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Oggetto: Monsieur le bourgmestre de Bruxelles, pourquoi protégez-vous ces policiers ?
Data: 02 maggio 2009 21:13:56 GMT+02:00
Lettre envoyée par Michel Collon aux bourgmestre, échevins et conseillers de la Ville de Bruxelles, restée sans réponse. Que craint Monsieur Thielemans ? Monsieur le bourgmestre de Bruxelles, pourquoi protégez-vous ces policiers ? Bruxelles, 10 mars 2009, Monsieur le bourgmestre, Mesdames et Messieurs les conseillers et échevins, Je vous écris pour demander que la Ville de Bruxelles applique le jugement de la Cour d'Appel de Bruxelles, prononcé en septembre 2005. Il y a plus de quatre ans déjà, la Cour a condamné deux policiers brutaux de la Ville de Bruxelles qui m'avaient arrêté arbitrairement et tabassé (quatre côtes fracturées) lors d'une manifestation pour la paix en 1999. Mais, quatre ans après ce jugement, la Ville de Bruxelles refuse toujours de payer ce à quoi elle a été condamnée, en tant qu'employeuse des dits policiers. Et elle n'a toujours pas expliqué pourquoi. Rappel des faits : En mars 99, le précédent bourgmestre, Monsieur de Donnéa, avait pris un arrêté interdisant une manifestation dont j'étais un des organisateurs, manifestation protestant contre les bombardements de l'Otan en Yougoslavie. Nous l'avions fait citer au Conseil d'Etat qui avait condamné de Donnéa, mais celui-ci avait séance tenante repris le même arrêté et mis en place une répression très violente contre les personnes présentes. Le jour même, les policiers Frank Van Impe et Bernard Jongen m'ont arrêté arbitrairement et agressé à l'abri des regards. Des coups de poing et de pied d’une extrême violence ont été assénés sans arrêt pendant tout le transport en camionnette après mon arrestation. Bilan : 4 côtes fracturées, diverses blessures, des semaines d’immobilisation. Tout cela, sans aucun motif valable, mais en hurlant : " Ici il n’y a pas de caméras, tu vas voir ce que c’est de manifester ! " Persistant à mentir pendant des années malgré les preuves évidentes, ils ont néanmoins été condamnés en première instance d'abord, puis en appel. Quatre mois de prison avec sursis, 495 Euros d’amende, 2.560 Euros de dommages pour la victime. Et aussi - c'est une première devant un tribunal pénal belge - ils ont été également condamnés à rembourser mes frais d’avocat comme nous l’avions demandé. Logique, puisque ce procès n’a eu lieu et n’a duré aussi longtemps qu’à cause de leur mauvaise foi. La Ville de Bruxelles a-t-elle appliqué le jugement ? Pas du tout. D'abord, elle s'est pourvue en cassation. En sachant qu'elle n'avait manifestement aucun argument. Mais elle s'est tout simplement abstenue de payer. Fin 2006, lors d'une réunion électorale qu'il tenait dans mon immeuble, j'ai interpellé Monsieur Philippe Close, membre du cabinet du bourgmestre. Devant la réprobation des assistants, il s'est engagé à s'informer du dossier. Après plusieurs rappels, la Ville a effectué le paiement de trois dixièmes de sa dette (correspondant aux dommages). Parce qu'on était en période électorale ? Par contre, j'attends toujours le paiement du solde. Et je n'ai pas reçu la moindre explication, Monsieur Close refuse de répondre à mes appels. Je ne comprends pas pourquoi le bourgmestre refuse d'appliquer une décision de Justice et se rend ainsi complice de policiers brutaux. Je ne l'accepte pas et suis décidé à mobiliser l'opinion publique sur Internet et en alertant la presse. J'ai eu la chance d'avoir autour de moi des caméras et des dizaines de témoins, avant et après le tabassage. Vous savez comme moi que je ne suis pas la première victime hélas de tels agissements (un de ces policiers a été poursuivi plusieurs fois en Justice). J'ai écrit plusieurs fois au bourgmestre. Jamais, il ne m'a répondu. Jamais, il n'a présenté des excuses ou des regrets pour ce qui avait été commis par ses subordonnés. Quelle image Monsieur Thielemans veut-il donner de la Ville de Bruxelles ? Pourquoi protège-t-il des policiers brutaux ? Il a vraiment encouragé des délinquants. En effet, lors des audiences, une vingtaine de collègues sont venus "soutenir" les agents poursuivis. Ils narguaient le public de façon arrogante et lorsque l'on a montré des images des blessures, ils ont ricané à haute voix. Aussi bien en première instance qu'en appel, le tribunal a dû les réprimander et les rappeler à l'ordre. Se sentaient-ils encouragés par leur hiérarchie ? Pire : après une manifestation contre la guerre en Irak, quelques années plus tard, des policiers de Bruxelles-Ville avaient arrêté un jeune, l'avaient plaqué au sol et le maltraitaient. Plusieurs personnes dont des avocats et moi-même s'étaient approchés et avaient demandé de la modération aux policiers. A ce moment, un officier qui me connaissait m'a menacé : " Une manifestation, ça vous a pas suffi ? " Cette déclaration a été enregistrée. Cet officier se sentait-il encouragé par son bourgmestre ? De tels faits montrent que l'attitude du bourgmestre viole des décisions de Justice et encourage de nouvelles brutalités policières. Puisque le bourgmestre refuse de me répondre, j'ai décidé, dans un premier temps, d'interpeller l'ensemble du conseil communal : Etes-vous au courant de cette attitude qui engage la Ville ? Que pouvez-vous faire pour que Justice me soit rendue ? Je tiens à votre disposition les jugements des tribunaux ainsi que le courrier que j'ai envoyé au bourgmestre. Je tiens à votre disposition tous les documents du procès. J'espère que vous pourrez m'aider à résoudre cette affaire rapidement. Mais de toute façon, j'irai jusqu'au bout. Avec mes sentiments distingués Michel Collon Copie pour info à Madame Laanan, Messieurs Di Rupo et Philippe Moureaux Nous vous tiendrons au courant de leurs réactions... Les phases et documents du procès |
COMMISSARIAT CENTRAL DE BRUXELLES
" Savez-vous ce qui se passe, toutes les nuits, dans ce commissariat ? " - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1489&option=com_content&Itemid=
Lettre au bourgmestre de Bruxelles - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1490&option=com_content&Itemid=2
Lettre à Monsieur Dewolf, bourgmestre d'Etterbeek - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1491&option=com_content&Itemid=2
Lettre à Madame Onkelinx, ministre de la Justice - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1492&option=com_content&Itemid=2
PROCES COLLON / FLICS BRUTAUX DE BRUXELLES
Le 3 avril 99, deux policiers bruxellois, Frank Van Impe et Bernard Jongen, m’ont arrêté arbitrairement alors que j’organisais une manifestation contre la guerre de l’Otan en Yougoslavie. Ils m’ont emmené dans une camionnette et tabassé avec une brutalité extrême : 4 côtes fracturées, des semaines d’immobilisation.
Victoire en Justice - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1493&option=com_content&Itemid=2
Qui protège depuis 10 ans ces policiers délinquants ? (L'affaire Cakir Turan) - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1494&option=com_content&Itemid=2
« Si demain, il faut à nouveau manifester pour la paix, j’irai à nouveau. Dans quel état reviendrai-je ? » - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1495&option=com_content&Itemid=2
L'arrestation de Michel Collon était arbitraire et illégale - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1496&option=com_content&Itemid=2
"Pourquoi l'aurions-nous frappé alors que nous aurions pu attendre le commissariat?" - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1497&option=com_content&Itemid=2
Une victoire : les deux brutes policières sont condamnées ! - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1498&option=com_content&Itemid=2
Lequel des deux ment ? (Audience mouvementée au procès Collon / Policiers de Bruxelles – Ville) - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1499&option=com_content&Itemid=2
6/9 : reprise du procès Collon / Flics brutaux de Bruxelles – Ville (Un document remarquable du parquet reconnaît le droit de manifester face à l’arbitraire policier) - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1500&option=com_content&Itemid=2
Qui a protégé les flics brutaux de Bruxelles - Ville ? - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1501&option=com_content&Itemid=2
Les minutes les plus longues de ma vie (Pourquoi je demande justice) - http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid='&id=1502&option=com_content&Itemid=2
mercoledi 6 maggio 2009
(Zambon, Frankfurt 2009)
interviene la curatrice del volume Adriana Chiaia
L’autore documenta l’apporto determinante dei magnati dell’industria, dei grandi proprietari fondiari e dei banchieri tedeschi (nonché dei loro colleghi di Wall Street), alla caduta della Repubblica di Weimar e all’ascesa al potere di Hitler. Nel lungo elenco dei finanziatori del Partito nazista fin dall’inizio spicca, tra gli altri, il nome di Fritz Thyssen. Gossweiler denuncia inoltre la complicità dei dirigenti del Partito socialdemocratico che non si opposero, se non a parole, alla violenza sempre crescente delle truppe d’assalto naziste, ma, al contrario, sabotarono sistematicamente la formazione di un fronte unito antifascista e indirizzarono i loro attacchi contro il Partito comunista, animatore delle più risolute lotte di massa contro il nazismo. I collegamenti con la realtà attuale vengono messi in luce sia nella prefazione all’edizione francese di Annie Lacroix-Riz che nel saggio introduttivo di Adriana Chiaia. | |
Questo libro è dedicato agli operai della ThyssenKrupp arsi vivi sull’altare del profitto nell’incendio divampato nella fabbrica di Torino la notte del 6 dicembre 2007. L’Autore Kurt Gossweiler, nato a Stoccarda nel 1917, è stato dal 1931, anche in situazione di illegalità, nelle organizzazioni giovanili comuniste; richiamato nel 1939 nella Wehrmacht e inviato poi sul fronte russo, nel 1943 passò all’Armata Rossa. Rientrato nel 1947 in patria, a Berlino, è stato membro della SED. Dal 1958 collaboratore scientifico della Sezione Storia dell’Università Humboldt e dal 1970 collaboratore scientifico dell’Istituto Centrale per la Storia dell’Accademia delle Scienze della Rdt sino al 1983. Nel 1988 è divenuto dottore honoris causa dell’Università Humboldt di Berlino (Est). Ha pubblicato volumi e saggi sul fascismo e il revisionismo moderno. |
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Con il sostegno di
COORDINAMENTO NAZIONALE PER LA JUGOSLAVIA - ONLUS
http://www.cnj. it
jugocoord @ tiscali.it
Il narco-terrorismo albanese: la sindrome colombiana nei Balcani e dintorni |
Anna Filiminova Strategic Culture Foundation 27.04.2009 |
Traduzione a cura di Freebooter |
Gli euro-funzionari echeggiano Obama ripetendo lo stesso vecchio motivo di «risultati della democrazia e del progresso di democratizzazione in Kosovo». Tutto in vano: le organizzazioni criminali albanesi corrono il più velocemente possibile per realizzare entrambe l'albanizzazione dei Balcani con la prospettiva di ulteriore segmentazione degli stati di questa regione e l'unificazione dei territori albanesi. Il loro progetto è molto più grande in estensione. Pensano di trasformare la penisola dei Balcani in una roccaforte della mafia albanese che controlli le rotte del traffico di droga in Europa ed estenda le attività criminali degli albanesi per coprire l'intero continente europeo.
