Informazione

http://www.balkans.eu.org/article3906.html

DNEVNIK

Macédoine : la légalisation de l’université albanaise de Tetovo crée
des remous

TRADUIT PAR JULIJA JOVCEVSKA, DE LA RÉDACTION DE SKOPJE DU COURRIER DE
LA MACÉDOINE
Publié dans la presse : 9 décembre 2003
Mise en ligne : mercredi 10 décembre 2003


Alors que le gouvernement macédonien se propose de « légaliser »
l’université albanaise parallèle de Tetovo, des mouvements étudiants
manifestent devant l’Assemblée nationale et l’opposition implore le
Premier ministre d’injecter ces fonds dans le réseau universitaire déjà
existant.

Par Igor Segavik


Le VMRO-DPMNE propose au Premier ministre, Branko Crvenkovski, une
seconde manière d’utiliser l’argent destinée à l’université de Mala
Recica : l’injecter dans le système éducatif existant en investissant
dans de l’équipement technique et la construction d’une nouvelle cité
universitaire.

Les perturbations causées par l’université de Mala Recica donneront
lieues, ce mardi, à une grande manifestation étudiante. Quelques partis
politiques, le Congrès mondial de la Macédoine, 22 ONG et une union des
élèves soutiendront cette manifestation contre la légalisation de
l’université illégale de Tetovo (l’UT), prévue pour mardi devant
l’Assemblée.

Les manifestations contre cette université « illégale » sont organisées
par le Bureau coordinateur des syndicats des étudiants des facultés des
universités « Saints-Cyrille-et-Méthode » et « Saint-Clément d’Ohrid ».
Le bureau coordinateur a lancé un appel à tous les citoyens afin de
rejoindre cette manifestation pacifique devant l’assemblée nationale au
moment même où les députés mettront au vote le projet de légalisation
de cette université. Mais cette manifestation n’est pas soutenue par
les syndicats étudiants des deux universités.

Hier, le parti d’opposition VMRO-DPMNE a annoncé qu’il soutiendrait la
manifestation des étudiants. Ce parti considère que l’argent prévu pour
la légalisation de cette université pourrait augmenter la qualité de
l’éducation en Macédoine.

« Avec les trois millions d’euros prévus pour cette légalisation, on
pourrait acheter 3 500 nouveaux ordinateurs pour les écoles en
Macédoine. Avec cet argent là, on pourrait aussi construire une
nouvelle cité universitaire d’une capacité de 1000 étudiants, on
pourrait approvisionner en méthodes gratuites les écoles primaires
ainsi que rénover environ 80 écoles » estime le VMRO-DPMNE dans une
lettre ouverte adressée au Premier ministre, Branko Crvenkovski.

Lors de la conférence de presse d’hier, le Bureau coordinateur du
secteur non-gouvernemental a appelé les citoyens à sortir et à
protester. Ce Bureau a aussi demandé le soutien des organisations
internationales.

« La légalisation de Mala Recica signifie la capitulation totale du
gouvernement devant la violence et un début de légalisation de toutes
les institutions parallèles dans le pays. Si cette université devient
légale, la qualité de l’éducation supérieure diminuera. Pourquoi
investir dans la quantité et non dans la qualité ? Tous les États
européens ont résolus la question de l’éducation des minorités par la
création d’universités privées et non en les faisant financer sur le
budget de l’État. Pourquoi les citoyens donneraient de l’argent pour
cette université alors qu’ils n’auront pas la possibilité d’y apprendre
en langue macédonienne ? », demande le Bureau du secteur
non-gouvernemental.

Le syndicat des étudiants des deux universités du pays, à Skopje et
Bitola, ne soutiennent pas cette manifestation. Ils considèrent que
cette initiative est légale, mais n’arrive pas à bon terme. Ils ont
alerté le ministère de l’Éducation afin qu’il présente publiquement les
arguments en faveur de la légalisation de l’université de Mala Recica.

« Nous voulons dire aux étudiants de ne pas aller manifester devant
l’assemblée. Maintenant, alors que nous sommes à la porte de l’Union
européenne, nous devons montrer que nous savons résoudre nos problèmes
de manière civilisée. Il ne faut pas que 1997 se répète [1] » a déclaré
Marija Stambolieva, la présidente du syndicat des étudiants de
l’université Saints-Cyrille-et-Méthode.

Stambolieva s’étonne d’ailleurs de l’initiative des étudiants, car lors
d’une réunion de travail s’étant déroulée la semaine dernière, aucun
des syndicats des facultés n’avaient parlé d’une initiative pareille.
Stambolieva a annoncé que si la réunion avec le ministre de l’Éducation
n’avait pas lieu, réunion lors de laquelle il exposera les arguments en
faveur de la légalisation, elle demanderait aux députés non pas de
boycotter cette loi, mais de la reformuler avant de procéder au vote
définitif.


[1] En 1997, lors de l’ouverture de cette université illégale, de
violentes manifestations qui avaient dégénérées en émeutes urbaines
entre les forces de l’ordre et les manifestants albanais, avaient eu
lieu dans le pays, notamment à Tetovo et Gostivar.


© Tous droits réservés Dnevnik
© Le Courrier des Balkans pour la traduction

Les opinions exprimées
sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement
les opinions du Courrier des Balkans.

The New Balkans: Bigotry and Terror

1. Remaking of the Balkans? (by M. Bozinovich)
2. A New Wave of Terrorism in the Balkans? (by Ivelina Puhaleva)
3. UN adds Bosnian charity director to al Qaeda list (Reuters)

SEE ALSO:

Greece deems threat from Bosnian Arabs
http://www.menewsline.com/stories/2003/december/12_18_1.html

Bosnia Compensates Terror Suspects (by Anes Alic)
http://balkanreport.tol.cz/look/BRR/
article.tpl?IdLanguage=1&IdPublication=9&NrIssue=1&NrSection=1&NrArticle
=11373

Bosnia, 1 degree of separation from Al-Qaeda
http://www.balkanpeace.org/our/our15.shtml

CRG: War on terrorism skipped the KLA (by James Bissett)
http://news.serbianunity.net/bydate/2003/December_29/2.html


=== 1 ===

> http://www.serbianna.com/columns/mb/016.shtml

Remaking of the Balkans?

By M. Bozinovich

Immediately following the massacre of Jews in Turkey, Serbian special
anti-terror units (SAJ) swarmed upon the western embassies in Belgrade.
An especially tight security was established around the Israeli embassy
and that security still remains.

During the week of the Turkish massacre, a group of unidentified
middle-eastern men has been arrested in Pancevo, a city 6 miles to the
north of Belgrade. Additionally, Serbian army hospital (VMA) has also
been placed under strict security although the hospital chief Dr. Zoran
Stankovic has downplayed the new tight security rules as a “rudimentary
and usual procedure” for a military institution.

Moreover, last Saturday a “suspicious” character was arrested in front
of the US Embassy in Belgrade after concerned citizens tipped off the
Serbian security forces of his “weird” behavior.

Serbian government remains silent over their increased security
activities and has not commented nor publicly acknowledged that they
have even been done. The only statement by the Serbian police (MUP) has
been that it comments only through public statements and will not
answer any questions to the media.

Recent unusual behavior by the Serbian anti-terror SAJ units, and the
government silence about it in particular, indicates that the
intelligence in Serbia believes that a credible terrorist threat exists
that can strike western interests and Serbia itself.

Could a rising Islamic terrorism in the Balkans precipitate a change in
the military alliances in the Balkans, away from Islamic governments
such as in Kosovo that acquiesce to terrorism and towards the
reform-minded ones in Belgrade or Skopje?

Rising Terrorist Threat in the Balkans

The rising terrorist concern in Serbia comes on the heels of a recent
report by the US Congressional Task Force on Terrorism and
Unconventional Warfare claiming that since “mid-August 2003, radical
Islamist leaders elevated the role of the terrorism infrastructure in
the Balkans as a key facilitator of a proposed escalation of conflict
into the heart of Europe, Israel and the United States."

According to the report, al-Qaeda has appointed Shahid Emir Mussa Ayzi
to run special recruitment operations in the Balkans. Ayzi is veteran
of Afghanistan with close bin-Laden and Taliban ties.

The head of the US Congressional Task Force on Terrorism and
Unconventional Warfare, Yossef Boddansky, claims that the al-Qaeda
recruitment of Balkan Muslims occurs around the Islamist mosques whose
numbers are rapidly expanding in Kosovo, Bosnia, Albania and Macedonia.
These mosques enjoy a high level of security because the Albanians who
run these regions get valuable terrorist training from the Islamists.

Says Boddansky: "the Islamists assist the local terrorists in preparing
for launching spectacular terrorism into the major cities of Serbia and
Montenegro, with Belgrade and Nis believed to be the top targets."

Since Boddansky’s September report, an anonymous US officer has
disclosed to the Reuters news agency that among the many terrorists
arrested in Iraq one also finds Albanians. Furthermore, an anonymous US
security officer in Kosovo has disclosed to the Christian Science
Monitor that Kosovo is controlled by Albanian mafia receptive of
al-Qaeda presence.

Immediately following the Turkey massacre, moreover, an unspecified
threat has triggered an elevated security response by NATO in Kosovo.
"We now know that a specific threat has been made toward international
organizations within Kosovo," Wing Commander Chris Thompson of KFOR
said in a news Conference in November.

In the midst of NATOs heightened alert, or despite it, Kosovo president
Ibrahim Rugova immediately denounced any possibility of an al-Qaeda
attack as impossible. Speaking in Athens he insisted there were no
people linked to extremists in Kosovo. "But this [allegations of
terrorist cells] is unfounded… It could be that some people spread such
allegations to destabilize Kosovo," Rugova told the Greek newspaper
Kathimerini.

Meanwhile and to the contrary of what the Kosovo Albanian president
claims, English reporters from the Sunday Mirror have infiltrated a
cell of Muslim extremists in Kosovo and bought enough of the explosive,
Semtex, to blow up over 40 passenger airplanes. In their report, the
Mirror claims that the reporters have established contact with the
“deputy commander of the Kosovo Liberation Army (KLA) Niam Behljulji,
known as Hulji. The group were trained by Bin Laden's men.”

