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http://www.michelcollon.info/articles.php?dateaccess=2008-01-25%
2018:51:05&log=invites

"Oui, illégalité et corruption règnent au Kosovo", nous confirme un
Guardia Civil espagnol

Pedro Javier Sanchez Zarca


Nous avons publié récemment un article de Maciej Zaremba intitulé
Kosovo ou Unmikistan : le royaume de la corruption, de l’illégalité
et du crime. Ce journaliste suédois y exposait les scandales liés à
l'administration du Kosovo occupé par les puissances occidentales.
Ces faits sont confirmés par une lettre que nous envoie le porte-
parole de l'Union fédérale des Guardias Civiles d'Espagne. Le débat
ne porte pas ici sur le rôle général de cette institution, mais sur
le témoignage concret de certains de ses membres. Il en ressort
clairement que les puissances occidentales ne font pas du tout ce
qu'elles disent faire au Kosovo.
Sur cette occupation militaire et les illégalités qui ont été
commises dès le début de la guerre en fait, voir notre livre
"Monopoly - L'Otan à la conquête du monde", qui est épuisé mais dont
peut trouver des pages à la rubrique Livres.
MICHEL COLLON

Cher Monsieur Collon,

Nous vous écrivons au nom de l'Union Fédérale (association syndicale
- ndlr) des Guardias Civiles, association professionnelle de
l'Institut militaire espagnol, qui assure actuellement la
représentation légale des membres expulsés du contingent KUGUCI de
Kosovo, dans des circonstances très semblables à celles décrites dans
l'article de Maciej Zaremba
( publié sur ce site, voir : http://www.michelcollon.info/
articles.php?dateaccess=2007-12-04%2009:15:24&log=invites )
et nous écrivons pour mettre à disposition notre relation des
événements survenus à la base espagnole d'Istok, Kosovo. (...)

Nous croyons que la vérité doit éclater, non seulement pour nos
affiliés, et nous considérons qu'il ne doit pas exister de maffias
internationales camouflées sous le couvert des institutions légales
internationales. Le délit doit être poursuivi, où qu'il se produise,
et il ne doit pas s'abriter derrière ni être couvert par la
participation des Etats démocratiques ou des organes militaires. (...)

Nous, les Gardes Civils, sommes une police de nature militaire, mais
nous ne sommes pas intégrés dans les Forces Armées de notre pays, à
la différence de la gendarmerie.

La loi organique de 1986 établit clairement la différence, en nous
intégrant dans les Forces et Corps de Sécurité de notre pays, nous
faisant dépendre organiquement du ministère de l'intérieur, mais nous
conférant une double dépendance vis à vis de l'intérieur et de la
défense.

Le présent cas concerne six camarades qui ont intégré le contingent
du Kosovo jusqu'au 2 août 2007 et qui ont été rapatriés d'Istok sans
la moindre explication, à la suite d’une série d'irrégularités qu'ils
ont mises à jour. La base (espagnole) est alors restée sans police
militaire, donc sans organisme qui contrôle la corruption - que nous
n'osons qualifier de généralisée dans l'Armée de Terre Espagnole.

Lesdits camarades étaient en train de cumuler des preuves qui
démontraient que le personnel embauché par les entreprises de l'UTE
(Union Temporelle d'Entreprises) était sous le contrôle des mafias et
n'avait ni sécurité sociale ni de contrat de travail comme l'exige le
ministère de Défense Espagnol.

Ils ont aussi mis le doigt sur un possible trafic d'anabolisants, sur
une contrebande de tabac et d'alcool qui se vendait sans contrôle
fiscal ni precinta (certificat du ministère de finances). Ils ont pu
déterminer que les approvisionnements qui étaient envoyés depuis
l'Espagne via la Grèce arrivaient à un entrepôt qui n'était pas
contrôlé par l'Armée, où les fournitures entraient en possession des
sociétés de l'UTE et pouvaient donc être vendues par celles-ci à
l'extérieur de la base ou devenir objet de contrebande.