Recentemente, l'appoggio politico, militare, diplomatico e finanziario delle «autorità di Pristina» da parte degli USA e della UE hanno consentito ai clan criminali albanesi di sfidare la legge e l'ordine su scala più ampia che mai. In Gran Bretagna sta divampando un altro scandalo che coinvolge le attività degli emigrati albanesi. Un gruppo criminale di sicari professionisti dall'Albania ha proposto apertamente i propri servigi nella capitale britannica: «Qualunque bersaglio – 5.000 utilizzando qualsiasi arma – arma bianca o arma da fuoco». Il London Daily News ha chiamato gli albanesi di base a Londra (principalmente ex militanti dell'Esecito di Liberazione del Kosovo –KLA) i più sofisticati sicari professionisti nella capitale britannica. In un'intervista uno dei capi del gruppo criminale albanese ha affermato che i suoi uomini sanno come usare le armi, controllano le prostitute di Soho, così fanno il loro considerevole investimento a Londra, non temendo nessuno. Ha aggiunto che la legge non potrà fermarli.1
Un gran numero di «profughi albanesi del Kosovo» hanno trovato rifugio in molti paesi europei, dove possono applicare le loro «abilità». In realtà, non hanno nulla a che fare con i profughi, ma piuttosto con l'essere membri di una rete ampiamente ramificata dell'organizzazione criminale, le cui principali attività includono la fabbricazione e la fornitura di eroina e di cocaina ai paesi europei ed altri.
Secondo numerose stime, la mafia albanese controlla circa il 75% dei rifornimenti di eroina ai mercati della droga dell'Europa occidentale e fino al 50% dell'ammontare totale dell'eroina venduta negli USA. Il cartello della droga albanese «Camilla» è tra i massimi cinque cartelli della droga al mondo. Circa 30 clan della droga sono responsabili per la fornitura di eroina in Europa, ciascuno controllando il proprio segmento del narcotraffico.
Quasi tutto il territorio del Kosovo serve come base del narcotraffico, diventando la linea principale di transito dei rifornimenti di droga all'Europa. Uno dei collegamenti chiave in questa catena è quello noto come il «segmento Drenitza», che comprende Prizren, Klina ed Istok che collegano il Kosovo con il Montenegro e la Macedonia. A parte l'eroina, la principale fonte di reddito del gruppo Drenitza è contrabbandare armi, automobili rubate, sigarette, alcool e schiavi. I clan criminali albanesi sono associati alle mafie macedone, bulgara e ceca; sono sulla soglia di prendere sotto il loro controllo parecchie capitali europee, a cominciare da Londra, Berlino e Praga.
Il giro d'affari mensile del traffico dei clan albanesi ammonta da 4 a 6 tonnellate di eroina con un fatturato annuo di eroina che ammonta a $2 miliardi. Più di 200 banche private e di imprese di cambiavalute controllate dai clan della droga albanesi oltre a saloni di bellezza, profumerie, caffè e così via, si occupano del riciclaggio in Italia, Spagna, Gran Bretagna ed in altri paesi europei.
Dietro i narcotrafficanti albanesi vi sono due basi militari USA, Bondsteel e Minor Bondsteel a Kosmet, come pure l'intero complesso di supporto USA e UE, che si estende dai mass media all'assistenza militare, rendendoli più che tranquilli. Per esempio, in seguito allo spiegamento delle truppe della NATO i criminali albanesi ricercati dalle agenzie di polizia hanno trovato rifugio sicuro in Kosovo. I «mafiosi» albanesi sono facili da riconoscere: vanno in giro in automobili o jeep Mercedes nere senza targa e con i finestrini sfumati. Le truppe della KFOR ignorano le automobili senza targa, ma i residenti locali sanno che queste automobili sono rubate e contrabbandate in Kosovo. I sospetti di crimini non verranno estradati in Albania, poiché la KFOR non ha un accordo relativo con quel paese.
Dopo il Kosovo, l'attacco può essere diretto verso le parti meridionali della Serbia a Presevo, Buyanovatz e Medvezhiya, con uno sguardo a prendere il controllo della direzione strategica al collegamento di Kosmet, Macedonia, Serbia, Bulgaria ed ancora più lontano – Grecia ed Europa Centrale.
I criminali della droga albanesi hanno grandi aspirazioni. Controllando il semi-stato del Kosovo si accostano al compimento del progetto di divisione della Macedonia per afferrare il controllo della sua parte maggiore. Per esempio, le parti occidentali della Macedonia sono controllate dal clan Taci. M. Taci, il presidente del «Partito Democratico degli Albanesi» ha collegamenti diretti con la mafia che controlla le forniture di eroina, cocaina ed automobili 2. Prima del bombardamento della Jugoslavia del 1999, il Gruppo Anti-Droga di Parigi ha pubblicato le informazioni che la mafia della droga albanese in Kosovo e Macedonia che vendeva eroina ed armava il parentado a Kosmet, con basi della droga a Skopje, Skadar e Pristina, da dove la droga veniva portata in Svizzera, Germania, Italia e Grecia. Una importante fabbrica di eroina è situata a Kumanovo, un posto vicino alla Macedonia.
Effettivamente, l'intera regione comprendente Albania, Kosovo e Macedonia occidentale è un enorme magazzino di droga che conserva tonnellate di eroina. Le cifre delle vendite ammontano a miliardi di dollari, ma non è stata resa disponibile nessuna informazione sui baroni della droga albanesi arrestati.
Proprio dall'inizio il movimento separatista albanese in Jugoslavia è stato fondato sulle attività delle mafie della droga. Comunque, fino all'inizio degli anni '80 la questione del contrabbando albanese di droga dal Medio Oriente via i Balcani verso l'Europa e gli USA non veniva sollevato che occasionalmente. Allora gli albanesi agivano come trafficanti controllati dalla mafia della droga turca e dalle organizzazioni criminali bulgare. La crescita riguarda l'attuazione del progetto della «Grande Albania».
Il drammatico cambiamento della posizione dei clan della droga albanesi avvenne alla fine degli anni '90, quando il Dipartimento di Stato USA iniziò ad attuare i suoi piani geostrategici, decidendo di utilizzare i gruppi criminali albanesi come strumento per realizzare i propri obiettivi. Diede agli albanesi assistenza completa con il bombardamento della Jugoslavia per 78 giorni. In aggiunta, l'amministrazione democratica di Bill Clinton è responsabile dell'istituzione in Albania settentrionale di campi speciali a Kosmet ed in Macedonia per addestrare i militanti albanesi al sabotaggio e ad azioni terroristiche.
Appoggiati dagli USA, nei primi anni del 21st secolo la malavita albanese si è trasformata in uno «stato dentro uno stato», con eroina ed armi come principali argomenti politici.
I leader degli albanesi del Kosovo, Taci, Haradinai e Ceku non sono soltanto i capi dei gruppi armati illegali, sono i padroni della mafia albanese della droga che finanziava il KLA, l'esercito terrorista albanese (che ora ha cambiato nome in «Forza di Sicurezza del Kosovo»). Il denaro della droga che hanno arraffato in diverse parti del mondo ritorna in Kosovo sotto forma di investimenti nel separatismo di "La Repubblica del Kosovo" (nota anche come «La Repubblica dell'Eroina»).
Il clan Berish è il più influente in Albania. Controlla anche diversi distretti del Metohia. I clan della famiglia Kula che controlla il traffico di droga e le forniture di armi e migranti illegali dalla Turchia, il clan Abazi (droga e prostituzione in cooperazione con i criminali italiani), il clan Brokai (la cui spina dorsale è fatta di gente che in precedenza operavano per i servizi speciali e politici ora impegnati in droga armi e prostituzione).
Circa l'80% del mercato dell'eroina ungherese è controllato dalla mafia albanese. La maggior parte del denaro viene spesa in Italia per l'acquisto di armi. La narco-mafia albanese è riuscita ad espellere i turchi da quel paese. I precedenti corrieri, albanesi diventati organizzatori della rete della droga ed associati a Cosa Nostra siciliana, alla camorra con base a Napoli ed alla ndrangheta calabrese. L'Italia ora è una delle basi delle strutture criminali albanesi che tratta 50 chilogrammi di eroina GIORNALMENTE! Milano è il loro centro d'affari e la regione della Calabria è il centro del traffico di droga e di armi.