Since then, reports have been made that Hulji has been assassinated by
al-Qaeda because of an obvious security compromise of their
organization in Kosovo.

Despite the massing evidence of al-Qaeda presence in Kosovo from
military and security sources as well as the media, the officials that
run Kosovo appear ready to cover up terrorist threats.

The Mirror report, for example, tells a story of a cover up when their
reporters informed the British police in Kosovo of the location of the
buried Semtex explosive. During the retrieval of the buried explosives
the “Finnish bomb disposal squad… told us the hill had been mined
during the war.”

The more senior officials that run Kosovo, however, altogether deny all
allegations of terrorist threats in this Serbian province. Speaking in
Bulgaria, the Deputy Special Representative for the United Nations
Secretary-General in Kosovo Jean-Christian Cady said that “contrary to
what is sometimes said, Kosovo is not a safe haven for organized crime
and terrorism”.

Speaking during the recent regional conference on cooperation in the
fight against organized crime in Belgrade, however, Serbian Prime
Minister Zoran Zivkovic echoed what is only sometimes said by noting
that "terrorists are still being sheltered." in Kosovo and added that
the UN, unlike in Bosnia, has demonstrated lack of will in cracking
down on it.

Yet Bosnia itself appears under increasing terrorist pressure. Serbian
independent Weekly Telegraph reports that a string of Serbian border
villages on the Muslim side of Bosnia have been overtaken by bearded
middle-easterners demanding ransom from the locals.

Changing Alliances?

NATO Chief’s recent visit to Belgrade may be an underscore to the
increasingly overt Western cooperation with Belgrade. Speaking to the
Serbian military academy, Lord Robertson was asking the future generals
of Serbia to let bygones be bygones and that in the interest of
security Serbian military should accept NATOs extended hand.

Immediately following Robertson’s visit to Serbia, Belgrade government
announced its expectation to join NATOs Partnership for Peace in May
2004.

The visit and the announcement follow Washington’s recent decision to
reexamine American military alliances throughout the world because of
the changed structure of security threats to the West.

Meanwhile, NATOs unwillingness to crack down on terrorists in Kosovo
suggests that the alliance may be expecting someone else close to the
alliance to do that.

In fact, early last summer Italian general in Kosovo suggested that
Serbian military could partake in Kosovo patrols along with NATO as a
way to uphold the Resolution 1244 that governs the conduct of the UN
administration in the Kosovo province. The general, however, underlined
that “presently” it would be impossible because Serbia is not
associated with NATO. In May of 2004 this apparent obstacle will be
eliminated.

Moreover, the warming of the West-Belgrade relationship may be what was
behind Serbia’s recent rather vociferous and a stern rejection of the
UN plan for future of Kosovo. After reviewing the UNs proposal, the
Serbian government declared it "unacceptable in its current form as a
way to solve the Kosovo crisis" claiming that "none of the objections
and suggestions could be seriously considered".

Finally, Washington’s backing of the Democratic Party candidate Boris
Tadic for the upcoming elections in Serbia also alludes to the
Western’s desire to reconstruct its military alliance in the Balkans.
While not compromised by political and financial scandals during the
DOS era, Boris Tadic was, more significantly for Washington, a former
Defence Minister that purged the Milosevic-era generals from the
Serbian military and replaced them with his own men.

Indeed, nationalist Radicals, still riding high from their recent
strong showing in the polls, may have gotten the typical massage to
move out of the Tadic’s way. “Ultra-nationalist leader whose Radical
Party is expected to win strong support in this month's general
election was hurt in a car crash on Wednesday but his life was not in
danger.” noted Reuters.

As a favorite method of a Balkan political disposal, another political
car crash once again demonstrates that practicing politics in the
Balkans is indeed a dangerous business.


=== 2 ===

http://www.balkantimes.com/
default3.asp?lang=english&page=process_print&article_id=22335

A New Wave of Terrorism in the Balkans?

By Ivelina Puhaleva for Southeast European Times in Sofia - 12/12/03

The wave of bombings in Istanbul has placed Southeast Europe at the
heart of the fight against terrorism. With a population of 15 million
and a key position in the region, the city has the kind of media
presence eagerly sought by violent extremists.

"All must see with eyes wide open that the problem of terrorism is not
local, it recognises no colour," said Ismet Sever, deputy chairman of
the Union of Bulgarian and Turkish Businessmen, who lives in Istanbul.
"I think it is not by accident that twice in a week Istanbul was shaken
by terrorist attacks."

Turkey has been fighting terrorism for 40 years. In the 1960s and 1970s
against leftist extremists, in the 1980s and 1990s against attacks by
the Kurdish Separatist Party, and since the beginning of the new
century against the terrorism of Islamic fundamentalists. Meanwhile,
the country has remained steadfast in its duties and obligations as a
member of NATO, supporting operations in Somalia, Bosnia and
Herzegovina and in Afghanistan. Many observers consider Turkish
solidarity with its Western and Alliance partners as the main reason
Islamic terrorists have targeted it.

The two bombings in Istanbul coincided with NATO's decision to appoint
Turkish representative Hikmet Cetin -- a former parliament speaker and
foreign minister -- as high civil commander of the peacekeeping forces
in Afghanistan.

In the bloody aftermath of the November bombings, Turkish authorities
immediately announced their determination to find anyone connected to
the terrorist plot. The EU sided with Turkey and unexpectedly welcomed
Turkey's aspirations to join the European family.

Within days, investigators had uncovered details of al Qaeda
recruitment and training activities in the Balkans. A Romanian
newspaper reported that some of these terrorist activities were
financed and undertaken within Europe.

Three Balkan states -- Bulgaria, Romania and Turkey -- held a
tripartite meeting after the Istanbul bombings, aimed at outlining
common measures to combat terrorism. But Turkey went further, following
the trail of some explosives used by the suicide bombers. A report in
the Romanian daily Gardianul cites two unnamed chemical factories, one
in Bulgaria and one in Romania. The Bulgarian one would have been
advantageous to the terrorists because of its proximity to Turkey, the
paper suggests. It describes the Romanian factory as the property of
businessmen who had left Turkey.

Bulgarian authorities say all preventive measures were taken, that the
secret services were working in close co-operation with their Western
colleagues and that no terrorist or banned Islamic organisations acted
on Bulgarian territory.

Fundamentalist groups, as well as separatists that had until recently
carried out more or less local activities, have started to claim
affiliation with al Qaeda. They have attempted to rationalise their
attacks by blaming Turkey for its relations with the United States and
Israel.

As a result, Turkey now seems to be caught "between the devil and the
deep sea" -- the unpredictable devil of global terrorism and the deep
sea of its European aspirations.

© 1999 - 2003 Southeast European Times. All Rights Reserved.


=== 3 ===

http://www.b92.net/english/news/
index.php?&nav_category=&nav_id=26219&order=priority&style=headlines

Reuters
December 30, 2003

UN adds Bosnian charity director to al Qaeda list

UNITED NATIONS -- Tuesday – The United Nations
yesterday added the director of a Bosnian charity to
its list of individuals whose assets should be frozen
due to suspected ties to Osama bin Laden or his al
Qaeda network.

Safet Durguti, 36, was added to the U.N. list at the
request of the United States and Saudi Arabia. While
he was born in Orahovac, Kosovo, his nationality is
unknown, the United Nations said.

The goal of the U.N. list, which is maintained by a
U.N. Security Council committee and currently has more
than 300 names of businesses, individuals and
organizations, is to deprive suspected extremists of
the money and other resources they need to carry out
attacks.

Putting groups and individuals on the list obliges the
United Nations' 191 member-nations to freeze their
funds and other assets and block their movements.

Durguti is the director of a charity called Vazir,
based in the Bosnian city of Travnik.

The United States and Saudi Arabia have concluded that
Vazir was simply another name for the Al-Haramain
Islamic Foundation, a Saudi-based charity that was
placed on the U.N. list in March 2002, the U.S.
Treasury Department said last week.

Vazir was formed in May 2003 as an association for
sports, culture and education but was based in the
same business space as Al-Haramain, it said.

The United Nations also added Hochburg AG, a company
based in Vaduz, Liechtenstein, to its list.

The firm is a successor to a company called the Ba
Taqwa For Commerce And Real Estate Company Ltd, whose
assets were ordered frozen in 2002.

Hochburg and BA Taqwa share the same business
registration number, and records in Liechtenstein show
that BA Taqwa was renamed Hochburg AG early in 2002,
the U.S. Treasury said.

