Informazione


Con il patrocinio del Comune di Trieste, si è tenuto lunedì 28 marzo scorso un convegno sulla figura di Giorgio Almirante con la proiezione del documentario “Almirante l’arcitaliano”.
Memori dell’opera di Almirante come redattore de “La Difesa della Razza”, del suo ruolo istituzionale nella RSI che lo portò a firmare un bando per la fucilazione di altri Italiani, del suo operato nel corso degli anni della strategia della tensione in Italia, tra cui il finanziamento al terrorista Cicuttini per un’operazione alle corde vocali che rendesse impossibile la perizia fonica dato che lui era stato il telefonista che aveva attirato i carabinieri nella trappola della strage di Peteano
(3 morti), noi antifascisti abbiamo deciso di parlare de
 
L’ALTRA FACCIA
DELL’ALMIRANTE “ARCITALIANO”.
 
VENERDÌ 15 APRILE 2011
ALLE ORE 17
AL CIRCOLO DELLA STAMPA DI TRIESTE.
 
Parleranno:
Alessandra Kersevan, ricercatrice storica
Claudia Cernigoi, giornalista e ricercatrice
 
Organizzano:
casa editrice Kappa Vu Udine
Coordinamento Antifascista di Trieste
 
 
 
Sip via Bertiolo 4 Udine 5/4/11
 
 
 
 
 
Pod pokroviteljstvom Občine Trst je bilo v ponedeljek, preteklega 28. marca,
srečanje o osebnosti Giorgia Almiranteja s projekcijo dokumentarnega filma
“Almirante naditalijan”.
Ob spominu na vlogo Almiranteja kot urednika revije “La Difesa della Razza”, ki je zaradi institucionalnega položaja v RSI podpisal razglas o streljanje drugih Italijanov,
na njegovo delovanje v letih strategie napetosti, kjer gre omeniti financiranje
terorista Cicuttinija za operacijo glasilk, da bi onemogočili prepoznanje
njegovega glasu kot telefonista, ki je priklical karabinjerje v past pokola
pri Petovljah (3 mrtvi), smo mi antifašisti sklenili, da spregovorimo
 
O DRUGEM OBRAZU
ALMIRANTEJA
“NADITALIJANA”
V PETEK, 15. APRILA 2001
OB 17. URI
V ČASNIKARSKEM KROŽKU
V TRSTU.
 
Govorili bosta:
Alessandra Kersevan, zgodovinska raziskovalka
Claudia Cernigoi, časnikarka in raziskovalka
 
Organizirata:
založba Kappa Vu Udine
Antifašistična koordinacija iz Trsta
 
Razmnoženo v lastni režiji, via Bertiolo 4, Udine 5/4/11


(francais / srpskohrvatski / italiano)

Desaparecidos e profughi serbi in Croazia

1) Identifikovani posmrtni ostaci 17 Srba ubijenih u Hrvatskoj / Esumati e identificati i resti di altri 17 serbi in Croazia

2) Les réfugiés serbes de Croatie demandent réparation à Zagreb / Réfugiés serbes de Croatie : l’impossible retour ?


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Zagreb: Identifikovani posmrtni ostaci 17 Srba ubijenih u Hrvatskoj

29. mart 2011. 16:52        ( Izvor: Tanjug )

U Zavodu za sudsku medicinu i kriminalistiku Medicinskog fakulteta u Zagrebu identifikovani su posmrtni ostaci 17-oro Srba ekshumiranih u proteklih 10 godina iz masovnih, zajedničkih i pojedinačnih grobnica na području Hrvatske, saopštio je Dokumentaciono-informativni centar "Veritas".  Reč je o Srbima stradalim za vreme rata 1991/95. na području Like, Dalmacije, Korduna, Banije, Zapadne i Istočne Slavonije. Na spisku "Veritasa" nalazi se još 2.100 Srba, koji su nestali od 1991. do 1995. godine, a među njima je 1.404 civila, među njima 559 žena. Prema podacima te organizacije, na području Hrvatske postoje još 592 registrovana grobna mesta s posmrtnim ostacima ubijenih Srba koja ni 16 godina posle rata nisu ekshumirana zbog opstrukcije vlasti u Zagrebu. 

fonte: http://www.glassrbije.org/

Trad. sintetica:
Esumati e identificati i resti di altri 17 serbi negli ultimi dieci anni all' Istituto di medicina e criminalistica di Zagabria. Si tratta di vittime serbe delle Krajine, morti durante la guerra del 1991-1995. Sulla lista della associazione "Veritas" [http://www.veritas.org.rs/ - in english: http://www.veritas.org.rs/indexen.htm] si trovano ancora 2100 serbi, scomparsi durante la guerra 1991 - 1995, tra cui 1404 civili di cui 559 donne. Secondo questa organizzazione in Croazia si trovano ancora 592 luoghi di sepoltura registrati con serbi uccisi, che ancora oggi, 16 anni dopo la fine della guerra, non sono stati esumati a causa dell'ostruzionismo del governo croato.


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Les réfugiés serbes de Croatie demandent réparation à Zagreb

Traduit par Jacqueline Dérens

B92 - 1er avril 2011

Vendredi, les représentants de plus de cent associations de réfugiés serbes de Croatie ont déposé des lettres à l’ambassade de Croatie à Belgrade. Ils demandent au Président Josipović et à la Première ministre Kosor de soutenir leur demande de résolution reconnaissant la responsabilité de Zagreb dans les souffrances subies par les Serbes de Croatie pendant la guerre.

Une centaine d’associations de réfugiés serbes de Croatie sont venus déposer des lettres à l’ambassade de Croatie à Belgrade à la veille de la réunion à Smederevo (Serbie) des Premiers ministres croate et slovène et du Président serbe.

« Nous implorons le Président Josipović et Madame Kosor de soutenir le projet de résolution envoyé aux députés et responsables des groupes parlementaires leur demandant de respecter les droits des réfugiés serbes de Croatie », a déclaré Miodrag Linta, responsable de l’union des associations de réfugiés, après avoir déposé les pétitions.

Les associations de refugiés serbes de Croatie cherchent à obtenir que le Parlement croate adopte une déclaration reconnaissant la responsabilité de Zagreb dans les souffrances et les pertes subies par les Serbes pendant la guerre.

Pour les associations de réfugiés serbes de Croatie, les mécanismes de régulation des droits de propriété et autres droits des personnes déplacées doivent reposer sur cette déclaration. Des groupes de travail doivent être formés afin de garantir la restauration de la propriété et l’attribution de compensations légales pour chaque personne ou famille spoliée de ses droits.


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Blic 11 décembre 2010

Réfugiés serbes de Croatie : l’impossible retour ?


64.000 réfugiés serbes de Croatie vivent toujours en Serbie. Alors que les relations entre les deux États se sont singulièrement réchauffées ces derniers mois, la question du retour est à nouveau posée. La question de la restitution des biens et du logement n’est pas le seul problème : s’ils reviennent en Croatie, ces réfugiés pourront-ils trouver du travail et refaire leur vie ? Reportage dans le centre collectif de Krnjača, près de Belgrade.

Par Irena Radisavljević

Traduit par Stéphane Surprenant

Si l’on en croit les récentes déclarations des présidents de Serbie et de Croatie, Boris Tadić et Ivo Josipović, Radmila et sa famille devraient bientôt avoir l’opportunité de choisir une nouvelle vie : retourner chez eux en Croatie, dans leur appartement d’avant la guerre, ou bien dans un nouveau logement en Serbie. Même si Radmila ne croit plus qu’une telle chose s’offrira à elle un jour, elle est cependant convaincue qu’il vaut mieux pour elle de demeurer en Serbie – tout comme, d’ailleurs, la majorité des personnes qui vivent actuellement dans ce centre d’hébergement.« Où devrions-nous aller ? Ici je suis une réfugiée, et là-bas une étrangère dans mon propre pays ! Nous n’avons même pas réussi à reprendre possession de l’appartement que l’on nous a volé en Croatie, et je ne m’attends pas à ce que l’on nous en donne un en Serbie... Après sept années passées dans un centre d’hébergement collectif, dans cette pièce de quelques mètres carrés où j’ai élevé mes deux enfants, un être humain apprend à ne plus croire en rien et à ne s’attendre à rien de bon. Si l’on me donnait le choix entre rester ici et retourner chez moi, je choisirais de rester ici. Je n’ai plus rien à espérer là-bas... », raconte Radmila Milanko, qui vit aujourd’hui dans un centre d’hébergement situé à Krnjača, un faubourg éloigné de Belgrade.

« Mes enfants étudient maintenant à la faculté de Belgrade. Ils ont grandi ici, qui pourrait les persuader de retourner vivre en Croatie ? C’est ici chez eux ! Et la majorité des réfugiés qui vivent ici ressentent la même chose. Nous avons vécu ici pendant deux décennies. Même si notre appartement nous était restitué, nous n’aurions pas d’emploi, de quoi pourrions-nous bien vivre ? », demande Radmila.

Savo Strbac, qui tente lui aussi d’obtenir la rétrocession de son appartement en Croatie, pense la même chose. « Nous ne croyons plus du tout en ce genre de promesse... Franchement, je ne leur fais pas confiance. Il n’y aura jamais de véritables retours sans que certains prérequis soient assurés. Vous n’avez pas seulement besoin d’une maison dans la vie, il vous faut aussi un emploi ! », explique-t-il. Quant à la procédure de récupération des appartements elle-même, elle est pour le moins compliquée, ce qui rend les choses encore plus difficiles et en décourage plus d’un.

Selon les évaluations établies par diverses associations de réfugiés, les Serbes de Croatie exigeraient la rétrocession d’un nombre variant de 42.000 à 50.000 logements. Les estimations du Haut Commissariat aux réfugiés des Nations unies, elles, se situent plutôt à la moitié de ce chiffre, soit 29.000 logements, surtout des appartements. À ce jour, 4.500 familles serbes ont déposé une demande de retour en Croatie. Depuis 2004, seules 1.035 familles ont retrouvé leur logement, tandis que 1.600 demandes ont été rejetées. Les autres familles sont toujours en attente d’une réponse.

Slobodan Uzelac, vice-Premier ministre de Croatie, espère que l’idée d’une conférence destinée à recueillir des dons en argent en vue d’acheter des logements en Serbie pour les réfugiés permettra à autant de gens que possible d’obtenir un nouveau logis. Cela dit, il ne s’agit encore que d’un projet. Des donateurs de l’UE et des États-Unis devraient y participer. « Si cette idée veut être couronnée de succès, la Serbie et la Croatie devront collaborer étroitement à tous les niveaux de l’appareil politique, y compris les plus élevés. Il me semble qu’en ce moment, en particulier après la visite récente de Boris Tadić en Croatie, cette idée peut prendre corps », explique Slobodan Uzelac.

D’après certaines estimations officieuses, il serait possible d’aller chercher près de 100 millions d’euros lors d’une conférence semblable. Savo Strbac croit qu’avec ce chiffre, on resterait loin du compte.

« Ce montant suffirait à peine pour acheter environ 2.000 appartements de taille moyenne, alors qu’en Serbie on dénombre approximativement 64.000 réfugiés de Croatie. Et puis, à vrai dire, ce n’est pas la première fois que nous entendons parler d’une conférence destinée à recueillir des dons... », lance-t-il, passablement sceptique.




Reporters senza Vergogna

L'ispirazione colonialista e truffaldina di Reporters sans frontières è stata da noi denunciata in tempi "non sospetti":

Numerosi link e articoli in tema sulla nostra pagina dedicata alle tecniche imperialiste di disinformazione strategica ed eversione
https://www.cnj.it/documentazione/eversione.htm

[JUGOINFO] RSF sul libro paga della NED/CIA (rassegna ed ALTRI LINK)
selezione 21 dicembre 2005
http://it.groups.yahoo.com/group/crj-mailinglist/message/4668

[JUGOINFO] RSF al servizio della CIA 

[JUGOINFO] La guerre de désinformation de RSF
selezione 6 febbraio 2007

[JUGOINFO] RSF è favorevole alla tortura 
selezione 29 agosto 2007

[JUGOINFO] La propagande de RSF contre Cuba
selezione febbraio 2008

Tra i più recenti articoli in tema segnaliamo anche:

Riecco quelli di RSF... con l’ossessione di Cuba e la memoria corta
AsiCubaUmbria - aprile 2008
http://www.resistenze.org/sito/os/mp/osmp8d30-003032.htm

Les mensonges de Reporters sans frontières sur le Venezuela
par Salim Lamrani - Mondialisation.ca, Le 21 juin 2009

Reporters sans frontières contre la démocratie vénézuélienne
par Salim Lamrani | 2 juillet 2009 
http://www.voltairenet.org/article160852.html

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Robert Ménard e Reporter senza Frontiere, la triste parabola dalla libertà di stampa al fascismo di Le Pen


Colpo definitivo alla credibilità di Reporter senza Frontiere: Robert Ménard, fondatore e padre padrone dell’organizzazione fino al 2008, quando ha scelto di passare ad una ricchissima quanto fantomatica fondazione con sede a Doha, che al momento non ha neanche un sito Internet funzionante, si è schierato con la destra fascista appoggiando la campagna elettorale del Front National francese di Jean-Marie Le Pen e quella presidenziale di sua figlia Marine.

di Gennaro Carotenuto


Per Robert Ménard (Orano, 1953), piede nero (francese d’Algeria) e figlio di un fascista commilitone di Jean-Marie Le Pen nell’OAS, è il traguardo di un percorso che lo riporta alle origini, dalle quali probabilmente non si era mai allontanato se non tatticamente. Spacciatosi per buona parte della sua vita come liberale, libertario e persona di sinistra, Ménard aveva via via rotto gli argini, spostando RSF da una presunta origine liberal-progressista verso un suprematismo occidentalista completamente identificato nella politica di George Bush.

