Informazione

NUOVO ORDINE EUROPEO

(vedi anche: https://www.cnj.it/immagini/europasiegt.jpg )


"La Croazia Indipendente leghera' il suo futuro al Nuovo Ordine Europeo
che avete realizzato Voi, Fuehrer, insieme al Duce"


(telegramma di Ante Pavelic ad Adolf Hitler, 11 Aprile 1941,
citato da K. Deschner in "Die Politik der Paepste in XX. Jahrhundert",
Rowohl 1991, pag.218. Gia' "Ciliegina numero 11" del CRJ)

From: Michel Collon

[ in english:
WE BOMBED THE WRONG SIDE?
http://it.groups.yahoo.com/group/crj-mailinglist/message/3406
Na srpskohrvatskom:
BOMBARDOVALI SMO POGRESNU STRANU?
http://it.groups.yahoo.com/group/crj-mailinglist/message/3401 ]

L'ancien commandant de l'Otan parle du Kosovo:
"Nous avons bombardé le mauvais côté"

Le major-général canadien MacKenzie était le commandant des forces
occidentales en Bosnie.
Aujourd'hui à la retraite, il dénonce ce que l'Otan a fait au Kosovo et
contre la Yougoslavie.
- "Génocide"? Pas 100.000 victimes, mais 2.000 ("toutes ethnies
confondues").
- "Ce sont les Albanais qui ont commencé, nous les avons dépeints comme
victimes"
- "Milosevic n'a fait que réagir"
- "L'Otan a livre lé Kosovo à la maffia"
- "Nous avons aidé l'UCK à créer un Kosovo ethniquement pur."
- "Nous avons encouragé les terroristes du monde entier."

Une raison de plus pour venir aux débats "Otan, ange gardien de la
paix?" organisés à Bruxelles (18 mai),
Namur (12 mai), Gembloux (13 mai) et Liège (27 mai) (détails en fin de
mail)

Interview du major-général MacKenzie:

"Il y a cinq ans, les écrans de nos télévisions débordaient d'images
d'Albanais du Kosovo fuyant à travers les frontières pour aller
chercher refuge en Macédoine et en Albanie. Des rapports alarmistes
disaient que les forces de sécurité de Slobodan Milosevic menaient une
campagne génocidaire, et qu'au moins 100.000 Albanais du Kosovo avaient
été massacrés et enterrés dans des charniers à travers toute la
province.
L'OTAN entra promptement en action, bien qu'aucun des Etats membres de
cette alliance n'ait été menacé, et se mit à bombarder non seulement le
Kosovo, mais aussi les infrastructures et la population de la Serbie
elle-même, sans que cette action soit autorisée par une résolution des
Nations-Unies, instance pourtant vénérée par les gouvernants du Canada
passés et présents.
On qualifia de "munichois" ceux d'entre nous qui mirent en garde
l'Occident contre le fait qu'il se laissait entraîner aux côtés d'un
mouvement indépendantiste albanais extrémiste et partisan. On oublia
opportunément que l'organisation qui menait le combat pour
l'indépendance, l'Armée de libération du Kosovo (UCK), était désignée
universellement comme organisation terroriste et connue pour être
soutenue par le mouvement Al Qaida d'Ous-sama Ben Laden."
(...) (Mac Kenzie rappelle le médiamensonge des "enfants albanais noyés
par les Serbes" (voir notre mail "Notre film annonçait..." Il confirme
ensuite ce que montre notre film Les Damnés du Kosovo
(www.lesdamnesdukosovo.chiffonrouge.org)

"Depuis l'intervention de l'OTAN et de l'ONU en 1999 au Kosovo, ce
dernier est devenu la capitale européenne du crime. Le commerce des
esclaves sexuels y est florissant. La province est devenue la plaque
tournante de la drogue en direction de l'Europe et de l'Amérique du
nord. Et pour comble, la plupart des drogues proviennent d'un autre
pays "libéré" par l'Occident : l'Afghanistan. Les membres de l'UCK, qui
a été démobilisée mais non démantelée, participent à la fois à ce
trafic et au gouvernement. La police de l'ONU arrête quelques uns de
ceux qui sont impliqués dans ce trafic et les traduit devant une
juridiction passoire ouverte à la corruption et aux pressions.
Le but ultime des Albanais du Kosovo est de purger celui-ci de tous les
non-Albanais, y compris les représentants de la communauté
internationale, et de fusionner avec la mère-patrie albanaise,
réalisant ainsi la "Grande Albanie". Leur campagne a commencé au début
des années 1990, par l'attaque des forces de sécurité serbes ; ils ont
réussi à retourner la réaction musclée de Milosevic en une sympathie
universelle pour leur cause. Le génocide proclamé par l'Occident n'a
jamais existé ; les 100.000 morts prétendument enterrés dans des
charniers se sont avérés être environ 2000, toutes ethnies confondues,
y compris ceux qui sont tombés dans les combats.
Les Albanais du Kosovo ont joué sur nous comme sur un Stradivarius.
Nous avons financé et soutenu indirectement leur campagne pour
l'indépendance d'un Kosovo ethniquement pur. Nous ne leur avons jamais
reproché d'être responsables des violences du début des années 90, et
nous continuons de les dépeindre comme les victimes d'aujourd'hui,
malgré les preuves du contraire.
Quand ils auront atteint leur objectif d'indépendance, aidés par les
dollars de nos impôts ajoutés à ceux de Ben Laden et d'Al Qaida, on
peut imaginer quel signal d'encouragement ce sera pour les autres
mouvements indépendantistes du monde entier soutenus par le terrorisme !
Notre acharnement à creuser notre tombe n'est-il pas comique ?"

The National Post, 6 avril 2004.
Traduit de l'anglais par Maurice Pergnier.
Version complète dans le n°88 de la revue française B.I. son site :
b-i-infos.com

LE MAJOR-GENERAL LEWIS MACKENZIE
A commandé des troupes à Gaza, Chypre, Vietnam, Le Caire, l'Amérique
centrale. A Sarajevo, en pleine guerre civile, il avait la
responsabilité des contingents de 31 nations. Selon Martin Bell de la
BBC, il a été, durant ses fonctions à la tête des Occidentaux en
Bosnie, l'homme le plus interviewé de toute l'histoire de la télévision.
Travaille à présent comme commentateur des affaires internationales
pour le National Post et pour de nombreuses chaînes de télévision
américaines.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

BELGIQUE :
Film + débat + concert
Otan, ange gardien de la paix ?
Film Les Damnés du Kosovo
de Michel Collon & Vanessa Stojilkovic
Témoignages exclusifs de réfugiés du Kosovo
Débat avec les auteurs du film
et Guy Spitaels (auteur de L'improbable équilibre)
Concert du groupe rom Ocarina

A Bruxelles, cinéma Arenberg - Galeries, 18 mai, 19h30
A Namur, cinéma Forum, 12 mai, 19h30
A Gembloux, Faculté des Sciences agronomiques, 13 mai, 19h30
A Liège, cinéma Le Parc, 27 mai, 19h30

Adresses de contact, cartes en prévente :
Bruxelles : mfr@...> Marie-Françoise 0476 54 37 65
Liège : mplahaye@...> Marie-Pierre 04 237 04 38
Namur : t.warmoes@...> Thierry 0476 91 79 76
Gembloux : franz40@...> Attac-Gembloux, François 0497 62 56 86



[Sono state eliminare la parti non di testo del messaggio]

Rivista L'ERNESTO
N. 2 MARZO-APRILE 2004

EDITORIALE DI
CLAUDIO GRASSI (segreteria nazionale PRC)


La guerra è terrorismo


Quattrocento giorni di morte, di devastazioni, di crimini di guerra.
Tanto tempo è trascorso da quel 20 marzo 2003 che avrebbe dovuto segnare
– secondo le previsioni dei signori americani della guerra e dei loro
alleati – l’inizio di un Blitzkrieg, di una «guerra lampo» destinata a
concludersi «in poche settimane» con la pacificazione dell’Iraq nel
segno della «democrazia» e del libero mercato. I risultati della
decisione di attaccare Baghdad sono sotto gli occhi di tutti. Decine di
migliaia di morti, in massima parte civili inermi, che si aggiungono al
milione di iracheni – per lo più bambini – uccisi dall’embargo e alle
migliaia di vittime dei bombardamenti anglo-americani susseguitisi senza
interruzione nel corso degli ultimi quindici anni; città distrutte; una
popolazione alla fame; un paese nel caos, dove la guerra alimenta ogni
giorno nuova violenza e nuova disperazione. Un crimine contro l’umanità
che ha pochi confronti nel pur tormentato mezzo secolo che ci sta alle
spalle, perché deliberato a freddo dalla leadership di un paese
opulento, senz’altra motivazione al di fuori della volontà di
impossessarsi di un altro paese, per mostrare al mondo la propria
irresistibile potenza e la propria infinita tracotanza. Nessuno può
illudersi: le popolazioni aggredite non dimenticheranno. L’Occidente
semina odio, alimenta una collera inestinguibile, fornisce ragioni a
quanti predicano nuove guerre di religione. E nemmeno noi
dimenticheremo. Non dimenticheremo le menzogne di Bush e di Blair che
hanno accompagnato la preparazione di questa oscenità: gli inesistenti
collegamenti tra Saddam Hussein e bin Laden, le fantomatiche «armi di
distruzione di massa». Non dimenticheremo gli orrori ai quali assistiamo
quotidianamente, né le vere ragioni dell’aggressione anglo-americana
all’Iraq, di cui l’Italia di Berlusconi si è resa complice. Queste
ragioni sono le straordinarie ricchezze naturali irachene (petrolio e
gas), indispensabili per lo sviluppo di altre potenze economiche (a
cominciare dalla Cina e dall’Unione Europea); l’autonomia di Baghdad dai
diktat di Washington (da ultimo Saddam aveva deciso di accettare il
pagamento in euro del petrolio iracheno); l’importanza geopolitica
dell’Iraq nell’area del Golfo (tanto più cruciale dopo la perdita del
controllo dell’Iran e la crisi dei rapporto tra Stati Uniti e Arabia
Saudita); la scelta di sostenere la destra israeliana in un folle
disegno espansionista che minaccia di condurre al genocidio del popolo
palestinese; da ultimo – ma non per importanza – la crisi economica
statunitense, causata da un deficit commerciale fuori controllo, che
minaccia il ruolo del dollaro come valuta di riferimento nel commercio
mondiale.
Non si tratta di novità. È una storia che va avanti da quindici anni a
questa parte, da quando, con la scomparsa dell’Urss, è venuto meno
l’ordine bipolare uscito dalla Seconda guerra mondiale. Finita la Guerra
fredda, il mondo avrebbe potuto imboccare la strada della pace, ma gli
Stati Uniti hanno voluto altrimenti. Tutte le guerre verificatesi dal
1989 sono nate da questo stesso insieme di cause: dalla volontà di
impedire che altri poli di potenza mondiale potessero contendere la
supremazia di Washington; dal tentativo di esportare con le armi la
crisi economica statunitense; dalla pretesa di controllare i rubinetti
del petrolio e del gas, per il proprio consumo interno e per impedire lo
sviluppo delle altre economie. Basta guardare la carta geografica per
capire che a collegare tra loro i teatri di queste guerre – il Medio
Oriente i Balcani, l’Afghanistan – è il fatto che essi si trovino in
zone del pianeta ricche di risorse energetiche o in aree strategiche per
il passaggio dei grandi oleodotti e gasdotti.