----- Original Message -----
From: Toni Zingaro <gorangero@...>
To: <Ova adresa el. pošte je zaštićena od spambotova. Omogućite JavaScript da biste je videli.>
Sent: Sunday, December 26, 2004 1:39 AM
Subject: Re: [JUGOINFO] Digest Number 905

> Io dissi appena avevano arestato Slobodan Milosevic che cosa si
> succedera, poci errano convinti di quello che dicevo.
> Nessuno di quelli della NATO al inizio non sapevano che cosa si
> succedeva realmente, certi giornalisti Amerikani facevano la parte
> della CIA e loro doverre era di difondere le informazioni falsi. Qui
> non parlo della propaganda (di questo si occupava M5 dei Inglesi che
> mandando le notizie perché lavoravano per il più grandi giornali di
> Inglitera e mondo) ma parlo dei fatti che ho visto e visuto, che Dio
> mi perdoni.
> In tutti anni del conflito Tedeschi, Amerikani e Inglitera mandavano
> gli aiuti umanitari ai Bosniaci e Croati, mandavano dei camion dove
> sulla fattura di viaggio stava scritto sale, olio, farina e zuccero e
> nessuno gli
> controlava, e si sapeva perché. perché dentro questi camion eravanno
> nascoste le armi, stesse armi che dopo ucidevano famiglie Serbe, di
> questo nessuno fa domande in tribunale di AJA.
> Nessuno fa le domande come mai e per qualle motivo era cominciata la
> guerra in Jugoslavia? nessuno ha il coraggio di rispondere alla
> domanda "che cosa si succederebbe se in Italia Nord decide di
> diventare uno stato e per ottenere questo utiliza i paramilitari"?,
> identica cosa se qualsiasi regione o canton decide di fare stessa cosa
> in Francia, Spagna e cett.
> Qualle sono le nazioni che hanno deciso validità giuritica del
> fantomatico tribunale di AJA, chi sono? Per chi lavorano le guardie
> carcerarie?
> Dove sono spariti testimoni quelli che dovevano testimoniare per
> Slobodan Miloscevic pur che gli non servono avrei un milione di
> domande da fare ma
> non e questo quello che voglio. Vorrei fare solo una testimonianza
> perché so che e la verità e Dio mi e testimone, NON ESISTE NESSUN
> FOGLIO O LA CARTA FIRMATA DI SLOBODAN MILOSCEVIC DOVE SI ORDINA
> QUALSIASI MASSACRO.
> Nessuno della NATO ha il corraggio di mettersi avanti (non legale)
> corte e dire che nei tempi dei bombardamenti (480 voli con ordini di
> distruggere) sono stati fatti propri genocidi e che ci sono state più
> vitime dai loro bombardamenti, che per il 7 anni di guerra. Si dico
> sette anni perché uno che la ha visuta sa di che cosa parlo.
> Cari amici non Vi deve sorprendere se i vgliaci dei pubblici ministeri
> opssss ho fatto lapsus volevo dire privati ministeri della Nato non
> fanno rispondere a Slobodan. Io, Voi e tutti quelli che combatono il
> fascismo, semitismo e le leggi raziali sapiamo bene che ogni risposta
> del Slobodan Milosevic e argomentata con la verità e tutti noi sapiamo
> che la NATO sempre ha avuto la paura della verità.
> Cari amici queste parole no tanto correte gramaticamente perché non
> sono andato a scuola qui in Italia ma in Jugoslavia si, Vi scrive un
> uomo molto semplice che ha avuto il onore di combatere nella
> formazione regolare nella JNA (JUGOSLAVENSKA NARODNA ARMIJA) e di
> nuovo ci andrei per combatere il fascismo e antisemitismo.
> Non so a chi e venuta sta briliante idea di descrrivere storia del
> nostro popolo, quello dovrebbe andare a farsi vedere da qualche
> neuropsiciatra, da quanto isiste il mondo e la umanità ogni popolo ha
> descritto e fatto la storia di suo paese.
> Io come attore (autoditato che ha recitato con Moni Ovadia, che ha
> scritto un piccolo libricino che si chiama "RICORDI" e lo ho
> autoprodoto) sto scrivendo una scenegiatura e la voglio portare sul
> palcoscenico.
> Di mileduecento copie del libro mi sono rimaste solo duecento copie
> (una copia sei euro) se gli usciro vendere di ogni libricino venduto 3
> euro sono per la diffesa di Miloscevic, un euro e per i miei due
> bambini adotati a
> distanza di Novi Sad che sono rimasti senza genitori. Loro sono morti
> sotto le bombe dei NAZISTI della NATO.
> Adesso Vi saluto e Vi auguro le buone feste a Voi e le Vostre
> famiglie, la mia non ce più


I siti internet di Toni Zingaro:
www.tonizingaro.net
www.dromomania.org

IL NOSTRO UNICO INDIRIZZO E' <jugocoord@...>
JEDINA ADRESA KOJU IMAMO JE <jugocoord@...>
OUR ONLY EMAIL ADDRESS IS <jugocoord@...>
UNSERE EINZIGE EMAIL ADRESSE IST <jugocoord@...>

COORDINAMENTO NAZIONALE PER LA JUGOSLAVIA


PER UN BUON 2004 / ZA SRECNU NOVU GODINU /
FOR A HAPPY NEW YEAR / FUER EINEN GUTEN RUTSCH...

L'Internationale

Texte: Eugène Pottier
Musique: Pierre Chrétien Degeyter

1. Debout! les damnés de la terre, Debout! les forçats de la faim! La
raison tonne en son cratere, C'est l'éruption de la fin. Du passé
faisons table rase, Foules esclaves, debout! debout! Le monde va
changer de base: Nous ne sommes rien, soyons tout!

C'est la lutte-finale: Groupons-nous, et demain, L'Internationale
sera le genre humain

2. Il n'est pas de sauveurs suprêmes: Ni Dieu, ni César, ni tribun,
Producteurs, sauvons nous-mêmes! Décrétons le salut commun! Pour que
le voleur rende gorge, Pour tirer l'esprit du cachot, Soufflons nous-
mêmes notre forge, Battons le fer quand il est chaud!

C'est la lutte finale...

3. L'état comprime et la loi triche; L'impôt saigne le malheureux;
Nul devoir ne s'impose au riche; Le droit du pauvre est un mot creux.
C'est assez languir en tutelle, L'égalité veut d'autres lois; "Pas de
droit sans devoirs, dit-elle, Égaux pas de devoirs sans droits!"

C'est la lutte finale...

4. Hideux dans leur apothéose, Le rois de la mine et du rail Ont-ils
jamais fait autre chose Que dévaliser le travail? Dans les coffres-
forts de la bande Ce qu'il a créé s'est fondu. En décrétant qu'on le
lui rende Le peuple ne veut que son du.

C'est la lutte finale...

5. Le rois nous soûlaient de fumées, Paix entre nous, guerre aux
tyrans! Appliquons la grève aux armées, Crosse en l'air et rompons
les rangs! S'il s'obstinent, ces cannibales, A faire de nous bientôt
que nos balles Sont pour nos propres généraux.

C'est la lutte finale...

6. Ouvriers, paysans, nous sommes Le grand parti des Travailleurs; La
terre n'appartient qu'aux hommes, L'oisif ira loger ailleurs. Combien
de nos chairs se repaissent! Mais, si les corbeaux, les vautours, Un
de ces matins, disparaissent, Le soleil brillera toujours! C'est la
lutte finale...

(In calce: una nota sulla MOLDAVIA a cura di Mauro Gemma)


---


Da: RicK Rozoff
Data: Lun 29 Dic 2003 18:15:17 Europe/Rome
Oggetto: NATO's Assault On Yugoslavia Opens Political Pandora's Box In
Eastern Europe

[Note: Today's news items do not include information
concerning the contentious and, as always in today's
volatile politico-military atmosphere, war-fraught
territorial disputes between Croatia and Slovenia over
fishing and water rights, between currently pan-Magyar
Hungary, which is issuing passports to ethnic
Hungarians in three other nations, and Serbia over the
latter's province of Vojvodina, Lithuania and Russia
regarding the Kaliningrad enclave, pan-Albanian
designs on Kosovo, South Serbia, Macedonia, Montenegro
and Northwestern Greece, the ongoing and overtly
military contretemps between Russia and Western-backed
Ukraine over the Kerch Strait/Tuzla Island gateway
from the Black Sea to the Sea of Azov, etc.
Rest in peace to the Yalta and Potsdam Accords, the
United Nations Charter, the Helsinki Final Act and all
other treaties and arrangements designed to prevent a
resumption of land grabs on the European continent
which last resulted in a world war that cost humanity
some fifty million lives.
The last time a comparable scramble for Central and
Eastern Europe occurred commenced in 1938.]



1) Slovakia vs Hungary, Hungary vs Slovakia
2) Romania vs Hungary
3) Romania vs Moldova
4) Greater Romania vs Moldova
5) Western Europe vs Russia With Troops Ready For
Deployment
6) Transdniester vs Romania And Western Europe


1)
http://www.rferl.org/newsline/2003/12/3-CEE/cee-291203.asp

Radio Free Europe/Radio Liberty
December 29, 2003

SLOVAKIA MIGHT SEEK INTERNATIONAL ADJUDICATION OVER GABCIKOVO-NAGYMAROS

Foreign Minister Eduard Kukan told TASR on 27 December
that Slovakia is considering appealing to the
Hague-based International Court of Justice (ICJ) over
its unresolved dispute with Hungary over the
Gabcikovo-Nagymaros dam. Kukan implied that
negotiations with Hungary are going nowhere and
Budapest is showing no willingness to resolve the
long-standing dispute. Kukan said the only progress so
far has been fixing a date for the next round of talks
on the issue. In 1997, the ICJ ruled that Hungary
violated international law by abandoning a bilateral
agreement to build a hydropower network on the Danube
River, but at the same time the court concluded that
Slovakia was wrong in pressing ahead with the project
and diverting Danube waters from Hungary to Slovakia.
MS
------------------------------------------------------
2)
HUNGARIAN STRIFE OVER TRANSYLVANIAN AUTONOMY
INTENSIFIES

Responding to criticism by Foreign Minister Laszlo
Kovacs, the Hungarian opposition FIDESZ party's
leadership issued a statement on 23 December calling
Kovacs "unfit" to serve as Hungary's most senior
diplomat, local media reported. The statement said
FIDESZ rejects "with shock and consternation" Kovacs's
criticism of its support for autonomy for the
Hungarian minority in Transylvania. "The fact that
Laszlo Kovacs...repeatedly takes the side of Romanian
interests on this issue bears witness to such a level
of malevolence and insensitivity to national interests
that we can state with justification that Laszlo
Kovacs is unfit to represent Hungary at any
international forums as foreign minister," the
statement charges. Kovacs had criticized the chairman
of FIDESZ's national council, Laszlo Kover, who
reportedly told a recent ethnic Hungarian forum in
Transylvania that "it is regrettable that the peaceful
and constitutional aspirations of the Hungarian
minority [in Romania] for the assertion of its
interests have thus far received less attention and
supportive benevolence from European public opinion
than the demands of those ethnic groups who have
resorted to force". Kovacs said anyone who believes it
is expedient to resort to violence to achieve autonomy
and publicly expresses such a position is acting
irresponsibly and harming the cause of autonomy for
Transylvania's ethnic Hungarians. MS
------------------------------------------------------
3)
http://www.rferl.org/newsline/2003/12/4-SEE/see-291203.asp