Nel corso di questi anni ha fatto parlare di sé per posizioni sempre più estreme, islamofobe, omofobe, per la pena di morte e a favore della tortura. Oggi, dopo aver abbandonato RSF, il libello “Vive le Pen”, a giorni in libreria a Parigi e firmato con la moglie, Emmanuelle Duverger, vuole essere la risposta di estrema destra a “Indignez-vous!” (Indignatevi!) di Stéphane Hessel. Nel pamphlet Ménard prova ancora a vendersi come paladino della libertà d’espressione ma per denunciare stavolta la discriminazione da parte dei media e della politica francese, in particolare di quelli di sinistra, contro l’estrema destra e la censura contro le “idee” razziste e fasciste propagandate dal Front National. Furbo come una volpe Ménard cita continuamente Voltaire (darebbe la vita per permettere al negazionista della Shoah Robert Faurisson di dire la sua, sic) e non ammette ancora di voler entrare in politica nel Front National ma ci gira intorno e sostiene di considerare giuste le motivazioni degli elettori del FN oltre che il programma di quel partito.

Quella sul coming out fascista di Ménard, che di fronte alle crescenti polemiche in Francia si è già dichiarato vittima di un “processo per eresia” da parte dei benpensanti di sinistra e che sta impostando tutta la propaganda sulla denuncia dell’intolleranza contro di sé e contro il FN, è una notizia di quelle imbarazzanti e di conseguenza i grandi giornali italiani finora la stanno ignorando.

Per anni infatti “Reporter senza frontiere”, che si presentava come una ONG liberal-democratica se non apertamente progressista, ha avuto entusiasta stampa sui grandi media italiani che pendevano e pendono dalle labbra di questa organizzazione e dalle sue denunce tralasciando il fatto che da più parti Ménard e RSF erano accusati di amnesie selettive al momento di scegliere di quali casi occuparsi. Non importava quanto squilibrate fossero le denunce contro violazioni della libertà d’espressione vere o presunte (tanta Cuba e ancor di più Venezuela e niente Messico, Colombia o Honduras per semplificare). Tutto quello che proveniva da RSF era preso e pubblicato come oro colato. Quei pochi studiosi che in questi anni si sono permessi di far rilevare le crescenti incongruenze di tale organizzazione e il fatto che questa fosse tutt’altro che neutra nel difendere la libertà di stampa e d’espressione, sono stati puntualmente diffamati e demonizzati come pericolosi estremisti.

La verità era però sotto gli occhi di chiunque volesse vederla. Mentre RSF contribuiva a creare il caso Yoani Sánchez a Cuba (che per fortuna nessuno ha mai incarcerato, né torturato), si disinteressava completamente a tutti i blogger che in decine di paesi sono incarcerati e in qualche caso uccisi, ma hanno la sfortuna di vedere conculcati i loro diritti da un governo autoritario vicino agli interessi degli Stati Uniti. Mentre in Venezuela RSF schierava quotidianamente l’artiglieria contro il governo di Hugo Chávez, difendendo a spada tratta anche media apertamente golpisti, come RCTV, nulla diceva dei giornalisti ammazzati dalla dittatura hondureña di Roberto Micheletti. Mentre denunciava la mancanza di libertà di espressione in Cina o in Iran teneva uno scrupoloso silenzio su casi come quello dell’Iraq o di altri paesi “amici” del golfo persico e sugli attacchi deliberati ai media commessi dalle truppe alleate che portarono per esempio alla morte del cameramen di Tele5 José Couso.

Tutto ciò rispondeva ad una precisa logica economica e politica. E’ stato ripetutamente denunciato e infine ammesso che Reporter senza Frontiere era finanziata, oltre che direttamente dalla CIA, dalle più importanti fondazioni filo-repubblicane statunitensi, come Freedom House o National Endowment for Democracy, in genere organiche al governo di George Bush. Tali fondi non servivano per fomentare la libertà di espressione ma per orchestrare vere e proprie campagne di disinformazione e diffamazione contro sgoverni sgraditi nelle quali RSF è stata più volte presa con le mani nel sacco. Purtroppo, denunciare come RSF non avesse in maniera terza a cuore la libertà di stampa, ma fosse uno strumento per  la politica di “regime change” bushiano, laddove l’eufemismo del cambio di regime voleva dire cambiare un regime (autoritario o democratico poco importa) con uno amico degli Stati Uniti, in genere autoritario, ha portato finora all’ostracismo di chi, documentatamente, tali denunce presentava.

Ancor più difficile è stato far luce sulla sinistra figura dell’uomo simbolo di RSF, Robert Ménard. Per anni tenutosi al coperto sotto la conveniente bandiera del politicamente corretto, questo si era via via liberato di ogni remora. Nell’agosto 2007 la sua aperta difesa dell’uso della tortura fu oggetto dell’ultima denuncia del grande Franco Carlini prima di morire. Quella sulla tortura non era l’ultima ignominia di Ménard, omofobofavorevole alla pena di morte (salvo che in Cina) e islamofobo (vorrebbe privare i musulmani della cittadinanza francese) come un Borghezio qualsiasi e nonostante citi Voltaire a ogni pié sospinto.

A ben guardare non c’è nulla di strano nell’approdo di Ménard al Front National. Ma quelli che l’hanno difeso ed esaltato in questi anni e hanno disdegnato i dubbi di chi avanzava legittime preoccupazioni sul caso RSF, dovrebbero avere l’onestà intellettuale di non negare questa informazione e, possibilmente, fare autocritica.





(un articolo nel 70.mo anniversario della aggressione nazifascista contro Jugoslavia e Grecia)

http://www.jungewelt.de/2011/04-06/042.php

Tageszeitung junge Welt
06.04.2011 / Thema / Seite 10

»Mit unerbittlicher Härte zerschlagen«

Geschichte. Vor 70 Jahren überfiel die Wehrmacht Jugoslawien und Griechenland

Martin Seckendorf

Am Palmsonntag, dem 6. April 1941, griff die Wehrmacht mit drei Armeen ohne Kriegserklärung Jugoslawien und Griechenland an. In ihrem Schatten folgten ungarische, italienische und bulgarische Verbände. Den modern ausgerüsteten, Siege gewohnten deutschen Truppen hatten die Armeen der beiden überfallenen Länder nicht viel entgegenzusetzen. In Griechenland dauerte der Kampf drei Wochen: Bereits am 30. April war das ganze Festland erobert. Zwischen dem 20. und 30. Mai gelang der Wehrmacht unter großen Verlusten die Besetzung Kretas. Noch schneller wurde Jugoslawien niedergeworfen. Die königliche jugoslawische Armee mußte nach gut einer Woche die Waffen strecken.

Der Aprilkrieg gegen Jugoslawien war die zweite von drei Aggressionen, die im 20. Jahrhundert von deutschen Soldaten gegen das Balkan land geführt wurden (im Ersten Weltkrieg im Bunde mit Österreich, 1999 als Teil der Nato).

Am Ende der Aggression wurde Jugoslawien wie kein anderer von deutschen Truppen im Zweiten Weltkrieg unterworfener Staat territorial zerstückelt. Die Okkupanten gliederten das Land in zehn Teile mit unterschiedlichem Rechtsstatus. Über 35 Prozent der Gesamtfläche wurden von Deutschland, Italien, Ungarn und Bulgarien annektiert. Das übrige Gebiet teilten die Okkupanten und ihre Helfer als Besatzungs- oder Einflußzonen unter sich auf. Die neuen Herren gingen zügig daran, die erlangten Gebiete national und religiös zu »vereinheitlichen«, was zu einem Genozid, vor allem an Serben und Slowenen, führte. Die Karte Jugoslawiens nach der deutschen Aggression im Jahr 1941 ähnelt frappierend der heutigen, die nach der von den Westmächten unterstützten Zerschlagung des Landes in den 1990er Jahren entstanden ist

Während die Aggression gegen Griechenland seit Anfang November 1940 vorbereitet wurde (siehe jW-Thema, 28.10.2010), war der Überfall auf Jugoslawien von der deutschen Führung eigentlich nicht vorgesehen.

Zielgebiet deutscher Expansion

Das Königreich der Serben, Kroaten und Slowenen, wie das multinationale Balkanland bis 1929 hieß, stand nach dem Ersten Weltkrieg zusammen mit Rumänien im Zentrum der deutschen Südosteuropapolitik. Beide Staaten waren Eckpfeiler des von Frankreich nach dem Krieg zur Eindämmung des deutschen »Drangs nach Südost« geschaffenen Bündnissystems, der Kleinen Entente. Das Herausbrechen eines oder beider Staaten aus dem Bund mit Frankreich sollte das gesamte Versailler Nachkriegssystem durchlöchern, eine erneute deutsche Südostexpansion ermöglichen und dem deutschen Imperialismus Zugang zu einer Region mit wichtigen Rohstoffen und Nahrungsmitteln sowie einem entwicklungsfähigen Absatzmarkt für deutsche Industrieprodukte schaffen.

Rumänien war wegen seines Ölreichtums, seiner landwirtschaftlichen Produktion, aber auch wegen der geographischen Nähe zur Sowjetunion von Bedeutung. Jugoslawien konnte bei rüstungssensiblen Rohstoffen wie Kupfer, Chrom, dem Aluminiumausgangsstoff Bauxit, Blei, Zink, Mangan sowie bei landwirtschaftlichen Produkten den deutschen Bedarf in hohem Maße, in einigen Fällen sogar vollständig decken. Von erheblichem Gewicht für die Herrschenden in Deutschland war, daß die begehrten Produkte in einer Region zu finden waren, die von Deutschland aus auf dem Landweg erreicht werden konnte. Damit lagen diese Gebiete abseits der Seeblockademöglichkeiten Großbritanniens, worauf der Exponent der Deutschen Bank und rechtsradikale Politiker Karl Hellferich sehr früh hingewiesen hatte. Im Ersten Weltkrieg war die deutsche Rohstoff- und Lebensmittelversorgung, die zuvor in erheblichem Maße aus Übersee gedeckt wurde, durch die britische Blockade stark beeinträchtigt worden. Die Blockade war für die deutschen Eliten eine traumatische Erfahrung, auch weil auf ihre Auswirkungen die Revolutionierung der deutschen Bevölkerung zurückgeführt wurde. Hellferich befürwortete deshalb nach 1918 bei der Expansionspolitik die »Balkan- und Nahostlinie«. In Erinnerung an die kaiserliche Nahostexpansion schrieb er, ein entscheidender Vorteil der Nahostlinie habe für Deutschland darin bestanden, daß sowohl die Expansionsräume als auch die Verbindungslinien dorthin »abseits des Machtbereichs des seegewaltigen England« lagen, das im Krieg »alle unsere anderen Ausgänge nach der außereuropäischen Welt beherrschte«.

Die Gewinnung eines blockadesicheren Raumes, aus dem in ausreichender Menge Rohstoffe und Lebensmittel beschafft werden konnten, galt als Voraussetzung zur siegreichen Führung des von den deutschen Eliten seit deren Niederlage 1918 ins Auge gefaßten Revanche- und Eroberungskrieges. Der Generalbevollmächtigte für die Kriegswirtschaft hob in einem Schreiben vom 14. September 1938 die »außerordentliche Bedeutung« der Verkehrswege nach Südost europa im »Mob (ilisierungs)-Fall« hervor, »da sich der größte Teil der Ein- und Ausfuhren Deutschlands« über diese Wege vollziehen werde. Am 12. November 1940 schrieb Günther Bergemann, Abteilungsleiter für die Außenwirtschaft im Reichswirtschaftsministerium, es sei das Bestreben der deutschen Politik gewesen, eine Situation wie vor dem Ersten Weltkrieg zu vermeiden, als »43 Prozent der deutschen Einfuhren aus Übersee« kamen und von der Entente leicht unterbunden werden konnten. Deshalb habe sich Deutschland insbesondere seit 1933 »bewußt und planmäßig bemüht, seine überseeischen Einfuhren zu drosseln und seinen Warenverkehr so zu lenken, daß es in der Lage ist, Waren auch im Kriegsfall erreichbar zu haben«.

»Friedliche Durchdringung«

Zur Durchsetzung der deutschen Südosteuropapläne wurden noch in der Weimarer Republik Konzepte zur Unterwanderung der wichtigsten Staaten dieser Region entwickelt. Hauptwaffe der Offensive war die konsequent auf diesen Zweck ausgerichtete Wirtschafts- und Handelspolitik. Sie galt als wichtigstes Instrument in einem Orchester penetrierender Maßnahmen, zu denen auch die auswärtige Kulturpolitik und der politische Einsatz der zahlenmäßig großen deutschen Minderheiten gerechnet wurden.

Die Länder der Region sollten in volkswirtschaftlich relevanten Größenordnungen an den deutschen Markt gebunden werden, sich zunehmend auch politisch von Frankreich weg und nach Deutschland hin orientieren sowie der deutschen Wirtschaft unbeschränkten Zugang zu den begehrten Rohstoffen sichern. Den von der Weltwirtschaftskrise besonders gebeutelten Ländern an der Donau wurde angeboten, ihre Waren zu festen Preisen abzunehmen. Die Verrechnung sollte nicht in Devisen, sondern mit aus Deutschland zu liefernden Industrieprodukten erfolgen. Damit war die kapitalistisch Konkurrenz aus dem Feld geschlagen und man konnte diese Länder zwingen, ihre gesamte Produktion auf den deutschen Bedarf auszurichten.