Gli albanesi controllano anche il narcotraffico sulla frontiera italo-svizzera. La Svizzera è la loro principale «base» in Europa. I centri del traffico d'armi «scambio nero» sono a Berna e Basilea. Durante la recente visita in Svizzera del Ministro degli Esteri serbo V. Eremic sono state prese misure di sicurezza del 4° grado a causa della manifesta minaccia del suo annientamento fisico da parte del crimine albanese. Il principale sospetto era il clan Osmani, diretto da un certo Casim («Felix»). Questo clan è finanziato dal più grande «uomo d'affari» albanese del Kosovo, Bejet Pakkoli.
Gli albanesi del Kosovo controllano anche '80% del traffico di droga in Svezia e Norvegia, essendo i principali distributori nei mercati di cocaina, eroina e marijuana greca. Gli albanesi contano sul trasferimento greco per fornire migranti albanesi e vagabondi da Turchia, Pakistan, Sri-Lanka, Cina e da altri paesi che agiscono anche come corrieri per la consegna di droga. Il Mare Adriatico, che collega le coste di Italia ed Albania, è un altro corridoio che utilizzano.
Secondo le informazioni pubblicizzate dalla polizia slovacca, quasi il 100% dell'eroina arriva dall'Afghanistan via il «traffico dei Balcani» attraverso il Kosovo, la Macedonia e l'Albania. Recentemente, i gruppi albanesi hanno iniziato ad agguantare il controllo dei porti rumeni.
FBI, Interpol ed Europol provano unanimemente che la mafia albanese è diventata la più importante organizzazione criminale. Difendendo i suoi interessi è disposta a prepararsi all'azione fino all'ultimo uomo, diventando una minaccia per i principi fondamentali della sicurezza degli Stati Uniti e dei paesi dell'Unione Europea.
1 Politika: http://www.politika.rs/rubrike/Svet/bivsi-pripadnici-OVK-kontrolishu-londonsko-podzemlje.sr.html
2 Patriot Magazin: http://www.patriotmagazin.com/media/008.htm
----- Original Message -----
From: Ivan P. Istrijan
To: Redazione Primapagina
Sent: Saturday, April 25, 2009 8:53 AM
Subject: All' attenzione di P. Sansonetti
Signor Sansonetti,
Ho notato che le sue ultime parole oggi sono state un elogio grandissimo agli americani "liberatori" ! Le ricordo che gli anglo-americani hanno saputo prevalentemente bombardare e bombardare. Monte Cassino, San Lorenzo a Roma, Napoli, etc. Inoltre le ricordo che gli anglo-americani hanno bombardato la mia citta' di Pola e le isole di Brioni, maggio 1945 (!), Zara... a ormai guerra finita. A Pola c'erano 4, ma prorio "4 gatti" tedeschi, spaesati. Bombardato perche'? Per dire che ci hanno loro liberati?!
Sansonetti, i punti strategici si conquistano lottando corpo a corpo, come fecero i polacchi sotto il comando di Anders per Monte Cassino. E poi tra le nazionalita' dei combattenti non ha citato i partigiani jugoslavi. Per dimenticanza? Eppure in Italia ci sono 4 - 5 monumenti-sacrari dedicati ai partigiani jugoslavi!
Ivan Pavicevac
nel 90. anniversario della costituzione del Partito Comunista della Jugoslavia,
al quale hanno partecipato un gran numero di formazioni comuniste jugoslave delle varie repubbliche)
90. godišnjica Komunističke pokreta u Jugoslaviji
U Beogradu je u nedelju 19. aprila, u organizaciji KS Komunista Srbije, održana svečanost, povodom 90-e godišnjice osnivanja Socijalističke Radničke Partije Jugoslavije-Komunista, koja se na kongresu u Vukovaru preimenovala u KPJ Komunističku Partiju Jugoslavije. Svečanost je održana na Slaviji, na mjestu gdje je partija i osnovana.
Osim domaćina, Komunista Srbije, koji su također obilježili prvu godišnjicu ujedinjenja triju komunističkih frakcija, na svećanost su se odazvali i predstavnici: SKJ Saveza Komunista Jugoslavije, organizacije Saveza Boraca iz Srbije, društva Tito. Od predstavnika komunističkih i radničkih partija, sa jugoslavenskog prostora, prisustvovali su predstavnici: SRP-a Socijalističke Radničke Partije iz Hrvatske, KPM Komunističke Partije Makedonije, Komunističke Reformističke Partije Makedonije i Savez Komunista Jugoslavije-Komunisti Crne gore. U nemogućnosti da se odazovu pozivu pozdravna pisma su uputili iz Komunističke Radničke Partije Bosne i Hercegovine i Komunističkog Odbora Slovenije. Skupu se nisu odazvali predstavnici NKPJ Nove Komunističke Partije Jugoslavije, male, ali trenutno najjače od osam komunističkih partija u Srbiji.
Prvi dio svečanog skupa posvećen je podsjećanju na povjesnu ulogu koju je komunistički pokret ostvario na jugoslavenskom prostoru od svoga osnivanja, u predratnom razdoblju, organizaciji i uspješnom vođenju Narodno oslobodilačkog Rata i socijalističke revolucije i poslijeratne izgradnje modernog društva, na principima samoupravljanja, nesvrstanosti i punog suvereniteta. Po završetku prvog dijela, položen je vijenac na spomen ploču na mjestu gdje je kongres ujedinjenja održan.
Predviđeno je bilo i polaganje vjenca u Kući cvijeća, ali je to moralo biti odgođeno, zbog praznika, na prvi slijedeći radni dan.
U Drugom dijelu održan je sastanak predstavnika partija koje su se odazvale, o načinima i oblicima čvršće i sistematičnije suradnje u budućnosti. Predloženo je osnivanje izvršnog koordinacionog odbora sa prostora Jugoslavije, kojeg bi činila po dva predstavnika iz svake republike. A pravnici trebaju osmislit formu dokumenta.
Sa zadovoljstvom je primljena informacija, da je u Crnoj Gori zaključena integracija dviju tamošnjih komunističkih partija, a u Makedoniji su krenuli razgovori, da učinu isto i tamošnje dvije partije.
Vladimir Kapuralin
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DEVEDESETOGODIŠNJICA KONGRESA UJEDINJENJA SOCIJALISTIČKE RADNIČKE PARTIJE JUGOSLAVIJE (KOMUNISTA)I GODIŠNJICA KONGRESA UJEDINJENJA PARTIJE “KOMUNISTI SRBIJE” Uvaženi gosti, drugarice i drugovi ! Danas svečano obeležavamo devedesetogodišnjicu Kongresa ujedinjenja Socijalističke radničke partije Jugoslavije (komunista), dan kada je nastao jugoslovenski komunistički pokret, odnosno KPJ, kao i godišnjicu Kongresa ujedinjenja partije “Komunisti Srbije”. Danas nije prilika da opširno i sveobuhvatnogovorimo o devedesetogodišnjoj istorijskoj prošlosti komunističkog i radničkog pokreta u Jugoslaviji. Biće uspeh ako nam pođe za rukom da napravimp paralelu između nekoliko važnijih događaja iz prošlosti i vremena sadašnjeg i da iz toga, možda, izvučemo i poneku korisnu pouku. Verujem da bi bilo dobro da komunističke i radničke partije sa prostora Jugoslavije, udruženim snagama, budu organizatori skupova na kojima bi bila izvršena ozbiljna kritička analiza delovanja jugoslovenskog komunističkog pokreta, a naročito KPJ/SKJ u nešto bližoj prošlosti, u kojoj je bilo veličanstvenih pobeda ali i poraza sa tragičnim posledicama. To bi bilo korisno radi utvrđivanja objektivnih i usaglašenih ocena o tome šta su najznačajnija pozitivna a šta negativna iskustva KPJ/SKJ koja bi mogla biti od koristi za naš budući rad. Jugoslovenski komunistički i radnički pokret se razvijao pod snažnim uticajem revolucionarnih gibanja u Evropi, a naročito na revolucionarnim idejama Velike oktobarske socijalističke revolucije u Rusiji. Čitav svet, u okviru koga i mlada radnička klasa i napredni studentski pokret tadašnje tek stvorene Kraljevine Srba, Hrvata i Slovenaca su bili zahvaćeni idejama Velikog Oktobra. Shvatajući istorijske zadatke i značaj ujedinjenja kao preduslova za jačanje revolucionarne klasne borbe protiv tadašnje buržoaske klase, 432 delegata koji su predstavljali organizovane pripadnike klasnog radnčkog pokreta Jugoslavije, okupili su se na KONGRESU UJEDINJENJA, održanom u Beogradu od 20 do 25 Aprila 1919 godine u neposrednoj blizini mesta na kome se danas nalazimo. Treba podsetiti da je SRPJ(k) na istorijskom Kongresu ujedinjenja, pored usvajanja niza važnih dokumenata značajnih za organizovanje klasne borbe, donela i odluku o pristupanju TREĆOJ KOMUNISTIČKOJ INTERNACIONALI, čime je sasno zacrtan revolucionarni klasni karakter i razvojni put jugoslovenskog komunističkog pokreta. Revolucionarna orjentacija Kongresa bila je više izraz borbenog raspoloženja mlade i neiskusne radničke klase i uticaja velikih pobeda proletarijata Rusije i Mađarske, nego poznavanja Marksistišo-Lenjinističkog učenja i njegove primene na jugoslovenske uslove. No, bez obzira na izuzetno teške uslove ilegalnog rada, proganjanja komunista od strane buržoaske vlasti ( Obznana, Šestojanuarska diktatura itd. ), povremene zastoje, kolebanja i frakcionaške borbe unutar partije, jugoslovenski komunistički pokret se, iako mukotrpno, uspešno razvijao. Dolaskom druga Tita na čelo KPJ 1937 godine otpočinje period snažne konsolidacije partije. Omasovljenje partije proverenim kadrovima, idejno i organizacijono jašanje, predvođenje radnika u klasnoj sindikalnoj borbi, organizovanje mladih u SKOJ i priprema za antifašističku NOB i socijalističku revoluciju, bili su težišni