Radio Free Europe/Radio Liberty
December 29, 2003

MOLDOVAN OFFICIAL WARNS ROMANIAN PRESIDENT

Alexei Tulbure, Moldova's permanent representative to
the Council of Europe, said in an interview with
Novosti-Moldova on 23 December that Romanian President
Ion Iliescu would be well advised to be more careful
in his statements about Moldova, Flux reported.
Tulbure, who was commenting on a statement by Iliescu
calling Moldova's nationalities policies "Stalinist"
(see "RFE/RL Newsline," 18 December 2003), said
Iliescu will have to recognize the existence of a
Moldovan national identity separate from the Romanian
identity sooner or later. Tulbure added that if
Romania refuses to do so, recognition will be
"imposed" on it from outside. Iliescu would be forced
to recognize the separate Moldovan identity just as
foreign pressure forced Iliescu to acknowledge the
perpetration of the Holocaust on Romanian territory,
Tulbure said. "Nobody doubts that the Moldovan and
Romanian language are identical, but every people has
the right to self-determination and the Moldovan
people has exercised that right," he added. On 23
December, Gheorghi Prisacaru, chairman of the Romanian
Senate's Foreign Affairs Committee, called Moldova's
recently adopted Concept of the State's Nationalities
Policies a "historical and judicial
aberration...reminiscent of attempts dating back to
the Stalinist times," Mediafax reported. MS
------------------------------------------------------
4)
http://www.rferl.org/newsline/2003/12/4-SEE/see-291203.asp

Radio Free Europe/Radio Liberty
December 29, 2003

MOLDOVAN PRESIDENT LASHES OUT AT OPPOSITION, ROMANIA

Speaking in parliament on 26 December, President
Vladimir Voronin charged that the opposition's stance
regarding the Concept of the State's Nationalities
Policies is motivated by its desire to recreate the
"single-nation [Romanian] empire...expanded from the
Tisa River to Tiraspol," Infotag reported. Voronin
claimed that the Council of Europe has approved the
concept, which has drawn heavy criticism from the
opposition opponents who labeled it "an example of
Stalin-style propaganda." Differences between the
Moldovan and Romanian languages might not be readily
apparent, Voronin said, but "to be 100 percent sure,
we still need the qualified expertise of professional
linguists." "One mustn't forget that for six centuries
we have been calling our language Moldovan, while in
the neighboring state, the designation of the language
as Romanian is of rather recent vintage," he added.
Voronin said the Concept of the State's Nationalities
Policies was not conceived to outlaw Romanian identity
or the Romanian language but, "on the contrary, it
grants everyone the right to decide what his or her
ethnic origin is." MS
------------------------------------------------------
5)
http://www.rferl.org/newsline/2003/12/4-SEE/see-291203.asp

Radio Free Europe/Radio Liberty
December 29, 2003

EUROPARLIAMENT CRITICIZES RUSSIA, READY TO SEND EU PEACEKEEPERS TO
TRANSDNIESTER...

The European Parliament recently approved a resolution
saying the EU is willing to join an international
peacekeeping force under an OSCE mandate in the
Transdniester, Flux reported on 23 December. The
agency said that at its 15-18 December session, the
European Parliament criticized the Russian plan for
Moldova's federalization, saying the rejected scheme
was "aimed at legitimizing the current situation in
the region" and its approval would have created a
serious obstacle to Moldova's democratization. The
European lawmakers deplored Moscow's actions, saying
that "despite the obligations it has assumed, Russia
does not intend to withdraw its troops from the
Transdniester region by end 2003" and thus is
essentially contributing to the status quo and the
maintenance in power of the Tiraspol secessionist
regime. The resolution also said the evacuation of
Russian troops and military equipment from
Transdniester must in no way be linked to the
negotiations for a peaceful solution of the
Transdniester conflict. MS
------------------------------------------------------
6)
...WHILE TIRASPOL MAKES GOOD ON THREAT TO STOP RUSSIAN MILITARY
EVACUATION

The separatist authorities in Tiraspol on 26 December
announced that they have "suspended" the process of
Russian troop and weapon withdrawal, ITAR-TASS
reported. The authorities said the withdrawal has been
halted until "at least" 8 January, when separatist
leader Smirnov is to make a statement explaining the
decision. Smirnov recently threatened to halt the
process in retaliation for Chisinau's last-minute
refusal to approve the Russian plan for the country's
federalization. The Russian Defense Ministry announced
that two military-transport planes evacuated portable
surface-to-air missile systems and guided antiaircraft
missiles from Transdniester on 26 December. According
to ITAR-TASS, that decision was taken "in order to
minimize the potential threat of these weapons being
seized or used by terrorists." MS


---


RISPETTO DELLE MINORANZE NAZIONALI

I paesi “democratici” dell’est, entrati nell’Unione Europea, devono
prendere esempio dalla Moldavia governata dai comunisti e minacciata
dalla NATO

26.12.2003

Oleg Ghibu, REGIONS.RU

http://www.kprf.ru/399698

La lingua russa ha ricevuto in Moldavia il riconoscimento ufficiale di
lingua “di contatto tra le nazionalità” (si intende lo status di lingua
nazionale a pari dignità con il moldavo). Ciò viene sancito dalla
cosiddetta “Concezione della politica nazionale della Moldavia”,
approvata dal parlamento della repubblica ed entrata in vigore il 25
dicembre, dopo la pubblicazione del decreto di approvazione di tale
documento da parte del presidente della repubblica Vladimir Voronin.

La “Concezione” è indirizzata alla realizzazione della concordia
civile, allo sviluppo di corretti rapporti interetnici, alla rimozione
delle conseguenze del conflitto sul Dniestr, ed è basata sul rifiuto
dell’ “assimilazione forzata” (dei russi e delle altre minoranze) da
parte dei moldavi. L’elemento basilare del documento è rappresentato
dal rafforzamento del bilinguismo moldavo-russo e russo-moldavo.

Traduzione dal russo di Mauro Gemma

Za Jugoslavene i jugoslaviste   - Per gli Jugoslavi e Jugoslavisti
 

Svakog utorka, od 14,00 do 14,30 sati, na Radio Città Aperta, i valu FM
88.9 za regiju "Lazio", emisija "JUGOSLAVENSKI GLAS". 
Emisija je u direktnom prijenosu. Moze se pratiti  i preko  Interneta:
http://www.radiocittaperta.it
Kratke intervencije na telefon (0039) 06 4393512.  Emisija je
dvojezicna,  po potrebi i vremenu na raspolaganju.
Podrzite taj slobodni i nezavisni glas, kupujuci knjige, video kazete,
brosure, koje imamo na raspolaganju. Pisite nam na
jugocoord@..., ili fax  +39 06 4828957.
Trazimo zainteresirane za usvajanje na daljinu, t.j. djacke stipendije
za djecu prognanika. Odazovite se. A potrebna je pomoc i malom Marku
koji se lijeci vec drugu godinu u Rimu od leukemije.
 
Ogni martedì dalle ore 14,00 alle 14,30,  
"VOCE JUGOSLAVA"  
su Radio Città Aperta, FM 88.9 per il Lazio. Si può seguire, come del
resto anche le altre trasmissioni della Radio,  via Internet:
http://www.radiocittaperta.it
La trasmissione è bilingue (secondo il tempo disponibile e la
necessità). La trasmissione è in diretta. Brevi interventi allo 06
4393512.
Sostenete questa voce libera e indipendente acquistando videocassette,
libri, bollettini a nostra disposizione. Possibili adozioni a distanza
(borse di studio). Scriveteci all' e.mail: jugocoord@...,
tel/fax 06 4828957. Necessita anche un aiuto o una donazione di sangue
per Marko, che si trova già per il secondo anno a Roma a curarsi di
leucemia. Contattateci.

Program - programma       30.12.2003

1. Jucer, danas sutra, datumi ... da se ne zaboravi 
2. Kratke vijesti "od Triglava do Vardara...." i ne samo..
     Izbori u Srbiji. O SLOBODI - ICDSM za slobodu Slobodana Milosevica

1. Ieri, oggi, domani, date ... per non dimenticare
2. "Dal monte Triglav al fiume Vardar...", e non solo.
     Elezioni in Serbia. Del ICDSM - SLOBODA alla difesa di Slobodan
Milosevic.

     Sretnu i Uspjesnu Novu Godinu zeli Vam Italijanski savez za
Jugoslaviju i redakcija "Jugoslavenski glas".

     Felice e Prospero Anno Nuovo Vi Augura il Coordinamento nazionale
per la Jugoslavia e la redazione di "Voce jugoslava".
 

Nota: la dizione "Kossovo" per indicare la provincia del Kosovo e
Metohija deriva da una soluzione di compromesso tra il termine
originario slavo (Kosovo = dei merli, dal nome della piana che domina
l'area) e lo stesso termine con la desinenza e la pronuncia albanese
(Kosova, con l'accento sulla seconda sillaba). Si tratta di una
versione italiota "politically correct" gia' adottata dai nostri
fascisti i quali pero', ai tempi in cui occupavano la zona (1941-1943)
preferivano usare l'italianissima C al posto della K. (I. Slavo)

---

http://auth.unimondo.org/cfdocs/obportal/
index.cfm?fuseaction=news.notizia&NewsID=2695

Kossovo: ritorni spontanei

Arrivati in Kossovo per seguire una funzione religiosa non vogliono più
rientrare in Serbia e chiedono di poter ritornare nelle proprie case.
E' la storia di 27 sfollati serbi ora alloggiati a Bica, nella
municipalità di Klina.