La guerra non è solo fonte di terrorismo. E’ TERRORISMO ALL’ENNESIMA
POTENZA.

A un’aggressione illegittima ha fatto seguito un’occupazione altrettanto
illegittima. Quanto è avvenuto è enorme. Uno Stato ha stracciato tutti i
trattati, tutte le convenzioni, ha distrutto i fondamenti stessi del
diritto internazionale. Ha irriso le richieste della comunità
internazionale scatenando una guerra devastante e occupando un altro
Stato sovrano. E ora opera, seminando ancora morte e terrore, per
insediarvi un governo fantoccio, come ha già fatto in Afghanistan, e per
condurre a termine «legalmente» il saccheggio compiuto sino ad oggi
senz’altra copertura che quella fornita dai mortai e dai carri armati.
Tutto – a cominciare dal petrolio – viene privatizzato. Tutto trasferito
nel patrimonio delle imprese titolari degli appalti della
«ricostruzione»: imprese in massima parte americane e finanziatrici
delle campagne elettorali dei Bush; ma anche inglesi, anche italiane.
Una guerra di rapina, come raramente in età moderna era stata
pianificata e realizzata. E una guerra terroristica, in senso proprio,
nella quale modernissimi eserciti (costituiti in gran parte da
mercenari, ormai la seconda forza sul terreno) minacciano di morte
un’intera popolazione per impossessarsi di tutto quel che possiede. E
dunque, tra tanto discorrere di terrorismo, domandiamo: di quale altro
terrorismo ha senso parlare, se non si parte da questa evidenza? Lo
diciamo senza mezzi termini, consapevoli del fatto che anche a sinistra
si tende a sostenere tesi differenti. La guerra non è solo fonte di
terrorismo: è, essa stessa, essa per prima, terrorismo all’ennesima
potenza. Se non si prendono le mosse da qui, tutte le analisi sono
monche e subalterne. Questo è il punto essenziale dal quale cominciare
ogni discussione: i governi guidati da Bush, Blair e Sharon attuano una
politica di guerra e di terrorismo. Questa è la vera centrale del
terrore, sulla quale la Corte Penale Internazionale dovrebbe appuntare
le proprie attenzioni.

L’informazione di guerra.

Si pone qui un altro problema, divenuto cruciale in questi tempi di
guerra. Tolte poche eccezioni, l’apparato informativo si piega alla
manipolazione, accetta di tradire la propria ragion d’essere per
trasformarsi in un gigantesco strumento di menzogna. Pensiamo alla
rappresentazione dei nemici. Quanti hanno ricordato la vera storia di
Bin Laden, finanziato per anni dagli Stati Uniti contro l’Unione
Sovietica, o quella di Saddam, armato sino ai denti perché riconsegnasse
agli americani l’Iran caduto nelle mani degli ayatollah? Tutti diventano
«terroristi» e «dittatori» quando si rivoltano contro la Casa Bianca:
fino quel momento sono campioni di democrazia, alfieri del «mondo
libero». Adesso la stessa cosa avviene – a rovescio – con Gheddafi,
dipinto ancora ieri come un mostro e oggi – senza che nulla sia
cambiato, salvo la collocazione della Libia negli schieramenti
internazionali – restituito a nuova verginità.
E pensiamo a quel che ci è dato di vedere e a quanto invece ci viene
sistematicamente nascosto. Pensiamo alle immagini trasmesse centinaia,
migliaia di volte – dalle Torri di New York ai volti degli ostaggi
catturati in Iraq – e a quelle censurate, invisibili, dunque cancellate
dalla discussione e dalla memoria collettiva. Chi ha visto i morti di
Fallujah? Oltre mille persone trucidate dalle nostre «truppe di pace»,
signor Presidente della Repubblica, capo delle Forze armate e garante
della Costituzione! Mille persone massacrate di cui è vietato persino il
ricordo. E chi ha visto i volti dei loro famigliari, chi ha udito le
loro grida di dolore? Oggi più che mai il mestiere di giornalista è
carico di responsabilità, per ciò che gli organi di stampa dicono e per
ciò che nascondono. E non si può certo dire che sia un bello spettacolo
quello offerto dai giornali e dalle televisioni.

La guerra è razzismo.

Mille morti invisibili, un ostaggio ucciso e prontamente santificato.
Trasformato (suo malgrado) in «eroe nazionale», a beneficio di chi ha
stracciato la Costituzione antifascista per conquistare un «posto al
sole» e accomodarsi a prezzi di saldo al «tavolo dei vincitori». Di
quanti pesi e di quante misure disponiamo nella nostra sconfinata
creatività?
Ne deduciamo un’altra lezione. La guerra non è solo terrorismo, è anche
razzismo. C’è chi muore «da italiano», cioè da Uomo. E chi no. A questo
punto vorremmo proprio sapere come crepa invece un iracheno e quale
valore abbiano – se ne hanno – la sua morte e la sua stessa vita.
Vorremmo ce lo spiegasse, per esempio, il dottor Mauro, direttore di un
giornale nato con l’ambizione di dar voce alla coscienza democratica di
questo paese, alla sua borghesia illuminata e progressista. Ma è vero:
sono trascorsi quasi trent’anni da quel lontano 1976. Il mondo è
cambiato, oggi il principio di eguaglianza è un orpello retorico, noi
siamo «moderni» e vogliamo un «paese normale». Per questo intitoliamo a
tutta pagina «Così muore un italiano» (la Repubblica del 16 aprile 2004)
e offriamo ai più bassi istinti della nostra gente uno specchio nel
quale rimirarsi con soddisfazione, dimenticando i motivi per cui gli
italiani stanno in Iraq e i crimini di cui si rendono complici. La
guerra è anche razzismo. Persino gli ufficiali inglesi – poco inclini,
per tradizione e cultura, a commuoversi per le sofferenze dei popoli
delle colonie – hanno dichiarato di provare imbarazzo dinanzi alle
manifestazioni di disprezzo da parte delle truppe americane nei
confronti della popolazione civile irachena. Hanno detto di non
condividere l’opinione – diffusa tra i marines – secondo cui gli
iracheni sono, testualmente, degli Untermenschen, dei «sotto-uomini»,
come dicevano i nazisti parlando degli ebrei. E hanno aggiunto di non
apprezzare i safari che le truppe americane e mercenarie organizzano
nelle città irachene a caccia dei bad guys, i «ragazzi cattivi» con la
pelle scura da mandare allegramente all’altro mondo, e vediamo stasera
chi ne fa fuori di più.
Non c’è solo questo razzismo, per dir così «conclamato». C’è anche il
razzismo implicito, che si nasconde dietro la ragionevolezza di chi,
pure, ammette che la guerra era «sbagliata», ma poi subito aggiunge che
tuttavia non ci si può ritirare dall’Iraq perché non si possono
«abbandonare gli iracheni a se stessi». Quanta supponenza, quanta
superbia colonialista sottende queste dichiarazioni, rilasciate anche da
molti uomini politici «di sinistra». Si sono descritti scenari di
«guerra civile», e in effetti si è fatto di tutto perché una guerra
civile scoppiasse. Si è predicato in lungo e in largo che la guerriglia
«non ha progetto» e che, ove fosse lasciata arbitra delle sue sorti,
getterebbe il paese nel caos. Gli osservatori imparziali riportano
resoconti diversi, dai quali emerge che il caos è quello provocato dalle
truppe di occupazione. Raccontano di città lasciate in preda allo
sciacallaggio. Parlano di un «fronte comune» tra sciiti e sunniti, di
una coesione nazionale tra le maggiori componenti della popolazione
irachena. Descrivono un paese che reagisce, resistendo all’occupazione
con dignità.

In Iraq opera una resistenza, conseguenza di una guerra e di
un’occupazione illegittime.