Mit Jugoslawien gelang am 1. Mai 1934 der Abschluß eines solchen Knebelvertrages. Der Mitteleuropäische Wirtschaftstag, eine Vereinigung einflußreicher Industrie- und Bankkonzerne sowie der Großlandwirtschaft, war entscheidend an dem Zustandekommen dieses Abkommens beteiligt. Nach wenigen Jahren war die totale ökonomische Bindung an Deutschland erreicht.

Sehr bald traten auch die gewünschten politischen Folgen ein. Nur ein Vierteljahr nach Abschluß des Vertrages nahm Jugoslawien aus Österreich geflohene Teilnehmer des Nazi-Putsches vom 25. Juli 1934 auf und gestattete deren Formierung zu militärischen Einheiten. Am 25. August 1937 resümierte das Auswärtige Amt, durch die »planmäßige deutsche Wirtschaftspolitik« sei die »weitgehende Loslösung Jugoslawiens von Frankreich und der Kleinen Entente« erreicht worden. Jugoslawien stehe zu Nazi-Deutschland »in ausgesprochen freundschaftlichen Beziehungen«, heißt es in einer Einschätzung vom 3. Januar 1938. Die politische Annäherung der Herrschenden in Belgrad an das faschistische Deutschland wurde besonders durch die Annexion Österreichs im März 1938 (siehe jW-Thema vom 12.3.2008) gefördert. Die wirtschaftliche Abhängigkeit Jugoslawiens von Deutschland wuchs enorm. Etwa die Hälfte der jugoslawischen Ausfuhr ging nach Deutschland. Deutsches Kapital erreichte bei den ausländischen Kapitalanlagen in Jugoslawien die erste Stelle. Hermann Göring, der »zweite Mann« nach Hitler, forderte am 5. April 1938, »vom Lande Österreich aus (…) die wirtschaftliche Erfassung des Südostraumes« in Angriff zu nehmen.

Tilo von Wilmowsky, Präsident des Mitteleuropäischen Wirtschaftstages, mit besten Verbindungen zu den Großagrariern und zum Hause Krupp, verlangte, die Südostexpansion zu intensivieren. Mit der Annexion Österreichs, die man »Wiedervereinigung« nannte, sei es gelungen, »das Tor nach Südosteuropa (…) weit zu öffnen«.

Politische Unterwerfung

Das Nazi-Reich trat immer fordernder und drohender auf. Eine Untersuchung des Reichsamtes für wehrwirtschaftliche Planung vom August 1938 verlangte, daß im Kriegsfall die Gesamtproduktion Jugoslawiens an Kupfer, Blei, Zink, Chrom, Weizen und Mais Deutschland zur Verfügung stehen müsse. Unter keinen Umständen »dürften die in ihrem Umfang beachtlichen Rohstoffquellen« den »Feindländern zugute kommen«. Den Grad der jugoslawischen Annäherung an das faschistische Deutschland zeigt eine Einschätzung des Oberkommandos des Heeres zwei Jahre später. Generalstabschef Franz Halder vermerkte am 3. September 1940 in seinem Kriegstagebuch, eine Analyse habe folgendes Ergebnis gebracht: »Jugoslawien steht heute (zu) 100 Prozent für unsere Kriegswirtschaft zur Verfügung.« Zögernden Balkanstaaten wurde offen gedroht. Am 23. Januar 1939 sagte der Reichsstatthalter für Österreich, Arthur Seyß-Inquart, in einer Rede vor hohen Offizieren der Wehrmacht, die Annexion Österreichs bedeute »eine gewaltige Stärkung des Potentials des Reiches« und »die breite Öffnung des Tores nach Südosten«. Man könne den Regierungen dort jetzt sagen: »Ihr wißt, daß wir so stark sind, daß jeder, der gegen uns geht, vernichtet wird.«

Die politische Annäherung Belgrads an Berlin wurde durch permanente italienische Aggressionsdrohungen beschleunigt. Das faschistische Italien wollte die jugoslawische Adriaküste annektieren. Die Herrschenden Jugoslawiens glaubten, der beste Schutz gegen die Kriegspläne Roms sei eine Anlehnung an Nazi-Deutschland. Italien werde es nicht wagen, ein mit Deutschland verbündetes Jugoslawien anzugreifen. Außerdem versprach man sich dadurch eine Förderung der eigenen Expansionspläne, die sich gegen Griechenland, insbesondere gegen die nördliche Ägäisküste mit Thessaloniki richteten.

Als die deutsche Führung am 4. November 1940 die Aggression gegen Griechenland beschloß, ging die Wehrmacht davon aus, daß Jugoslawien den Angriff politisch unterstützen und seine Wirtschaftsressourcen der deutschen Rüstung zur Verfügung stellen werde. Hitler meinte am 5. Dezember 1940 vor dem Oberkommando der Wehrmacht (OKW): »Jugoslawien macht mit uns alles.«

Am 25. März 1941 wurde im Wiener Schloß Belvedere in einer pompösen Zeremonie der Beitritt Jugoslawiens zum Dreimächtepakt vollzogen. Der am 27. September 1940 von Deutschland, Italien und Japan gebildete Pakt sollte als politisches und militärisches Bündnis die USA vom Kriegseintritt abschrecken und für den bevorstehenden Krieg gegen die Sowjetunion eine einheitliche Front der faschistischen Hauptmächte und ihrer Satelliten bilden. Mit dem Beitritt Jugoslawiens waren alle südosteuropäischen Länder wirtschaftlich und politisch an das faschistische Deutschland gebunden. Der deutsche Außenminister Joachim von Ribbentrop erklärte mit unverhohlener Freude, daß nun »der gesamte bisher neutrale Balkan sich im Lager der Ordnung befindet«. Die vorgesehene Aggression gegen das widerspenstige Griechenland schien nur noch eine Formsache zu sein. Berlin stand auf dem Gipfelpunkt seiner Südosteuropaexpansion.

Aggression beschlossen

Wegen der antifaschistischen Grundhaltung breiter Teile der Bevölkerung in Jugoslawien wurde Belgrad zugesichert, daß es vorerst von den militärischen Verpflichtungen des Dreimächtepaktes befreit sei. Trotzdem erhob sich in Jugoslawien ein Sturm der Entrüstung gegen die Unterwerfung des größten Balkanlandes unter das faschistische Deutschland. Eine probritische Offiziersgruppe um den Luftwaffenchef Dusan Simovic nutzte die Situation, stürzte am 27. März die Regierung des nazifreundlichen Premiers Dragisa Cvetkovic und erklärte, zur Neutralitätspolitik zurückkehren zu wollen.

Die Belgrader Ereignisse bedeuteten eine schwere Schlappe für die deutsche Südosteuropapolitik. Der soeben unterworfene, politisch wie rüstungswirtschaftlich wichtige Balkan drohte, den Deutschen wieder zu entgleiten.

Noch am Nachmittag des 27. März hatte Hitler die militärische Führung in die Reichskanzlei bestellt. Das Protokoll dieser Besprechung spiegelt den maßlosen Zorn der Nazi-Führer und Militärs über die erlittene außenpolitische Niederlage wider. Man könne von Glück reden, meinte Hitler, daß der Umschwung in Belgrad noch vor Beginn des Griechenlandfeldzuges und »erst recht« vor dem Überfall auf die Sowjetunion erfolgt sei. Jetzt könne man die Sache noch bereinigen. Der latente, in den deutschen Eliten seit dem Ersten Weltkrieg tief verwurzelte Haß auf die südslawischen Völker brach sich Bahn. Hitler meinte, »Serben und Slowenen sind nie deutschfreundlich gewesen« und müßten bestraft werden. »Führer ist entschlossen«, vermerkt das Protokoll, »Jugoslawien militärisch und als Staatengebilde zu zerschlagen«. Die »Balkanisierung«, d.h. die totale Zersplitterung des Landes sei das Ziel. Der Schlag müsse »mit unerbittlicher Härte (…) und in einem Blitzunternehmen« durchgeführt werden. »In diesem Zusammenhang«, so wurde weiter festgelegt, sei »der Beginn des »Barbarossa-Unternehmens«, d.h. der Überfall auf die Sowjetunion (siehe jW-Thema vom 18.12.2010) »bis zu 4 Wochen« zu verschieben. Man entschloß sich, den Überfall auf Griechenland und auf Jugoslawien gleichzeitig durchzuführen und für den »Doppelschlag« auch Verbände aus dem »Barbarossa«-Aufmarsch einzusetzen. Darunter befand sich der damals modernste Panzergroßverband, die Panzergruppe Kleist, die wesentlichen Anteil am schnellen Sieg der Wehrmacht über Frankreich im Sommer 1940 hatte (siehe jW-Thema v. 6.6.2010).

Noch am 27. März wurden in der »Weisung Nr. 25« die operativen Grundlinien der Kriege gegen Griechenland und Jugoslawien festgelegt. Bemerkenswert dabei ist, daß in dieser grundsätzlichen Weisung für die Kriegsführung ein einzelnes Wirtschaftobjekt, die Kupfermine Bor, besondere Erwähnung fand. Gleich zu Beginn der »Weisung Nr. 25« heißt es: »Die baldige Besitznahme der Kupfergruben von Bor« sei »aus wehrwirtschaftlichen Gründen wichtig.« In der Anschlußweisung Nr. 27 vom 13. April 1941 wurde der Befehl bekräftigt. Zu den weiteren militärischen Operationen in Jugoslawien heißt es, das Gebiet »zwischen Morava und Donau mit den wertvollen Kupfergruben ist schnellstens zu sichern«. Die Gruben nahe der Stadt Bor waren die damals ergiebigsten Kupferminen Europas. Eigentümer war die französische Gesellschaft Compagnie Francaise de Mines de Bor. Deren Anteile wurden nach der Besetzung Frankreichs von einem deutschen Konsortium »erworben«. Dabei übten nach einer Mitteilung des Vizepräsidenten der Reichsbank, Emil Puhl, die deutschen Okkupanten Druck auf die französischen Besitzer aus. Nach einem Entscheid des Reichswirtschaftsministeriums wurde Ende 1940 der Mansfeld AG das Vorrecht für die Minen bei Bor eingeräumt. Hauptaktionär der Mansfeld AG war die Deutsche Bank. Generaldirektor bei Mansfeld war Rudolf Stahl, stellvertretender Leiter der Reichsgruppe Industrie. Er gehörte seit 1932 zu den Förderern der NSDAP. Im Rüstungsbereich war Stahl maßgeblich an der Vorbereitung und Durchführung des Krieges beteiligt. Zusammen mit dem späteren zweiten Bundeskanzler, Ludwig Erhard, schmiedet er Pläne für eine imperialistischen Nachkriegsordnung in Deutschland. Drei Tage vor dem Überfall der Wehrmacht teilte Stahl dem Reichswirtschaftsministerium mit, seine Mitarbeiter stünden bereit, die Leitung der Minen im jugoslawischen Bor sofort zu übernehmen.

Fünfte Kolonne

In der Beratung am 27. März wurde auch festgelegt, die Sezessionskräfte in Jugoslawien zu aktivieren, um den Vormarsch der Wehrmacht zu erleichtern. Dabei ging es vor allem um reaktionäre Kräfte in Kroatien und um die etwa 500000 Menschen umfassende deutsche Minderheit.

Den Kroaten sollte, so Hitler auf der Besprechung, wenn sie sich beim deutschen Angriff gegen die jugoslawische Regierung stellen, eine Selbstverwaltung zugesichert werden. SS-Standartenführer Edmund Veesenmayer, der schon maßgeblichen Anteil an der »Wiedervereinigung« Österreichs mit Deutschland 1938 und beste Verbindungen zur Dresdner Bank hatte, wurde vor dem Angriff nach Zagreb entsandt. Nachdem sich bürgerliche Sezessionisten der Zusammenarbeit mit den Nazis verweigert hatten, konzentrierte sich Veesenmayer auf die klerikal faschistische Ustaschabewegung. Diese hatte bis dahin hauptsächlich aus dem Exil in Italien gegen die jugoslawische Einheit agiert. Bevor die deutschen Truppen Zagreb erreichten, rief ein Funktionär der Ustascha unter dem Schutz deutscher Nazis den »Unabhängigen Staat Kroatien« aus und forderte die kroatischen Soldaten in der königlichen jugoslawischen Armee auf, zu desertieren. Die Bildung dieses Satelliten war ein entscheidender Bestandteil und ein wichtiges Instrument der territorialen Zerschlagung Jugoslawiens und für die erhebliche Dezimierung der Serben und Slowenen.

Eine wichtige Rolle bei der Destabilisierung Jugoslawiens nach dem 27. März 1941 spielte die deutsche Minderheit. Ihre Führung stand spätestens seit 1938 vollständig im Dienste des Nazi-Reiches. Als in Berlin die Aggression beschlossen worden war, machte sie auf reichsdeutschen Befehl hin mobil für den verdeckten Krieg. Die Abteilung II (Sabotage und Sonderaufgaben) des Amtes Ausland/Abwehr im Oberkommando der Wehrmacht lieferte über die Spionage- und Sabotageorganisation »Jupiter« große Mengen Waffen an die Deutschen in Jugoslawien. »Volksdeutsche Selbstschutzkommandos« griffen die jugoslawische Armee an, besetzten strategisch wichtige Punkte wie den Flughafen Semlin, vertrieben oder töteten jugoslawische Beamte und terrorisierten die Zivilbevölkerung. Die deutsche Führung hatte die volksdeutschen Soldaten der jugoslawischen Armee zur Fahnenflucht aufgerufen. Schon am 1. April 1941 vermerkt der Generalstabschef des Heeres, Franz Halder, in seinem Kriegstagebuch: »Auflösungserscheinungen des jugoslawischen Staates mehren sich.«

Die bedingungslose Parteinahme der überwiegenden Mehrzahl der Deutschen in Jugoslawien für die faschistischen Aggressoren und ihre massenhafte Mitwirkung an Okkupationsverbrechen trugen entscheidend dazu bei, daß sie nach dem Krieg ihre Heimat fluchtartig verließen bzw. ausgesiedelt wurden.