Je vous donne une piste concrète: un chargement de viande en
provenance du Paraguay qui ne remplissait pas les conditions
sanitaires requises a été décelé à la frontière; nous suspections
qu’il était destiné à la vente en Espagne via la base espagnole.

Nous sommes au courant de vos soupçons en ce qui concerne les
violations des droits de l'homme dans ce pays, mais nous n'avons pas
de preuves, à part les témoignages de la population du Kosovo.

Bref, le fait est que la Base España volait même le gasoil du
réservoir, puisque la responsable de celui-ci entretient une relation
amoureuse avec l'employé du catering de la base. Nous avons des
photos dudit gasoil dans l'entrepôt où était dévié et stocké le
matériel que le Gouvernement Espagnol envoyait comme équipement à nos
soldats.

Nous avons des preuves de la contrebande qui a lieu dans la Base
España et nous avons connaissance du rapport qu'a fait la Garde
Civile à propos de trafic d'anabolisants, en plus de certaines
questions relatives aux accidents de la route impliquant des
véhicules espagnols, où jamais un seul test d'alcoolémie n'est pratiqué.

Si vous avez un correspondant en Espagne, nous vous remercierions de
vous mettre en contact avec nous (téléphone 67...), puisque nous nous
trouvons dans une situation difficile: nous sommes en pré-campagne
électorale et les faits sur lesquels nous enquêtons auraient pu
commencer à partir de 2000. Ils pourraient donc impliquer autant le
Parti Populaire que le Parti Socialiste.

A cause de cela, nous nous retrouvons face à un mur médiatique qui
nous empêche de publier les faits que l'on connaît et qui ont déjà
été soumis à un juge militaire en Septembre 2007, lequel a classé le
dossier.

Si vous le désirez, je vous enverrai un récit chronologique de faits
qui sont arrivés à nos camarades, expulsés du pays sans raison valable.

Salutations.

D. Pedro Javier Sanchez Zarca, Secretaire de Presse de l'Union
Fédérale des Gardes Civiles.

(Riprendiamo l'articolo dal portale OB, benchè esso non consenta di comprendere come la impunità di Glavas non sia affatto in contrasto con le politiche "europeiste": viceversa, dal 1991 in poi è stata proprio questa Europa ad aver voluto con determinazione proprio questa Croazia, e viceversa. In tutta la vicenda non c'è assolutamente alcun paradosso, ma solo la precisa intenzione di usare il neofascismo stragista croato come uno dei principi fondativi del "nuovo ordine europeo" atlantico-cattolico-germanico nei Balcani. IS)



Glavas libero e rieletto


24.01.2008    Da Osijek, scrive Drago Hedl


Il nuovo Parlamento croato vieta il proseguimento della detenzione di Bramimir Glavas, accusato per crimini di guerra contro civili serbi. I paradossi di un sistema giudiziario sotto osservazione di Bruxelles nella delicata fase dei negoziati sull'adesione della Croazia all'Unione


Branimir Glavas, che è rimasto nell’ospedale penitenziario di Zagabria fino all'11 gennaio, dopo uno sciopero della fame durato 66 giorni, secondo le testimonianze dei suoi avvocati, sarebbe stato in punto di morte. Tuttavia lunedì 21 gennaio, dopo soli dieci giorni e senza apparenti problemi di salute, si è presentato al Tribunale distrettuale di Zagabria dove è proseguito il processo che lo vede coinvolto per crimini di guerra. Tutti coloro che l'hanno visto quel giorno hanno potuto verificare quanto fossero esagerate, e del tutto false, le drammatiche notizie sul suo stato di salute, a distanza di oltre due mesi di totale sciopero della fame. Eppure proprio tali notizie – cioè che Glavas fosse in punto di morte, che era del tutto esausto e deciso ad andare fino in fondo con il digiuno nel caso in cui non lo avessero rilasciato – sono state il motivo principale in base al quale il Parlamento ha rifiutato la richiesta della Procura di Stato di togliere a Glavas la nuova immunità da parlamentare, e di di autorizzare il proseguimento della detenzione. 