Resistenza: intorno a questa parola si sta combattendo, nel civile
Occidente, un’altra battaglia politica. Se a sollevarsi contro
l’occupante sono gli italiani, la loro si chiamerà Resistenza, con tanto
di maiuscola. Se a combattere contro l’invasore sono degli arabi, il
loro sarà invece soltanto terrorismo, pura criminalità. Tanto più se tra
gli invasori ci siamo anche noi.
«Banditi, criminali e terroristi»: così – rinnovando i fasti della
propaganda nazifascista – definiscono la resistenza irachena i teorici
dell’esportazione della «democrazia» a suon di bombe, a cominciare dal
geniale ministro americano della Difesa, quel Donald Rumsfeld che l’anno
scorso pronosticava la fine delle ostilità in capo a «due-tre settimane,
un mese al massimo». Da ultima gli ha risposto per le rime Naomi Klein,
in una corrispondenza da Baghdad che pubblichiamo integralmente
nell’ultima pagina. Quella di Rumsfeld, ha commentato Klein, «è una
pericolosa illusione. La guerra contro l’occupazione viene oggi
combattuta in campo aperto, da comuni cittadini che difendono le loro
case e i loro quartieri: è scoccata l’ora dell’Intifada irachena».
Dicevamo che sarebbe bene che anche noi meditassimo su queste parole.
Siamo stati sempre critici nei confronti di uno slogan – quello che ha
descritto la logica della guerra irachena evocando l’immagine di una
presunta «spirale guerra/terrorismo» – che ci è parso sin dall’inizio
impreciso e riduttivo. Oggi le ragioni della nostra critica sono ancora
più forti. Si dice che la guerra è la risposta bellica alla minaccia
terroristica. Noi replichiamo che tale spiegazione è fuorviante, tant’è
vero che la strategia della guerra «preventiva e infinita» concepita dai
consiglieri neo-conservatori di Bush (attivi già ai tempi della
presidenza di Bush padre) precede di gran lunga la sfida lanciata dal
«terrorismo internazionale». Come dicevamo in precedenza, questa
strategia obbedisce a finalità del tutto indipendenti da tale sfida. Non
solo. Anche il termine terrorismo dev’essere approfondito. È tutt’altro
che pacifico che cosa esso designi (tant’è che nessuna legislazione ne
fornisce una definizione univoca e condivisa), mentre è chiaro che gli
atti correntemente definiti «terroristici» sono di varia natura e
costituiscono un insieme affatto eterogeneo. Che cos’hanno in comune le
stragi messe a segno da al-Qaida (sulle cui origini, struttura e
finalità regna peraltro lo stesso fitto mistero che avvolge gli
attentati dell’11 settembre) con le azioni dei kamikaze palestinesi
(spinti alla disperazione dalla guerra di annientamento scatenata da
Sharon) o dello stesso commando suicida di Nassiriya (diretto – ci
piaccia o meno – contro una forza di occupazione)? Ferma restando la
nostra dura opposizione nei confronti di qualsiasi azione militare che
colpisce vite innocenti, e ribadite ancora una volta la condanna dei
comunisti rispetto al terrorismo e la nostra estraneità a tutte le forme
di lotta che non si rapportano con le grandi masse popolari, riteniamo
incolmabile la distanza che separa forme di lotta anche criticabili di
popolazioni invase e prive di mezzi idonei, da una risposta militare in
grande stile, che implica l’impiego di un potente e sofisticato apparato
bellico. Al contrario, crediamo che molto abbiano in comune con queste
ultime proprio i bombardamenti effettuati da una forza di aggressione
come quella che il 20 marzo del 2003 scatenò l’inferno su Baghdad
uccidendo migliaia di civili nello spazio di una notte e gli assassini
di Stato perpetrati da Israele contro i dirigenti di Hamas, lo sceicco
Yassin prima, il suo successore Rantisi poi. Sharon e Bush sono in tutto
e per tutto parenti di bin Laden, e precisamente nella capacità di
cogliere la somiglianza delle loro strategie terroristiche passa oggi il
discrimine tra la sinistra e la destra.
Chi perde di vista queste differenze e queste analogie non ha poi
bussole per discernere e per giudicare. Da una parte non può cogliere la
vera ragion d’essere di una guerra che nasce dalla crisi di
accumulazione del capitalismo americano (se davvero esiste una
«spirale», questa coinvolge semmai la guerra e il neoliberismo).
Dall’altra, non può nemmeno riconoscere il ruolo svolto dalla resistenza
irachena, che infatti la teoria della «spirale guerra/terrorismo»
cancella del tutto. Il risultato di questa rimozione è
straordinariamente grave. Non solo non si comprende che se gli Stati
Uniti sono in difficoltà e debbono differire a data da destinarsi altre
guerre di aggressione, questo è dovuto proprio alla tenuta della
resistenza irachena, così come ai suoi successi si debbono il rilancio
del movimento per la pace che il 20 marzo ha riempito le città di tutto
il mondo e le speranze che Bush faccia la fine di Aznar. C’è ancora
dell’altro: c’è il fatto che evocare l’immagine di un rapporto circolare
tra terrorismo e guerra finisce con lo schiacciare il terrorismo sulla
resistenza, accreditando uno degli aspetti salienti della
interpretazione della guerra diffusa da quanti la legittimano. Sono i
Rumsfeld e i Wolfowitz, sono le loro caricature nostrane – i Martino, i
Frattini, i Selva – a non tollerare che si parli di resistenza irachena,
a ripetere istericamente che si tratta di «banditi», di «terroristi». Lo
stesso fanno, assumendosi pesantissime responsabilità, i dirigenti del
Triciclo, coerenti con la decisione sbagliata di non votare contro il
rifinanziamento della missione italiana in Iraq.

Riflettere sulla storia, SI’. Liquidarla, NO.

Questo discorso ci induce a tornare sul dibattito apertosi nel nostro
partito sul tema della nonviolenza. È evidente infatti che la
valutazione della resistenza irachena incrocia il tema della violenza e
della nonviolenza, e che quest’ultimo tema (dibattuto sullo sfondo di
una opinabile critica del potere) chiama in causa la discussione sul
Novecento. Cerchiamo di mettere un po’ d’ordine in questa intricata
materia, cominciando da un’affermazione del Segretario rispetto alla
quale ci troviamo in disaccordo. Nel corso di una intervista al
manifesto, Bertinotti ha dichiarato: «Penso che non solo Lenin, ma tutti
i grandi del movimento operaio del 900 siano morti e non solo
fisicamente».
Non siamo d’accordo a proposito della morte «non solo fisica» dei
massimi riferimenti teorici e politici del movimento operaio e comunista
del Novecento. Al contrario, pensiamo che Lenin e Gramsci rimangano – al
pari dello stesso Marx e di altri grandi pensatori e dirigenti operai –
fonti insostituibili e indispensabili della nostra riflessione e pratica
politica. Crediamo che per una condivisibile tensione verso una ricerca
autonoma e spregiudicata non servano giudizi così liquidatori. Pensiamo
anzi che l’autonomia della ricerca presupponga il massimo di
accumulazione teorica, dunque la più concreta relazione con le fonti
ispiratrici di una riflessione. E riteniamo sbagliato il messaggio
“pedagogico” che discende da queste parole. Che cosa rischia di
desumerne un giovane che si avvicini al nostro partito o a un movimento
di lotta avverso allo stato di cose esistente? Rischia di trarne l’idea
dell’autosufficienza del senso comune, cioè esattamente il contrario di
quel che l’asprezza del conflitto e la complessità dei contesti in cui
esso si dispiega impongono.
Gramsci – quel Gramsci che noi consideriamo ben vivo e alle pagine del
quale non cessiamo di fare ricorso, rinvenendovi sempre suggestioni di
inestimabile valore – era solito ricordare la necessità di uno studio
costante, perseverante, metodico. Quanta modestia in quelle parole, che
nulla toglievano alla grandezza di chi le scriveva: che, anzi, di quella
grandezza erano segno! Questo rimane il modello al quale guardiamo e al
quale crediamo debbano continuare a ispirarsi le nuove generazioni di
compagni/e, tanto più in una fase storica come l’attuale, nella quale si
tratta di risalire la china, di ricostruire riferimenti e orientamenti
dopo una sconfitta di proporzioni epocali. Il motivo di questo nostro
convincimento è semplice. La capacità di resistere all’offensiva
dell’avversario dipende in gran parte dall’accumulazione di esperienza,
ma l’esperienza non è solo quella che ciascuno può fare di persona.
Questa sarebbe ben poca cosa, a fronte dell’enormità e della difficoltà
del compito. L’esperienza della quale ci si deve appropriare, che
dobbiamo far diventare nostro patrimonio vivente, è anche quella
compiuta da chi ci ha preceduto nel cimento. Per questo i frutti dello
studio ne costituiscono una componente essenziale; per questo il
contributo che ciascun compagno darà alla nostra lotta sarà tanto più
rilevante quanto più esso risulterà dalla sua capacità di far vivere,
riplasmandoli dentro la sua esperienza personale, gli insegnamenti
ricavati dalla lettura e dall’approfondimento delle opere fondamentali
dei padri del movimento operaio, comunista e socialista.

C’è di più. Abbiamo l’impressione che la precipitosa dichiarazione di
morte di cui stiamo discutendo si collochi nel quadro di critica al
Novecento che da qualche tempo costituisce un tema ricorrente della
discussione politica anche a sinistra. Abbiamo già avuto occasione di
dire la nostra a questo riguardo, ma la persistenza del discorso ci
obbliga a ritornare brevemente sulla questione. Anche in questo caso
esprimiamo una critica. Come si fa a non tenere conto che parliamo di un
intero secolo ricco di storia, di conflitti, di contraddizioni: un
secolo nel quale l’umanità ha compiuto anche straordinarie esperienze di
progresso e ha sperimentato, per la prima volta nella propria storia, di
abitare un mondo, un solo immenso teatro di lotte, di fatiche e di
speranze? Il Novecento è stato innanzi tutto questo: il tempo nel quale
è venuto a maturità il sentimento dell’unità del genere umano, il
sentimento dell’uguaglianza, del diritto inviolabile di ciascuno di
essere riconosciuto e di vivere da essere umano. Certo, ne sono
risultate violenze sconvolgenti, alle quali si sono accompagnati anche
tragici errori da parte del movimento operaio, errori che impongono
analisi critiche serie, riflessioni rigorose. Ma ciò è accaduto proprio
perché sconvolgente, dirompente, incontenibile era la portata
rivoluzionaria di questa novità, che ha segnato un punto di non ritorno
nella storia degli uomini. Mandare al macero il secolo che si è appena
chiuso significa fare terra bruciata alle nostre spalle. Significa anche
non valorizzare le gigantesche conquiste del movimento operaio – la
vittoria sul nazifascismo, l’emancipazione delle masse contadine in
Cina, la liberazione di Cuba, lo sviluppo dello Stato sociale e di
quelle lotte anticoloniali i cui risultati si vorrebbe oggi azzerare con
le nuove guerre imperialistiche – nonché dimenticare le enormi
responsabilità che gravano sull’avversario, le incommensurabili colpe di
cui si sono macchiate, nel corso del Novecento, le borghesie europee.
Ebbene, a simili vedute rispondiamo che il tempo delle autocritiche
unilaterali per noi è trascorso. Ora basta davvero con i mea culpa a
senso unico: provvedano anche altri a mettere in discussione la propria
storia.