Die Aggression der Faschisten und die vierjährige Besetzung fügten dem Land unermeßliches Leid zu. Mehr als zehn Prozent der Vorkriegsbevölkerung verloren durch Krieg und Okkupation ihr Leben. Der von den Deutschen entfachte Gewaltfuror und die von ihnen planmäßig gesäte Zwietracht unter den Völkern des Balkanstaates wirken bis heute nach.


Dr. Martin Seckendorf ist Historiker und Mitglied der Berliner Gesellschaft für Faschismus- und Weltkriegsforschung e.V.




NAPOLI - PISA: DUE IMPORTANTI INIZIATIVE NOWAR

Napoli, sabato 16 aprile: manifestazione nazionale contro la guerra (al Comando Operativo USA/NATO di Capodichino)
 
Pisa, sabato 16 aprile: convegno nazionale contro l'hub militare all'aereoporto di Pisa (Auditorium Provincia)

 

SEGUONO I DUE APPELLI:

 

Appello per una manifestazione nazionale il 16 aprile a Napoli
http://www.stopwar.altervista.org/


Alla favola che con le bombe si va a portare la democrazia, la difesa dei diritti, la difesa dei rivoltosi oppure per ragioni umanitarie oramai non ci crede più nessuno. Tutti sanno, anche perché non si fanno nemmeno tanti sforzi per nasconderlo, che in Libia stiamo mandando i nostri aerei per mettere le mani sulle immense ricchezze del sottosuolo di quel paese, per difendere gli affari delle grandi aziende e della grande finanza, che sono anche in feroce concorrenza fra di loro. Eppure non riusciamo ad indignarci sufficientemente, a gridare la nostra rabbia per questi crimini commessi dai governi e dagli eserciti dei nostri paesi, che continuano a definirsi civili e che in nome di tale presunta superiorità si arrogano il diritto di invadere altri paesi, con le scuse più puerili.

Anche chi aveva pensato che le aggressioni alla ex-Jugoslavia, all'Iraq e all'Afghanistan, fossero delle eccezioni dovute alla particolarità di quelle situazioni, deve riconoscere, con la nuova missione militare contro la Libia, che oramai la guerra è entrata nella nostra quotidianità è diventata normale amministrazione.

Ma ciò è possibile solo a condizione che queste guerre siano sempre a senso unico, ovvero delle aggressioni portate dagli eserciti più potenti del mondo e dotati delle più micidiali armi di distruzioni di massa, contro paesi che non hanno la possibilità di difendersi e di ricambiare con la stessa moneta gli invasori. Solo in questo modo la guerra può diventare una fiction, come tanti programmi televisivi che guardiamo distratti mentre comodamente consumiamo i nostri pasti. Perché siamo sicuri che nessun missile intelligente, nessuna bomba "umanitaria" piena di uranio impoverito, che seminerà morte anche per molti anni dopo la sua esplosione, potrà piombarci sulla tavola mentre guardiamo quegli eventi lontani.

Al massimo siamo indotti dalla propaganda razzista di stato ad essere infastiditi e preoccupati dal pensiero del flusso dei tanti migranti che queste invasioni militari e le politiche di rapina che le hanno precedute, provocano verso le nostre coste, come se i due fenomeni non fossero strettamente legati da una relazione di causa ed effetto.

Ma se la campagna mediatica in atto punta a farci vedere questa nuova missione come una difesa dei nostri interessi nazionali, per evitare gli aumenti dei prezzi delle materie prime in primis la benzina, essa ci riguarda per ben altri motivi: alla politica di aggressione verso l'esterno corrisponde puntualmente una ulteriore restrizione dei nostri diritti, della possibilità di difendere le nostre condizioni di vita e di lavoro, in pratica un ulteriore svolta verso l'autoritarismo e la militarizzazione dei territori in nome della competitività italiana e delle missioni militari in corso. Inoltre non si può essere complici di tali crimini, commessi anche in nostro nome, ed essere percepiti da questi popoli come un'unica massa indistinta coalizzata per portare avanti la rapina delle loro risorse, ed imporre un supersfruttamento meritandone il sacrosanto odio contro chi va a seminare morte e distruzione nei loro paesi.

Per tale motivo la denuncia e la lotta contro queste guerre di stampo neocoloniale, deve procedere di pari passo con la mobilitazione per la difesa dei nostri diritti e contro i tentativi di scaricarci addosso i costi di questa interminabile crisi provocata dalla sete di profitti di quegli stessi soggetti che oggi ci invitano a plaudire a questa nuova guerra. Una guerra per cui spendono miliardi di euro che tolgono alla scuola, alla sanità, agli altri servizi sociali, al reddito di tutti noi.

La città di Napoli svolge un ruolo decisivo in questa nuova missione militare, poiché qui si concentrano il comando Nato di Bagnoli che coordina questa aggressione, ed altri importanti insediamenti militari da cui partono le azioni militari, come a Capodichino.

La risposta in questa città deve essere perciò ancora più incisiva, insieme a tutto il movimento contro la guerra, per di affermare che non esistono interessi "nazionali", ma solo gli interessi degli sfruttati e dei dominati di tutto il mondo contro quelli dei dominanti e dei regimi di tutto il mondo.

È giunto il momento di ribadire che i popoli, e lo hanno scritto in questi giorni proprio i tunisini e gli egiziani in rivolta, o si liberano da soli o non si liberano affatto. La nuova missione militare è infatti rivolta anche a bloccare il processo di mobilitazioni che sta attraversando tutto il vicino e medio oriente.

Invitiamo pertanto chi intende opporsi a questa ennesima guerra umanitaria ad unirsi a noi per preparare una grande manifestazione nazionale contro la guerra da tenersi a Napoli il 16 Aprile.
ASSEMBLEA NAPOLETANA CONTRO LA GUERRA
Per info, adesioni e contatti:  assembleanowar.na@...   
 
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Pisa, 16 aprile
NO ALL’HUB MILITARE  - NO ALLA GUERRA 
 
PER LA RICOSTRUZIONE DI UN FRONTE UNITO DELLE LOTTE CONTRO LA GUERRA, 
LE BASI USA/NATO, LA MILITARIZZAZIONE DEI TERRITORI E DELLA CULTURA.

Invito a tutte le realtà che in Italia si battono contro la militarizzazione dei territori e le guerre 
al Convegno nazionale di riflessione e mobilitazione del 16 aprile 2011, 
che si terrà presso l’ Auditorium della Provincia di  Pisa, Via Silvio Pellico, 63


http://nohub.noblogs.org/ 


I territori di Pisa e Livorno sono oggetto di una progressiva militarizzazione. Un’immensa area geografica, che si estende nelle nostre provincie, sta per essere integrata all’interno di un progetto funzionale alle proiezioni belliche della NATO, di cui gli Stati Uniti sono da sempre leader indiscussi. 
La base USA di camp Darby è lo snodo, il “cuore pulsante” di questo progetto, che progressivamente intende integrare - senza soluzione di continuità – attività civili e militari.
Aeroporto civile e militare, nautica da diporto, porto di Livorno, centri di studio militari, distretti industriali e artigianali, vie di trasporto su rotaia e su gomma. Un intero sistema produttivo e di servizi messi in “rete” con una base militare fondamentale per il rifornimento di tutte le guerre svoltesi nell’area euro – asiatica dal dopo guerra a oggi.
Il progetto dell’Hub militare all’aeroporto Dall’Oro di Pisa chiuderà il cerchio di questa militarizzazione, ottimizzando al massimo le “proiezioni di forza” degli eserciti della NATO.
Il coordinamento NO HUB, che raccoglie differenti forze culturali, sociali e civili attive sui temi della Pace, si è costituito per contrastare la creazione di questa mega struttura, al servizio delle future guerre ed aggressioni militari della NATO, ipocritamente chiamate “missioni di pace”.
Tutte le informazioni sull’Hub e sulle attività del nostro Coordinamento le potrete trovare sul nostro blog: http://nohub.noblogs.org/
La peculiarità e l’importanza dell’opera che si intende costruire sui nostri territori (il più grande aeroporto militare italiano) ci spinge oggi a chiedere l’attenzione di tutte le realtà che si sono battute in questi anni contro le guerre e la militarizzazione dei territori.
Tutti noi sappiamo che l’Hub è un tassello, pur importantissimo, di un piano molto più vasto, che vede l’intera penisola (solo per rimanere all’interno dello spazio geografico nazionale), investita da un poderoso processo di militarizzazione.
Assistiamo da anni a un incremento di tutti gli insediamenti e servitù militari. L’elenco è lunghissimo e non necessario ai fini del presente appello rivolto a coloro i quali tutti i giorni si battono contro di essi, da Trieste a Sigonella, da Vicenza a Brindisi, da Cagliari a Novara, Quirra, Napoli, Milano, Aviano e in tante altre città e paesi interessati da progetti di sviluppo militare, basi, industrie militari, poligoni di tiro, centri di comando.
Le poderose lotte degli ultimi anni, contro le aggressioni militari verso l’Iraq, la ex-Jugoslavia, l’Afghanistan e la costruzione della base al Dal Molin di Vicenza, sono progressivamente rifluite per vari motivi, tra i quali annoveriamo il mancato coordinamento tra di esse che avrebbe permesso di dare al movimento contro la guerra una prospettiva ben più ampia delle singole battaglie.
La militarizzazione dei territori e della società, fin anche degli istituti preposti alla trasmissione del sapere, i costanti focolai di conflitto creati ad arte per rapinare territori e risorse, sono oramai una costante del funzionamento degli Stati e delle relazioni tra grandi poli economici internazionali.
La guerra è tornata a essere uno strumento centrale delle politiche “estere”, nel costante tentativo di risolvere le contraddizioni di un modello economico in preda ad una crisi senza precedenti attraverso l’aggressione e la rapina neo–colonialista, come emerge con chiarezza dalla guerra in atto contro la Libia.
Il progressivo spostamento a Sud delle basi militari USA /NATO, al quale abbiamo assistito in questi anni, aveva l’obiettivo, ora in piena fase di realizzazione, di facilitare le manovre militari funzionali a questi scopi.
Di fronte a questo scenario la lotta contro la guerra, le sue basi e i suoi strumenti di propaganda, non può essere esercizio episodico di singoli comitati i quali, meritoriamente, si battono contro specifici epifenomeni locali. 
Il confronto e il coordinamento tra le nostre lotte è indispensabile. Per questo vi chiediamo di partecipare attivamente al Convegno di sabato 16 aprile 2011 a Pisa con vostri interventi, relazioni, proposte e quant’altro riterrete necessario ed utile al rilancio della lotta contro la militarizzazione dei nostri territori e la guerra.

COORDINAMENTO NO HUB MILITARE
 
http://nohub.noblogs.org/ 
oer contatti:  nohub2013@...  3384014989 - 3498494727 3381337573



IL 5 PER MILLE A CNJ ONLUS

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Fenomenologia dei cortei pacifisti

