e UNMIK sono responsabili per gli attacchi
assassini del KPC.

KFOR e UNMIK apparentemente si riprendono
dall'iniziale imbarazzo. Rilasciano tre dei
sospetti. Il quarto, un tale Florim Ejupi,
miracolosamente fugge dalla detenzione a Bondsteel,
l'impenetrabile campo base dell'esercito USA in
Kosovo.

Indubbiamente le guardie del centro di detenzione
erano impreparate alla fuga di questo Houdini dei
nostri giorni, che tuttavia getta "nella
confusione" i poveretti dell'KFOR e UNMIK, un fatto
che li ha, di conseguenza, 'assai imbarazzati'.

E certo nessuno è stato arrestato per aver lasciato
fuggire Florim Ejupi, poiché 'tutti possiamo
sbagliare'. E non è l'umiliazione una punizione
sufficiente? (su Florim Ejupi , vedasi Los Angeles
Times, 15 Maggio 2001) (17)

Contrariamente alla linea della 'confusione/carenza
di preparazione/non possiamo essere
dappertutto/questi burocrati pasticcioni' dalla
KFOR, UNMIK e dei media scusanti che sempre offrono
una spiegazione all'infinito regno del terrore in
Kosovo, l'U.S. Army, che dirige i comandanti del
KFOR, è criminalmente responsabile per il terrore
sistematico attuato sotto i suoi occhi:

"Il comandante è, inoltre, responsabile se ha
conoscenza della situazione attuale, o dovrebbe
avere conoscenza, attraverso i rapporti ricevuti
dai suoi, o altrui, mezzi, che i soldati o altre
persone soggette al loro controllo, commettono o
hanno commesso, un crimine di guerra e sbagli nel
prendere i passi necessari e responsabili per
assicurare l'attuazione della legge di guerra o
punire i violatori comunque.... "
- Manuale di campo dell'esercito USA per la legge
della guerra terrestre (18)

Rimanendo su questo pensiero, ritorniamo alla
notizia della KFOR da cui siamo partiti. Essa
affermava che ciò si basa sulla 'politica morbida'
della KFOR verso l'UCPMB; 450 terroristi si
consegnano per essere poi rilasciati senza che si
avesse la prova che abbiano commesso un 'crimine
grave'.

Alcune osservazioni:

1) Resoconti dei quotidiani spesso ci descrivono
gli attacchi degli 'estremisti' dell'UCPMB contro
il territorio serbo come degli albanesi locali, che
giungono alla rivolta a causa dell'oppressione
intollerabile. Ma questi 450 - 450! Estremisti sono
stati arrestati in Kosovo, non in Serbia.
Ovviamente non sono persone portate dagli abusi a
prendere le armi; sono parte dell'UCK, adesso
riorganizzato nel Kosovo Protection Corps, proprio
come i terroristi che attaccano la Macedonia.

2) Sotto Risoluzione 1244 dell'ONU, la KFOR non si
deve limitare a una 'politica morbida' che permette
agli assassini terroristici di consegnarsi
volontariamente e poi essere rilasciati. Ciò
obbliga la KFOR a cacciare e incarcerare questi
terroristi.

Così la KFOR partecipa alla messinscena della
volontaria detenzione dei terroristi, seguito dal
loro rilascio? Poiché la mascherata è calcolata per
assolvere a un certo problema truccato.

Dall'altro lato, la KFOR vuole che i cittadini dei
paesi NATO pensino che i loro atti siano contro il
terrore. Ma dall'altro lato, i terroristi del sono
una loro creazione; costituiscono un esercito
ausiliario usato per destabilizzare i Balcani,
scopo strategico della NATO.

Tuttavia, i terroristi dimostrano un chiaro
supporto della NATO a loro stessi . Ciò è discusso
nella sintesi della nostra terza intervista con
Cedomir
Prlincevic, archivista del Kosovo.
(vedasi 'What's Behind KLA Strategy in the
Balkans?') (19)

Il Sig. Prlincevic spiega che certi aspetti della
cultura albanese rendono i potenti leaders dei clan
albanesi assai suscettibili alle minacce e alle
dimostrazioni di potenza della etnia albanese.
Comunque è cruciale che l'UCK dimostri che la
superpotenza NATO sia dietro di esso.