Qualcuno ha mai chiesto, per esempio, all’on. Casini di parlare della
storia della Democrazia Cristiana nell’America Latina? Della
compromissione con il fascismo in Cile e in Salvador, con i massacri, le
torture, le nefandezze degli squadroni della morte? Qualcuno ha mai
sentito qualche alto prelato parlare delle scelte compiute da Pio XII
mentre milioni di ebrei passavano per le camere a gas e i forni
crematori? O dell’attività svolta dalla Chiesa cattolica nel dopoguerra
in favore dei criminali nazisti riparati in Sud America? E che dire poi
delle ambigue e reticenti prese di distanza dell’on. Fini dal fascismo?
Appena ieri Benito Mussolini era a suo giudizio il più grande statista
del Novecento.
Non siamo noi a doverci scusare. Abbiamo passato questi ultimi quindici
anni a far luce sui momenti bui della storia del comunismo sovietico e
asiatico. Continueremo senza indulgenze in questa ricerca. Ma diciamo
con chiarezza che i comunisti italiani non debbono chiedere scusa di
nulla a nessuno. Hanno costruito la democrazia di questo paese. Hanno
combattuto il fascismo pagando un prezzo altissimo in termini di vite
umane, di torture, di anni di galera. Lo hanno liberato dalla dittatura
più infame che la storia italiana ricordi. Hanno dato un contributo
fondamentale alla redazione di una Costituzione che tutto il mondo ci
invidia e che, non per caso, gli eredi del fascismo e della borghesia
più retriva di questo paese intendono smantellare. Non siamo noi a
doverci scusare, sono i nostri avversari che oggi ritengono di poterci
trascinare sul banco degli imputati solo perché la forza delle armi
gliene fornisce, per il momento, la possibilità. Noi la nostra storia la
difendiamo senza incertezze. Anche da chi, a sinistra, tende ad
accodarsi allo spirito dei tempi.

Per tutte queste ragioni non vediamo nemmeno la necessità di procedere a
una critica indiscriminata nel confronti del potere. Non ci persuade
l’approccio per così dire «metafisico» che tende a ispirarla. E non ci
trovano concordi nemmeno i riferimenti storici che talvolta
l’accompagnano. Si sostiene che il potere in quanto tale genererebbe
oppressione. È questa una impostazione classicamente anarchica, che non
ci appartiene. Consideriamo il potere un mezzo. E poiché siamo ben
consapevoli che sussiste inevitabilmente uno stretto rapporto tra mezzi
e fini, riteniamo che la natura del potere sia in larga misura
determinata dagli obiettivi che si cerca di perseguire: cioè dall’idea
di società che si vuole costruire. I comunisti si battono per una
società senza sfruttamento dell’uomo da parte di altri uomini, senza
dinamiche di dominio e di sopraffazione, per una società che rispetti il
diritto di ciascuno di vivere libero, cioè disponendo dei mezzi
necessari per soddisfare i propri bisogni e per realizzare le proprie
aspirazioni. Serve un potere per riuscire a cambiare la forma di società
esistente con quella alla quale aspiriamo? E serve un potere perché la
nuova società – una volta costituita – possa svilupparsi respingendo
l’attacco delle forze che l’avversano? Rispondiamo di sì, ad entrambe
queste domande. Proprio perché siamo convinti che la società
capitalistica sia fondata sulla sopraffazione, sappiamo che le classi
che oggi godono di questa organizzazione sociale non si lascerebbero
sottrarre senza colpo ferire i vantaggi di cui fruiscono. E non si
rassegnerebbero facilmente ad esserne deprivate.

Per questo ci pare del tutto incomprensibile questa posizione secondo la
quale i comunisti non dovrebbero lottare per conquistare il potere.Una
critica indiscriminata del potere porta con sé gravi rischi di
subalternità. Non c’è mai, nella realtà, un vuoto di potere. Non ci sono
relazioni sociali, economiche, politiche (e il femminismo ci ha
insegnato: nemmeno relazioni personali, familiari, amorose) scevre da
elementi riconducibili a rapporti di forza. Per tale ragione, perdere di
vista questo terreno o, peggio, decidere di astenersene, per rimanere
puri e incontaminati, significherebbe semplicemente rinunciare alla
lotta politica, abbandonare il progetto della trasformazione
rivoluzionaria di questa società in vista della liberazione di quanti
oggi – masse sconfinate e crescenti – lavorano sotto padrone,
subordinati al potere del capitale e, non di rado, alla violenza delle
armi che ne puntellano il dominio.

La nonviolenza come scelta politica “qui ed ora”.

La violenza: siamo così al tema dei temi, che ci ha impegnati in questi
mesi in una discussione intensa e che è stata al centro dei due convegni
di Venezia, quello sulle foibe e quello direttamente dedicato alla
nonviolenza. Come abbiamo già detto, abbiamo ritenuto sbagliata questa
accelerazione anche per le modalità con cui si è dispiegata. Nel
convegno sulle foibe il compagno Bertinotti ha parlato di una nostra
presunta «angelizzazione» della Resistenza che non ci trova concordi.
E per quanto concerne il convegno di Venezia sulla nonviolenza, esso è
stato pensato e promosso secondo un discutibile stile di lavoro che non
vorremmo diventi usuale all’interno del nostro partito. Lo diciamo con
serenità ma anche, come sempre, con franchezza: non si organizza un
convegno di approfondimento se non si programma di mettere a confronto
posizioni diverse. Tutto ciò vale in generale, indipendentemente dalla
natura dei temi dibattuti. Ma è tanto più vero quando si tratta di temi
che rivestono un connotato strategico e che coinvolgono snodi portanti
delle culture politiche che convivono nel nostro partito, garantendo la
ricchezza del suo dibattito interno.
Detto questo, siamo sempre più convinti che il confronto tra noi debba
proseguire, al riparo da strumentalizzazioni e da precipitazioni
politiche immediate. Se davvero pensiamo che le questioni di volta in
volta discusse siano rilevanti, dobbiamo fare tutti in modo che la
ricerca si sviluppi senza forzature che inevitabilmente la coarterebbero
e impoverirebbero. Nessuno può dirsi in possesso di certezze granitiche,
nessuno quindi può permettersi di considerare con sussiego le posizioni
altrui e – tanto meno – di discriminarle.

Riguardo al merito della questione, non vi torneremo qui ancora una
volta. I compagni hanno seguito il dibattito sulle pagine di Liberazione
e del manifesto e hanno potuto tirarne le somme rileggendo i contributi
raccolti nel libro pubblicato dal quotidiano del partito. Ci limitiamo
quindi a una considerazione.
Alla fine di questo grande dibattito sulla nonviolenza, l’impressione è
che sia ben difficile comprendere il senso di questa discussione. Non si
è concordi nemmeno sul suo registro fondamentale: se cioè si sia
trattato davvero di una discussione politica, o se invece abbiano preso
il sopravvento prospettive di ordine etico o addirittura religioso:
indubbiamente legittime, ma distinte dal campo del ragionamento politico
che compete a un partito. Diciamo questo perché non siamo sicuri di aver
colto nemmeno la ragion d’essere del dibattito, le sue motivazioni di
fondo. Potremmo dunque chiudere qui, dicendo semplicemente che in questo
momento l’unico approccio pertinente alla questione è secondo noi
l’intransigente denuncia della illegittimità della guerra di aggressione
– quintessenza della violenza politica – scatenata dagli Stati Uniti e
dai loro alleati contro l’Iraq. Ma una considerazione ulteriore ci pare
opportuna. Non vorremmo che tutta questa discussione sulla nonviolenza
si risolvesse in una uscita estemporanea, come è avvenuto con la
discussione sull’imperialismo sviluppatasi nei mesi che precedettero
l’ultimo Congresso nazionale. Allora – i compagni lo ricordano bene –
buona parte dei gruppi dirigenti del partito ritennero di assumere in
modo immediato la tesi negriana della fine dell’imperialismo, concepita
(da Negri) quale conseguenza del (presunto) esaurimento della dimensione
statuale della politica e dello sradicamento (altrettanto presunto) del
capitale da qualsiasi ancoraggio nazionale. Questa tesi fu accolta da
tanti compagni con tale entusiasmo che si volle introdurla in un
documento congressuale, facendo di essa addirittura il quadro di
riferimento delle analisi internazionali del partito. Il risultato è che
chi aveva assunto questa ipotesi – duramente confutata dagli eventi –
dovette assistere, nel giro di poche settimane, a una plateale
retromarcia dello stesso Toni Negri, approdato poco dopo l’uscita di
Impero a una ferma critica dell’imperialismo statunitense. Il quale
imperialismo evidentemente era ed è ancora ben vivo, come del resto
sanno perfettamente i rappresentanti di popoli, governi, associazioni e
movimenti che si sono riuniti a Bombay in occasione del Social forum
mondiale, e che hanno sottoscritto un documento conclusivo nel quale la
denuncia dell’imperialismo occidentale ne costituisce l’asse politico
centrale. L’imperialismo esiste ancora e questo fatto dovrebbe indurci a
maggiore cautela anche quando parliamo di «globalizzazione». Esiste,
produce guerre e massacri. E ci ammonisce a non dare per scontato
nemmeno il fatto che in un paese come il nostro la lotta di classe abbia
definitivamente archiviato modalità oggi, per fortuna, inattuali. Certo,
l’Italia non si trova attualmente nella situazione del Venezuela di
Chavez né della Cuba di Fidel. Non è esposta – come accade invece a
questi due paesi, ai quali confermiamo la nostra solidarietà
internazionalista – all’immediata minaccia di colpi di Stato o di
invasioni. Ma basta forse questo a garantirci che – posta dinanzi al
rischio di essere spodestata – la parte più reazionaria della borghesia
italiana (che, non dimentichiamolo, non ha esitato, ancora pochi anni
fa, a rispondere alle lotte operaie con la strategia della tensione e
delle stragi) si astenga dal far ricorso alla violenza militare? Ci
chiediamo allora che cosa ne sarebbe – in tale sciagurata eventualità –
di tutto questo dibattito sulla nonviolenza. Così come ci domandiamo – e
domandiamo – che cosa dovrebbero fare il governo venezuelano o cubano
qualora il conflitto dovesse precipitare e le forze reazionarie passare
alle vie di fatto.