di Pietro Ancona,  02.04.2011
 
Sarebbe interessante per un sociologo analizzare i cortei per la pace che si svolgeranno oggi in alcune  città italiane. Oramai è chiaro che il colore prevalente non è più né il rosso né l'arcobaleno. Arcobaleno distrutto da quasi un decennio di polemiche contro i "pacifinti", la diserzione della CGIL, delle organizzazioni cattoliche e del PD. L'ultimo corteo pacifista fu raggiunto a metà percorso da Fassino il quale marciò per un po' di strada e poi si ritirò per non parteciparvi mai più. Era il 2004. Il PD  si porta a casa oggi la condanna di Gheddafi  che costituisce il  suo grande regalo  agli americani. In futuro forse qualcuno del PD  parteciperà  ancora  a cortei di pacifisti, forse alla marcia Assise-Perugia, oramai entrata tra le "feste comandate" della Repubblica, costruita attorno ad un cosiddetto tavolo della pace al quale fanno capo i volontari di Santo Egidio che non  disdegnano tuttavia donazioni, se del caso, anche da fabbricanti di armi.  
Il corteo di oggi sarà disertato da alcuni degli  esponenti più autorevoli del PD che non vogliono destare sospetti all'Ambasciata USA proprio mentre lavorano per  approntare una alternativa di governo al centro-destra italiano. Nel PD si è sollevato un vespaio di polemiche. 
Moltissimi non ci saranno e coloro che andranno al corteo vi daranno una connotazione "gentile", alcune parole non ci saranno più, tra queste: guerrafondai, imperialismo, colonialismo, capitalismo..parole oramai obsolete e veterotutto. 
Per una sorta di follia della politica le parole colonialismo ed imperialismo vengono bandite anche dai comunisti del Manifesto. Dice la Rossanda che la guerra contro Gheddafi non è stata fatta per il petrolio o la posizione geostrategica della Libia, non ha motivazioni imperialiste o neocolonialiste. La guerra è fatta perché Sarkozy non vuole perdere le elezioni in Francia e Cameron vuole stornare l'attenzione dalle sue scelte che suscitano ire sempre più furibonde tra gli studenti, gli statali, i pensionati...  Insomma, la categoria per capire quanto sta accadendo nel quadrante mediterraneo, non è quella dell'analisi "marxiana" dell'economia e della politica!
Ciò non spiega lo straordinario spiegamento di forze statunitensi nel Mediterraneo e l'impiego di centinaia di grandi missili caricati ad uranio impoverito per uccidere subito ed in futuro. Ma pare che questo particolare non interessi. Naturalmente il corteo è pervaso  tutto da profonda antipatia per Gheddafi. Non gli si perdona di essere stato amico di Berlusconi ed a questi di avergli baciato l'anello (o la mano) non ho capito bene! Non gli si perdona di avere tenuto una lezione di islamismo a cinquecento ragazze italiane e di avere portato in Italia un campionario di focosi cavallini arabi. Non gli si perdona ancora l'esibizione degli aerei italiani sul cielo di Tripoli che, tuttavia, patriotticamente tracciarono un tricolore e non il verde della jamahiria come richiesto dal Colonnello. Questo disprezzo per il Colonnello è stato alimentato da settimane di attacchi e di sfottò praticato dalla stampa nazionale e da una casta di oligarchi della politica che si sono divertiti a lungo attorno al Colonnello. Anche la Littizzetto si è lasciata andare a schernire il vestiario di Gheddafi.
Questo sentimento di antipatia è sovrastante su tutto. Non credo che ci sia molta  pietà o alcuna commozione per la piccola nazione di appena sei milioni di persone devastata dal più possente esercito alleato del mondo. Ed è, senza saperlo, un sentimento profondamente autolesionistico e masochista. La guerra contro Gheddafi è guerra contro l'Italia!  Perderemo tutto. La Libia è stata rapinata dei fondi sovrani. Circa cento miliardi di dollari proprietà del popolo che sono stati incassati dalle banche USA ed europee. L'Italia perderà il suo piedistallo economico e sociale che gli dà prosperità da quaranta anni. Si tratta di qualcosa come trenta miliardi di euro di export-import e del pane di migliaia e migliaia di operai, tecnici, ingegneri italiani. Quando gli ultimi fumi delle cannonate saranno svaniti ci troveremo più poveri, più piccoli, senza sapere dove sbattere la testa....
Il corteo vivrà di un sentimento che non promana da se stesso ma dai ricordi della gente che vi partecipa. La gente, ricordando di essere stata pacifista, no global, antinuclearista, per il lavoro, per i diritti crederà di essere sempre dentro la stessa onda emotiva e politica della sua storia. Ma le cose non stanno così. La contraddizione del corteo per la pace ma anche contro Gheddafi che oggi è il punto della lotta antimperialistica da difendere con maggiore forza c'è e resta.  Resta anche odio ed antipatia nei suoi confronti. Odio ed antipatia del tutto immotivati che in parte vengono dal substrato culturale razzista della Italia di Graziani e Magliocco che per trenta anni uccise, squartò, impalò i libici. 
Il corteo dirà no alla guerra ma il risultato sarà eguale a zero perché dirà no anche a Gheddafi cioè alla libertà ed alla indipendenza della Libia. Si sa benissimo che gli insorti sono una specie di UCK di Bengasi e che i tre che si spartiranno le spoglie di uno Stato finora prospero e felice saranno gli USA, la Gran Bretagna e la Francia.
Cortei sempre meno colorati, sempre più educati, gentili, giudiziosi, animati da palloncini e striscioni con colori leggeri in cui vengono scritte paroline gradevoli.




<< 11 feb - Foibe: dossier inedito sulla pulizia etnica
venerdì 11 febbraio 2011
di Roberto Fabbri su www.ilgiornale.it
La fondazione Italia protagonista e l'Associazione Nazionale Dalmata presentano la copia del dossier inedito «Trattamento degli italiani da parte Jugoslava dopo l'8 settembre 1943». Per la prima volta in assoluto, informa un comunicato, si potrà prendere visione del documento ufficiale del governo italiano presentato alla conferenza di pace di Parigi del 1947 per denunciare la pulizia etnica perpetrata dalle truppe comuniste del maresciallo Tito nei confronti degli italiani d'Istria, Fiume e Dalmazia dal '43 al '45. Il dossier sarà presentato lunedì 14 febbraio alle 17.30 presso la Sala della Mercede di palazzo Marini-Camera dei deputati, via della Mercede 55.
Attraverso immagini originali ed inedite si ripercorrerà l'orrore delle violenze ai danni di nostri connazionali.
Parteciperanno Maurizio Gasparri, presidente del Gruppo Pdl al Senato; Aldo Giovanni Ricci, sovrintendente emerito dell'Archivio di Stato-Delegato alla Memoria di Roma Capitale; Marino Micich, studioso dell'Archivio del Museo Storico di Fiume; Guido Cace, presidente dell'Associazione Nazionale Dalmata; Aimone Finestra, già Sindaco di Latina e comandante delle truppe cetniche anticomuniste sui monti della Dalmazia
[SIC]; Fabiana Santini, assessore alla Cultura della Regione Lazio.
Seguirà la proiezione di un breve documentario in memoria di Luigi Papo, storico delle Foibe recentemente scomparso. L'iniziativa editoriale è sostenuta dalla Regione Lazio - Assessorato alla Cultura. L'Associazione Nazionale Dalmata provvederà a distribuire la ristampa gratuitamente nelle scuole, dove terrà conferenze sull'argomento. >>

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Riceviamo e volentieri diffondiamo:
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Spettabili Presidente e Vice Presidente ANPI
Raimondo Ricci
Armando Cossutta
e Spettabile Responsabile Nazionale
Ufficio Stampa e Comunicazione
Andrea Liparoto
 
A norma del nostro Statuto, che tra gli altri scopi, per  la nostra Associazione  individua anche lo scopo di “tutelare l'onore e il nome partigiano contro ogni forma di vilipendio o di speculazione”, invio questa mia richiesta al fine che l’ANPI, nella sua più autorevole rappresentanza a livello nazionale, prenda posizione riguardo ai fatti che di seguito qui elenco.
 
Nell’estate dell’anno  2007 mi  capitò di sfogliare una pubblicazione che un mio conoscente aveva trovato nella bancarella di un mercatino. Tale pubblicazione dal titolo “Trattamento degli italiani da parte jugoslava dopo l’8 settembre  1943 riporta una documentazione, costituita da testimonianze e fotografie, che, in due capitoli, descrivono il “comportamento delle forze jugoslave di occupazione nei riguardi degli italiani nella Venezia Giulia e in Dalmazia” e “il trattamento dei militari italiani internati nei campi di concentramento Jugoslavi
 
La pubblicazione, priva di committente, autore e data di pubblicazione è redatta in lingua italiana e inglese. Quando ebbi modo di consultarla ipotizzai una data di pubblicazione immediatamente successiva alla fine della guerra. Tale ipotesi è poi stata confermata dalle notizie che riporto più avanti nel testo che indicano nell’anno 1947 la data della sua pubblicazione.
 
Sfogliando il fascicolo, così in maniera casuale, notai che, tra le molte testimonianze, era riportata anche quella del sottocapo meccanico Federico Vincenti. Da questa descrizione non mi fu difficile individuare in quel Federico Vincenti il partigiano Federico Vincenti, attuale Presidente del Comitato Provinciale dell’ANPI di Udine e Vice-Presidente Nazionale dell’Associazione.
 
Circa due settimane dopo questi fatti ebbi modo di acquistare il libreria il volume “Nei campi di Tito. Soldati, deportati e prigionieri di guerra italiani in Jugoslavia (1941-1952)” di Costantino Di Sante pubblicato da Ombre Corte (2007). Questo volume riportava, in appendice, l’intero secondo capitolo della pubblicazione che avevo avuto modo di consultare poco tempo prima e che, lo ripeto, risulta priva di committente, autore, data di pubblicazione.
 
Contattai quindi il compagno Vincenti per avere da lui informazioni su quelle dichiarazioni a lui attribuite che mi stupirono (conoscendo la sua vera biografia) e che qui riporto:
 
Altri particolari in proposito si trovano riferiti nella lettera del sottocapo meccanico Vincenti Federico (cfr. doc. n. 12), già internato a Lissa, lettera dalla quale stralciamo il seguente passo: “…Al 23 dicembre 1943 entrano tra Lissa e l’isolotto di Bisevo 4.500 soldati italiani in gran parte ex prigionieri dei tedeschi. Sono adibiti ad ogni specie di lavori: come costruzione di strade, canalizzazioni, panificazione, sbarco ed imbarco merci al porto. Essi sono permanentemente sorvegliati da sentinelle partigiane.
Il vitto è scarsissimo e si compone solamente di acqua calda, pane ed un cucchiaio di marmellata per pasto. L’alloggio in due grandi camerini (ex stalle) sul nudo pavimento e solo due mezze coperte. Quasi tutti sono malati di stomaco (ulcere), di dissenteria (sirca) e di deperimento organico.
Il trattamento è disumano: qualunque manifestazione di risentimento e di italianità è stroncata con  la fucilazione. Dal  10 al 20 dicembre si calcola siano stati fucilati circa 1.800 militari i cui cadaveri vennero buttati in mare. Le esecuzioni di massa avvengono a Bisevo. Soldati, che quasi completamente nudi dimostrano stanchezza, vengono fatti oggetto di rappresaglie da parte delle sentinelle che sparano addosso colpendo alle gambe. Le cure mediche vengono rifiutate. Un medico italiano, per aver operato un soldato di appendicite perforante, fu segregato. All’ammalato furono rifiutati dai commissari politici un giaciglio e le necessarie trasfusioni di plasma, altroché il vitto e l’opportunità di assistenza da parte degli infermieri”.
 
Vincenti mi fece pervenire alcune informazioni riguardo al suo impegno nelle file dell’esercito partigiano e una dichiarazione da lui resa, a fronte di una richiesta del magistrato, ai Carabinieri. Tra le altre cose mi risulta che Vincenti abbia provveduto a inoltrare all’ANPI nazionale copia della sua biografia che, però non trovo presente nel sito web della nostra associazione.
Al Comando Legione Carabinieri di Udine alla presenza del Maresciallo Spinelli a fronte richiesta del Giudice Pititto di Roma in relazione a “Indagini sulle foibe” alla domanda inerente la sua esperienza di internato nei campi di concentramento jugoslavi dopo l’8 settembre 1943, Vincenti dichiarava in data 5 maggio 1997:
 
Non sono un internato nei campi di concentramento e nemmeno un prigioniero di guerra in Jugoslavia. Sono un combattente della guerra 1940-43, imbarcato sulla torpediniera “Sirtori”. Dal 1944 al 1945 sono stato partigiano italiano combattente all’estero (tale la qualifica assegnatami dalla Marina Italiana – Fronte Clandestino della Resistenza -) e combattente nelle file del E.P.L.J. per il periodo che va dal 25 marzo 1944 al 7 maggio 1945.(…) Nell’isola di Lissa (Vis) nella Dalmazia centrale feci parte delle flottiglie di barche addette agli sbarchi, alle incursioni ed agli attacchi sulle isole del Pelago Dalmato; fui anche addetto alla scorta e al trasporto per mare di missioni militari inglesi ed americane. Per un lungo periodo venni incaricato assieme ai partigiani dalmati al salvamento di molti soldati italiani che riuscivano a fuggire dalla prigionia tedesca e che dalla costa del continente occupato dai nazisti venivano di notte portati in salvo nell’isola di Lissa (di ciò ho dato atto in una mia pubblicazione dal titolo “Partigiani friulani e giuliani combattenti all’estero”). Questi chiedevano delle armi per poter combattere contro i tedeschi. Gli ammalati venivano invece inviati nell’Italia del sud già liberata mediante motozattere inglesi. Dal giugno 1944 nell’isola di Lissa si installò il comando supremo del E.P.L.J. con il Maresciallo Tito proveniente dalla Bosnia. Qui presero stanza anche i reparti di commandos inglesi, di piloti inglesi ed americani nel campo di aviazione allestito sulle alture dell’isola, un ospedale partigiano con medici di diverse nazionalità, missioni militari degli alleati, un battaglione partigiani italiano, facente parte della I Brigata dalmata, e(d) molti italiani che facevano parte di diverse formazioni partigiane locali. Da rilevare che chi non era partigiano doveva lavorare alla difesa dell’isola di Lissa, poiché il servizio informativo (degli) alleato prevedeva un attacco da parte dei parà tedeschi. La disciplina era assoluta ed uguale per tutti fino alle estreme conseguenze; il mangiare era limitato ad un piatto di minestra e ad un pezzo di pane al giorno per ogni partigiano o lavoratore che fosse. Anche il dormire era alla partigiana, per terra sulle rocce con una sola coperta, con l’arma al fianco”
 
Le dichiarazioni di Vincenti nonché tutta la sua storia di partigiano (pluridecorato) e il suo impegno speso nell’ambito della nostra Associazione confermano la falsità di quanto riportato nella pubblicazione citata, la ripubblicazione della quale, doveva essere preceduta da un rigoroso studio e confronto delle “Fonti” per evitare la diffusione di notizie distorte su un argomento che resta all’ordine del giorno anche nell’attualità delle vicende politiche del nostro Paese e che certuni, sfruttando magistralmente anche le ambiguità offerte dall’istituzione della “Giornata del Ricordo”, non perdono occasione di cavalcare per attaccare  la nostra Resistenza
 
In data 14 febbraio 2011  la “Fondazione Italia protagonista” e “l'Associazione Nazionale Dalmata” presentano la copia del dossier inedito «Trattamento degli italiani da parte Jugoslava dopo l'8 settembre 1943» a palazzo Marini-Camera dei deputati, via della Mercede  55 in  Roma. Per la prima volta in assoluto, informa il comunicato stampa, si potrà prendere visione del documento ufficiale del governo italiano presentato alla conferenza di pace di Parigi del 1947 per denunciare la pulizia etnica perpetrata dalle truppe comuniste del maresciallo Tito nei confronti degli italiani d'Istria, Fiume e Dalmazia dal '43 al '45.
A tale presentazione partecipano Maurizio Gasparri, presidente del Gruppo Pdl al Senato; Aldo Giovanni Ricci, sovrintendente emerito dell'Archivio di Stato-Delegato alla Memoria di Roma Capitale; Marino Micich, studioso dell'Archivio del Museo Storico di Fiume; Guido Cace, presidente dell'Associazione Nazionale Dalmata; Aimone Finestra, già Sindaco di Latina e comandante delle truppe cetniche anticomuniste sui monti della Dalmazia; Fabiana Santini, assessore alla Cultura della Regione Lazio.
 