La NATO desidera fornire la prova che appoggia
l'UCK, ma non può alienarsi la pubblica opinione
occidentale. Dopo tutto, l'UCK attacca la Macedonia
e la Serbia. Il governo macedone è stato in passato
il garzone della NATO, e il governo attuale della
Serbia è apertamente filo-NATO. Così sembra che la
NATO si opponga ai secessionisti che attaccano la
Macedonia e la Serbia.

Accettando volontariamente di arrendersi, i
terroristi (rinominati 'estremisti') e il loro
rilascio per 'non essere sospettati di aver
commesso gravi crimini', la NATO risolve il
paradosso della sua doppiezza. La detenzione dice,
'ci opponiamo al terrorismo albanese', ma il
rilascio dice 'noi supportiamo ciò'.

E questo, cari amici, è la verità.

Come George Thompson ha documentato nel suo
articolo in 'le radici del fascismo del Kosovo'
l'UCK e il KPC sono i discendenti politici dei
terroristi fascisti albanesi che dominavano il
Kosovo come fantocci dei nazisti nella seconda
guerra mondiale. (20)

Appoggiando il terrorismo fascista dell'UCK in
Kosovo, i leaders della KFOR e dell'UNMIK non solo
hanno violato la legge internazionale, incluso il
trattato di Helsinki; non solo hanno ingannato la
risoluzione 1244 del Consiglio di Sicurezza
dell'ONU.

Hanno anche attuato la politica dei successori dei
filo nazisti al potere durante la seconda guerra
mondiale. È un fatto che i nazisti albanesi in
Kosovo
Furono gli ultimi nazisti ad arrendersi,
combattendo fino al 1950. La politica USA ed
europea hanno, in modo scioccante, appoggiato
questi, i peggiori elementi tra gli albanesi del
Kosovo, mettendoli al potere un'altra volta.
Leggasi con cura il seguente articolo del L.A.
Times, riguardante la gioia con cui alcuni kosovari
albanesi accolsero le truppe tedesche ritornate
nella città del Kosovo di Prizren nel giugno 1999:

[estratto dal L.A. Times]
"...Molti albanesi del Kosovo appoggiarono i
nazisti durante la seconda guerra mondiale, e oggi,
alcuni di loro non distinguono tra il passato e
l'esercito della Germania presente - entrambi i
quali, per il loro modo di pensare, compiono la
stessa operazione: li liberano dal dominio serbo.
"ciò è una seconda liberazione " diceva Ali Majo,
68 anni, nativo di questa città nel sudest del
Kosovo. "Io non posso descrivere come sono sentito
quando ho visto i soldati tedeschi liberarci
ancora."

"Come una vittoria morale nei Balcani.

"Majo aveva 10 anni quando la Wehrmacht tedesca
giunse a Prizren nell'Aprile
1941. I Nazisti arrivarono in motociclo nelle
colline intorno la città, guardava i loro binocoli
e aprivano il fuoco sulle postazione
dell'artiglieria partigiana, ricorda.

"Dopo, circondarono la città" dice Majo. "Gridammo
Heil Hitler. Eravamo orgogliosi dei soldati
tedeschi, ci liberavano dai serbi."

"Naim Poloshka, 72 anni, ricorda come uno dei
soldati tedeschi gli diede della cioccolata e lo
porto sulla sua motocicletta. Gli fecero fare il
giro della città per farsi indicare da lui le case
dei partigiani.

"Come molti di Prizren, Poloshka era stordito
quando si svegliò la mattina scoprendo che i
tedeschi avevano impiccato nove sospetti
partigiani, cinque serbi e quattro albanesi, al
centro della città, di notte.

"Ma ciò non danneggiò il suo entusiasmo per i
nazisti." [fine dell'estratto del L.A. Times] (21)

Abbiamo chiamato i soldati della KFOR e gli
impiegati dell'ONU in Kosovo, di tutte le
nazionalità: l'attuazione della Risoluzione 1244
dell'ONU. L'arresto dei leaders dei terroristi del
KPC, responsabili per la cacciata dal Kosovo di
migliaia di non-albanesi e albanesi antifascisti
for, per il rapimento e l'assassinio occultato di
parecchie persone in Kosovo, Serbia e Macedonia.