(19/12/2003) Di Davide Sighele

Quello di Decani è uno dei monasteri ortodossi più suggestivi del
Kossovo. E’ leggermente in collina, a pochi chilometri dal centro
cittadino. L’entrata è protetta da un check point di militari italiani.
Il 24 novembre scorso sono arrivati dalla Serbia 27 sfollati
serbo-kosovari. Per poter assistere alla cerimonia liturgica dedicata a
Sveti Stephan, Santo Stefano. Le luci di candela di cera d’api, i canti
dei monaci. Ma a cerimonia conclusa i 27 sfollati serbi non se ne sono
più voluti andare ed hanno manifestato la loro intenzione di rientrare
nelle proprie case a Klina, nell'ovest della Provincia.

Le organizzazioni internazionali che si occupano di rientri di
sfollati e rifugiati e la stessa amministrazione internazionale UNMIK
sono rimaste spiazzate dalla richiesta. Questi rientri non erano
affatto previsti. Nello stallo generale si è deciso di fare alloggiare
momentaneamente queste 27 persone a Bica, paesino nella municipalità di
Klina dove, già nell’estate del 2002, erano rientrate alcune famiglie
serbe. A Bica la KFOR italiana ha una propria base e lì sono state
alloggiate momentaneamente le famiglie di rientranti. “Non torneremo
indietro - hanno affermato due loro rappresentanti – resteremo a Bica
sino a quando l’UNMIK non risolverà le questioni legate al diritto di
proprietà delle nostre case occupate attualmente da famiglie albanesi”.

Lo scorso 10 dicembre poi 11 persone del gruppo di Bica sono uscite
dall’enclave e si sono recate a Klina dove sono rientrate in una delle
case dovute abbandonare nel 1999. In poche ore si è raccolta una folla
di cittadini albanesi e sono partiti degli scontri con KFOR e la
polizia UNMIK. “Secondo alcuni testimoni la causa degli incidenti
andrebbe accreditata alla KFOR in quanto avrebbe iniziato a colpire i
manifestanti con bastoni al che essi avrebbero risposto con sassaiole”
riporta il quotidiano kossovaro Koha Ditore che poi si concentra sulle
parole del Presidente della municipalità. “E’ una provocazione” ha
affermato quest’ultimo “non ci hanno ascoltato, quindi è successo
quello che è successo”.

A Klina il rientro spontaneo delle famiglie serbe ha creato forti
malcontenti. Al Municipal Working Group - riunione settimanale durante
la quale le autorità locali si confrontano con associazioni, ONG ed
organizzazioni internazionali - i rappresentanti della municipalità di
Klina hanno espresso la loro frustrazione in merito alla vicenda ed
hanno specificato come siano del tutto contrari a ritorni spontanei.
“Non accettiamo il ritorno dei serbi perché non sappiamo ancora nulla
sui nostri familiari scomparsi”, hanno specificato. Dura la replica dei
rappresentanti dell’amministrazione internazionale. “Non è possibile
sostenere solo un tipo di rientri. Ed inoltre inutile vantarsi di
sostenere i rientri, seppur solo quelli organizzati, e poi non fare
nulla per individuare i colpevoli di assalti a membri delle minoranze”.
Secondo l’UNMIK la municipalità deve piuttosto dimostrare di trattare
in modo uguale tutti i suoi cittadini, indipendentemente dall’etnia di
appartenenza.

Nella stessa comunità internazionale emerge comunque diffidenza
rispetto a questi rientri spontanei che forzano i ritmi letargici dei
rientri organizzati rischiando però di essere percepiti come una
provocazione dalla comunità albanese che ancora teme un ritorno delle
autorità serbe in Kossovo. Si temono incidenti e si preferisce
continuare attraverso la politica dei rientri, scarsi sino ad ora, in
aree attualmente abbandonate e possibilmente non troppo vicine ai
grandi centri abitati. Ricostruire case distrutte è molto più facile
infatti che non sfrattare da case occupate illegalmente intere famiglie
albanesi. E garantire la sicurezza in paesini di campagna è più
semplice che farlo in centro città. Prima nuove enclaves e poi pian
piano ricostruire le basi della convivenza. Sembra questo il motto
dell’amministrazione internazionale. Reso esplicito dalla KFOR per
quanto riguarda la vicenda di Klina. "Non ci assumiamo alcuna
responsabilità in merito alla sicurezza di eventuali rientranti in
città", hanno subito specificato.

Secondo un documento dell’Alto Commissariato dei Rifugiati, il Global
Appeal 2004, tra il gennaio 2004 ed il dicembre 2004 i rifugiati in
Serbia e Montenegro originari della Bosnia Erzegovina diminuiranno da
89.950 a 40.000. Quelli originari della Croazia da 180.000 a 40.000.
Gli sfollati interni invece, per la gran parte originari del Kossovo,
passeranno da 220.000 a 200.000. Una diminuzione percentuale molto
inferiore rispetto ai due dati precedenti. E purtroppo rischia di
essere una previsione ottimistica. “La mancanza di chiarezza sullo
status finale della provincia continuerà a rendere difficili le
relazioni tra la comunità maggioritaria nella Provincia e le minoranze”
affermano all’Alto Commissariato “e questo ritarderà ulteriormente i
processi di rientro”.

Date:    Mon, 29 Dec 2003 10:36:47 +0100
Subject:    [TV-STOP] Carla del Ponte, vedette des élections en Serbie
From:    "TV-STOP" <tv-stop@...


Analysant au lendemain des élections législatives en Serbie les causes
de la victoire du Parti radical et de l'élection au Parlement des deux
leaders détenus à La Haye (MM. Milosevic et Seselj), les éditorialistes
de la presse internationale ne peuvent manquer de souligner le rôle
qu'y a joué le TPI au travers des interventions de son Procureur.
Ainsi, le correspondant du New York Times relève sobrement que « Le
gouvernement sortant a refusé de livrer quatre généraux de la police et
de l'armée mis en accusation par le tribunal en octobre. Ils étaient
accusés de crimes de guerre au Kosovo. Les actes d'accusation annoncés
par le procureur en chef de la cour étaient devenus un sujet majeur de
la campagne électorale, et les politiciens locaux disent qu'ils ont
contribué à la victoire des nationalistes. » (1)
Les officiers accusés avaient échappé aux purges sévères entreprises
depuis 2000 par le gouvernement Djindjic pour s'attirer les faveurs de
l'Occident. Certains avaient conservé des responsabilités de haut
niveau. Leur mise en accusation témoigne d'un parti pris qu'aucun
changement de régime, aucun signe de bonne volonté n'a pu atténuer.
Dans le même temps, et malgré ses promesses, del Ponte n'a émis aucun
acte d'accusation contre les Albanais responsables de crimes contre les
civils serbes du Kosovo. Leurs noms et faits sont connus.
Del Ponte, ni l'administration occidentale au Kosovo, n'ont rien
entrepris non plus contre les auteurs d'aucun des actes de vandalisme
entrepris contre les églises du Kosovo (pour mémoire, plus de 100
églises orthodoxes y ont été dynamitées depuis juin 1999) (2).
Le Kosovo sous une telle administration est devenu une plaque tournante
du terrorisme et du trafic de drogue, de femmes et d'armes (3).
L'indulgence pour les uns s'ajoutant à l'acharnement contre les autres,
l'électeur serbe a logiquement déduit que le monde occidental avait un
parti pris contre sa nation en tant que telle. Car, malgré ses
procédures arbitraires, ses choix douteux, ses immixtions politiques et
la brutalité de ses méthodes d'arrestation (souvent traduites par morts
d'hommes), le TPI demeure l'"interlocuteur" principal de la Serbie en
Occident, et ses humeurs sont déterminantes - tout le monde le dit –
pour l'aide à la reconstruction de ce pays isolé et dévasté.

Avec leur candeur impayable, les Occidentaux n'en finissent pas de se
demander pourquoi le reste du monde les hait. S'ils percevaient enfin
la morgue et la désinvolture avec laquelle ils traitent un pays
européen, de culture chrétienne, et historiquement ami, sans doute
comprendraient-ils mieux les racines du "terrorisme mondial". Mais le
narcissisme idéologique, aggravé par les progrès foudroyants de
l'inculture, les rend de plus en plus incapables de cet effort simple
et salutaire : se mettre à la place d'autrui...

Salvanos


Notes
1. « The departing administration had refused to hand over four police
and army generals indicted by the tribunal in October. They were
accused of committing war crimes in Kosovo. The arrest warrants
announced by the court's chief prosecutor, Carla Del Ponte, became a
major issue during the election campaign, and politicians here said it
contributed to the nationalists' victory.»
http://www.nytimes.com/2003/12/29/international/europe/
29SERB.html?ei=5062&en=9431cf1809f50191&ex=1073278800&partner=GOOGLE&pag
ewanted=print&position=
2. Une documentation photographique sur cette apocalypse du patrimoine
chrétien de l'Europe est disponible sur:
http://emperors-clothes.com/churchpics/list.htm
3. Le 7 décembre dernier, le Daily Mirror publiait une enquête choc de
deux de ses reporters, qui avaient pu acheter de grandes quantités de
semtex (explosif militaire surpuissant) auprès de responsables kosovars
nommés dans l'article. Ils précisaient : « Nous avons fait notre deal
au Kosovo, une pépinière de fanatiques liés à Al-Qaida».


-- 
TV-STOP
Surveillance des aberrations médiatiques.
Abonnement, désabonnement : écrire à tv-stop@...
--

DIPLOMATICI USA ED ISRAELIANI FESTEGGIANO ASSIEME AL MINISTRO "DULE
C.I.A." MIHAJLOVIC ED ALLA POLIZIA SPECIALE, PROTAGONISTI DEL COLPO DI
STATO ANTI-MILOSEVIC E DEL REGIME DI TERRORE INSTAURATO CON L'OMICIDIO
DJINDJIC ("STATO DI EMERGENZA")


IL GIUBILEO DELLE SAJ
M. Galovic - "Politika", 19/12/2003

Il venticinquesimo anniversario della Unità Speciale Antiterroristica
(SAJ) è stato celebrato ieri presso la base di questa unità del
Ministero degli Interni della Serbia, che si trova a Batajnica, nei
pressi di Belgrado. Per l'occasione, sono stati consegnati premi e
riconoscimenti ai suoi esponenti più meritevoli e agli invitati è
stato presentato il documentario "SAJ".