LAssessorato alla Cultura della Regione Lazio e L'Associazione Nazionale Dalmata provvederanno, si evince dal comunicato stampa, a distribuire la ristampa gratuitamente nelle scuole, dove si terranno conferenze sull'argomento.
A parte l’amenità di far presentare questo documento a un “comandante delle truppe cetniche anticomuniste”, che a me risulta essere stato ufficiale del battaglione “Venezia Giulia” della divisione “Etna” della Guardia Nazionale Repubblicana condannato e quindi in seguito amnistiato dal Tribunale di Novara – Senatore nelle file dell’MSI nell’VIII e IX Legislatura, a ulteriore specifica Vi informo che ho provveduto anche a scrivere al prof. Costantino Di Sante (che mi risulta essere socio dell’ANPI di Teramo e studioso del locale ISML) relativamente alla questione ma di non aver ricevuto ad oggi alcun riscontro alla mia segnalazione.
 
Ritengo che la pubblicazione e distribuzione nelle scuole di tale testo sia di pregiudizio alla nostra Associazione, ai valori della Resistenza, oltre ad essere lesivo nei confronti del compagno Vincenti e dei tanti militari italiani che dopo l’8 settembre 1943 combatterono nelle file dell’Esercito di Liberazione Jugoslavo (circa 40.000 combattenti e 20.000 caduti!).
 
Chiedo quindi che l’ANPI prenda una posizione ufficiale sulla vicenda anche per ottemperare a quanto previsto dal nostro Statuto.
 
Vi ringrazio per la cortese attenzione e confermo, per quanto superfluo, la mia disponibilità per ogni chiarimento si rendesse necessario.
 
Marcolini Provenza Luciano
Segretario ANPI di Cividale del Friuli

Cividale del Friuli li 2 Marzo 2011

[per contatti: Luciano Marcolini Provenza <lucianomarcoliniprovenza@...>]

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Sul "dossier inedito" «Trattamento degli italiani da parte Jugoslava dopo l'8 settembre 1943» si vedano anche le puntuali contestazioni contenute in:

LE FOIBE ISTRIANE
testo di Giacomo Scotti, consegnato ai margini del convegno PARTIGIANI! (Roma 7-8 maggio 2005)
https://www.cnj.it/PARTIGIANI/foibeistriane.htm

IL CASO DI CIRO RANER 
da La Nuova Alabarda (settembre 2005)




L'Italia della prevaricazione contro i più deboli

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Sul razzismo e la prevaricazione contro i più deboli, atteggiamenti oramai prevalenti nella società italiana,  si veda anche il recentissimo rapporto di Human Rights Watch:

L’intolleranza quotidiana. La violenza razzista e xenofoba in Italia


Comunicato stampa 
Un’Italia sempre più intollerante e razzista 

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La Lega Nord a Ileana Argentin: “stai zitta handicappata del cazzo”


Posted By Gennaro Carotenuto On 1 aprile 2011


La Lega Nord si è costruita nel tempo la fama di dare pane al pane e dire quello che davvero pensa la gente.

Ed ecco quello che pensa davvero la gente quando deve cedere il passo a una signora in carrozzina o quando questa osa dire la sua. La gente pensa: “stai zitta handicappata del cazzo”, come ha sintetizzato ieri il deputato della Lega Nord Massimo Polledri (nella foto) alla deputata del PD Ileana Argentin.

Permettere al teppista dell’odio Massimo Polledri di uscire impune da questa vicenda, è parte di una società senza più freni inibitori dove la brava gente, padana e non, è libera di pensare e dire “immigrati fuori dalle palle”, “buttiamoli a mare”, “affondiamo le navi”, “bruciamo i rom”, “forza Vesuvio”, non voglio te come insegnante dei miei figli perché sei meridionale, i romeni sono tutti ladri, la cultura non fa mangiare, gli impiegati pubblici possono essere liberamente diffamati, non voglio spendere per insegnanti di sostegno perché tanto i miei figli sono sani, non voglio handicappati in giro perché i bambini s’impressionano, non accettiamo bimbi down in questo albergo perché i clienti s’intristiscono e non spendono e tutto il repertorio davanti ai nostri occhi e che abbiamo più o meno supinamente accettato mugugnando privatamente il nostro schifo.

Se lo dicono i ministri, se rivendicano il diritto di affermare cose che non sono intemperanze verbali ma che rispondono ad una precisa cultura che poi ritroviamo puntualmente riflessa nelle leggi dello Stato, dai tagli agli insegnanti di sostegno al reato di immigrazione clandestina, ai tagli alle cure palliative ai malati terminali (per foraggiare gli allevatori disonesti amici di Polledri) come pretendiamo che la cultura dei peggiori bar di Gallarate non diventi ormai la cultura del paese, la cifra del paese, un paese senza umanità.

E’ questo quello che abbiamo seminato in questi decenni nell’accettare l’imposizione di un’agenda politica di pancia più che di idee, di odio più che di solidarietà, dove il rancore sordido per qualunque interazione con l’altro è diventato l’unica regola riconosciuta. Adesso non sembra esserci più scampo in questa rincorsa infinita alla suburra, ad una palude nella quale la nostra società civile sta affondando.

Eppure non possiamo fermarci. Cominciamo dal gridare l’indegnità di Polledri, ad esigere che sia punito. Cominciamo dal circondare la sua villetta a schiera a Piacenza con i nostri colori fino a quando l’indegno non sia obbligato dai suoi a dimettersi dal parlamento. Cos’altro dovranno fare per capire che non c’è altro di più urgente che fermarli?




ANPI di Roma e Lazio 
Casa della Storia e della Memoria

presentano:

Criminali di Guerra Italiani.
Accuse, processi e impunità nel secondo guerra

di Davide Conti

(Roma, Odradek 2011: 

Venerdì 8 aprile
ore 17.30

Casa della Storia e della Memoria
via San Francesco di Sales 5, Roma

Ne discutono con l'Autore

Prof. Massimo Rendina (Presidente ANPI di Roma e Lazio)
Dott. Antonino Intelisano (Procuratore Militare della Repubblica a Roma)

Info: lunedì-sabato ore 09.00 - 19.00
tel.06-6876543




Iniziative: "Testa per Dente", "L'urlo del Kosovo" 

1) Mostra "Testa per Dente": a VITERBO fino al 3 aprile e a PARMA dal 2 al 10 aprile
2) Libro+DVD "L'urlo del Kosovo": a TREVIGNANO (RM) il 4 aprile e a GROTTAFERRATA (RM) il 9 aprile


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"TESTA PER DENTE"

Sulla Mostra “TESTA per DENTE”. CRIMINI FASCISTI IN JUGOSLAVIA 1941/1945 si vedano anche tutte le informazioni alla pagina:

Data: 28 marzo 2011 00.27.31 GMT+02.00
Oggetto: incursione Casa Pound a Viterbo (rassegna stampa)


Venerdì 25 u. s., mentre mi trovavo a Torino per il 15° Congresso nazionale Anpi, a Viterbo, s’inaugurava la manifestazione Confine orientale italiano, occupazione fascista dei Balcani e foibe, organizzata dal Circolo Prc, in collaborazione con il nostro Comitato provinciale, l’Arci e l‘ass. Fata Morgana. Paolo Consolaro stava finendo la presentazione della sua mostra “Testa per dente”, Crimini fascisti in Jugoslavia, 1941-1945, quando c’è stata l’irruzione violenta di Casa Pound. A seguire, i link per la rassegna stampa on line da cui trarre tutte le info (rivendicazione di Casa Pound compresa).
Colgo l’occasione per ringraziare chi ci ha espresso solidarietà. Informo, altresì, che la Presidenza del Congresso nazionale Anpi ha letto, durante i lavori, la notizia e ha diramato una nota di condanna dell’accaduto. Inoltro, infine, gli ultimi due appuntamenti della manifestazione che sta riscuotendo molto successo.

Libertà ai popoli, morte al fascismo!

Silvio Antonini
Segretario e Portabandiera
Anpi Cp Viterbo      


Rassegna stampa:

http://tusciaweb.it/notizie/2011/marzo/27_3pound.htm

http://www.viterbonews24.it/news/marini:-condanno-fortemente-quanto-accaduto-ieri_380.htm  
 


Sala Gatti, via Macel Gattesco, Viterbo 

venerdì 1° aprile, ore 17,00
Crimini di guerra in Jugoslavia, per una storia fuori dal mito

Incontro con:
Davide Conti (Fondazione Lelio Basso - sezione internazionale, Roma) 
che, per l’occasione, presenta il suo ultimo libro Criminali di guerra italiani, Accuse, processi e impunità nel secondo dopoguerra (Roma, Odradek, 2011).

sabato 2 aprile, ore 17,00 

Il carattere internazionalista della Resistenza nei Balcani e in Italia

Andrea Martocchia (Onlus Coordinamento nazionale per la Jugoslavia) presenta il suo libro I Partigiani jugoslavi nella Resistenza italiana (Roma, Odradek, 2011) .
Giuliano Calisti (Anpi Cp Viterbo), presenta il suo documentario Pokret (Avanti!), Partigiani italiani nella Resistenza jugoslava (1943-45)(35’_dvd_Italia_2009).

Orario mostra: 17,00 - 20,00. Mattina riservato alle scuole, visita su prenotazione. Tel.: 338/7222658 

La mostra è visitabile fino al 3 aprile


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Da: Comitato antifascista e per la memoria storica - Parma <comitatoantifasc_pr @ alice.it>

Oggetto: azione squadrista di CasaPound a Viterbo contro la mostra antifascista che si inaugura sabato a Parma

Data: 29 marzo 2011 01.39.39 GMT+02.00


Venerdì scorso a Viterbo CasaPound è stata protagonista di un'azione di chiaro stampo fascista e squadrista facendo irruzione nella sala in cui l'ANPI di Viterbo e altre organizzazioni antifasciste stavano presentando la mostra "Testa per dente". La mostra, di recente creazione, ha per oggetto i crimini dell'Italia fascista in Jugoslavia negli anni 1941-1945 e verrà allestita anche a Parma per iniziativa del Comitato antifascista e per la memoria storica e dell'Assessorato alla Cultura del Comune che ha messo a disposizione la sala della Galleria Sant'Andrea (via Cavestro, 6  Parma) dal 2 al 10 aprile. L'inaugurazione della mostra, con l'intervento del curatore Paolo Consolaro, "Pol Vice", sarà sabato 2 aprile alle 17. Tutti gli antifascisti sono invitati a partecipare, e anche a vigilare e a respingere, nel caso, qualunque provocazione e azione di disturbo.
 
Sotto, il comunicato del Comitato Provinciale di Viterbo dell'ANPI, al quale va la nostra piena solidarietà
 
 
ANPI COMITATO PROVINCIALE DI VITERBO

COMUNICATO STAMPA su AGGRESSIONE NEOFASCISTA A VITERBO

Oggi pomeriggio presso la sala Gatti a Viterbo, mentre era in corso una mostra nell’ambito di una serie di iniziative sulle foibe e sul confine orientale, organizzate dall’ANPI di Viterbo, ARCI, Ass.ne Fata Morgana e PRC, un gruppo di 30-40 persone hanno fatto irruzione nella sala rovesciando un banco con di libri, lanciando contro i visitatori volantini recanti slogan fascisti ed insultando i presenti che rimanevano impassibili; dopo aver occupmato l'aula per alcuni minuti gridando insulti e minacce, sono scappati: tutto in pieno stile da ventennio fascista. Da anni in Italia è in corso un’azione di rovescismo storico che pretenderebbe di mettere sullo stesso piano chi dopo l’8 settembre del 1943, si sacrificò combattendo il nazifascismo e chi, invece, morì combattendo dalla parte sbagliata e cioè al fianco dei nazisti; da anni anche a Viterbo si sono moltiplicate le azioni di uso politico dei morti in guerra, tentando a mani basse, e solo sulla base di indizi senza attente ricerche, di trasformare in martiri infoibati dai comunisti i soldati italiani morti sul fronte orientale, trasformando così dei caduti in guerra in eroi. Queste azioni di chi non sopporta ed è incapace di confrontarsi civilmente, il risentimento di chi avrebbe preferito che gli italiani fossero stati fascisti fino in fondo, l’odio verso i partigiani ed i loro sostenitori, sono lo sbocco logico di una crisi di valori che da anni attraversa la società civile ed il mondo politico. 
Condannando questo grave atto intimidatorio, noi dell’ANPI facciamo appello a tutte le forze politiche ed a chiunque riconosca la Costituzione Repubblicana, perché si schieri con l’antifascismo, e non solo contro la violenza, togliendo così ogni legittimazione a questa gentaglia; chiediamo inoltre che i tutti Viterbesi sostengano e difendano le associazioni antifasciste da questi attacchi che fanno offesa ai martiri viterbesi antifascisti ed alla città di Viterbo intera; confidiamo infine che le forze dell’ordine facciano una vigilanza continua, e non intermittente, durante le tutte iniziative antifasciste che sono in programmazione. E’ solo grazie al sacrificio dei Partigiani antifascisti se l’Italia è stata rispettata dagli Alleati, che si dica forte.