La Croazia sarà così l'unico paese al mondo ad ospitare in Parlamento una persona che, contemporaneamente, mentre partecipa al lavoro dell’organo legislativo viene processata per una delle accuse più gravi, crimini di guerra contro la popolazione civile. Il mandato parlamentare di Glavas è stato riconfermato alle ultime elezioni politiche, il 25 novembre scorso. Secondo l'opinione dei giuristi e dei giudici della Corte suprema, la decisione sulla abrogazione della sua immunità, presa dal Parlamento precedente, non ha efficacia sulla immunità attribuitagli nel frattempo dal nuovo mandato. Così, a seguito delle discussioni su di una nuova autorizzazione a procedere nei confronti di Glavas, il neo-Parlamento ha concesso l'autorizzazione a proseguire il processo nei confronti dell'imputato, ma non ha autorizzato la sua detenzione. Di conseguenza, Glavas è a piede libero dall'11 gennaio. 

Glavas, che porta anche i gradi di generale dell'Esercito croato, è accusato per crimini contro civili serbi commessi a Osijek nel 1991. Insieme a sei ex appartenenti alle forze armate, fra cui una donna, è accusato per la morte di almeno 12 persone, alcune uccise in modo particolarmente atroce, costrette a bere l'acido solforico delle batterie delle automobili. Nonostante la Procura avesse ritenuto che, per la gravità delle accuse e la possibilità di fare pressioni sui testimoni, Glavaš dovesse continuare a rimanere in carcere, il Parlamento ha ritenuto altrimenti. Così, difendendosi in libertà, Glavas andrà in tribunale direttamente dalla sua poltrona di parlamentare, e dal processo andrà in Parlamento, configurando così un caso unico al mondo. 

A seguito delle accuse per crimini di guerra, Glavas ha trascorso dieci mesi in detenzione. La maggior parte di questo periodo, tuttavia, più di otto mesi e mezzo, lo ha trascorso nell'ospedale penitenziario di Zagabria, o in quello civile di Osijek. La testimonianza migliore di quale fosse il regime in vigore in ospedale è il fatto che durante le pseudo-cure all'ospedale di Osijek, nonostante davanti alla porta si trovasse una guardia carceraria, ha potuto girare senza alcun problema gli spot elettorali per la campagna del suo partito. Per questo motivo è stato destituito il direttore del carcere di Osijek, ma a Glavas non è accaduto nulla. 

Durante la detenzione, Glavas ha fatto lo sciopero della fame in due occasioni, affermando che si trattava di un processo politicamente motivato e di false accuse. Nonostante le prove raccolte indicassero il contrario, e nonostante l'accusa sia stata formulata dopo un anno di indagini, lui è rimasto fermo sulla sua opinione, facendo lo sciopero della fame per protesta. Mentre le indagini erano in corso, è riuscito ad ottenere la libertà temporanea. Il giudice istruttore, a causa della pseudo incapacità di Glavas ad affrontare il processo, all'inizio di dicembre del 2006 ha interrotto le indagini rimettendolo in libertà. 

Glavas si è trovato di nuovo in carcere nell’aprile dell'anno scorso, ma la maggior parte del tempo l'ha passata all'ospedale di Osijek, sotto un regime blando. Aveva a disposizione il cellulare e il portatile, visite illimitate e la possibilità totale di comunicazione. Quando nell'autunno scorso, prima dell'inizio del processo, è stato trasferito all'ospedale penitenziario di Zagabria, ha iniziato di nuovo lo sciopero della fame. Le notizie sul suo allarmante stato di salute, divulgate dai suoi avvocati, venivano ritrasmesse da alcuni media senza nessuna verifica. Glavas è stato trasformato da accusato per crimini di guerra in vittima, e l’appello per la sua scarcerazione è stato firmato anche da alcuni accademici, oltre che da alcuni vescovi croati. Tutto questo ha creato pressioni sulla giustizia croata, ma anche sul Parlamento. Alla fine, Glavas si è trovato di nuovo in libertà. 