Quale programma per cacciare Berlusconi.

Non è un caso che il discorso ci abbia ricondotto – in chiusura – alle
questioni internazionali e alla guerra. Quest’ultima costituisce la
cifra più drammatica dell’attuale situazione politica mondiale, ed è
quindi inevitabile che ogni riflessione torni su di essa. In questo caso
è anche utile, poiché ci offre l’occasione per poche considerazioni
conclusive in ordine allo scenario politico interno e al problema della
costruzione di un fronte politico delle opposizioni in grado di liberare
il paese da Berlusconi e dal suo governo. Perché parlare della guerra ci
conduce al contesto nazionale? Per il fatto che uno degli aspetti più
sconcertanti e preoccupanti del panorama politico italiano in questi
ultimi mesi è rappresentato proprio dalla titubanza con la quale gran
parte delle forze di opposizione (a cominciare dai partiti che si
rifanno all’Ulivo) hanno avanzato critiche nei confronti della guerra
anglo-americana e della scelta del governo italiano di prendervi parte.
Come dicevamo, consideriamo grave la decisione dei partiti del Triciclo
di non votare contro il rifinanziamento della missione italiana in Iraq.
Grave, ma purtroppo coerente con molte altre recenti prese di posizione
(dalla pseudo-manifestazione bipartisan al Campidoglio, all’invocazione
di «unità nazionale» da parte del presidente della Commissione europea
in margine alla vicenda degli ostaggi italiani) e del tutto in linea con
le opzioni di politica internazionale dei governi ulivisti, dal vertice
Nato di Washington del ’99 (che sancì la trasformazione in chiave
offensiva dell’alleanza atlantica) alla partecipazione italiana ai
bombardamenti «umanitari» sul Kosovo, poi rivendicati dal Manifesto per
l’Europa di Romano Prodi e celebrati dall’on. D’Alema come la «pagina
più bella della storia italiana contemporanea». Dello stesso presidente
dei Ds ricordiamo una dichiarazione di qualche mese fa. Nel corso di una
intervista – rilasciata al Corriere della Sera poco dopo la svolta di
Rifondazione comunista, che ha riaperto la prospettiva di un accordo
delle opposizioni contro Berlusconi – D’Alema affermò di considerare
«non negoziabile» la politica estera dell’Ulivo. Bene. Vorremmo ora
commentare queste sue parole, alla luce degli ulteriori sviluppi della
situazione internazionale e delle recenti prese di posizione dei Ds e
del Triciclo.
Come abbiamo scritto, noi consideriamo la guerra contro l’Iraq uno
spartiacque. Riteniamo quindi pregiudiziale, in vista della ricerca di
accordi di governo tra l’Ulivo e Rifondazione comunista, che tutte le
forze del centrosinistra abbandonino ogni ambiguità ed esprimano la più
ferma denuncia della illegittimità dell’aggressione anglo-americana e
della partecipazione italiana a questa guerra. Quanto all’insieme della
politica estera, consideriamo indispensabile che tutte le opposizioni
dichiarino intollerabili le continue violazioni del diritto
internazionale da parte di Israele e si impegnino sin d’ora affinché il
nostro paese (come tale e in quanto membro dell’Unione Europea) eserciti
sul governo israeliano la massima pressione perché venga immediatamente
interrotta la costruzione del Muro in Cisgiordania, perché la parte già
costruita venga subito smantellata, e perché venga ufficialmente
ritirato il piano di definitiva acquisizione di parte dei Territori
occupati promulgato da Sharon in accordo con Bush.

Sin qui per quanto concerne la politica estera. Ma occorre anche
prendere tempestivamente posizione su tutte le questioni cruciali
dell’agenda politica interna. Certo, i risultati del test europeo e
amministrativo sono di grande importanza in vista del prosieguo dei
rapporti tra le forze politiche e sociali dell’opposizione al governo
Berlusconi. Ma a maggior ragione, qualora dovesse determinarsi un
risultato positivo per le opposizioni, diverrebbe improrogabile
discutere intorno a un programma condiviso e realmente alternativo. A
questo riguardo, non possiamo non giudicare negativamente la situazione
attuale. Il dibattito, anche tra le forze che si collocano alla sinistra
del Triciclo, non decolla, mentre vengono determinandosi sviluppi
preoccupanti. È evidente che – preso atto del bilancio sempre più
fallimentare del governo sul terreno politico ed economico – la Cisl, la
Confindustria di Montezemolo e influenti ambienti vaticani si stanno
riposizionando, lanciando segnali più o meno espliciti di apertura alle
opposizioni. È chiaro altresì che parti importanti del centrosinistra
sono sensibili a questi richiami. La stessa Cgil, che continua a
svolgere un ruolo importante di opposizione alle politiche neoliberiste
del governo e di sostegno al movimento per la pace, ha tuttavia
segnalato una evoluzione problematica attraverso recenti dichiarazioni
(da parte del suo Segretario generale) di apprezzamento della nuova
leadership confindustriale e di velata critica dell’attuale dirigenza
della Fiom.
Tanto più è urgente, in tale contesto, che Rifondazione comunista si
faccia carico di lanciare (insieme alle altre forze della sinistra di
alternativa) un’offensiva sui contenuti nella consapevolezza che dar
vita a un accordo di basso profilo, dai contenuti arretrati, non
compiutamente alternativo alla gestione reazionaria messa in campo dalle
destre, sarebbe devastante. Lo sarebbe per il partito, che rischierebbe
di smarrire il rapporto di fiducia con la propria base sociale, sin qui
mantenuto nonostante tante difficoltà. Lo sarebbe per la sinistra, che
si vedrebbe presto travolta dal risentimento del proprio popolo, deluso
per l’ennesima volta da forze politiche e sociali non abbastanza
determinate nel tutelarne diritti, ragioni e interessi. E lo sarebbe,
infine, per tutto il paese, esposto al concreto pericolo di ricadere in
mano a una destra non solo incapace di governare, ma anche – come si è
puntualmente verificato in ogni passaggio delicato degli ultimi tre anni
– disposta a gettare la democrazia italiana nella guerra e
nell’avventura.

21 aprile 2004


La rivista L'ERNESTO

in vendita a 5 euro nelle librerie Feltrinelli e Rinascita
In questo numero articoli di: L. Magri, G.Minà, E.Collotti, G.Chiesa,
don Tonio Dall'Olio, S.Cararo, U.Rescigno, ecc. abbonamenti@...
abbonamento annuale 23 euro con posta prioritaria 40 euro c.c.postale n.
14176226 intestato a
“l’ernesto” via del Sale 19-26100 Cremona
www.lernesto.it

http://www.artel.co.yu/sr/reakcije_citalaca/2004-04-28_1.html


BEOGRADSKI FORUM ZA SVET RAVNOPRAVNIH
Beograd, 27. april 2004. godine

Beogradski forum, nestranacka organizacija koja se angazuje za svet
ravnopravnih, organizuje okrugli sto na temu Intelektualci i drustvena
stvarnost.

U vreme duboke politicke, ekonomske i moralne krize, u kojoj se nalazi
svet, posebno nasa zemlja, intelektualci, kao nosioci naucnog znanja i
humanih vrednosti, imaju pposebnu odgovornost da zbivanja u savremenom
drustvu opisu, objasne, kriticki ocene i ukazu na optimalne mogucnosti
daljeg razvoja.

Okrugli sto ce se odrzati u subotu, 8. maja 2004. godine, sa pocetkom u
10.00 casova, u sali Etnografskog muzeja, Beograd, Uzun Mirkova br. 1
(sala u prizemlju).

Okrugli sto je otvoren za javnost.

Za Upravni odbor

Akademik Mihajlo Markovic, clan UO

BEOGRADSKI FORUM ZA SVET RAVNOPRAVNIH
11000 Beograd, Misarska 6/II
Tel/fax: +381 11 3245601
E-mail: beoforum@...
www.belgrade-forum.org

"TUTTI NOI SAPPIAMO CHE TRA POCHE ORE IL NOSTRO STATO CESSERA' DI
ESISTERE IN QUANTO ENTITA' INDIPENDENTE E SOVRANA."

Dichiarazione del Presidente della Repubblica Ceca Vaclav Klaus in
occasione della annessione del suo paese alla Unione Europea -
rilasciata a Mlada Fronta / Dnes (Praga) il 22 Aprile 2004.


--- Forwarded Message ---

Date: Thu, 29 Apr 2004 12:49:00 +0100
From: Anthony Coughlan <jcoughln@...>
Subject: WELCOME TO OUR EU PRISON-HOUSE OF NATIONS! ...statement on EU
enlargement from The National Platform EU Research and Information
Centre, Dublin, Ireland