Facendo questo, obbedireste alla legge
internazionale e al mandato della Risoluzione 1244
dell'ONU, e fareste onore come soldati piuttosto
che come assassini. Se nessun tenterà di arrestarvi
dal fare ciò, essi sono dei criminali, senza
distinzione, e dovrebbero essere arrestati.

- Jared Israel e Rick Rozoff

Emperors Clothes ha urgente bisogno di sostegno
finanziario!

Note:
(1) KFOR OnLine 24 Maggio 2001
<http://kforonline.com/news/updates/nu_24may01.htm>

(2) United Nations Security Council Resolution 1244
(1999) at:
<
http://www.kforonline.com/resources/documents/unscr1244.htm
>

(3) President Clinton's 16 Giugno 2000 Lettera al
Congresse culle forze USA in
Kosovo si trova su: <
http://www.usembassy.it/file2000_06/alia/a0061602.htm
>

(4) Russian Press Digest, 21 Settembre 1999 si
trova su:
http://emperors-clothes.com/analysis/nezaback.htm#quote
<http://emperors-clothes.com/analysis/nezaback.htm>

(4a) 'Concentration Camps and Gangster/Terrorism in
Kosovo' documenta il carattere terroristico del
'riformato' UCK, si trova su:
<http://emperors-clothes.com/news/reporter.htm>

(5) Tradotto da Emperor's Clothes da La Stampa, 20
Settembre 1999, Pagina
9, "Kosovo, e' il primo L'UCK consegna agli
italiani deposito di armi" si trova su: <
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/stampa.htm
>

(6) 'UN Appoints an Alleged War Criminal in Kosovo'
si trova su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/chuss/unandthe.htm
>

(7) 'UN Appoints an Alleged War Criminal in Kosovo'
si trova su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/chuss/unandthe.htm
>

(8) The Irish Times, giovedì 5 luglio 2001 "Rebel
chief worked for UN funded
force in Kosovo: The leader of the Macedonian
rebels was originally paid by
the UN" di Chris Stephen a Pristina. si trova su :
<
http://www.ireland.com/newspaper/world/2001/0705/wor12.htm
>

(9) Fox News Sunday, 09:00 domenica 16 Settembre
2001 "Special Report: America
United" trascritto, si trova su:
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/foxnews.htm#quote
<
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/foxnews.htm
>

(10) il portavoce della Croce Rossa rifiuta le
menzogne del Pentagono
Intervista di Jared Israel, si trova su:
<
http://emperors-clothes.com/interviews/redcross.htm
>

(11) Sunday Times (London), domenica 10 giugno
2001, "Macedonia on brink of war"
di Tom Walker, Corrispondente Diplomatico, si trova
su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/londontimes.htm
>

(12) Riguardo l'apertura dei confini con l'Albania,
vedasi "Gracko survivors
blame NATO." Include un rapporto del 24 luglio 1999
dal villaggio di Gracko spedito dall'Information
Service of the Serbian Orthodox Church. Con
l'introduzione di jared Israel. Si trova su:
<http://www.emperors-clothes.com/misc/grack.htm>

Per la documentazione delle accuse che una società
vicina ai militari USA e alla CIA di avere creato
un campo di addestramento per l'UCK nel nord
dell'Albania,
vedasi: http://emperors-clothes.com/mac/times.htm#z
<http://emperors-clothes.com/mac/times.htm>

(13) 'The shame of NATO: Interviews with Serbian
Refugees from Kosovo' si trova su: <
http://www.emperors-clothes.com/interviews/shameof.htm
>

(14) per una lista di interviste e altri articoli
sulla documentazione riguardante la
sponsorizzazione NATO dei terroristi del Kosovo
vedasi:
<
http://emperors-clothes.com/interviews/docterror.htm
>

Riguardo la potenzialmente fatale azione di stare
alla finestra, vedasi: 'Time is so Short,' una
intervista con Simca Kazazic, che può essere letto
su:
http://emperors-clothes.com/interviews/simca.htm#a
<http://emperors-clothes.com/interviews/simca.htm>

14a) Cox News Service, 12 Ottobre 1999 "Former
University of Georgia graduate
student murdered in Kosovo" di Plott Brice report
da Atene, GA. Si trova su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/cox.htm
>

(15) Per leggere il testo integrale dell'articolo
del London Observer con estratti dal rapporto ONU
che documentano le azioni terroristiche da parte
del
Kosovo Protection Corps creatura dell'ONU, vedasi:
'How will you plead at your trial, Mr. Annan?' su:
<http://www.emperors-clothes.com/news/howwill.htm>