Diversi esperti legali, fra i quali anche il presidente della Corte suprema, Krunislav Olujic, ritengono che Glavas con lo sciopero della fame ricattasse la giustizia croata. Ma la cosa ancora più grave e pericolosa, ha affermato Olujic, è che sia riuscito farlo, piegando il sistema legale croato con i ricatti. Il presidente del Comitato croato di Helsinki per i diritti umani, Ivo Banac, crede che si tratti di un “grossolano immischiarsi della politica nel lavoro indipendente della magistratura”, dato che il Parlamento, decidendo su Glavas, è uscito dal proprio ambito legislativo, entrando nella sfera del potere giudiziario. 

A causa di questa insolita decisione del Parlamento, Zagabria ha già ricevuto rimproveri dall'estero. La Commissione europea ha fatto sapere alla Croazia che Bruxelles spera che nel caso Glavas “come in tutti gli altri casi, vengano rispettate le procedure, la legge e la divisione del potere”, che “venga presa in considerazione la gravità del caso” e “che venga assicurata un’adeguata protezione dei testimoni”. 

Non c'è dubbio che la Croazia, alla quale comunque arrivano frequenti critiche da Bruxelles per la situazione del sistema giudiziario, a causa del “caso Glavas” avrà problemi ancora maggiori nell'affrontare il capitolo delle trattative sulla giustizia, uno dei 36 che Zagabria deve soddisfare nel quadro della procedura di adesione all'Unione Europea. 




Il Coro Partigiano Triestino

PINKO TOMAŽIČ

Invita i cittadini ad intervenire alla

“FIACCOLATA PER LA MEMORIA,
LA PACE E LA CONVIVENZA”
sabato 26 gennaio
ritrovo alle ore 17.00
Piazzale antistante lo stadio Grezar

Partenza del corteo ore 17.30

Conclusione in Risiera con una breve esibi zione 
del Coro Partigiano Triestino P. Tomažič.

Tutti i partecipanti sono invitati a portare  un fiore da deporre in ricordo delle vittime della Risiera.
In conclusione l’associazione culturale “IL PANE E LE ROSE” assegnerà il primo 
premio nazionale di poesia della Resistenza.


t.v l. r./f.i.p. Padriče/ Padriciano,60


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Tržaški partizanski pevski zbor

PINKO TOMAŽIČ  

Vabi,
v soboto, 26. januarja,
na
“BAKLADO ZA SPOMIN, MIR IN SOŽITJE”
zbirališče ob 17.00 - stadion Grezar
odhod sprevoda ob 17.30
Zaključek v Rižarni s kratkim nastopom TPPZ P. Tomažič.
Vse udeležence vabimo da prinesejo s seboj cvet v poklon žrtvam Rižarne.

Ob zaključku programa bo kulturno združenje “ IL PANE E LE ROSE” podelilo prvo državno nagrado za pesništvo odporništva.





L’Olocausto dimenticato


(L’eccidio dei Rom durante la seconda guerra mondiale)