> The National Platform
> EU RESEARCH AND INFORMATION CENTRE
> 24 Crawford Avenue
> Dublin 9
> Ireland
>
> Tel.: +00-353-1-8305792
>
> Thursday 29 April 2004
> (...)
> _______________
>
>
> WELCOME TO OUR EU PRISON-HOUSE OF NATIONS!
>
>
> ". . . As everyone is well aware, in a few days our State will cease
> to exist as an independent sovereign entity. . ."
>
> - President Vaclav Klaus of the Czech Republic, Mlada Fronta Dnes, 22
> April 2004
>
>
> Like inmates in our EU prison, we welcome new companions. We can be
> confident the new arrivals will help us in time to break down our
> political prison walls. At the same time, we do not wish on the 10 new
> Accession countries the loss of national democracy and political
> independence they now face.
>
> * Last year's referendums on the 10 countries' Accession Treaties
> were travesties of democracy. Public funding, the mass media and the
> referendum rules were grotesquely unbalanced in favour of EU
> accession. The EU Commission, ever anxious to increase its own power,
> interfered massively in favour of the Yes-side - almost certainly in
> breach of EU law, which gives the Commission no competence in treaty
> ratification. The result was that voters in the Accession countries
> went to the polls in virtual total ignorance of the undemocratic,
> power-hungry, institutional monster they are joining next weekend. All
> the more bitter will be the inevitable
> disillusionment of their peoples.
>
> * The 10 Accession countries have got a thoroughly bad deal
> economically and politically. They are required to take into their
> domestic law the 80,000 or so pages of EU directives and regulations
> adopted by the EC/EU since 1957, which they had no part in making,
> even though many of these
> are quite unsuited to their different circumstances.
>
> * The collective imperialism of the EU 15 is shown vividly by their
> insistence that each of the 10 new members must agree to abolish their
> national currencies and adopt the euro in due time as a condition of
> their joining the EU, even though Britain, Denmark and Sweden are not
> abolishing their currencies. When the East Europeans were client
> states of the USSR, the Russians never required them to adopt the
> rouble. Yet the EU 15 are insisting that they adopt the euro.
>
> * EU membership transforms Government Ministers from Executives who
> are subordinate to Legislatures at national level, into supranational
> legislators at EU level. Instead of having to obtain the support of
> their national parliaments in order to pass laws, Government Ministers
> can henceforth make these laws (directives and regulations) for 450
> million
> Europeans behind closed doors as members of an oligarchy of 25 persons
> on the EU Council of Ministers, responsible as a collectivity to no
> one.
> This is a huge increase in their personal power, while their national
> parliaments and peoples, which must obey these laws, are politically
> emasculated. This explains why national Government Ministers support
> this process. It is only a matter of time before the peoples of the
> Accession countries realise this and insist on re-establishing their
> democracy.
>
> The political dynamics of a 25-Member EU will be fundamentally
> different from a 15-Member one. The new members will strengthen the
> international movement to defend the Nation State and restore national
> democracy to the states of Europe. This week's EU enlargement is
> almost certainly the beginning of the end of Euro-federalism. Let us
> rejoice at that.
>
>
> - (ends) -

ABBASSO IL MURO! VIVA IL MURO!


"Abbasso il muro!", ha gridato Washington per anni,
contro il muro di Berlino.

"Viva il muro!" grida Washington oggi, per sostenere
i crimini di Sharon.

"Viva il muro!" grida Washington da cinquant'anni, per
impedire la riunificazione della Corea.

"Viva il muro!", grida Washington, barricandosi, per impedire
a dei messicani poveri di andare a recuperare un po' di ciò
che hanno loro sottratto le multinazionali americane.

La morale di questa storia? E' che loro, di morale, non ne hanno.
Kissinger (un intenditore) diceva:
"Le grandi potenze non hanno dei principi. Hanno solo degli interessi".

Michel Collon


(Traduzione di FB, che ringraziamo)


--- In JUGOINFO, "Coord. Naz. per la Jugoslavia" ha scritto:

"A BAS LE MUR!, VIVE LE MUR!"

"A bas le Mur!" criait Washington pendant des années, contre le Mur de
Berlin.

"Vive le Mur!" crie Washington aujourd'hui pour soutenir les crimes de
Sharon.

"Vive le Mur!" crie Washington depuis cinquante ans pour interdire la
réunification de la Corée.

"Vive le Mur!" crie Washington en se barricadant pour empêcher des
Mexicains pauvres de venir récupérer un tout petit peu de ce que les
multinationales US leur ont pris.

La morale de cette histoire ? C'est qu'ils n'en ont pas. Kissinger (un
connaisseur) disait : "Les grandes puissances n'ont pas de principes.
Seulement des intérêts."

Michel Collon

--- Fine messaggio inoltrato ---

Dobro dosli na J U G O I N F O !

JUGOINFO
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Causale: sostegno per Jugoinfo


GRAZIE / HVALA / THANKS

[ In Austria il Ministero della Pubblica Istruzione consente la
diffusione di libri di testo nei quali la storia dei Balcani e'
riscritta come vuole la vulgata razzista antiserba, anti-jugoslava e
filo-secessionista che in questi anni ha prevalso sui media. Infatti,
mentre in Kosovo-Metohija le diplomazie e gli eserciti occidentali
stanno realizzando sul campo il progetto - gia' nazista - di una
"Grande Albania" etnicamente pura, nelle scuole dei paesi occidentali i
giovani dovrebbero imparare una storia falsificata ad uso e consumo
della NATO. Contro questa tendenza aberrante, il Movimento di
Solidarieta' Jugoslavo-Austriaco ha scritto una lettera di protesta al
ministro... ]


Da: joesb@...
Data: Gio 29 Apr 2004 14:54:53 Europe/Rome
Oggetto: Protest ggn antiserbische Schulbücher in Österreich


An Frau BM für Unterricht
Elisabeth Gehrer
Bundesministerium für Unterricht
Minoritenplatz 5
1010 Wien

Wien, im April 2004

Betr. Schulbuchnummer 2571/Achs/Scheu/Tesar: Aus Geschichte lernen, 3.
aktualisierte Auflage 2002- 8. Klasse AHS; Seite 30: Ein ungelöstes
Minderheitsproblem: Kosovo,

Sehr geehrte Frau Bundesministerin!

Im Namen der in Österreich lebenden und arbeitenden SerbInnen (mit und
ohne österreichische Staatsbürgerschaft), deren Kinder die AHS in ihrem
und unserem Land Österreich besuchen, und übrigen unten unterzeichneten
österreichischen BürgerInnen möchten wir als
„Jugoslawisch-Österreichische Solidaritätsbewegung“ auf Äußerste gegen
den o.a. Teil des Geschichtslehrbuches für die 8. Klasse AHS
protestieren und seine sofortige Entfernung in dieser Form bzw. seine
radikale Änderung verlangen.

Unser Ansuchen begründen wir wie folgt:

· Im Teil M1: Grunddaten führen die AutorInnen folgende schwerwiegende
Unwahrheiten auf:

1. Im Jahr 1912 wird Kosovo im Balkankrieg von Serbien „erobert“. Es
handelt sich aber um die Befreiung des serbischen Kernlandes von der
jahrunderte langen türkischen Herrschaft.
Nur die fremden Ländern werden erobert, falls das den wahrheitstreuen
Geschichtschreibung verbundenen AutorInnen nicht klar sein sollte.

2. Im Jahr 1941 wurde Kosovo nicht Albanien „zugeschlagen“, da es sich
um kein Gewinnspiel handelte, sondern Kosovo wurde, wie das übrige
Jugoslawien, seitens der Nazi-Deutschland (und Österreich) im Rahmen
der räuberischen Zerstückelung Jugoslawiens und Serbiens einem treuen,
ebenso nazistischen Bündnispartner und „Satelliten-Staat“ einfach
„geschenkt“.
Der obige Zitat steht einem ernsthaften Vorwurf der Wiederbetätigung so
nahe, dass die AutorInnen auch gerichtlich verfolgt werden sollten.

· Im Teil M2: Eine rechtlose Volksgruppe zitieren die AutorInnen aus
dem Buch „Kosovo: der gordische Knoten des Balkan“ der Autoren
Kohl/Libal auf eine derartig unzulässige und bösartige Art und Weise,
dass es dem Leser und insbesondere einem einfachen Schüler vollkommen
unklar sein muss, auf welche Zeit sich diese Passage bezieht.

1. Da das Lehrbuch zum letzten Mal im Jahr 2002 „aktualisiert“ wurde,
kann man diesen Zitat nur als absichtliche und fortdauernde
Dämonisierung des serbischen Volkes verstehen. Dass die „allen
bekannten“ BalkanexpertInnen Kohl/Liebal die Zeitform Präsens
verwenden, wundert niemand, dass aber ein Geschichtsbuch aus dem Jahr
2002 die Passage beinhaltet, in welcher die Albaner nach wie vor als
Opfer dargestellt werden, grenzt an reiner Perversion.
2. Die AutorInnen hätten ihr Buch in Richtung Wahrheit aktualisieren
sollen: dass seit 1999 hunderttausende SerbInnen vertrieben und getötet
wurden/werden, ihre Heiligtümer, Hab und Gut, niedergebrannt werden usw.
Für das bewußte Verbreiten der Unwahrheiten sollten sich sowohl die
AutorInnen des Lehrbuches als auch Ihre zuständigen MitarbeiterInnen
und auch Sie, als die zuständige Ministerin verantworten, wenn es in
diesem Land ein entsprechendes Gesetz gegen Diskriminierung und
Volkshetze geben würde, was leider nicht der Fall ist.

· Der Teil M3 hat bezeichnenderweise Anführungszeichen vor und hinter
dem Wort „Illegale“ Selbstbestimmung. Es handelte sich aber um die
tatsächlich illegale antistaatliche Akte, was jeder Volksrechtler, der
nicht vom Hass auf Serben verblendet ist, bestätigen musste. Wenn sich
in einem souverenen Staat eine Volksgruppe zusammentut und ihre
Unabhängigkeit und Verfassung ausruft, wenn eine terroristische
illegale Armee gegen die Polizei des eigenen Staates kämpft, dann
handelt es sich um die absolute und eindeutige Illegalität (ohne die
Anführungszeichen!)

Wenn die AutorInnen aber so, wie von uns beanstandet, schreiben dürfen,
und wenn die oberste Schulbehörde eines Landes, der Sie vorstehen, das
erlaubt, dann ist es mit der Wahrheit und Wissenschaft in diesem Land
sehr schlecht bestellt. Was uns aber viel mehr Sorgen macht, sind die
folgenden Tatsachen:

· in Österreich lern/t/en die SchülerInnen an der AHS (also schon
heutige Entscheidungsträger) seit 1994 nur die Halbwahrheiten und
Lügen, wenn es sich um das obige Thema geht
· das müssen sie aber auch noch im Jahr 2004 tun, wo schon jedem klar
sein musste, wie sich „die Unterdrückten“ für „die Befreiung“ bedanken.
· Sie sollten sich sicher gut vorstellen können, was für eine Meinung
diese SchülerInnen aus der AHS mitgenommen haben mussten, und was für
eine die heutigen haben, wenn sie im Fernsehen tote Serben und ihre
verbrannten Häusern und Klostern sehen.