PER IL COMITATO PROVINCIALE ANPI VITERBO
Giuliano Calisti

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SABATO 26 MARZO 2011

Rivendicazione dell'azione futurista alla Sala Gatti di Viterbo

“Per quanto mi riguarda ci dovrebbero ringraziare per aver portato un po’ di gioventù in quella sala piena di vecchi parrucconi antifascisti. Che noia sarebbe stata se non avessimo portato un po’ di vento a sbattere le porte in quel simulacro ammuffito?!Contro un uso partigiano e fazioso della storia, degradata a strumento di lotta politica, piovono rose rosse dalle Camicie Nere”

Alessandro Mereu CasaPound VT


=== 2 ===

L'URLO DEL KOSOVO

Sul libro e il DVD "L'urlo del Kosovo" si vedano anche tutte le informazioni alla pagina:
nonché il video integrale online: 
e gli aggiornamenti al blog dell'autore: http://unsorrisoperognilacrima.blogspot.com/


* Lunedì 4 aprile, ore 19,30:
a Trevignano (RM), presso il cinema La Palma, prima di quattro serate dedicate al ventennale di Un Ponte per...

La serata vedrà la presentazione del libro e e proiezione del relativo film-documentario, L'Urlo del Kosovo ( http://www.unponteper.it/bottega/description.php?II=315&UID=20110328143823 )
Sarà presente l'autore.

Sabato 9 aprile, ore 17,00:
alla Fiera di Grottaferrata (RM), Salone Editoria dell'Impegno, presso la Sala Hovan, presentazione del libro L'Urlo del Kosovo.
( http://www.saloneeditoriadellimpegno.it/9aprile.html)
( http://www.exormaedizioni.com/evento-fiera-nazionale-grottaferrata.php )
Intervento di Tommaso Di Francesco (il manifesto).
Sarà presente l'Autore



24 March 1999: Remembering the NATO led War on Yugoslavia: Kosovo "Freedom Fighters" Financed by Organized Crime

(italiano / english)

Serbia: Anti-Nato sentiment strong 12 years later

1) Serbia: Anti-Nato sentiment strong in 12th anniversary of 78-day war
2) Libya airstrikes remind Serbians of Nato bombings 
3) Humanism laced with geopolitics
4) Serbia marks anniversary of start of NATO bombing 
5) Yugoslavia anniversary highlights parallels with Libya
6) Dispacci in italiano da www.glassrbije.org : IN TUTTA LA SERBIA È STATO RESO ONORE ALLE VITTIME 
7) Un commento di Alessandro Di Meo / ricordiamo Milica Rakic
8) 24 March 1999: Remembering the NATO led War on Yugoslavia - By Prof. Michel Chossudovsky
Kosovo "Freedom Fighters" Financed by Organized Crime (LINK: http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=23912 )
NATO War Crimes Amply documented (LINK: http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=23914 )

LINKOVI na srpskohrvatskom:

12 GODINA OD POČETKA NATO AGRESIJE NA SRJ

Tavola Rotonda sulla NATO a Belgrado il 23/3:
Annuncio e programma / Србија и Нато - Округли сто 23. март 2011
http://www.beoforum.rs/saopstenja-beogradskog-foruma-za-svet-ravnopravnih/198-srbija-i-nato-okrugli-sto-23-mart-2011.html
Primo report e Fotografie / Очувати војну неутралност. О чланству у НАТО само на референдуму!
http://www.beoforum.rs/saopstenja-beogradskog-foruma-za-svet-ravnopravnih/203-srbija-i-nato-okrugli-sto.html
Prima relazione online / Генерал Радиновић: Уводно излагање

Libija kao Srbija. Protest protiv NATO agresije

Pesma posvecena Milici Rakic/Song about Milica Rakic
http://www.youtube.com/watch?v=kX9mrFVMOws

LINK:

Sulla aggressione del 1999 raccomandiamo anche la lettura della documentazione raccolta sul nostro sito:
https://www.cnj.it/24MARZO99/index.htm

VIDEO: NATO Aggression on Yugoslavia: Challenging an Illegal War
Diana Johnstone speaking
or http://www.youtube.com/watch?v=O4GLzz-9lRY

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Source of most articles in english reported below is the Stop NATO e-mail list 
Home page with archives and search engine:
http://groups.yahoo.com/group/stopnato/messages
Website and articles:
http://rickrozoff.wordpress.com


=== 1 ===

http://www.adnkronos.com/IGN/Aki/English/CultureAndMedia/Serbia-Anti-Nato-sentiment-strong-in-12th-anniversary-of-78-day-war_311824965215.html

ADN Kronos International - March 24, 2011

Serbia: Anti-Nato sentiment strong in 12th anniversary of 78-day war


Nato launched a bombing campaign against rump Yugoslavia (Serbia and Montenegro) to push Serbian forces out of the breakaway Kosovo province...

Serbian forces withdrew from Kosovo in June 1999, paving the way for Kosovo independence declared in February 2008.

Twelve years later, animosities still run high against the western military alliance and the ruins of former military headquarters in the center of Belgrade is a ghostly reminder of what here is referred to as a “Nato aggression.”

The event is being commemorated throughout the country which, according to Serbian estimates, suffered material damage of one hundred billion dollars.
....
Recent surveys showed that only 15.1 per cent of Serbian citizens support the country’s joining the military alliance [NATO].

The anniversary is marked with round tables, commemorations and anti-Nato protests by some opposition groups. Belgrade mayor Dragan Djilas laid wreaths at the memorial of 13 workers killed in the bombing of Belgrade's television broadcasting building in the centre of the city.

Opposition Democratic Party of Serbia of former premier Vojislav Kostunica held a protest in the city’s main pedestrian area, distributing leaflets saying “Never to Nato”.

Visiting Russian prime minister Vldimir Putin told Serbian president Boris Tadic on Wednesday that Russia, Belgrade’s closest ally, had nothing against Serbia’s joining the EU. But he later told Serbian MPs the situation with Nato was different.

“If Serbia joins Nato, Nato will make all the decisions,” Putin was quoted as saying. “If Nato deploys its missile systems in Serbia, Russia will be forced to direct its nuclear potential towards Serbia,” Putin warned.


=== 2 ===

http://www.straitstimes.com/BreakingNews/World/Story/STIStory_648702.html

Agence France-Presse - March 24, 2011

Libya airstrikes remind Serbians of Nato bombings 


BELGRADE - The airstrikes on Libya brought back bitter memories for many Serbs on Thursday, 12 years after the start of a Nato bombing campaign aimed at ending a Serbian crackdown on Kosovo. 

'I am trying not to watch television reports from Libya because its a painful reminder' of a spring spent hiding in shelters, software engineer Mr Petar Marjanovic said. 

'Even if I try to rationalise the bombing to convince myself that they were not aimed at us civilians but the military, I will never forget these days of fear and anxiety,' Marjanovic said. 

Nato launched the strikes - without UN Security Council backing unlike the intervention in Libya....

In one of the bloodiest incidents, more than a dozen people were killed on May 7, 1999, when Nato planes dropped cluster bombs on a crowded outdoor market in the southern town of Nis. It was later described as a 'blunder'. 

The bombing campaign against Serbia lasted 78 days and remains etched in public memory.  


=== 3 ===

http://english.ruvr.ru/2011/03/24/47917703.html

Voice of Russia - March 24, 2011

Humanism laced with geopolitics


The Director General of the European Strategic Intelligence and Security Center Claude Moniquet says that political and oil interests are behind the jostling by France and Britain to spearhead the military campaign against Libya, saying that both countries are scheming to play the leading political role in the Arab world. “Besides, the action of Paris and London in that region are traditionally dictated by oil interests”, Moniquet said. 

Western countries’ main aims in the troubled region are not so much the protection of civilians as the pursuit of economic and geopolitical interests, as evidenced by similar military operations in the past 20 years. 

The bombing of the Bosnian Serb Republic in 1994-1995 and Yugoslavia in 1999 by NATO, and the American-led Western incursion into Afghanistan in 2001 and Iraq in 2003 and now in Libya were undertaken under the pretext of the noble act of protecting the lives of civilians. 

The putative fight against Al-Qaeda’s brand of terrorism in both Afghanistan and Iraq was thrown into the mix of preventing humanitarian catastrophe and ethnic cleansing. Significantly, none of these tasks was fulfilled and some of the mentioned evils didn’t even exist. Suffice to recall that no smoking gun was found in Iraq after a lengthy and costly search, but the day-and-night bombing of Yugoslavia led to an untold humanitarian catastrophe, including the mass exodus of Yugoslavians to neighbouring states. The country’s infrastructure was reduced to rubble.

New-fangled ideas, including the introduction of western-style democracy in Afghanistan, Iraq and in Albanian-controlled Kosovo were used to justify the wanton destruction of sovereign and independent countries. 

A similar spurious excuse is used to justify the intervention in Libya, and Britain, France and the U.S remain defiant about their right to solve Libyan internal political wrangling by military force. The only question  still being debated is whether it is worth it to sacrifice the Libyan leader Muammar Ghadafi on the altar of democracy a la the Western model.

Behind the pseudo-humanitarian summersault lies a hidden agenda of Western countries’ geopolitical and economic interests in oil-rich regions of the world.  

Besides, by supporting fifth columns in such regions, the U.S and its Western allies desire to create the basis for a long term military presence, a plan that is presently being tried out in Libya. The experiment is fraught with extreme dangers, says Anna Filimonova of the Russian Academy of Sciences’ Center for the Study of Modern-Day Balkan Crises. 

"The most serious of the dangers is the confirmation of the new role of  NATO in international relations, the crushing of international law and its Yalta-Potsdam post-war system. Unfortunately, the world is entering a new stage of development characterized by the formation of servile protectorates," Filimonova said. "Under the new dispensation NATO would be calling the shots," predicts Filimonova.

The Western military operation in Libya is supposedly guided by parts of the UN Charter, Security Council resolutions and UN agreements, but the campaign has exceeded the UN mandate and is taking on the features of a  full-scale war against a sovereign state. 

As the events in Iraq, Afghanistan and the Balkans have shown, what the world is witnessing in Libya is not the triumph of humanism and democracy, but the unleashing of anarchy and the carving up of an independent nation.


=== 4 ===

http://www.b92.net/eng/news/politics-article.php?yyyy=2011&mm=03&dd=24&nav_id=73402

Tanjug News Agency - March 24, 2011

Serbia marks anniversary of start of NATO bombing 


BELGRADE: Serbia today marks the 12th anniversary since NATO launched its air campaign against targets in then Federal Republic of Yugoslavia (SRJ). 

The campaign, code-named Operation Allied Force, involved 19 NATO countries and began March 24, 1999. 

It lasted 78 days, resulting in 2,500 civilian deaths, 89 of whom were children, and 1,031 dead soldiers and police officers, Tanjug reports. 

Around 6,000 civilians were injured, of whom 2,700 were children. The military and police had 5,173 injured. NATO's losses have never been made public. 

More than half of the casualties from NATO attacks were among Kosovo Albanians, although the western officials had claimed the intervention was necessary to protect them and named it “Merciful Angel”. 

The data on the material damage caused by NATO's strikes differs. 

Authorities in Belgrade at the time said it was close to USD 100bn....

A third of the country's electric energy capacity was destroyed, while refineries in Pančevo and Novi Sad were also attacked. 

The decision to go forward with the campaign was made without the consent of the UN Security Council, which was something that had never happened before. The NATO forces were commanded by now retired U.S. General Wesley Clark, who received the order to begin the campaign from Javier Solana, NATO's secretary general at the time. 

Yugoslavia was attacked after being blamed for the failure of the negotiations on Kosovo's status, held in Rambouillet and Paris. The Serbian authorities, headed by Slobodan Milošević, refused to accept the military annex to the proposed agreement, which was interpreted as a permission to occupy the country. 

The bombing destroyed whole residential blocks in a number of towns and cities, like Aleksinac, Kuršumlija, Ćuprija, Niš, Novi Sad, Murin, Valjevo and Surdulica, which resulted in hundreds of civilian casualties. 

The campaign ended when the Yugoslav authorities signed the Military Technical Agreement in Kumanovo, Macedonia, June 9, 1999. Three days later, the Yugoslav forces began withdrawing from Kosovo. 

Solana gave the official order to stop the bombing on June 10. 

The same day, the UN Security Council adopted Resolution 1244, which confirmed Serbia's sovereignty over Kosovo, while NATO established the Kosovo Force (KFOR) and sent 37,200 troops from 36 countries to the territory.  


=== 5 ===

http://rt.com/usa/news/usa-libya-yugoslavia-anniversary-war/

RT - March 24, 2011

Yugoslavia anniversary highlights parallels with Libya


In March the seasons change and sunshine falls on America. In March American politicians venture to foreign counties – to drop bombs. 

March 1999 – the United States entered Yugoslavia. 

“Our armed forces joined our NATO allies in air strikes against Serbian forces responsible for the brutality in Kosovo,” said US President Bill Clinton. 

March 2011 – the United States entered Libya. 

“The UN Security Council passed a strong resolution that demands an end to the violence against [Libyan] citizens. It authorizes the use of force,” US President Barack Obama said. 

From one democratic president to another, bombing commences. The US and coalition forces reign down on Libya over the anniversary of the Yugoslavia bombings. 

The attack on Libya was sanctioned by the UN Security Council, in contrast to the bombings in Yugoslavia. Without approval in 1999, NATO took the lead in the first time the alliance attacked an independent and sovereign nation which posed no threat to the organization’s members. Similarly, Libya poses no threat to the nations leading the campaign of aggressive attacks. 

There are many sticking parallels between the two wars.

The enemy in 1999 was Slobodan and “The New Hitler” – Milosevic. Today it is Moammar Ghadafi who has been in power in Libya for over 40 years. 

“As much as Ghadafi is this John Galliano-dressed freak show, he modernized Libya for a while,” said Pepe Escobar, a correspondent from the Asia Times. 

Nevertheless, America seeks regime change and a nation friendlier to US interests. 