zadatci koje je KPJ, očišćena od frakcionaša, kolebljivaca i nosilaca nejedinstva, uspešno izvršila. Organizovanje i predvođenje patriotskih antifašističkih snaga u NOB i socijalističkoj revoluciji, monolitna KPJ je izvršila veličanstveno, ne samo zato što je pobedonosno okončala NOR i postavila temelje nove socijalističke vlasti, već i zato što je iz rata izašla sa ogromnom političkom i moralnom snagom, ugledom u narodu i velikim brojem u ratu prekaljenih boraca i komunista snažno nadahnutih idejama socijalizma i komunizma, bratstva i jedinstva i jugoslovenskog patriotizma. Svojom antifašističkom borbom služili smo za primer drugim porobljenim narodima Evrope i sveta. Pod rukovodstvom KPJ jednovremeno je izvedena i AUTENTIČNA SOCIJALISTIČKA REVOLUCIJA, u kojoj su bile poražene sve desne,gražanske, monarhističke, klerikalne i nacionalističke snage, koje su u visokom procentu bile na strani okupatora, a danas te povampirene snage krivotvore istoriju, okreću mladim generacijama pamet naopako , rehabilituju saradnike okupatora i ratne zločince i proglašavaju ih za pripadnike antifašističkog pokreta ?! Po završetku Drugog svetskog rata bili smo svedoci i sudionici ogromnog poleta, entuzijazma i pregalaštva, naročito mladih generacija predvođenih SKOJ-em u obnovi i četrdesetogodišnjoj izgradnji socijalizma i prosperiteta SFRJ u svim oblastima života. Ishodište svih naših pobeda i uspeha bili su:monolitno jedinstvo Partije, tekovine antifašističke NOB i socijalističke revolucije, ravnopravnost naroda i narodnosti, bratstvo i jedinstvo i jugoslovenski patriotizam. Međutim, paralelno sa pozitivnim dostignućima, u partijskim i državnim rukovodstvima i u društvu, postepeno su uzimale maha i razne negativne pojave kao što su:karijerizam, separatizam i nacionalizam, šro je narušavalo principe demokratskog centralizma i jedinstvo Partije, čime se postepeno podsticala konfederalizacija i dezintegracija celog jugoslovenskog društva. Sve češće dolazi do otvorenih političkih sukomba koji su dostigli kulminaciju na 14 Kongresu, kada je pod naletom separatističkih i nacionalističkih snaga, snažno podržanih od spoljnjih neprijatelja Jugoslavije SKJ konačno razbijen. Dalji tok kontrarevolucionarnih događaja, uključujući i krvavi građanski rat sa tragičnim posledicama, dobro su nam poznati. Naravno, znamo da je razbijanje Jugoslavije došlo na talasima antikomunizma, odnosno kao posledica promene globalnog odnosa snaga u Evropi na štetu socijalizma, ali i kao posledica brojnih unutrašnjih slabosti. Pored spoljnjih faktora i povampirenih snaga građansko-liberalne, klerikalne i nacionalističke desnice i pseudolevice, značajnu negativnu ulogu u razbijanju Jugoslavije su imali, što bi rekao drug Lenjin i “mangupi iz naših redova” kojih je bilo dosta u saveznim i republičkim rukovodstvima Partije i Države. Zato je izuzetno važno za naš budući rad da nađemo usaglašen odgovor na pitanje: Kako je bilo moguće da se u jednom odsudnom istorijskom trenutku u rukovodećim organima Partije i Države nađe tako malo iskreno i čvrsto jugoslovenski opredeljenih ljudi, odnosno da separatisti, nacionalisti i kolebljivci dobiju prevagu u rukovodećim organima ? Da bi se dobio prihvatljiv odgovor na postavljeno pitanje, treba analizirati mnoge stvari iz naše bliže prošlosti, od kojih se dva pitanja izdvajaju kao najznačajnija:1. Kadrovska politika i 2. Nacionalna politika Partije. Slabosri kadrovske politike su se ogledale u činjenici da SKJ šesto nije uspevao da ostane čvrsto vezan za političko-klasno biće radničke klase, već se postepeno birokratizovao, odvajao od klase koju je trebalo da predvodi i dopustio prodor u partiska u partijska i državna rukovodstva raznim vrstana antijugoslovena i antikomunista. Najbolji dokaz za iznetu tvrdnju je činjenica da je, posle razbijanja SKJ i SFRJ, bivših partijskih u državnih rukovodilaca prešao na sranu kontrarevolucije. Osnovni principi nacionalne politike KPJ/SKJ su bili dobri. Međutim, ono što je bila slaba strana nacionalne politike, jeste činjenica da Partija nije imala valjane odbrambene mehanizme protiv razornog delovanja separatista, nacionalista i drugih vrsta antijugoslovena i antikomunista koji su zloupotrebom principa ravnopravnosti, koristeći samo negativna istorijska nasleđa u odnosima među našim narodima i narodnostima, manipulišući sa nacionalnim osećanjima građana, organizovano radili na razbijanju Jugoslavije. Prvi ohrabrujući politički događaj za komuniste Jugoslavije, nakon razbijanja SKJ na 14 Kongresu, desio se u Januaru 1990 godine kada je bio formiran SK-PJ. Cilj je bio okupiti jugoslovenski opredeljene komuniste kako bi se ujedinjenim snagama suprotstavili kontrarevoluciji i sprečili građanski rat.Nažalost, naša radost je bila kratkog veka jer su se nesporazumi i podele među komunistima nastavile i traju do danas, čime smo doprineli da naš poraz bude još veći od onog koji je prouzrokovan nepovoljnim spoljnjim okolnostima na koje nismo mogli uticati. Drugi ohrabrujući politički događaj za komuniste u Srbiji bio je Kongres ujedinjenja u partiju “Komunisti Srbije”, održan 19. Aprila.2008 godine u Beogradu. Namera je bila da Kongres ujedinjenja označiistorijski početak kraja nesporazuma i podela među komunistima u Srbiji. Nažalost, pozitivni rezultati su, za sada, vlo skromni u odnosu na očekivane. Kažemo vrlo skromni zato što danas u Srbiji još uvek imamo ukupno 8 komunističkih i radničkih partija. Ni manje Države ni većeg broja komunističkih i radničkih partija ?! Kako reče jedan naš drug: Blago imperijalistima, oni će vladati još 1000 godina ako mi komunisti i dalje ostanemo ovako razdrobljeni. Pored toga komunisti su već godinama izloženi snažnoj antikomunističkoj propagandi, satanizaciji, totalnoj medijskoj blokadi, nena ih na javnoj političkoj sceni i deluju u izuzetno teškim materijalno-finansijskim uslovima. Posledica takvog stanja je činjenica da nema ni jednog jedinog komuniste u republičkom parlamentu Srbije niti u lokalnim organima vlasti, a slična ili identična situacija je i u drugim bivšim republokama SFRJ. Pod naletom divljeg liberalnog kapitalizma i globalizma privreda je u totalnom kolapsu, nezaposlenost i socijalna beda su dostigli zabrinjavajuće razmere, kriminalizacija društva je u punom zamahu, okupacija Kosova i Metohije od strane NATO, porast nasilja i dtugih oblika društvene patologije ozbiljno ugrožava normalan život građana, koji su opsednuti egzistencijalnim problemima. To ima za posledicu gubljenje moralne smage, entuzijazma, samopouzdanja i dostojanstva Naroda i Države. Dok porobljivački i zločinački NATO proslavlja šezdesetogodišnjicu svog formiranja, čiju “mirotvoračku ulogu” su građani Jugoslavije, a naročito građani Srbije, dobro osetili na sopstvenoj koži, antiglobalisti u svetu organizuju proteste, a mi komunisti Jugoslavije i Srbije, zbog razjedinjenosti još uvek nemamo snage da makar organizujemo javne proteste. Organizovana politička snaga koja bi trebalo da povede nezadovoljne građane u političku borbu za promenu katastrofičnog stanja u zemlji treba da postanu ujedinjeni komunisti kao što su to postali pre 90 godina nakon KONGRESA UJEDINJENJA, baš na ovom istorijskom mestu. To bi danas trebalo da bude najvažnija istorijska pouka i poruka iz naše proslosti. Samo ujedinjeni komunisti mogu uspešno organizovati KONTRANAPAD protiv KONTRAREVOLUCIJE koja je u punom zamahu, a ne kolebljivci, kompromiseri i štetočinska pseudolevica koja i danas, kao i uvek u prošlosti, igra ulogu “Trojanskg konja” u radničkom pokretu. Za kontranapad su nam potrebni mladi ljudi kojih još uvek nema dovoljno među komunistima. Partija “Komunisti Srbije” uvažava realnost u kojoj danas živimo i od koje moramo polaziti kada utvrđujemo prioritete našeg političkog delovanja, od kojih danas ističemo dva kao najvažnija i najaktuelnija: 1. Jačanje saradnje komunističkih i radničkih partija na prostorima Jugoslavije i 2. UJEDINJENJE komunističkih i radničkih partija u svim novostvorenim državama na jugoslavenskim prostorima, što je imperativ vremena u kome živimo ! Bez sprovođenja u život istaknuta dva prioriteta, koji predstavljaju nezaobilazne preduslove za naš uspešniji rad, neće biti moguć čak ni ozbiljniji pokušaj da se ojača uticak komunista na društvene tokove na prostorima Srbije i Jugoslavije, kao ni naš uticaj na širim balkanskim i evropskim prostorima. Ključno je pitanje pod kojim uslovima i na kojim idejnim osnovama je danas moguće pristupiti ujedinjenju komunističkih i radničkih partija u Srbiji i u drugim novostvorenim državama na jugoslovenskim prostorima ? 