(16) The Daily Telegraph (Londra), Mercoledì 28
Marzo 2001 Pagina 15 "SAS
troops seize Kosovo bomb suspects" di Christian
Jennings a Pristina. Si trova su: <
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/telegraph.htm
>

(17) Los Angeles Times, martedì 15 Maggio 2001
Edizione nazionale, Parte A, Parte 1, Pagina 4,
sezione esteri, "Kosovo Bus Bombing Suspect
Escapes" su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/latimes.htm
>

(18) "THE UNITED STATES ARMY FIELD MANUAL: The Law
of Land Warfare,"1956
<
http://www.law.umkc.edu/faculty/projects/ftrials/mylai/fieldman.html
>

(19) 'WHAT'S BEHIND KLA STRATEGY IN THE BALKANS?'
estratto dall'intervista con Cedomir Prlincevic
su: <
http://emperors-clothes.com/interviews/strategy.htm
>

(20) 'The roots of Kosovo fascism' di George
Thompson su:
<
http://www.emperors-clothes.com/articles/thompson/rootsof.htm
>

(21) 'BALKANS: MANY OLDER ETHNIC ALBANIANS RECALL
NAZI TROOPS IN WWII AS LIBERATORS FROM SERBS,' 'Los
Angeles Times,' 17 giugno 1999, giovedì, edizione
nazionale Parte A; Pagina 18;
<
http://emperors-clothes.com/articles/jared/nocrime2/prizren.htm
>

Ulteriori letture:

Gli articoli seguenti parlano degli attacchi nella
Serbia meridionale:

a) Sulla prova che membri del Kosovo Protection
Corps (cioè l'UCK) attaccano la Serbia meridionale,
vedasi: 'Who is Behind Terrorist Attacks on 'Serbia
Proper'? di Jared Israel su: <
http://emperors-clothes.com/news/fighting.htm>

b) Per una testimonianza sugli attacchi nella
Serbia meridionale, vedasi:
'Pentagon Dogs' di Tika Yankovich su:
<http://emperors-clothes.com/articles/tika/dogs.htm
>
(Mr. Yankovich è un assistente medico della squadra
che si occupava dei soldati jugoslavi e dei
poliziotti serbi feriti)

c) Sulla prova che l'occidente addetsra le foze
dell'UCK, vedasi: 'Diplomats
Admit NATO Backs KLA Invasion of Inner Serbia' su:
<http://emperors-clothes.com/docs/admi.htm>

d) Sulla partecipazione di terroristi islamisti da
tutto il mondo nell'attacco alla Macedonia, vedasi
'CHECHEN SEPARATISTS ARE FIGHTING IN MACEDONIA', di
Yevgeni Kryshkin, su:
http://emperors-clothes.com/cos/che

Sebbene nessun membro dell'UCK sia stato accusato
di crimini di guerra, persino se il crimine di
guerra è il metodo operativo dell'UCK, un istituto
speciale dell'ONU, "Il Tribunale Criminale
Internazionale per la Jugoslavia" (ICTY) è stato
istituito per perseguire i leaders serbi che hanno
resistito agli attacchi sulla Jugoslavia. Riguardo
a ciò vedasi:
'Official Statements Prove Hague "Tribunal" Belongs
to NATO' di Jared Israel su:
<http://emperors-clothes.com/docs/h-list.htm>

'For Whom the Bell Tolls' di Jared Israel su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/jared/tolls.htm
>

'Back to the Dark Ages?' di Jared Israel su:
<http://emperors-clothes.com/articles/jared/bac.htm
>

'Illegal Tribunal - Illegal Indictment' del Dr.
Hans Koechler, Presidente, su:
<http://emperors-clothes.com/docs/prog2.htm>

'The War Crimes Tribunal: Illegal Origins' del Dr.
Kosta Cavoski su:
<
http://emperors-clothes.com/articles/cavoski/c-3.htm
>

'The War Crimes Tribunal: Learning from the
Inquisition' del Dr. Kosta Cavoski su: <
http://emperors-clothes.com/articles/cavoski/c-4.htm
>

Il testimone anonimo, e qualche accusato sono più
eguali di altri.

Traduzione di Alessandro Lattanzio

Fine