“Ghadafi needs to step down and leave,” Obama stated. 

“What we are seeing is a full-fledged war, including attempting evidently to kill the head of state of the targeted country. That again is a page from a Yugoslav book from 12 years ago,” said Rick Rozoff of Stop NATO. “What has the world learned? Evidently, not much.” 

Officially, the US and allied intervention is one of humanitarian concern – the same rational argued in 1999 when bombings commenced in Yugoslavia. 

“You can bomb a country because you are coming to save its people, and essentially that was what the rationale behind the war in Yugoslavia,” explained Michel Chossudovsky, the director of the Centre for Research on Globalization in Montréal. “You don’t come to the rescue of civilians with bombs and missiles, ok? Bombs and missiles are part of a killing machine, and they inevitable will kill civilians.” 

Like Yugoslavia, a no-fly zone has ignited the engine of the war machine – a green light to use bombing and airstrikes. 

The UN agreement on Libya created the no-fly zone and went further to allow “all means necessary” which opens the doors for nearly any type of assault. 

In Yugoslavia thousands of people were killed and millions displaced. 

“After the war, when they did a count, they found that US and NATO bombs had destroyed 14 tanks in Serbia. But, they had also bombed 473 schools,” said Sara Flounders from the International Action Center.

Experts are predicting a similar outcome in Obama’s war in Libya. 

The White House is promising the conflict will last only days, not week – just days. Initially, the same guarantee was given for the war in Yugoslavia. That conflict lasted two and a half months. 

“They think that a quick bit of bombing will sort the matter out, but in fact, I think they will find that it will last far longer than they’ve gambled for,” remarked journalist John Laughland. 

12 years on Serbia still remembers the losses it suffered at the hands of US led NATO bombings and the US is now entering its fourth set of attacks on foreign soil in the past 12 years.

Gerald Celente, the director of the Trends Research Institute argued that the first great war of the 21st century has now begun – in Libya. 

“Any excuse that the United States has to attack another county, they just make up,” said Celente. 

It’s all hypocrisy, he argued. The US invaded Libya over supposed humanitarian concerns, but as governments in Yemen, Somali and other nations continue to kill their people, the US is not talking about intervention and invasion there. 

“All this is the United States doing what it has become accustom to do, and that is attack any country it wants to at any time for any reason it can make up. And the new reason they made up is perfectly Orwellian – humanitarian crisis. So, you kill people to solve a humanitarian crisis and you take dictators out that you don’t like,” Celente said. 

He argued the drive to war is oil and other resources. If the major export was anything less significant, like vegetables, the US would not have invaded, Celente contended. 


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IN KOSOVO DOMANI SARÀ CELEBRATO L’INIZIO DELL’AGGRESSIONE

23/03/2011 - In occasione del dodicesimo anniversario dell’inizio dei bombardamenti della NATO contro la Jugoslavia, domani a Kosovska Mitrovica settentrionale sarano organizzate le manifestazioni, mentre a Gracanica, nel Kosovo centrale, sarà somministrato il parastos, la messa funebre il suffragio delle vittime dell’aggressione della NATO. Il parastos sotto la croce nel cortile del Palazzo della cultura a Gracanica sarà somministrato dal vescovo di Raska e Prizren Teodosije. È stato annunciato che dalla manifestazione a Kosovska Mitrovica settentrionale sarà mandato il messaggio alla comunità internazionale, alle auitorità di Belgrado e quelle  di Pristina che i serbi che vivono in Kosovo non vogliono integrarsi nelle istituzioni kosovare.

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IN TUTTA LA SERBIA È STATO RESO ONORE ALLE VITTIME

24/03/2011 - In tutta la Serbia è stato celebrato il dodicesimo anniversario dell’inizio dei bombardamenti della NATO nell’anno 1999. Il primo vice premier della Serbia Ivica Dacic e il presidente del parlamento del comune di Belgrado Aleksandar Antic hanno deposto le ghirlande sotto il monumento eretto in onore ai membri dell’esercito jugoslavo che sono caduti nei bombardamenti della NATO sulla montagna Strazevica, nei pressi di Belgrado. Dacic ha dichiarato che tutti i cittadini devono ricordare le vittime che sono cadute nei bombardamenti e tutti coloro che hanno dato la vita per la libertà della Serbia. Tutte le vittime che sono cadute, i civili, i soldati e i poliziotti erano innocenti, ha dichiarato Dacic. Il Ministro della Difesa  Dragan Sutanovac ha deposto la ghirlanda sotto il monumento a Vranje. Il sindaco di Belgrado Dragan Djilas ha deposto la ghirlanda sotto la lapide commemorativa nel parco Tasmajdan, nel pieno centro a Belgrado, sulla quale c’è scritto perché?. La lapide è stata posta in onore di 16 impiegati della TV Serbia che hanno perso la vita nella notte tra il 22 e il 23 aprile. La ghirlanda è stata deposta anche sulla tomba della bambina Milica Rakic che aveva tre anni quando è stata uccisa dalla bomba che è caduta sulla sua casa nei pressi di Belgrado

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IL 12ESIMO ANNIVERSARIO DELL’INIZIO DEI BOMBARDAMENTI

24/03/2011 - In tutta la Serbia è stato celebrato il dodicesimo anniversario dell’inizio dei bombardamenti della NATO, nei quali sono state uccise 3.500 persone e più di 12.500 sono state ferite. I bombardamenti dei 19 Paesi membri dell’Alleanza, denominati Angelo misericordioso, sono iniziati il 24 marzo del 1999. Nei 78 giorni dell’aggressione sono stati uccisi 2,500 civili, includendo 89 bambini, e 1.031 membri dell’esercito e della polizia. Più della metà delle vittime erano di nazionalità albanese, anche se i rappresentanti dell’Alleanza nordatlantica sostenevano che l’intervento era inevitabile, perché soltanto così poteva essere evitata la catastrofe umanitaria. La decisione sull’attacco contro la Jugoslavia è stata presa per la prima volta senza permesso del Consiglio di sicurezza. Il segretario generale della NATO Javier Solana ha impartito l’ordine sull’inizio dei bombardamenti al generale statunitense Wesley Clarc. Nei bombardamenti sono stati distrutti e danneggiati 25.000 stabilimenti, 470 chilometri di strade e 595 chilometri di linee ferroviarie. Sono stati danneggiati seriamente 15 aeroporti, 40 ospedali, 18 asili nido, 69 scuole, 176 monumenti culturali e 44 ponti. 38 ponti sono stati distrutti. È stato distrutto un terzo della capacità produttiva di corrente elettrica. Sono state bombardate anche due rafinerie. Il danno materiale è stato stimato a 100 miliardi di dollari. I bombardamenti della Serbia sono cessati dopo la stipulazione dell’accordo militare a Kumanovo il 9 giugno del 1999.


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Da: Alessandro Di Meo 
Data: 24 marzo 2011 10.43.30 GMT+01.00
Oggetto: oggi è il 24 marzo...

Cari tutti,
nel 12.o anniversario dell'aggressione della Nato alla Jugoslavia (e in particolare alla Serbia), che iniziò proprio il 24 marzo del 1999  e che per 78 giorni massacrò un popolo e una nazione... con bombardamenti all'uranio impoverito... con le famigerate bombe a frammentazione dette "cluster bombs"... con  effetti dovuti all'inquinamento ambientale devastanti... con conseguenze sulla popolazione civile che ancora oggi vengono pagate dalle persone di qualunque etnia, ceto sociale o religione... con aumento incontrollato ed esponenziale di malattie del sangue e tumorali... con l'uso scientifico di una propaganda che demonizzò l'intero popolo serbo, propaganda che preparò ad arte il terreno alla guerra... con il frutto di quella "guerra" che oggi si chiama "Kosovo libero e indipendente", un narco-stato n el cuore dell'Europa al cui comando siede un criminale di guerra denunciato (finalmente e bontà loro) anche dai rapporti dei rappresentanti del Consiglio d'Europa...
vi voglio girare una notizia dell'ottobre scorso, così, tanto per non dimenticare.

Tutto, anche in concomitanza con un'altra aggressione armata, ancora una volta molto ben digerita, a quanto pare, sia a destra che a sinistra grazie all'idea romantica e molto rassicurante dell'intervento "umanitario". Umanità che, però, non risparmia uranio impoverito, morte e distruzione sulla Libia e fra il suo popolo, tutto. Che le bombe, quando cadono, non distinguono bene chi colpiscono.
Un messaggio, quindi, non a futura memoria ma, purtroppo e sempre più drammaticamente, a memoria del presente.

Alessandro Di Meo

http://it.groups.yahoo.com/group/crj-mailinglist/message/6879 ]

Suicida il pilota della NATO che uccise la piccola Milica Rakic

Si è tolto la vita un mese fa il diretto responsabile della morte di Milica Rakic, la piccola di tre anni che abitava nei pressi dell'aeroporto di Belgrado e fu colpita da frammenti di bombe "umanitarie" della NATO il 17 aprile 1999 alle ore 21:45. 
Il tenente colonnello Harold F. Myers era andato in pre-pensionamento da pochi mesi con una diagnosi di "stress da disordine post-traumatico" in seguito a quei bombardamenti, secondo le dichiarazioni di sua moglie Elisabeth.

La piccola Milica appare oggi trasfigurata, tra le icone dei santi della chiesa ortodossa, negli affreschi realizzati dal diacono Nikola Lubardic - si veda:
https://www.cnj.it/24MARZO99/criminale.htm#milicarakic
Allo stesso indirizzo rimandiamo per l'elenco completo dei bambini morti ammazzati nell'operazione "umanitaria" della NATO, mirata a strappare il Kosovo alla Serbia per accelerare lo sventramento della Jugoslavia secondo criteri "etnici".

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Su Milica Rakic segnaliamo la canzone:

Pesma posvecena Milici Rakic/Song about Milica Rakic
http://www.youtube.com/watch?v=kX9mrFVMOws


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24 March 1999: Remembering the NATO led War on Yugoslavia: Kosovo "Freedom Fighters" Financed by Organized Crime

By Prof. Michel Chossudovsky

Global Research, March 24, 2011

Twelve years ago, March 24th 1999, marks the commencement of NATO's  aerial bombardment of Yugoslavia. The bombings which lasted for almost three months, were followed by the military invasion (under a bogus UN mandate) and illegal occupation of  the province of Kosovo. 

In the course of the last week, the so-called international community, backed by the UN Security Council has called for the bombing of Libya, a sovereign country, allegedly to protect the lives of civilians under the logo of "Responsibility to Protect".  

The covert operations, the military strategies applied in Libya not to mention the process of media disformation bear a canny resemblance to Yugoslavia in 1999.

The Libyan "humanitarian bombing" campaign is an integral part of a military strategy which consists in destroying the country's civilian infrastructure. It is a "copy and paste" of previous "humanitarian bombing" endeavors including the 1999 bombing of Yugoslavia and the 2003 military campaign and occupation of Iraq.

The military technology applied today against Libya is far more sophisticated and precise.

In 1999, when Belgrade was bombed, the children's hospital was the object of air attacks. It had been singled out by military planners as a strategic target.

NATO acknowledged that that had done it, but to "save the lives" of the newly borne, they did not target the section of the hospital where the babies were residing, instead they targeted the building which housed the power generator, which meant no more power for the incubators, which meant the entire hospital was for all sakes and purposes destroyed and many of the children died. 

I visited that hospital, one year after the bombing in June 2000 and saw with my own eyes how they did it with utmost accuracy. These are war crimes using the most advanced military technology using NATO's  so-called smart bombs.

In Yugoslavia, the civilian economy was the target: hospitals, airports, government buildings, manufacturing, infrastructure, not to mention 17th century churches and the country's historical and cultural heritage.

The following article focussing on the KLA, written and published in April 1999, documents the KLA's links to organized crime and Al Qaeda. 

While the nature of the opposition in Libya remains to be analysed, Western media reports have confirmed that it is integrated by members of the Libyan Islamic Fighter Group (LIFG), a terrorist organization with links to Al Qaeda. 

Michel Chossudovsky, March 24, 2011


Kosovo "Freedom Fighters" Financed by Organized Crime


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YUGOSLAVIA VERSUS LIBYA: NATO's War of Aggression against Yugoslavia
NATO War Crimes Amply documented

By Prof. Michel Chossudovsky

Global Research, March 24, 2011
Jackson Progressive and Global Research - 1999-06-05

Remember Yugoslavia. 24 March 1999. 

This article was first published in early June 1999. It documents the nature of NATO's "humanitarian war" directed against an entire Nation. 

The humanitarian justification to bomb and invade Yugoslavia was fabricated. 

A similar process is now being applied to Libya. 

The bombing of a sovereign country, is being carried out by the so-called "international community" to "save the lives of civilians" under the new logo of "Responsibility to Protect" (R2P), pursuant to UN Security Council resolution 1973.  

Libya 2011: The realties are otherwise: civilians are the unspoken victims of US-NATO bombings. A Blitzkrieg is being carried out against an entire population. 

According to the late Walter J. Rockler, former prosecutor of the Nuremberg War Crimes Trials in relation to the humanitarian bombing of Yugoslavia:

"The bombing war also violates and shreds the basic provisions of the United Nations Charter and other conventions and treaties; the attack on Yugoslavia constitutes the most brazen international aggression since the Nazis attacked Poland to prevent "Polish atrocities" against Germans. The United States has discarded pretensions to international legality and decency, and embarked on a course of raw imperialism run amok.

This assessment by Walter Rockler applies to Libya, which has all the essential features of the 1999 bombing campaign against the Federation of Yugoslavia. 


Michel Chossudovsky, March 24, 2011


NATO's War of Aggression against Yugoslavia
NATO War Crimes Amply documented