Il comandante, tenente colonnello Milan Glisovic, ha ricordato che
l'unità è stata fondata il 18 dicembre 1978 nell'ambito dell'allora
Ministero Federale degli Interni, sottolineando che in più occasioni
essa ha modificato la propria struttura organizzativa, rimanendo
tuttavia sempre assolutamente pronta a svolgere i propri compiti. La
struttura dell'odierna SAJ è composta dal comando e dai team A, B, C
e D, mentre nell'ambito della logistica vi è anche un servizio
tecnico.

Dell'unità oggi entrano a fare parte poliziotti che hanno portato a
termine gli studi presso la Scuola Superiore del Ministero degli
Interni. Questi poliziotti rimangono nella SAJ per un periodo di 10
anni, durante il quale vengono impegnati nella risoluzione di compiti
pericolosi come i dirottamenti aerei, le situazioni in cui vengono
presi ostaggi e l'arresto di criminali pericolosi, come è avvenuto
nel corso dell'operazione "Sciabola".

"L'importanza di queste unità è aumentata dopo gli attacchi
terroristici compiuti negli USA l'11 settembre del 2001, nonché dopo
le più recenti azioni terroristiche. Che Dio protegga le SAJ e che le
SAJ proteggano la Serbia", ha detto Glisovic.

Il ministro degli interni Dusan Mihajlovic ha detto che il giubileo
dell'unità è un'occasione per ricordare i poliziotti deceduti e le
loro famiglie. Il ministro ha detto inoltre che i terroristi
minacciano di mettere anche Belgrado nella lista dei propri obiettivi
e che è compito dei servizi di sicurezza impedire che ciò avvenga.
Non a caso, alcune ambasciate che si trovano sul territorio della
Serbia-Montenegro sono sorvegliate proprio da membri delle SAJ. Tra
gli ospiti presenti vi erano gli ambasciatori degli USA, William
Montgomery, e di Israele, Jafa Ben Ari.

Il ministro ha consegnato delle pistole in dono a Milan Glisovic, al
vicecomandante Spasoj Vulevic e all'aiutante del comandante, Zeljko
Mojsilovic. La baionetta commemorativa delle SAJ è stata consegnata
al ministro Dusan Mihajlovic, al viceministro Nenad Milic e
all'aiutante del ministro, nonché capo del Dipartimento di Pubblica
Sicurezza, generale colonnello Sreten Lukic. Stemmi dell'unità sono
stati consegnati a rappresentanti delle ambasciate di Svizzera,
Austria, USA, Russia, Germania, Israele, Macedonia, Australi e
Francia. Uno stemma è stato consegnato anche a Milos Bujanovic, primo
comandante di queste unità speciali della polizia.


(Fonte: Andrea Ferrario sulla mailing list antijugoslava "Notizie Est")

(in italiano in fondo)

Citam da u krugovima t.zv. Ljevicarskog centra, od Prodija do Fasina,
zagovaraju pripisivanje specijalne nadleznosti UN za arapske drzave,
Emi Bonino. (Uci vec par godina arapski jezik u Egiptu).
Pitam koja je logika predlagati takvu duznost jednoj osobi, opce
poznato, vezanoj za SAD! (I nakon vec jedne katastrofalne takve
duznosti vezane za Afganistan u vrijeme prve Berluskonijeve vlade)!
Podsjetimo se da je Partija Eme Bonino i Marka Panele usvojila, za
isticanje u svom sjedistu kao i na svim njihovim javnim
manifestacijama, americku, britansku i izraelsku zastavu.
Ovoj oportunistickoj ljevici (ili pod ucjenom?), tako kratkog pamcenja,
podsjecamo ono sto je s pravom pisao Niki Vendola u "Liberazione"
(Oslobodjenje) od 11. - 12. aprila 1999. Tekst je preveden i stampan
u "Savremeniku", trobroj 70-71-72/1999, Beograd;

Ivan

---

Niki Vendola: MUSKARAC PO IMENU EMA
 
Muska strana Marka Panele zove se Ema Bonino. Ema je covek retke
lukavosti i smelog cinizma. Oblaci se poput tibetanskog monaha i
rasudjuje kao pravi funkcioner CIA. Deluje oduvek aktivno, uz poletni
fanatizam, na zapadnjackom frontu: tu gde splice vence propagande u
korist trgovinskog prava i trgovine pravima. Tolika je njena patnja
zbog nezasticenih da ne odbija ni drustvo huligana financijske moci, ni
svih ustasa Hrvatski sveta. On, Bonino, vodi rat zacinjen ironicnim
citatima Mahatme Gandija koji ne snosi krivicu zbog gnusne
instrumentalizacije radikal-sik krugova cije bi pristalice, poput
Panele, u onim minulim vremenima navijale za britanski kolonijalizam.
On, trenutno komesar evropske policije, propoveda nenasilje miraza i B
52. Voli ornamentalni masakr i humanitarne pokolje. Ema je svestenik
atomske idile i zapadnjacke harmonicnosti nametnute milom ili silom:
ili se prihvata  mir   po americkoj zamisli, ili se pociva na grobljima
Balkana, Afrike i ostalih juznih sfera ove planete. Ema voli da se
fotografise s izgladnelom decicom beznadezne buducnosti: upravo s onom
sto su tako krhka, tako siromasna i tako tragicno izmucena zahvaljujuci
njenim NATO prijateljima, njenim prijateljima iz Monetarnog fonda i
Svetske banke. Nisi li i ti, dragi Bonino, angazovan u izrucenju
nerazvijenosti i ekspropracije rezervi kao konacnoj sudbini zivota i
buducnosti miliona i miliona dece rodjene izvan podneblja
kapitalistickog obilja? Nisi li i ti terorista t.zv. OVK i Bele
kuce  preobucen u bosonogog karmelicanskog monaha?
Zmija u liku goluba, to je nas kandidat za predsednicku duznost, nas
vojnik Ema Bonino, pravi covek na pravom mestu (a koje je to pravo
mesto svako bi od nas mogao mastovito da iskaze).
Nekadasnji radikali su stupili na scenu kao apsolutni protagonisti,
igrajuci tarantelu i grceci se poput pomahnitalih koje je ujela
tarantula. Mrsavi pod rezimom dijete, apokalipticni. Poceli su kao
pobornici slobodnog misljenja a zavrsili kao pristalice liberalizma.
Nekada bejahu varnica politickog i kulturnog prestupa, danas su
"antikomformisticki" izraz servilnosti i klasne pokornosti. Sa slemom
na glavi, s NATO legitimacijom u dzepu, s novcanikom u srcu, poput
pukovnika Eme Bonino.
                                         
(Prevela Mirjana Jovanovic - Pizani)

---

> Da: Coord. Naz. per la Jugoslavia
> Data: Ven 26 Dic 2003 23:51:40 Europe/Rome
> A: Ova adresa el. pošte je zaštićena od spambotova. Omogućite JavaScript da biste je videli., jugoinfo@...
> Cc: Ova adresa el. pošte je zaštićena od spambotova. Omogućite JavaScript da biste je videli., movimento@...
> Oggetto: [JUGOINFO] UN UOMO CHIAMATO EMMA
>
>
> From: "Jugoistrijan"
>
> Leggo che settori del cosiddetto centro-sinistra, da Prodi a Fassino,
> caldeggiano l'attribuzione ad Emma Bonino di un incarico speciale delle
> NU per i Paesi arabi.
> Mi chiedo quale logica porti a proporre per un incarico simile una
> persona notoriamente legata agli USA. Ricordiamoci che il Partito di
> Emma Bonino e Marco Pannella ha adottato come bandiere - esibite nella
> loro sede ed in tutte le loro manifestazioni pubbliche - quella
> statunitense, quella britannica e quella israeliana.
> A questo centro-sinistra opportunista (o sotto ricatto?), dalla memoria
> corta, ricordiamo quello che scrisse giustamente Nichi Vendola su
> "Liberazione", l' 11 -12 aprile 1999:
>
> "Un uomo chiamato Emma"
>
> di Nichi Vendola
>
> Il lato maschile di Marco Pannella si chiama Emma Bonino. Emma è un
> uomo di rara furbizia e di rocambolesco cinismo. Si veste come un
> monaco tibetano ma ragiona come un funzionario modello della CIA.
> Milita da sempre, con trepidante fanatismo, sul fronte occidentale:
> laddove intreccia ghirlande di propaganda a favore dei diritti del
> mercato e del mercato dei diritti. Non disdegna, tale è la sua passione
> per i deboli, la compagnia degli hooligans del potere finanziario e
> degli ustascia di tutte le Croazie del mondo. Lui, il Bonino, ama la
> guerra condita con ironiche citazioni dei Mahatma Gandhi. Il quale è
> incolpevole della vomitevole strumentalizzazione radical-chic di chi,
> come Pannella, in quei tempi lontani avrebbe naturalmente tifato per il
> colonialismo britannico. Lui, oggi commissario della polizia europea
> predica la non violenza dei Mirage e dei B 52. Gli piacciono le stragi
> ornamentali e le carneficine umanitarie. Emma è un sacerdote
> dell'idillio atomico e dell'armonia occidentale, imposta con le buone o
> le cattive: o pax americana o riposini in pace nei camposanti balcanici
> o africani o di ogni meridione di questa Terra. Emma si compiace nel
> farsi fotografare accanto a fanciulli ossuti e disperati: proprio
> quelli che sono così piccoli e così poveri e così straziati grazie ai
> suoi amici della NATO, del Fondo monetario, della Banca mondiale. Non
> sei anche tu, carissimo Bonino, impegnato a consegnare al destino
> inappellabile del sottosviluppo e della espropriazione di risorse, di
> vita, di futuro, milioni e milioni di bambini nati fuori dal campo
> dell'opulenza capitalistica? Una vipera con la faccia di colombella,
> così è la nostra candidata quirinalizia, il nostro soldato Emma Bonino,
> l'uomo giusto al posto giusto. (Su quale sia il giusto posto ciascuno
> di noi potrebbe esprimere opinioni fantasiose). Nella storia della
> tarantella dei tarantolati, gli ex radicali entreranno, ballando e
> contorcendosi, da protagonisti assoluti. Magri, dietetici,
> apocalittici. Nacquero libertari e morirono liberisti. Furono in altri
> tempi scintille di trasgressione politica e culturale, oggi sono il
> lato "anticonformista" del servilismo e dell'obbedienza di classe. Con
> l'elmetto in testa, con la tessera NATO in tasca, con il cuore nel
> portafoglio: come il colonnello Emma Bonino.
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www.resistenze.org - popoli resistenti - serbia - 29-12-03