1. Političke, ekonomske i socijalne prilike u kojima se danas nalazimo upućuju na zaključak da ujedinjenje treba izvršiti na aktuelnim zadatcima komunista vezanim za sadašnjost i neposrednu budućnost,oko čega u Programima postojećih partija postoji dovoljan stepen podudarnosti i komplementarnosti, što predstavlja dobru osnovu za otvaranje puta ka ujedinjenju; 2. Polazeći od KOMUNISTIČKOG MANIFESTA, pozitivnih iskustava međunarodnog komunističkog i radničkog pokreta, a naročito od pozitivnih iskustava KPJ/SKJ, koja su vezana za periode u kojima je Partija bila jedinstvena, treba povući jasnu liniju idejnog razgraničenja sa svima onima koji su, manje ili više, na antikomunističkim pozicijama i idejno se jasno profilisati na izvornim načelima Marksizma-Lenjinizma, izbegavajući i dogmatska i revizionistička zastranjivanja; 3.Obzirom da je ZAKON o preregistraciji političkih partija u Srbiji već gotova stvar, po kome je predviđeno da se čitav posao mora okončati najdalje za 6 meseci, počev od dana stupanja na snagu pomenutog Zakona, uz obavezu prikupljanja 5000 (10000 ?) sudski overenih potpisa, bilo bi izuzetno važno da komunističke i radničke partije u Srbiji tu okolnost najozbiljnije uzmu u obzir, pri odlučivanju da li su za ujedinjenje ili protiv ujedinjenja ? Ako rukovodstva i najodgovorniji ljudi u rukovodstvima komunističkih i radničkih partija ne budu svesni izazova pred kojima se danas nalazimo, onda ćemo zbog nejedinstva doživeti još veći poraz, kao što smo u prošlosti uvek trpeli poraze kada smo bili nejedinstveni, a ostvarivali veličanstvene pobede kada smo bili jedinstveni. AKO I DALJE OSTANEMO ZAROBLJENICI PROŠLOSTI i nastavimo da se sporimo oko nekih značajnih događaja i uloge istaknutih ličnosti u tim događajima, TO ĆE BITI NAJBOLJI DOKAZ DA NISMO DORASLI ULOZI KOJU JE ISTORIJA DODELILA KOMUNISTIMA DANAS. ZATO, KOMUNISTI U PAMET SE ! Beograd, SLOVENSKI KOMUNISTIČKI ODBOR SVEČANOM SKUPU KOMUNISTA JUGOSLAVIJE, POVODOM 90-to GODIŠNJICE UJEDINJENJA KOMUNISTIČKOG POKRETA JUGOSLAVIJE – B E O G R A D P O R U K A Drugarice i drugovi, Slovenski komunistički odbor srdačno pozdavlja učesnike današnjeg uzvišenog skupa i zahvaljuje na pozivu za učešće u radu skupa. Izražavamo dužno priznanje organizatorima skupa, za uloženi trud na organizovanju ovog višestrano korisnog susreta, razmene mišljenja i dogovora. U nemogućnosti da pošaljemo naše delegate, želimo porukom doprineti uspešnom radu skupa. Smatramo da je Dan ujedinjenja Jugoslovenskog komunističnog pokreta, ne samo prilika za sećanje i zaštita od zaborava tog značajnog događaja, nego i obaveza da sa svih vidika i vremenskih distanci ocenimu značaj i uticaj koji je imao i može imati na pozitivna socijalistička kretanja, u prošlosti, sadašnjosti i budućnosti. Potreba za ujedinjenjem radničke klase, nastala je kada je nastala klasna podela i eksploatacija – prisvajanje plodova tuđeg rada. Naročito, kad su kapitalisti radnike, lišene sredstava za proizvodnju, izbacivali na ulice, kada je nastao i proleterijat,- osiromašena radnička klasa, bez ikakvih sredstava za život-. Uspešan otpor bezočnoj eksploataciji,a posebno uspešno otimanje vlasti od kapitalista, nije se moglo vršiti pojedinačno, nego ujedinjenim snagama radnika – proletera, Poznate su zasluge i doprinos klasika socijalističkih ideja, Marksa i marksista, za ujedinjavanje radničke klase, za nastank parole »Proleteri svih zemalja ujedinite se«, za stvaranje oblika ujedinjavnja: I., II. i III. Internacionale, a kasnije Infomacionog biroa istočno evropskih država. Naročito, za organizovanje rukovodećeg oblika radnika, formiranje Komunističke partije, bez koje radnička klasa ne može pobeđivati i preuzimati vlast od buržoazije. Klasici su odredili i izvorna načela - uslove, bez čije dosledne primene, radnička klasa i progresivne socijalističke snage ne mogu izvršiti radikalne društvene promene, osvojiti i održati vlast, Ta poznata načela su: osvajanje vlasti, podruštvljavanje sredstava za proizvodnju i povećavanje proizvodnje materijalnih sredstva za solidan životni standard građana. Osnovne predpostavke za realizaciju načela su da na najodgovornija rukovodeća mesta budu izabrani ljudi potpuno odani socijalističko-komunističkoj ideologiji. Zatim, izgradnja čvrstog odbrambenog mehanizma sistema, među kojima je diktatura proleterijata namenjena da onemogući restauraciju svrgnute buržoazije. Tu su i druga načela: slobode, opšte i nacionalno-verske ravnopravnosti, socijalne zaštite, prosvetno-kulturnog razvoja, nagrađivanja na osnovi društveno korisnog rada. Odstupanja od navedenih načela su prouzrokovala sadašnje slabo i teško stanje međunarodnih socijalističkih snaga. Snage koje su odstupale od izvornih načela, razorale su napred navedena ujedinjenja i razbile socijalističke države. Potrebno ih je svakom prilikom fiksirati i ukazivati na težinu i oblike njihovog delovanja. To su najteži i najčešći: frakcijske borbe, oportunizam, apsolutizam, karijerizam, liderstvo, neravnopravnost velikih i malih, jačih i slabijih, paktiranje sa buržoazijom, izdaja kao najteži oblik sa krvavim tragovima, nacionalizam, separatizam i druge destruktivne aktivnosti. Osnovni uzrok tih negativnosti je biološki INSTINKT individue, koji se imenuje egoizam - ego, a manifestuje se - izražava u znamenju: »meni pa tebi«, »ja pa ti«, suprotno od »nami« i »mi«.. Današnji razgovor i obraćanja posvećena 90-to godišnjici temeljnog ujedinjenja Socijalističke radničke partije (komunista) (SRPJ(k), izvršenom na Kongresu ujedinjenja, 20. do 23. aprila 1919. godine, potrebno je, pored ocena o rezultatima i uspesima prethodnih komunističnih snaga, oceniti sadašnju stvarnost tih snaga, na prostorima nedavne zajedničke SFRJ-e: gde su, kolike su, kakva im je aktivnost, mogućnosti, u sadašnjosti i u budućnosti? Važno je to učiniti što objektivnije i jedinstvenije i što prihvatljivije od strane progresivnih snaga, kojima je namenjeno. Poznato je da pravilna ocena prošlosti, utiče na kretanja i uspehe u budućnosti. Smatramo da su Programi SRPJ (k), KPJ-e i SKJ-e bili zasnovani na marksističkoj ideologiji i u skladu sa navedenim izvornim ideološkim principima. Takvo opredelenje, omogućilo je aktivnosti i uspehe delovanja, kao i savlađivanje prepreka, manjih i većih kriza, na borbenom putu, od ujedinjenja do 90-ih godina prošlog veka. Pridobita su poverenje i podrška većine radnih ljudi, naročito radničke klase i siromašnog seljaštva, Bio je uspešan otpor nenarodnom buržujskom režimu u Kraljevini Jugoslaviji. Zatim, uspešna priprema za borbu protiv fašističke okupacije i uspešan ishod NOB-e i revolucije. Uspešna obnova zemlje i stalni ekonomski napredak, odlučno kretanje na putu izgradnje istinskog socijalističkog samoupravnog društva. Uspešno su savlađivani otpori protiv socijalističkih snaga i pojedine unutrašnje suprotnosti, posebno otpori u komunističkim redovima. Najvažnije je oceniti: Zašto je proces zaustavljen, zašto je izgubljeno poverenje , razbijeno jedinstvo i socijalistička zajednica? Zašto s radnici i drugi, koji su verovali u socijalizam, krenuli protiv ličnih interesa, otišli za nacionalistima, separatistima i drugim neprijateljima socijalizma, podržali, a mnogi učestvovali u nacionalno-verskim sukobima, ubijali jedni druge i uništavali sve što su svojim radom stvarali? Da li ih je na takvo opredelenje potstakla nacionalna i verska neizživljenost ili nešto drugo? Kako je bilo moguće da se brzo razbiju i onesposobe glavni integracioni faktori socijalističke države, čiju je namensku ulogu garantovao ustav države? najviši organi federacije, JNA, posebno, da se ukine SKJ. Sve to je učinjeno bez pitanja građana, referenduma i anketnih provera. Kako su kompletna rukovodstva nekih republika, takoreći u jednom danu, prešli na stranu imperijalista i uključili se u kapitalistički eksploatatorski sistem? Kako su pojedini oficiri i generali JNA, koji su odgajani u duhu vernosti socijalizmu, pristupili nacionalističkim pobunjenim oružanim formacijama i u njima učestvovali u razbijanju države i vršenju zločina nad do tada bratskim narodima? Zašto je general, nekada na najvećem komandnom položaju vojske (prvi do sekretara NO), izjavljivao da se nije borio za nikakvu revoluciju, nego samo za oslobođenje okupirane zemlje? Zašto potpresednik Saveza boraca Slovenije savetuje komunistima Slovenije da se ne zalažu za obnavljanje Jugoslavije, odbija saradnju sa njima i izjavljuje, kako boračka organizacija ima »neutralan« odnos do svih partija? Neophodno je tražiti i odgovor, zašto na aktuelnim izborima za Radničko-komunističke partije glasa jedva 1- 2 ili 3% birača, dok su u Kraljevini Jugoslaviji komunisti pobeđivali na izborima, a u SFRJ uživali podršku apsolutne većine građana? U objavljivanim anketama režimskih medija, gotovo u svim bivšim republikama, polovina ili 2/3 gradjana izjavljuju da su bolje živeli u socijalizmu, nego što danas žive. U vezi navedenih pitatanja, zašto i kako su nastajale negativnosti, smatramo da treba tražiti što potpunije