La seconda guerra mondiale ha portato al popolo dei Rom la più grande tragedia nella loro già travagliata storia. I Rom la chiamano “Porrajmos”, il divoramento.
La salita al potere di Hitler nel 1933 coincise con un ulteriore inasprimento delle persecuzioni, in Germania, ma anche nel resto dell’Europa. E’ pur vero che già nel 1889, in Bavaria, la polizia censiva i Rom, e che più tardi fondò una commissione per il coordinamento delle azioni di polizia contro i Rom a Monaco: tali misure furono inasprite con l’avvento del potere nazista.
L’identificazione sistematica dei Rom divenne una priorità, in quanto era difficile per la polizia: stabilire se un individuo fosse “di sangue Rom”; molto più facile era stabilire che una persona era ebrea, in quanto le liste in possesso della comunità religiosa potevano venire facilmente confiscate dalle autorità statali. I nazisti allora cercarono di identificare i Rom sulla base di “caratteristiche fisiche”. Il dr. Ritter, uno psicologo infantile (!) all’Università di Tubinga, espresse la teoria che la tendenza al crimine fosse genetica: nel 1936 divenne il direttore del Centro per la ricerca di Igiene della razza e Biologia criminale, con il progetto, tra gli altri, di studiare i Rom dal punto di vista razziale, per classificare i circa 30000 Rom tedeschi dal punto di vista dei “tipi” razziali.
Ma era noto che i Rom provenissero dall’India: a questo proposito Ritter sostenne che i Rom all’inizio effettivamente fossero Ariani, ma poi, durante le loro migrazioni, avessero contaminato il sangue con quello delle razze inferiori (Slavi in primo luogo).
Subito dopo, la politica nei confronti dei Rom venne centralizzata e fu fondato un Ufficio del Reich per debellare il “fastidio degli zingari”: questa agenzia ebbe il compito di realizzare in modo sistematico le misure già prese contro i Rom: essi vennero sottoposti alle leggi razziali, man mano furono sterilizzati, rinchiusi nei campi di concentramento, e trasportati in quelli di sterminio.A Berlino nel 1936, in occasione di giochi olimpici, i Rom vennero rastrellati e portati nel campo di Marcan, un campo all’aperto, nei pressi delle discariche dei rifiuti di Berlino: a guardia del campo, la polizia non ne permetteva l’uscita né l’entrata. Ben presto sorsero altri campi “comunali”, detti “Ziegeunerlager” (campi nomadi). Tali campi, realizzati tra il 1936 ed il 1938, erano la tappa per i campi di sterminio: per esempio i maschi, imprigionati a Marcan, vennero inviati a Saksenhauzen nel 1938, mentre le donne ad Auschwitz nel 1943.
Come noto, esistevano dei segni per indicare i vari tipi di prigionieri nei campi: i Rom dovevano portare addosso dei pezzi di stoffa triangolari, di colore nero, che indicavano gli “asociali”, oppure verdi, che simboleggiavano i “criminali di professione”, talvolta semplicemente una lettera Z, che era l’iniziale tedesca per “Zigeuner” (Zingari).

I nazisti ritenevano i Rom una razza inferiore: il loro destino fu quello degli Ebrei. Nei campi di sterminio di Bergen- Beltzen, Buchenvald, Dachau, Mathausen, Ravensbruck, Saksenhautzen, tristemente famosi per il genocidio degli Ebrei, furono massacrati centinaia di migliaia di Rom.
Nei territori del Reich (Germania, Austria, il protettorato della Boemia e Moravia, Governatorato generale,cioè la Polonia occupata dai tedeschi), negli stati alleati del Reich, e nei Paesi occupati, furono eliminati, secondo recenti stime, oltre mezzo milione di Rom. Nel campo di concentramento di Jasenovac (Croazia) gli Ustascia, alleati del III Reich, uccisero da 50000 a 80000 internati di origine Rom, insieme a Ebrei, Serbi e comunisti.
Bisogna ricordare ancora le fucilazioni, e i massacri compiuti nell’Europa orientale dagli Einsatzgruppen, una struttura di “pronto intervento”, finalizzata a risolvere drasticamente certi problemi, liquidando capi comunisti, partigiani, e decine di migliaia di Ebrei e Rom: E non ultimo, bisognerebbe ricordare gli esperimenti compiuti nel settore di Auschwitz detto “campo di concentramento per famiglie Rom”, in cui venivano diffusi virus, quali quello del tifo.
Ma il genocidio realizzato dai nazisti e dai loro alleati sui Rom tuttavia non è quasi mai citato: spesso neppure una parola. Il silenzio: in fondo sono solo Zingari.

Tamara Bellone

(Queste note sono tratte dal libro di Bajram Haliti: Razmisljanja o romskom pitanju (Pensieri sulla questione Rom), Nolit, Belgrado e hanno preso spunto dalle lezioni del prof. Alexian Spinelli, che si tengono presso il Politecnico di Torino.
Sul tema del genocidio dei Rom da parte del nazi-fascismo, in italiano sono disponibili i libri di Giovanna Boursier.)