Risultati preliminari e commento delle elezioni politiche


Risultati preliminari delle elezioni in Serbia

Presentiamo i risultati non definitivi delle elezioni politiche serbe
del 28 dicembre 2003. La commissione per le elezioni avrà tempo fino al
1° gennaio del nuovo anno per pubblicare i risultati definitivi

(29/12/2003)

A cura di Luka Zanoni

Con un’affluenza di 3.861.104 elettori, pari al 59.3% degli aventi
diritto si sono chiusi ieri sera alle ore 20.00 i seggi elettorali.
Secondo la Commissione per le elezioni (RIK), i risultati preliminari
condotti sullo spoglio dell’85.5% delle schede fino alle ore 2.00 di
questa notte, sono i seguenti:

Partito radicale serbo (SRS) 27.29% di voti con 81 posti in parlamento;
al secondo posto si trova il Partito democratico della Serbia (DSS) di
Voijslav Koštunica 17.6% con 52 posti;
segue il Partito democratico (DS) guidato da Boris Tadić 12.67% con 38
posti,
il quarto partito è il G17 Plus con l’11,52% e 34 posti in parlamento;
quinta posizionata è la coalizione tra il Partito per il rinnovamento
serbo (SPO) di Vuk Drašković e Nuova Serbia (NS) di Velimir Ilić,
sindaco di Čačak, con 7.81% pari 23 posti in parlamento ed infine
ultimo posizionato il partito di Slobodan Milošević, capolista,
Partito socialista della Serbia (SPS) con il 7.63% pari a 22 posti.

Secondo i risultati preliminari la coalizione che più si avvicina allo
sbarramento del 5% necessario per entrare in parlamento, ma senza
oltrepassarlo, è la coalizione “Insieme per la tolleranza” (Zajedno za
toleranciju) di Rašim Ljajić, Josef Kasa e Nenad Čanak, tutti gli altri
partiti e coalizione sono al di sotto del 5% necessario per l’ingresso
in parlamento, tra i vari anche alcuni degli attori che hanno guidato
la politica serba del dopo Milošević, tra i quali il vice premier di
governo Nebojša Čović dell’Alternativa democratica (DA) e il discusso
ministro dell’interno Dušan Mihajlović leader dei Liberali della Serbia
(LS).

Da Osservatorio dei Balcani


Commento

a cura di Enrico Vigna


Come nelle previsioni e nella lettura degli avvenimenti, fatta anche
nella mia ultima relazione di fine Ottobre, si è verificata una
notevole crescita ( quasi triplicati i voti) del Partito Radicale
Serbo, alla cui testa c’è il suo presidente V. Seselj autoconsegnatosi
all’Aja, mentre ha sostanzialmente tenuto il Partito Socialista Serbo
che aveva come capolista il suo presidente S. Milosevic detenuto
anch’esso all’Aja, attestato intorno al 8%. In un breve colloquio
telefonico di stamane con un deputato PSS a Belgrado, la valutazione
ufficiosa, che sarà ufficiale nei prossimi giorni, è di una sostanziale
tenuta riguardo i risultati del Partito, anche se c’era una aspettativa
di un risultato più consistente , e quindi di una presenza
significativa in tutte le aree della Serbia, che continua a significare
il ruolo potenziale in prospettiva di questo partito.

Ho scritto di previsioni confermate, proprio perché essendo stato con
la gente ed i lavoratori per ben due volte in due mesi, si coglievano
alcuni elementi di fondo nel sentire comune e altri di rabbia sociale
diffusa, un altro dato che va tenuto presente è il dato
dell’astensione, oltre il 40%.

Nonostante fortissime pressioni e minacce esplicite dei poteri forti
occidentali, legati alla Nato, al TPJ dell’Aja e del Fondo Monetario e
della Banca Mondiale, riguardo soprattutto alla candidatura dei
prigionieri all’Aja, letta come una sfida totale al nuovo ordine in
Serbia, in quanto in questi anni l’accettazione totale del TPJ e la 
cooperazione con esso sono state le due direttrici basilari, che la
cosiddetta Comunità internazionale aveva posto ai nuovi governanti di
Belgrado; proprio nei giorni scorsi “il signor Del Ponte” aveva tuonato
sul fatto che la candidatura e un eventuale raccolta consistente di
consensi ai detenuti dell’Aja, avrebbe il significato di un ritorno
indietro della situazione in Serbia e che anzi i candidati cosiddetti
“democratici” dovevano prendere pubblico impegno per la cattura degli
altri due super ricercati il Generale Mladic e R.Karadzic, nel più
breve tempo possibile.

E’ ora evidente che tutto questo è stato interpretato da una grossa
fetta di cittadini della Serbia come un ennesimo atto di intimidazione,
colonizzazione e sottomissione alla Nato, in parole povere una
capitolazione anche morale e culturale del popolo serbo. E soprattutto
su tutto questo ha lavorato la campagna elettorale del PRS, le sue
linee fondamentali si sono caratterizzate su parole d’ordine legate a
una ripresa di dignità nazionale, di una identità nazionale con forti
radici storiche, su temi come il rifiuto della Nato, la rivendicazione
del Kosovo Methoija come parte della Repubblica Serba, il problema dei
profughi dimenticati, non solo del Kosovo ma anche delle precedenti
guerre jugoslave, di fatto un forte patriottismo. Oltre a una ferma e
continua battaglia di accuse e denunce contro corruzioni e malefatte
dei nuovi governanti.

Così come ha avuto un ruolo mediatico e di forte impatto emotivo, la
autoconsegna di Seselj al TPJ, un atto di sfida e di coraggio personale
e politico, che tanto hanno inciso nei sentimenti offesi e calpestati
di tanta gente comune e di lavoratori, che certamente non hanno radici
storiche comuni con lui o il suo partito. E proprio queste sono le cose
che mi sono sentito dire da tanti lavoratori che in altri momenti o
situazioni, mi dicevano che non avrebbero dato il voto al PRS, ma che
in una situazione di umiliazione e sottomissione completa ai voleri
occidentali, almeno il fatto di sentire queste parole gli faceva
risentire una dignità anche solo momentanea, contro tutte le
ingiustizie e umiliazioni subite in questi anni. E le persone, i
lavoratori che mi dicevano queste cose erano compagni, amici, 
lavoratori, persone di sinistra, assolutamente non pentiti delle
proprie radici politiche e storiche, ma sicuramente con un forte
sentimento di frustrazione sociale e di umiliazione patita giorno dopo
giorno.

Io credo che se non si parte da tutto questo, perché questo è il
“REALE” che milioni di lavoratori e lavoratrici stanno subendo non a
livello filosofico, ma materiale che li ha ridotti a popolo del terzo e
forse quarto mondo con tutto ciò che questo significa nella vita di
ogni giorno, non ci si può neanche lontanamente avvicinare alla
comprensione di avvenimenti che da noi vengono affrontati seduti in
qualche comoda poltrona, in un ambiente ben riscaldato, sano; con uno
stipendio minimo che permette piccole soddisfazioni giornaliere; con la
possibilità di comprarsi le medicine, con i nostri figli ben curati e
accuditi; con mille accessori nelle nostre case che ci danno una
pacatezza di giudizi e valutazioni e tanto buonsenso anche politico;
con la possibilità di avere una o due macchine per famiglia con
relativi costi, con la possibilità di usare autobus, treni e aerei per
lavoro o spostamenti; con piccole ma piacevoli banalità come andare al
cinema, a teatro a un concerto; avere i nostri anziani con una pensione
garantita, che si possono curare e affrontare seppur tra difficoltà
economiche e problemi, una esistenza dignitosa. Non conosciamo esodi e
profughi, violenze della guerra materiali e morali, odio, rancore; non
abbiamo bambini (in Serbia sono il 71%) che hanno problemi psichici
legati ai bombardamenti della Nato(… perché il nostro paese fa parte
della Nato da oltre 50 anni).

Non dobbiamo accettare la morte di un figlio o di una moglie o di un
genitore,  perchè non si hanno nemmeno  poche centinaia di euro per
farli curare, o per pagare viaggi in città con ospedali più grossi; non
conosciamo se non nei libri cosa significa non avere riscaldamento con
10-15 gradi sottozero e vedere i propri figli tremare come foglie e non
poter fare niente. Molti dei nostri politologi o esperti anche di
sinistra, tutto questo non lo conoscono, ne trattano all’interno di
vaste e dettagliate analisi sociologiche o strategiche…e poi si va a
fare una bella cena in qualche buon ristorante e qualche sana e buona
risata, che fa bene all’anima e alla vita. Ma in quel paese tutto
questo è un privilegio di pochi, e sui volti e nella vita di tutti i
giorni, il sorriso è solo l’espressione di un momento, legato ad un
evento ECCEZIONALE, perché la normalità sono visi ed espressioni
stanche, tristi di uomini e donne, forse vinti ma non ancora soggiogati
completamente. Ed ecco come in parte si può intuire il voto a chi alza
la voce e ribadisce, con intenti e prospettive per noi sicuramente
discutibili ( ma questo non è un problema di chi non vive là, a noi il
compito di occuparci di nostri governi guerrafondai e imperialistici di
fatto), di non accettare la sopraffazione, la sconfitta, l’umiliazione,
l’annichilimento materiale e morale. Di chi fa vibrare in cuori e anime
stanche, disilluse, piegate da una esistenza tremenda e misera, un
sentimento prima di tutto di riaffermazione della propria dignità e
anche del sentirsi ancora vivi, sconfitti ma non morti.