odgovore, kako bi se lakše i uspešno borili protiv ponavljanja negativnosti. O svemu već ima raličitih i međusobno suprotnih ocena, prihvatljivih i neprihvatljivih. Treba se nadati da će potpunije ocene dati objektivni istoričari. Smatramo da je apsolutno neprihvatljiva ocena izdajnika socijalizma, da samoupravni sistem nije mogao preživeti i da se sam sasuo.To je lažna propaganda, prikrivanje izdaje socijalizma! .Smatramo, takođe, da nisu bile ostvarene predpostavke u vezi sa izvornim načelima, biranje na vodeće položaje socijalizmu odanih kadrova i izgradnja čvrstih odbranbenih mehanizimi. U suprotnom, ne bi se moglo dogoditi da predsednik Predsedništva države,i vrhovni komandant njene vojske, Stipe Mesić, tajno putuje preko Slovenije i Austrije u Bon i Vatikan, na dogovore o razbijanju države koju je predstavljao i da predaje državne vojne planove imperijalistima. Takav primer je nepoznat u istoriji nastanka i postojanja država sveta. U odbranbenim merama sistema, trebalo je formirati radnički organ, Veće ili slično, i njemu dati pravo na primenu VETA, po svim ključnim pitanjima. Nažalost, takvo pravo je, ustavom iz 1974. bilo dato republičkim birokratijama, koje su ga zloupotrebile za razbijanje države i za odcepljenje. Jedna od samoupravnih zaštitnih mera bila je institucija Radničkih kontrola u preduzećima, sankcionisana ustavom i zakonom o udruženom radu..Na drugoj strani, članove kontrole mogli su progoniti i otpuštati sa posla tehnokrati i direktori u preduzećima. Na kraju, šta je neophodno činiti u sadašnjem vremenu? Smatramo, da sa našim ocenama događanja u prošlosti, našim Programom i merama koje treba da spreče ponavljanje negativne prošlosti, treba preko mogućih sredstava informisanja, upoznati javnost, posebno, radničku klasu i tražiti poverenje i podrušku u borbi za osvajanje vlasti. Što ocene budu konkretnije i realnije, biti će ubedljivije i prihvatljivije. Istovremeno, omogućit će da na eventualnim izborima većina koja izražava nostalgiju za socijalizmom, glasa za naše Programe. Predpostavka i uslovi za naše jedinsto su delovanje u skladu sa izvornim socijalističkim načelima. Odstupanje od načela, za sigurno vodi neuspelim ishodima. Napominjemo, da su slovenski komunisti dali konkretan predlog za nepriznavanje razbijanja SFRJ-e, po uzoru na Odluku II. Zasedanja AVNOJ, o nepriznavanju komadanja Jugoslavije od strane fašističkih okupatorskih država. Zajednička Odluka komunista o nepriznavanju, doprinela bi jedinstvu komunista. Bila bi i podrška očuvanja Kosova u sastavu Srbije. Ne prihvatanje predloga neki obrazlažu da nije u skladu sa realnošću vremena. Možda je više u skladu sa oportunizmom, nega sa revolucionarnim stavovima komunista.. Slovenski komunisti čvrsto veruju da će jačati jedinstvo radničko-komunističkih snaga i pozicije za postizanje pobeda u daljem radu, na prostorima nedavno zajedničke države SFRJ-e. Sa optimizmom nas ohrabruje ostvarivanje i realizacija zakonitosti o krizi i propasti kapitalizma, što se danas događa, u skladu sa Marksovim otkrićem i objašnjenjem.
19.Aprila.2009. godine.
Svetozar Markanović
Još jednom pozdravljamo sve prisutne i želimo skupu uspešan rad.
Sul caso Losurdo/Liberazione
di
su altre testate del 23/04/2009
Una lettera di personalità e intellettuali italiani e stranieri, non pubblicata da Liberazione
«E' ancora troppo presto per dare un giudizio definitivo sulla Rivoluzione Francese» (Zhou Enlai)
Il 10 aprile il quotidiano "Liberazione" pubblica una recensione critica di Guido Liguori sul libro di Domenico Losurdo Stalin. storia e critica di una leggenda nera (Carocci, Roma 2009). Nei giorni successivi appaiono sul quotidiano una lettera di 20 redattori e altri interventi contrari alla pubblicazione della recensione. Le motivazioni? Il solo parlare del libro di Losurdo, messo tout court sullo stesso piano dei negazionisti dell'Olocausto, significherebbe riabilitare Stalin, che non solo è stato
un «dittatore feroce e brutale», protagonista di una «storia fatta [..] di mostri e orrori», ma è anche figura di fronte alla quale «non c'è interpretazione storica che tenga». Quindi, bando ad «inaccettabili riletture degli anni Trenta-Quaranta»: su Stalin e lo stalinismo «abbiamo dato molti anni fa risposte nette senza equivoci. Perché dunque tornarci sopra?». Perché in altre parole proseguire la ricerca storica?
Al centro di queste accuse c'è il «fatale (e letale) giustificazionismo» di Losurdo, imputato di praticare una forma di «storicismo assoluto» e di proporre una «deterministica concatenazione di cause ed effetti». E però all'autore del libro, al quale non si contestano tesi specifiche ma che viene attaccato per l'impostazione generale del suo lavoro di ricerca, è stato sino ad oggi negato lo spazio di una risposta e di un chiarimento.
Qual è il crimine di cui è imputato Domenico Losurdo? Quello di "storicizzare" il fenomeno dello stalinismo. Quello cioè di ritornare a lavorare sui documenti per analizzarli filologicamente e contestualizzarli nella totalità della storia mondiale dei popoli, delle classi, degli stati, piuttosto che limitarsi alla demonizzazione, alla rimozione e, in altre parole, a quella "storiografia dell'ineffabile" oggi così in voga.
Un quotidiano che voglia svolgere la funzione di educare al libero esercizio della critica, fondamentale per la crescita culturale e politica dei suoi lettori, non ha nulla da temere da interventi seri e ragionati, argomentati e documentati, sulla storia del movimento operaio del '900.
La memoria e la ricerca storica non si possono soffocare in nome di tabù, dogmi e verità che si ritengono accertate una volta per tutte. Abbiamo oggi il problema di comprendere la storia del movimento operaio e della tradizione rivoluzionaria nella sua genesi, nei suoi processi contraddittori, negli enormi problemi che si posero a quei ceti subalterni che per la prima volta si erano trovati di fronte al difficilissimo compito di divenire classe dirigente.
E di studiare questa storia senza apologia acritica e senza anatemi, con grande libertà di ricerca e di pensiero.
Enzo Apicella, vignettista, Londra
Stefano Azzarà , docente di sociologia, Università di Urbino
Maurizio Belligoni, primario di psichiatria, criminologo, Ancona
Wilfredo Caimmi, partigiano, medaglia d'argento al valor militare nella lotta di Liberazione
Maria Rosa Calderoni, redazione di “Liberazione”
Sergio Cararo, direttore di "Contropiano", Roma
Andrea Catone, Centro Studi sulla transizione al socialismo, Bari
Marcos Del Roio, professore di Scienze Politiche, Universidade Estadual
Paulista, Brasile
Manlio Dinucci, saggista, collaboratore de " Il Manifesto", Firenze
Orestis Floros, medico, dipartimento di Neuroscienze, Istituto Karolinska, Stoccolma
Gianni Fresu, storico del movimento operaio, Università di Cagliari
Ruggero Giacomini, storico della Resistenza e del Movimento per la Pace, Ancona
Vladimiro Giacché, saggista, Roma
Renato Guimarães, editore, Rio de Janeiro
Jurgen Harrer, editore, Colonia
Alessandro Hobel, storico del movimento operaio, Napoli
Hans Heinz Holz, filosofo, Università di Groningen
Federico Martino, Docente di Storia del Diritto, Università di Messina
Fabio Minazzi, ordinario di Filosofia teoretica, Università degli Studi dell'Insubria
Aymeric Monville, Editions Delga, Parigi
Domenico Moro, economista
José Barata Moura, già Rettore dell’Università di Lisbona
Oscar Niemeyer, architetto, Rio de Janeiro
Guido Oldrini, docente di Filosofia, Università di Bologna
Nico Perrone, docente di Storia dell'America, Università di Bari
Sergio Ricaldone, partigiano – Consiglio Mondiale per la Pace
Alessandra Riccio, docente Università Orientale di Napoli, Condirettrice
di "Latino America
Tom Rockmore, filosofo, Duquesne University (USA)
Bassam Saleh', giornalista palestinese, Roma
Luigi Alberto Sanchi, professore Associato CNRS, Parigi
Salvatore Tinè , storico del movimento operaio - Catania
Delfina Tromboni, femminista, storica del movimento delle donne, Ferrara
Luciano Vasapollo, economista, Università "La Sapienza", Roma
Gianni Vattimo, filosofo, Università di Torino
Stellina Vecchio Vaia, deputata Prima Legislatura della Repubblica,
partigiana, Milano
Mario Vegetti, docente di Filosofia, Università di Pavia
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IL CASO LOSURDO – “ LIBERAZIONE”
“Liberazione” pubblica (lo scorso 10 Aprile) una recensione al libro di Domenico Losurdo su Stalin e il direttore si prende i rimproveri della propria stessa redazione. Intervengono a più riprese i giornalisti, il direttore, il recensore e anche altre persone non direttamente coinvolte. L'unico a non poter intervenire sulle pagine di “Liberazione” è proprio l'autore del libro, che è, in ultima istanza, il vero bersaglio di questa polemica.
Ed è un peccato (oltre che una censura grave e inaccettabile) , perché questo dibattito - oltre a mettere in evidenza i danni devastanti che certe impostazioni liquidatorie e semplicistiche della storia del ‘900 hanno avuto sul piano culturale - solleva alcune questioni molto rilevanti.
La prima è di natura epistemologica e riguarda i compiti e il metodo della storiografia. E' legittimo storicizzare ogni evento e indagare senza fermarsi davanti a nulla oppure ci sono dei territori della storia che sono per loro natura ineffabili e sui quali bisogna limitarsi a confermare l'opinione comune o addirittura i dogmi sanciti da un Comitato Politico Nazionale? E ancora: cosa significa giustificazionismo e che rapporto c'è tra comprensione della realtà in termini storico-materialist ici e apologia di questa realtà stessa? Si tratta della stessa cosa?
La seconda questione riguarda le forme di coscienza oggi diffuse nel movimento comunista e tra gli stessi quadri dirigenti di questo movimento. Qui, quel grandioso e faticoso processo culturale che nel corso di oltre un secolo era riuscito a costruire una visione del mondo autonoma rispetto alle idee dominanti (che sono sempre quelle delle classi dominanti) sembra essere del tutto naufragato. Gran parte degli stessi comunisti - e persino degli intellettuali che al comunismo si richiamano - pensano e nominano oggi il mondo con le parole e le idee dell'avversario e non esitano perciò a ribadirne i luoghi comuni.
La terza questione è più elementare e riguarda la libertà di ricerca e di espressione. Sono libertà minime, che vengono però di fatto azzerate da chi del cosiddetto “stalinismo” sembra aver ereditato soltanto la parte peggiore.
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La lettera rifiutata da "Liberazione"
giovedì 16 aprile 2009
Ma almeno lo hanno letto?
Un gruppo di redattori di «Liberazione» inserisce un mio libro nell'Indice dei libri proibiti, senza neppure averlo letto! Senza apportare alcuna prova, ma sulla base solo di una sua (avventurosa) supposizione, Bonanni mi accusa di aver giustificato «molti anni fa» - ma non ha un suono sinistro questa formulazione? - la distruzione dei «monasteri tibetani» a opera delle «Guardie Rosse». In realtà, come risulta dai miei scritti, considero tale distruzione (alla quale hanno partecipato anche Guardie Rosse tibetane) come una delle pagine più nere della Rivoluzione Culturale, una pagina fortunatamente superata dalla successiva evoluzione della Cina, che ha restituito al loro antico splendore i monasteri devastati. Della mostra rievocata da Bonanni ho criticato piuttosto la trasfigurazione del Tibet lamaista, di una società che condannava la stragrande maggioranza della popolazione alla schiavitù, al servaggio e a una morte assai precoce: «l'età media dei tibetani è di trent'anni» - riferisce Harrer, istruttore e amico del Dalai Lama. Abbellire questa società e tacere sulle sue infamie: in questo caso chi sono i «negazionisti» ?
Dino Greco e Guido Liguori mi rimproverano invece uno «storicismo giustificatorio» . E' una critica ovviamente legittima, ma è fondata? A proposito di Katyn, il mio libro parla di «crimine» e precisa che questo crimine è «ingiustificabile» (p. 259). Si aggiunge soltanto che gli Usa non possono ergersi a maestri di moralità per il fatto che, nel corso della guerra di Corea, si sono resi responsabili di una Katyn su scala più larga. E' lecito smascherare l'ipocrisia dei vincitori?
Più in generale, dopo aver sottolineato l'influenza dello stato d'eccezione nella tragedia della Russia sovietica, il mio libro osserva che «indubbio è anche il ruolo svolto dall'ideologia» e dai «ceti intellettuali e politici» espressi dal bolscevismo (pp. 104-5). Solo che l'ideologia da me presa di mira è l'«utopia astratta», e cioè l'attesa messianica del dileguare dello Stato, della religione, della nazione, del mercato, della moneta (si pensi al peso funesto che la pretesa di cancellare ogni forma di mercato e di circolazione della moneta ha avuto nella Cambogia di Pol Pot). Liguori difende invece l'utopia da me criticata in quanto «astratta» e prende di mira altri bersagli, ma non spiega perché il mio approccio critico dovrebbe essere più «giustificatorio» del suo.
In realtà, viene agitata contro di me una categoria di cui non è mai chiarito il senso. Gramsci «giustifica» il giacobinismo; su «il manifesto» e su «Liberazione» spesso è stata «giustificata» la Rivoluzione culturale: darebbe prova di dogmatismo chi, senza entrare nel merito dei capitoli di storia di volta in volta discussi, attribuisse a se stesso lo storicismo autentico e lo «storicismo giustificatorio» a coloro che non sono d'accordo con lui!
Certo, il mio libro respinge l'immagine di Stalin oggi propagandata sui grandi mezzi di informazione, ma questa immagine è ben diversa a sua volta da quella che emerge dalle grandi opere della cultura occidentale. Per fare solo un esempio, secondo il grande storico inglese A. Toynbee, a rendere possibile Stalingrado e la disfatta inflitta alla barbarie nazista fu il percorso compiuto dall'Urss «dal 1928 al 1941».
Restano fermi gli angosciosi dilemmi morali che caratterizzano le grandi crisi storiche. Ma essi non si pongono solo per l'Urss di Stalin. Vediamo in che modo un eminente filosofo statunitense, M. Walzer, giustifica i bombardamenti terroristici degli angloamericani nel corso della seconda guerra mondiale, pur riconoscendone il carattere criminale: il pericolo di trionfo del Terzo Reich determina un'«emergenza suprema», uno «stato di necessità»; ebbene, occorre prendere atto che «la necessità non conosce regole». Certo, bombardamenti che mirano a uccidere e terrorizzare la popolazione civile del paese nemico sono un crimine, e tuttavia: «Oso dire che la nostra storia verrebbe cancellata, e il nostro futuro compromesso, se non accettassi di assumermi il peso della criminalità qui e ora»; i dirigenti di un paese «possono sacrificare se stessi al fine di difendere la legge morale, ma non possono sacrificare i propri connazionali» . Walzer è citato con favore e spesso intervistato su «il manifesto»: perché, nella loro campagna contro lo «storicismo giustificatorio» , i miei critici non se la prendono in primo luogo con il filosofo statunitense?
Come ricorda il mio libro, nel 1929 Goebbels individua in Trotskij colui che «forse sulla sua coscienza ha il numero di crimini più alto che mai abbia pesato su un uomo» (p. 231); più tardi, nell'ideologia dominante Stalin diventa il mostro gemello di Hitler, mentre oggi riscuote un enorme successo il libro (di Chang e Halliday) che bolla Mao Zedong come il più grande criminale di tutti i tempi! E basta leggere la stampa statunitense per rendersi conto che analoghi capi d'accusa vengono costruiti nei confronti di Tito, Ho Chi Minh, Castro ecc. Per essere al riparo dall'accusa di «negazionismo» ovvero di «storicismo giustificatorio» dovremmo sottoscrivere questi «bilanci»? E' contestando la criminalizzazione della storia del movimento comunista nel suo complesso, ma sviluppando al tempo stesso una doverosa riflessione autocritica a proposito sia dell'Urss che della Cina e dell'Indocina, che io ho scritto Stalin. Storia e critica di una leggenda nera.
Domenico Losurdo
Per destinare il 5 per mille al CNJ ONLUS è sufficiente compilare lo spazio riservato al cinque per mille sulle dichiarazioni dei redditi (CUD, 730, Unico) nel seguente modo:
- apporre la propria firma nel riquadro "Sostegno delle organizzazioni non lucrative di utilità sociale, delle associazioni di promozione sociale, delle associazioni riconosciute che operano nei settori di cui all'art. 10, c.1, lett a), del D.Lgs. n. 460 del 1997 e delle fondazioni nazionali di carattere culturale";
- riportare il codice fiscale del CNJ - 97479800589 - nello spazio collocato subito sotto la firma.
Il cinque per mille non è una tassa in più. Semplicemente, il contribuente decide come deve essere utilizzata una parte delle tasse che già deve pagare. Se non decide nulla, il suo cinque per mille rimane a disposizione dello Stato; se lo destina al CNJ ONLUS, quella somma verrà impiegata per l'affermazione dei valori e degli obiettivi descritti nello Statuto associativo: https://www.cnj.it/documentazione/documento_costitutivo.htm#statuto
La disponibilità di denaro della nostra ONLUS è scarsissima. Eppure, per ogni iniziativa che organizziamo, e per poter comunicare le nostre idee e speranze verso il pubblico, le spese ci sono e pesano. Se non hai ancora deciso come destinare il 5x1000 ti invitiamo perciò a considerarci come possibili beneficiari.