Questo va analizzato se si vuole comprendere e non SEMPRE GIUDICARE,
in modo schematico e stereotipato, avvenimenti e situazioni molto
lontane da concezioni, storie, politiche e culture occidentali, sia
negli aspetti positivi che negativi, sancendo da qui, cosa è giusto e
cosa è sbagliato, cosa devono o non devono fare, altri popoli e paesi.
Questo anche in un ottica e obbiettivo di sostegno a forze
progressiste, del lavoro e antimperialiste. Altrimenti si confondono i
rami con le foreste e si prendono lucciole per lanterne, come già
tragicamente accaduto sulla pelle…dei popoli jugoslavi in questi ultimi
dieci anni.

Dopo questi tre anni di devastazioni sociali, impoverimento generale
della gente e della società in generale, corruzione dilagante e
sfacciata, promesse e promesse di riprese economiche e sociali mai
viste, smantellamento di ogni minimo livello di stato sociale,
privatizzazioni di massa che hanno solo prodotto disoccupazione e
aumento dei prezzi, crollo della vita sociale a livelli di mera
sopravvivenza per la stragrande maggioranza della popolazione.
Sfaldamento della società attraverso processi di emarginazioni di
interi strati sociali, incremento di massa di alcoolismo, droga e
prostituzione ( ovviamente pianificati), innalzamento delle percentuali
dei suicidi.

L’unica forza di sinistra rimasta ( pur tra tutte le contraddizioni al
suo interno), perlomeno dal punto di vista di esistenza reale e
presenza nella società serba, che è il PSS, ha ora il compito e
programma di lavorare, sicuramente con tempi lunghi, per rafforzare il
radicamento  tra i lavoratori; riconquistare un egemonia anche
culturale e di radici storiche e valori di fondo; riproporre un
alternativa fondata su programmi di riprese economiche fondate su
interessi sociali e non di profitti o di impresa; sulla riproposta di
uno stato sociale minimo in grado di ridare forme di respiro, per le
condizioni di vita quotidiane della popolazione.

Con una scena politica così buia e assolutamente non definita,
continuamente variabile anche per motivi e diktat esterni; con una
limitata, in questo momento, presenza di forti quadri sindacali e
politici ( grazie agli eventi del 5 ottobre 2000, caratterizzatisi con
l’espulsione dei quadri, soprattutto sindacali più validi); per le
forze progressiste sarà un difficile, ma ineludibile compito, pena la
sua scomparsa, quello di riuscire a far convivere progettualmente una
ripresa forte di presenza e influenza nelle vicende economiche e
sociali del paese e nello stesso tempo ricostruire una egemonia
culturale e politica di sinistra sui nodi reali e storici prima
espressi, che hanno portato all’affermazione del PRS e soprattutto
delle sue parole d’ordine.

Per questo accanto alla lotta per una ripresa economica e dei diritti
sociali dei lavoratori serbi oggi calpestati, impegno del PSS sarà nel
futuro prossimo, la riaffermazione dell’indipendenza nazionale, della
difesa dell’identità e della dignità nazionali, oggi calpestate dai
governanti legati e finanziati dall’occidente ed alla Nato, la
riaffermazione di un sentimento patriottico e di lotta per la pace,
come futuro e prospettiva di sviluppo e emancipazione dei popoli,
chiaramente tenendo presente quale è oggi la realtà e cosa esprime come
intendimenti il popolo serbo, da questo nessuno in Serbia dopo queste
elezioni, potrà soprassedere.

Un dato su cui riflettere e che può essere significativo, per leggere
spiragli di speranza e ottimismo per le sorti del movimento operaio e
popolare in Serbia, è l’affossamento di due soggetti politici: uno, il
vecchio arnese della Cia e del ICG di G. Soros che è il movimento Otpor
( che il 5 ottobre 2000 è stata la truppa cammellata al servizio degli
interessi stranieri), recentemente costituitosi in partito ed alleatosi
con un inesistente ma ufficiale e molto ricco di denari, sindacatino
giallo chiamato Nezavisnost di N. Canak; l’altro è il Partito
Laburista, alleatosi con un altro sindacatino giallo, anch’esso quasi
inesistente ma molto dispendioso nelle spese, che è l’ASNS il cui
segretario è Milovanovic, che per non essere troppo inoperoso è anche
l’attuale Ministro del Lavoro in carica. Bene, questi due esperimenti
molto ben visti dagli esperti internazionali e speranzosi di successi
elettorali, sono pienamente  andati a fondo tutti e due.

Ma il dato su cui secondo me vale la pena riflettere per avvicinarsi a
capire gli umori del movimento dei lavoratori e cosa è passato, è il
fatto che Samostalni, il sindacato metalmeccanico che tuttora
rappresenta, nonostante tutto circa l’80% degli operai sindacalizzati,
che ha ripetutamente ricevuto proposte di apparentamento con vari
partiti e partitini, ha rifiutato ogni proposta e ha semplicemente
ribadito solo il concetto già espresso in ottobre e strettamente
sindacale,  che questo governo doveva cadere, per poter trovare nuovi
interlocutori e un tavolo di trattative concreto per cercare di fermare
la rovinosa crisi economica e sociale. Il dato di fatto è che le forze
liberiste e asservite al capitale straniero hanno avuto una battuta di
arresto e che il governo nato dal 5 ottobre è stato sfiduciato, anche
tenendo conto che lo stesso partito PDS di V. Kostunica, era già da
molti mesi fuori dal governo. Molti lavoratori evidentemente hanno
scelto un voto di opposizione e in qualche forma, di resistenza.

(Liberamente trascritto da un colloquio telefonico avuto con un alto
esponente del PSS in Belgrado, in data 29/12/03)
Enrico Vigna “ SOS Yugoslavia”, Italia 


“…ho serie ragioni per credere che il pianeta dal quale veniva il
piccolo principe sia l’asteroide B612. Questo asteroide è stato visto
una sola volta da un astronomo turco, il quale aveva fatto allora una
grande dimostrazione della sua scoperta ad un Congresso Internazionale
d’Astronomia, ma dato il costume che indossava nessuno lo prese sul
serio. I potenti sono fatti così.Fortunatamente… per la reputazione
dell’asteroide B612, un dittatore turco impose al suo popolo, sotto
pena di morte, di vestire all’europea. L’astronomo rifece la sua stessa
dimostrazione nel 1920, con un abito molto elegante. E questa volta
tutto il mondo fu con lui…”
(de Saint Exupery, Il piccolo principe)

…. Il cosiddetto eurocentrismo culturale…

http://www.b92.net/english/news/
b92_focus.php?yyyy=2003&mm=12&nav_id=26140

B92 Focus, December 2003.

Campaign cash

Serbia’s sacred cow | December 24, 2003.

While westerners traditionally shy away from questions about religion,
sex and income, Serbia’s great taboo – at least as far as public
discussion goes – is the question of political campaign financing. B92
asked around this week about where the money comes from for the
eighteen parties contesting this week’s parliamentary election.


Serbia for the past two weeks has been awash with billboards, posters
and a flood of political advertising on radio and television.  The
larger of the eighteen parties standing in the parliamentary elections
on December 18 have also mounted major campaign rallies in Belgrade and
other centres.  But none of the parties are willing to talk much about
where the money comes from.

The new Party Finance Act introduces restrictions on the source of
funds for parties and campaign, but does not come into effect until the
new year – too late for this election.

While party campaign managers spoken to by B92 this week couldn’t – or
wouldn’t – say how much money has been spent so far or who their donors
are, some did promise that final figures might be announced after the
elections.

Democratic Alternative campaign manager Radisa Blagojevic, who has
saturated media with the party’s advertisements, says the financing
comes from a number of sources, including donations.

“We are giving the impression that we are everywhere: we have charted
the media map of Serbia and billboards have been strategically
positioned,” he told B92.

Blagojevic claimed that the Democratic Alternative had introduced a
novel, but simple method of campaign financing.

“It was agreed that, before the campaign began, each of the 15,000
party members should pay a thousand dinars (about 15 euros).  Further
up the hierarchy, local branches were obliged to collect 100,000
dinars, city branches three times that sum and MP candidates were
required to find donations of at least 1,000 euros,” he said.

Otpor, the former student movement now turned political party, has
announced that its campaign costs are about 1,250 euros per day and
have called on other parties to publish their expenses.

But the Democratic Alternative campaign manager said that such data was
not available to him at this point.

This was echoed by Democratic Party campaign chief Milos Jeftic, who
said however that the party had decided the campaign should not be
overly expensive.  As a framework for securing finance, said Jeftic,
the regulations of the new legislation were followed, although the Act
has not yet come into force.

“The law prescribes membership fees as the sole source for finance.  We
have more than 130,000 members and we think the donations we are
receiving from individuals and organisations for this campaign are
quite enough to finance it,” he said.

Both the Democrats and the Democratic Alternative say they receive no
donations from abroad, although Jeftic says he cannot be certain of
this because he is not involved in party finance.

Like Blagojevic, Jeftic pledged to announce the Democrats’ campaign
budget after December 28.

Asked to comment on reports that some parties are being financed from
sources outside the law, Blagojevic was dismissive.

“I’m not saying there is no possibility of that but I am seriously
saying that the Democratic Alternative has no problem with finances
from the grey area, nor do we have any contact with such people.

“I think that the creativity of the party is the main factor
influencing the campaign and its content,” he said.

The new legislation which comes into force three days after the
election prohibits foreign financing and puts restrictions on the size
of donations from individuals and organisations.

But in the meantime, the source of party financing remains the one
untouchable topic in this election campaign.