Ulteriori informazioni al nostro sito: https://www.cnj.it/coordinamentos.htm#005
From: Cathrin Schütz
Sent: Saturday, April 18, 2009 4:02 PM
Subject: Berlin und Frankfurt: Film
10 Jahre NATO-Angriffskrieg gegen Jugoslawien
"Jugoslawien: Der vermeidbare Krieg"
Filmveranstaltung der Tageszeitung junge Welt, des Deutschen Freidenker Verbandes und der Vereinigung für Internationale Solidarität
in Frankfurt am Main und Berlin
Deutsche Fassung des Dokumentarfilms "Yugoslavia: the avoidable war" - " Jugoslawien: Der vermeidbare Krieg"
USA/D 1999/2001 Regie: George Bogdanich und Martin Lettmayer
28. April 2009, 18:30 Uhr: Frankfurt am Main, DGB-Haus, Jugendclub, Wilhelm-Leuschner-Str. 69-77, 60329 Frankfurt
Podium: Thomas Deichmann (Journalist), Klaus Hartmann (Vorsitzender des deutschen Freidenker Verbandes), Martin Lettmayer (Regisseur des Films), Cathrin Schütz (Politologin, junge Welt-Autorin)
9. Mai 2009, 19:00 Uhr, Berlin: Ladengalerie der Tageszeitung junge Welt, Torstr. 6
Dabei kommen zahlreiche Beteiligte zu Wort, darunter der damalige Verhandlungsführer der Europäischen Gemeinschaft, Lord Peter Carrington, die damaligen Außenminister der USA, James Baker und Lawrence Eagleburger sowie der deutsche Außenminister Hans Dietrich Genscher.
"Sollte von allen gesehen werden, die mit der Situation in Jugoslawien zu tun haben."
-- Lord Peter Carrington, ehemaliger bristischer Außenminister und EU-Beauftragter
"Yugoslavia, The Avoidable War" ist ein brillianter, fesselnder, sogar schockierender Film. Er nimmt stellt die Ansicht in Frage, daß die NATO-Mächte nur unschuldige Beobachter des Zerbrechens Jugoslawiens waren, die zu spät aus "humanitären" Gründen in die Kriege eingriffen. Der Film argumentiert, daß zunächst Deutschland und Österreich, dann die Vereinigten Staaten als Haupteingreifender, das Zerbrechen ermutigt, Partei ergriffen und ihre favorisierten Parteien bewaffnet haben. Der Film verwendet eine bemerkenswerte Ansammlung von wohlqualifizierten Journalisten, Balkanspezialisten, politischer Insider, und benutzt sie effektiv, um die Motivationen der Schlüsselfiguren zu untersuchen und die falschen Behauptungen aufzudecken, auf die die Kriegsherren ihre Argumente für den Krieg aufgebaut hatten. Da der Film nachweist, daß die Mainstreammedien eine Schlüsselrolle in der Verbreitung von Propaganda und der Hilfe zur Mobilisierung für den Krieg spielten, wird deren Bereitschaft, diese
m Film Eingang in die nationale Debatte über die Balkankriege zu verschaffen, ein guter Test für ihre Integrität sein ebenso wie für die Effektivitäte der US-Demokratie.
-- Edward S. Herman (Ko-Autor mit Noam Chomsky von "Manufacturing Consent")
"Ein Dokumentarfilm ersten Ranges."
-- George Szamuely, New York Press
Vi saremo grati se vorrete pubblicare il seguente intervento. Chiediamo che le firme appaiano in chiaro, perché indicano una condivisione responsabile. Grazie
Regime nato per stroncare con la violenza e la repressione le lotte dei lavoratori; per un ventennio trascinò gli italiani in criminali avventure imperialiste (l’ultima fu la proditoria invasione della Jugoslavia a fianco dei nazisti, con la brutale annessione all’Italia di regioni abitate da circa 800.000 fra sloveni e croati); infine fu sconfitto, nel 1943. Ma i "fedelissimi" del "Duce" riciclato per ordine del "Führer", fondarono la "Repubblica Sociale Italiana": in pratica un insieme di milizie (più o meno) volontarie e di uffici amministrativi dedicati alla collaborazione attiva con gli occupanti per contrastare la guerriglia partigiana. Provocando così un altro anno e mezzo di odiosa e feroce guerra (in)civile.
Questo è il contesto in cui maturarono sia gli ordini di "epurazione" da parte di comandi militari e/o politici della resistenza, sia gli episodi spontanei ed esasperati di vendetta e "giustizia sommaria" che si possono raggruppare col nome di "resa dei conti", e che ci furono in tutta l’alta Italia. Per l’Istria si può discutere quanto sia pesata in certi casi l’identificazione "italiano=fascista", ma è del tutto fuori luogo il ritornello "solo perché italiani", ripetuto ossessivamente, guarda caso, dai nostalgici del fascismo.
Non si tratta di giustificare né di negare dunque, ma di non confondere la ricerca della verità, e la doverosa pietà per le vittime, con l’acritica e complice accettazione dei "resoconti" e delle "testimonianze" sensazionali che le agenzie di propaganda nazifasciste cominciarono a costruire e diffondere già in tempo di guerra allo scopo di demonizzare la lotta di resistenza (in particolare quella degli "slavocomunisti") e di giustificare i propri crimini ed efferatezze. Nel dopoguerra – come è ormai ampiamente dimostrato [si veda p. es. la relazione della commissione storico culturale italo slovena: I rapporti italo sloveni 1880-1956, o le approfondite ricerche nella collana "resistenza storica", ed. KappaVu] – le "leggende foibologiche" si ingigantirono e moltiplicarono, sia per sostenere le rivendicazioni di sovranità italiana sui territori contesi con la Jugoslavia (neo irredentismo), sia per convogliare consensi e aiuti alle organizzazioni dei profughi e degli esuli "giuliano dalmati" (serbatoio elettorale). Va da sé che, con l’avallo delle massime autorità dello Stato, quelle leggende divennero "verità inconfutabili". Per fare solo qualche esempio: i 20.000 infoibati della Venezia Giulia (dato reale: alcune centinaia), i 350.000 esodati italiani (ca. 200.000, di varia nazionalità), i 500 metri cubi (!!) di cadaveri ancora sepolti nel pozzo della miniera di Basovizza (quasi certamente nessuno: cfr. C. Cernigoi, Operazione FOIBE tra storia e mito, cap. V), le "testimonianze dei sopravvissuti" (tutte false, ma utili per ricostruire la storia del mito: cfr. Pol Vice, La foiba dei miracoli…), ecc. ecc..
Insomma, i fascisti non riuscirono ad annientare con le armi la resistenza e ad impedire la liberazione, ma si sono fatti passare per vittime (usando cinicamente i cadaveri altrui) e sono riusciti a inserirsi nei gangli della nuova Repubblica, a farsi sdoganare perché utili in funzione (ancora una volta) anticomunista, e oggi, tornati "democraticamente" al potere, possono permettersi diannullare impunemente le conquiste di quella lotta, e magari cambiare la Costituzione (con l’appoggio dell’ineffabile Presidente Napolitano) quanto serve a creare un regime abbastanza forte per far fronte al probabile acuirsi della lotta di classe col procedere della crisi… Ha proprio ragione il prof. Galeotto: bisogna terminare il lavoro cominciato dai partigiani! A questo scopo è un compito primario degli insegnanti aiutare i giovani a sviluppare e ad usare con efficacia le armi della critica.
A proposito, quelle "verità inconfutabili" sopra citate hanno una propugnatrice entusiasta nell’assessore regionale all’istruzione Elena Donazzan, opportunamente richiamata da Galeotto. Vorremmo sapere se il democratico prof. Oscar Campagnaro e gli altri firmatari della lettera di censura si riferiscono a lei quando scrivono: "la scuola deve rimanere il luogo dello sviluppo delle capacità critiche degli studenti, non lo strumento per orientarli politicamente".
Da parte nostra continueremo a combattere, per completare la liberazione dai crimini fascisti e dalle atrocità delle guerre imperialiste, anche contro la campagna di intossicazione delle coscienze organizzata ogni anno dai camerati dei "comitati 10 febbraio". Insieme con chi vuole davvero costruire una società giusta e solidale, dove concetti come "difesa", "sicurezza", "libertà" non continuino ad essere rovesciati nei loro contrari per mantenere privilegi e sfruttamento.
Paolo Consolaro (Pol Vice), Vicenza - Germano Raniero, Vicenza - Patrizia Cammarata, Vicenza - Franca Bassanese, Vicenza - Riccardo Bocchese, Vicenza - Grazia Bollin, Vicenza - Carlo Francesca, Vicenza - Paolo Manfredotti, Vicenza - Federico Martelletto, Vicenza - Gerardo Pigaiani, Vicenza - Claudia Rancati, Vicenza - Nereo Turati, Vicenza - Gino Vallesella, Vicenza - Raffaele Zenere, Vicenza - Ezio Lovato, Arzignano - Silvio Zanella, Bassano d. Grappa - Mario Barbieri, Brogliano - Fulvio Frigo, Cogollo del Cengio - Tiziano Mistrorigo, Creazzo - Giuseppe Ceola, Malo - Ermanno Cerati, Montecchio Maggiore - Roberto Fogagnoli, Schio - Andrea Martocchia, Bologna - Giancarlo Staffolani per il collettivo "B. Brecht" Veneto Orientale, S. Stino di Livenza (VE) - Giorgio Ellero, Trieste - Gilberto Vlaic, Trieste - Alessandro (Sandi) Volk per l’associazione "Promemoria", Trieste - Alessandra Kersevan, Udine – Sergio Zollo per il colletivo "Tuttinpiedi", Venezia Mestre.