Da es kaum zu erwarten ist, dass Sie und die verantwortlichen sich
schämen würden und ernsthafte Kosequenzen für die AutorInnen und
wissenschaftliche Berater überlegen könnten, so müssen wir zumindest
Folgendes verlangen:

1. Sofortige „Neuschreibung der Geschichte“, die aber in
Übereinstimmung mit der Wahrheit ist und
2. Eine Entschuldigung gegenüber den Eltern und SchülerInnen serbischer
Herkunft in diesem Land, die seit mehr als einem Jahrzehnt nicht nur
unschuldig beschuldigt und verachtet worden sind, sondern sogar noch
heute in österreichischen Lehrbücher als Monster dargestellt werden.
Die gleiche Entschuldigung erwarten selbstverständlich auch die
kritischen Unterzeichner aus den Reihen der „echten“ ÖsterreicherInnen.

In Erwartung Ihres raschen Handelns verbleiben wir

mit freundlichen Grüßen

Beilage: Für die sofortige „Aktualisierung“ helfen wir Ihnen gerne mit
richtigen Materialen, die Sie als Beilage bekommen.
Beilage 2: Unterschriftenliste


**************************************
Jugoslawisch-Österreichische Solidaritätsbewegung
Meiselstraße 46/4
A-1150 Wien
Tel&Fax: (+43 1) 9202083
joesb@...
http://www.vorstadtzentrum.org/joesb

IRAQ = JUGOSLAVIJA / 10

1. Conferenza internazionale di solidarietà con il popolo iracheno -
Parigi, sabato 15 maggio 2004

2. IRAQ: FERMIAMO IL MASSACRO DI FALLUJA - appello di "Un Ponte per..."


=== 1 ===


(Firme aggiornate al 27 aprile)

Conferenza internazionale di solidarietà con il popolo iracheno

Parigi, sabato 15 maggio 2004

Dalle 9 alle 17 FIAP Jean Monnet ,
30 rue Cabanis - 75014 Parigi

Chiediamo di portare il vostro sostegno a questa conferenza e, se
possibile, di partecipare con i vostri messaggi e la vostra presenza.

conf-irak@...


APPELLO
CONFERENZA INTERNAZIONALE DI SOLIDARIETÀ CON IL POPOLO IRACHENO
(versione in italiano)

Prima dell'invasione dell'Iraq da parte degli Stati Uniti e la Gran
Bretagna, il mondo intero è stato percorso da grandi manifestazioni di
opposizione alla guerra. Parimenti, certi governi si sono opposti alle
pretese di Bush in seno al Consiglio di sicurezza dell'ONU. Ma, a
dispetto di tutte queste mobilitazioni, Washington ha fatto invadere
l'Iraq, violando così la legalità internazionale disprezzando la
volontà della maggioranza dei popoli.

Per consolidare la sua occupazione, Washington ha inscenato fin dalla
conquista del paese la commedia di nominare un sedicente"governo
provvisorio" formato da differenti persone collaborazioniste scelte
dagli occupanti. La grande disparità delle forze all'inizio del
conflitto ha potuto fare credere a Bush ed ai suoi consiglieri che
l'occupazione dell'Iraq sarebbe stata facile. Ma gli Stati Uniti hanno
cozzato via via contro l'espansione di una lotta di resistenza sempre
più attiva e numerosa e che ha reso sempre più difficile l'occupazione
del paese.

In Iraq oggi, la realtà ci mostra che esistono in effetti due grandi
forze che si fronteggiano. Da una parte, il popolo iracheno che resiste
all'occupazione del suo paese. Questa resistenza è multiforme e
caratterizzata da un grande ventaglio di diverse tendenze politiche
patriottiche. Dall'altra parte, l'imperialismo USA tenta di governare
il paese con l'appoggio di un governo che gli è sottomesso e che è
constituito da collaboratori iracheni che ricordano altri collaboratori
che la storia ha conosciuto per esempio durante l'occupazione
hitleriana.

L'occupazione dell'Iraq costituisce un attentato inammissibile al
diritto internazionale. Bush ed il suo regime vogliono imporre a titolo
definitivo un"diritto di ingerenza" e condurre delle"guerre
preventive": in verità, si tratta della loro libertà di ingerenza e del
loro diritto a bombardare e ad occupare i paesi destinati, per una
ragione o per l’altra, ad essere dominati ed a eliminare i governi
sgraditi. Così facendo, il potere degli Stati Uniti disprezza in modo
infame l'opinione pubblica mondiale inventando pericoli inesistenti,
armi di distruzione di massa che non esistono e presunte “reti
terroristiche” anche dove esse non sussistono. In realtà, quello che
Bush ed i suoi adepti pensano è che è arrivato il momento di realizzare
il dominio degli USA sul mondo, prima che altri paesi possano reagire o
che i popoli del mondo si rendano conto del grande pericolo che corre
l'umanità con la politica imperialistica. Bush ha annunciato il suo
progetto di "riorganizzazione del Medio Oriente." Un Medio Oriente che
va dall'Atlantico fino al frontiere della Cina, sotto il controllo
degli Stati Uniti, mentre il popolo palestinese viene massacrato e il
muro di Sharon esprime il peggio della politica verso la Palestina.


L'anno passato, milioni di persone hanno manifestato nel mondo per
condannare le intenzioni belliciste di Bush, per difendere la pace ed
il diritto internazionale. Crediamo che lo spirito di queste
manifestazioni deve essere prolungato. Non bisogna restare muti, è
tempo di dimostrare la nostra opposizione all'occupazione
imperialistica USA, a questo crimine contro l'umanità. È tempo di
esigere l'uscita delle truppe di occupazione dall'Iraq. È tempo di dire
a Bush che non siamo disposti a vendere la nostra coscienza e a
sottometterci alla sua brutalità.

È il momento di manifestare concretamente la solidarietà con la
resistenza irachena che, in condizioni estremamente difficili, sta
attaccando in prima linea l'imperialismo. Questa resistenza patriottica
è composta da differenti ideologie, religioni, culture ed
organizzazioni, avendo tutti il solo scopo di espellere gli invasori
della loro patria. Obiettivamente, la lotta di tutte queste
organizzazioni patriottiche fa parte della lotta mondiale contro
l'espansionismo militare degli USA. I problemi creati alle truppe USA
ed a Bush con la resistenza, i colpi che sono stati loro assestati e
l'insicurezza che è scattata nel popolo nordamericano favoriscono la
lotta dei popoli e degli Stati per la loro libertà in ogni regione del
mondo. Questa lotta unisce tutte le forze che sono per la pace, per la
sovranità e per un ordine internazionale democratico. Questa lotta
gioca anche a favore della lotta dei popoli contro le ingerenze USA,
sostenute dalle oligarchie reazionarie locali.

Oggi nel mondo intero molte persone dicono che "un altro mondo è
possibile" : la realtà ci dimostra che la resistenza irachena
costituisce, in questo contesto, un alleato per i popoli che lottano in
favore di questo "altro mondo."

Ci permettiamo di insistere: i motivi che sono all'origine delle grandi
lotte condotte nel passato contro la guerra sono ancora attuali. Oggi,
bisogna combattere l'occupazione, l'egemonismo sempre più tirannico
degli USA, il disprezzo della sovranità dei paesi, ed appoggiare quelli
che lottano contro questi tentativi di totalitarismo internazionale in
Iraq. Bisogna sostenere la lotta del popolo iracheno.

Lanciamo un appello alle organizzazioni popolari, democratiche e
progressiste del mondo intero, a tutte le personalità oneste. Chiamiamo
tutti a rendervi solidali con la lotta del popolo iracheno contro
l'occupazione imperialistica.

È in questo spirito che annunciamo la convocazione di una "Conferenza
Internazionale di Solidarietà col popolo iracheno in lotta" che avrà
luogo aParigi, sabato 15 maggio 2004.

PRIMI FIRMATARI:

• Ahmed Ben Bella, già presidente dell’Algeria (che presiederà la
conferenza)
• Samir Amin, direttore Forum del Terzo mondo, presidente Forum
mondiale delle alternative (Senegal)
• James Petras, politologo, docente universitario (Usa)
• Heinz Dietrich, politologo (Messico)
• Michel Chossudovsky, docente economia Università di Ottawa (Canada)
• Jorge Beinstein, economista e direttore di Enfoques Alternativos
(Argentina)
• Emil Sader, sociologo, coord. Laboratorio Politiche Pubbliche
dell’Università di Rio de Janeiro (Brasile)
• Marta Harnecker, scrittrice (Cile)
• Vasco Gonçalves, generale, già Premier del governo portoghese
(Portogallo)
• Luis Britto Garcia, scrittore (Venezuela)
• Edmington Rodriguez, sindaco di Bellem (Brasile)
• Carlos Lozano, direttore periodico Voz (Colombia)
• Centre of Indian Trade Unions-CITU(India)
• Partito comunista del Sudafrica-SACP
• Giulietto Chiesa, giornalista (Italia)
• Valentino Parlato,giornalista (Italia)
• Carlos Taibo, docente universitario (Spagna)
• Pascual Serrano, giornalista Rebelion (Spagna)
• Pierre Galand, senatore (Belgio)
• Antonio Pessoa, colonnello Forze Armate portoghesi (Portogallo)
• Isabel Monal, filosofa e scrittice (Cuba)
• Georges Labica, filosofo, docente Università di Parigi (Francia)
• Jaime Ballesteros, presidente OSPAAAL (Spagna)
• Jean Pierre Page, sindacalista (Francia)
• Mauri Pera, vice-presidente Comitato Finlandese per la Pace
(Finlandia)
• Erkki Susi, direttore del settimanale Tiedonantaja di Helsinki
(Finlandia)
• René Giraud, docente universitario (Francia)
• Francis Arzalier, direttore di Africa oggi (Francia)
• Danielle Bleitrach, docente Università di Aix en Provence (Francia)
• Vicente Romano, docente Università di Siviglia (Spagna)
• Carlos Alvarez, scrittore (Spagna)
• Magda Kobierska, giornalista (Polonia)
• Karim Lakjaa, docente Università di Reims (Francia)
• Klaus von Raussendorff, giornalista (Germania)
• Javier Sàdaba, filosofo (Spagna)
• William A. Plez, responsabile esteri Partito Socialista USA
• Lo Gourmo, docente universitario (Mauritania)
• Silvina Carrizo, docente universitaria (Brasile)
• Consiglio Mondiale della Pace
• Sammi Alaà, Comitato Iraq libero (Danimarca)
• Claude Beaulieu, Comitato Valmy per un’Europa dei popoli e delle
nazioni sovrane (Francia)
• Annie Lacroix Riz, storica (Francia)
• Thierry Meyssan, giornalista e scrittore (Francia)
• Pierre Levy, giornalista (Francia)
• Yves Vargas, filosofo (Francia)
• Iraklis Tsavdaridis, Comitato per la pace e la distensione
internazionale (Grecia)
• Comitato universitari tunisini per il sostegno alla Resistenza
palestinese ed irakena(Tunisia)
• Sindacato generale dell’Insegnamento Superiore(Tunisia)
• SOS Iraq(Belgio)
• Georges Mavrekos, vice-presidente Federazione Sindacale Mondiale
• Raquel de Almeida Moraes, docente università di Brasilia (Brasile)
• Marmi Joana Michejda, Stop the war (Polonia)
• Carla Luciana Silva, storica (Brasile)
• Eurelino Coelho, docente universitario (Brasile)
• Percy Francisco Alvarado Godoy, scrittore (Guatemala)
• Wadson Ribeiro, presidente Unione Gioventù Socialista-UJS (Brasile)
• Gustavo Petta, presidente Unione Nazionale Studenti-UNE (Brasile)
• Marcelo Gaviao, presidente UBES (Brasile)
• Ana Maria Prestes Rabelo, vice-presidente Federazione Mondiale
Gioventù Democratica per l’America Latina e il Caribe
• Unione dei Giovani Socialisti(Brasile)
• Renato Rabelo– Presidente do Partido Comunista do Brasil (PCdoB)
• José Reinaldo Carvalho– jornalista, Vice-presidente y Secretario de
Relaciones Internacionales do PCdoB
• João Paulo(Partido de los Trabajadores - PT), Alcalde de Recife
• Luciano Siqueira(Partido Comunista do Brasil, PCdoB), Vice-alcalde
de Recife
• Edvaldo Nogueira(Partido Comunista do Brasil, PCdoB), Vice-alcalde
de Aracajú
• Renildo Calheiros, Diputado Federal (Partido Comunista do Brasil,
PCdoB), jefe del grupo parlamentar del PCdoB y miembro de la Comission
de Relaciones Exteriores de la Camara de Diputados
• Jamil Murad, Diputado Federal (Partido Comunista do Brasil, PCdoB)
• Daniel Almeida, Diputado Federal (Partido Comunista do Brasil, PCdoB)
• Vanessa Graziottin, Diputada Federal (Partido Comunista do Brasil,
PCdoB)
• Alice Portugal, Diputada Federal (Partido Comunista do Brasil, PCdoB)
• Jandira Feghalli, Diputada Federal (Partido Comunista do Brasil,
PCdoB)
• Sergio Miranda, Diputado Federal (Partido Comunista do Brasil, PCdoB)
• Perpetua Almeida, Diputada Federal (Partido Comunista do Brasil,
PCdoB)
• Inácio Arruda, Diputado Federal (Partido Comunista do Brasil, PCdoB)
• Maria José Maninha, Diputada Federal (Partido de los Trabajadores,
PT) y Presidente de la Confederacion Parlamentar de las Américas (Copa)
• Luiz Eduardo Greenhalg, Diputado Federal (Partido de los
Trabajadores, PT)
• Luiz Couto, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Chico Alencar, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Ricardo Zaratinni, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores,PT)
• Ivan Valente, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• João Alfredo, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Paulo Rubem Santiago, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores,
PT)
• Terezinha Fernandes, Diputada Federal (Partido de los Trabajadores,
PT)
• Luiz Sergio, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Walter Pinheiro, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Fernando Ferro, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Mauro Passos, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Clair Castilho, Diputada Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• Siba Machado, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT)
• José Pimentel, Diputado Federal (Partido de los Trabajadores, PT¨)
• Paulo Afonso, Diputado Federal (Partido del Movimiento Democrático
Brasileño, PMDB)
• Fernando Lopes, Diputado Federal (Partido Democrático Laborista, PDT)
• Luis Carlos Hauly, Diputado Federal (Partido de la Social Democracia
Brasileña, PSDB)
• Morani Torgan, Diputado Federal (Partido del Frente Liberal, PFL)
• Murilo Zanith, Diputado Federal (Partido del Frente Liberal PFL)
• Gilberto Kasseb, Diputado Federal (Partido del Frente Liberal PFL)
• José Carlos Araújo, Diputado Federal (Partido del Frente Liberal PFL)
• Julio César, Diputado Federal (Partido del Frente Liberal PFL)
• Enéas Carneiro, Diputado Federal (Partido de la Reedificacion del
Orden Nacional, Prona)
• Elimar Damasceno, Diputado Federal (Partido de la Reedificacion del
Orden Nacional, Prona)
• Simão Sessin,Diputado Federal (Partido Progressista, PP)
• Beto Albuquerque, Diputado Federal (Partido Socialista Brasileño,
PSB)
• Athos Avelino Diputado Federal (Partido Popular Socialista, PPS)
• Socorro Gomes, Jefe Regional del Ministério del Trabajo y
coordinadora de la Camara de Promocion del Trabajo Rural, Estado
(Provincia) del Pará - Brasil
• Nivaldo Santana, Diputado Estadual (Partido Comunista do Brasil,
PCdoB)
• Javier Alfaya, Deputado Estadual (Partido Comunista do Brasil,
PCdoB) e director del Instituto Sócio-Ambiental de Bahia
• Ronaldo Carmona, de la Comission de Relaciones Internacionales del
Partido Comunista do Brasil (PCdoB)
• Wadson Ribeiro, Presidente de la Union de la Juventud Socialista
(UJS)
• Ana Maria Prestes, de la Vice-presidencia de la Federacion Mundial
de las Juventudes Democraticas (FMJD)
• Gustavo Petta, Presidente de la Union Nacional de los Estudiantes
(UNE)
• Marcelo Gavião, Presidente da Union Brasileña de los Estudiantes
Secundarios (Ubes)
• Rubens Diniz, Secretario Ejecutivo de la Organizacion Continental
Latino-americana y Caribeña de Estudiantes (Oclae)
• Kátia Souto, Presidente de la Union Brasileña de Mujeres (UBM)
• Wander Geraldo, Presidente da Confederacion Nacional de las
Asociaciones de Vecinos/Barrios (Conam)
• Lejeune Mato Grosso, vice-presidente de la Confederacion Nacional de
los Profesionales Liberales (CNPL)
• Emir Mourad, Secretario Ejecutivo de la Confederacion Árabe
Palestina de Brasil (Copal)
• Paulo Arantes, Filosofo, Professor de la Universidad de São Paulo
(USP)
• Otilia Fiori Arantes, Professora de la Universidad de São Paulo (USP)
• Ricardo Antunes, professor del departamento de sociologia de la
Universidad de Campinas (Unicamp)
• João Quartim de Moraes, professor del departamento de filosofia de
la Universidad de Campinas (Unicamp)
• Marcelo Siqueira Ridenti, professor del departamento de sociologia
de la Universidad de Campinas (Unicamp)
• Maria Lygia Quartim de Moraes, professora del departamento de
sociologia de la Universidad de Campinas (Unicamp)
• Ângela Maria Carneiro Araújo, professora del departamento de
sociologia de la Universidad de Campinas (Unicamp)
• Márcio Bilharino Naves, professor de la Universidad de Campinas
(Unicamp)
• Antônio Carlos Mazzeo, professor del departamento de Ciencias
Políticas y Economicas de la Universidad Estadual Paulista (Unesp)
• Sérgio Lessa, professor del departamento de sociologia de la
Universidad Federal de Alagoas (Ufal)
• Hector Benoit, professor del departamento de filosofia de la
Universidad de Campinas (Unicamp)
• Paulo Ribeiro da Cunha, professor del departamento de Ciencias
Sociales de la Universidad Estadual Paulista (Unesp)
• Sérgio Braga, professor del departamento de ciencias sociales de la
Universdad Federal do Paraná (UFPR)
• Raquel de Almeida Moraes, professora del departamento de
Planificacion y Administracion de la Faculdad de Educacion de la
Universidad de Brasília (UnB)
• Virgínia Maria Gomes de Mattos Fontes, historiadora y professora de
la Universidad Federal Fluminense (UFF)
• Cláudio Gurgel, professor de la Universidad Federal Fluminense (UFF)
y miembro de la Direccion del Partido de los Trabajadores, PT – Rio de
Janeiro
• Andréia Galvão, professora del departamento de Ciencias Sociales de
la Pontifícia Universidad Catolica (PUC-Campinas)
• Marcos Barbosa de Oliveira, professor de la Universidad Estadual
Paulista (Unesp)
• Isabel Maria Loureiro, professora de filosofia de la Universidad
Estadual Paulista (Unesp)
• Osvaldo Coggiola, Professor de Historia en la Universidad de São
Paulo (USP)
• Altamiro Borges, periodista
• João Guilherme Vargas Netto, asesor sindical
• Gilberto Maringoni, diseñista y periodista.
• João Pedro Stedile, de la cordinacion nacional del Movimiento de los
Trabajadores Rurales Sin Tierra (MST – Brasil)
• Cesar Benjamin, periodista y editor del Portal “Outro Brasil”
• Max Altman, periodista y miembro del nucleo de politica
internacional del Partido de los Trabajadores, PT
• Velerio Arcary, professor de Historia del Centro Federal de
Educacion Tecnológica (Cefet –São Paulo)
• Antonio Martins, periodista y editor del Portal Planeta Porto Alegre
• Margarida Barreto, medica del Trabajo
• Waldemar Rossi, de la cordinacion nacional de la Pastoral Obrera de
la Conferederacion Nacional de los Opispos de Brasil (CNBB)
• Marcio Baraldi, diseñista
• Flavio de Castro, cordinador del Centro de Estúdios Marxistas
(Cemarx) de la Universidad de Campinas (Unicamp) y professor de la
misma instituicion.


=== 2 ===


Da: info-unponteper@...
Data: Gio 29 Apr 2004 16:53:58 Europe/Rome
A: "info-unponteper" <info-unponteper@...>
Oggetto: [info-unponteper] Iraq: Fermiamo il massacro di Falluja


IRAQ: FERMIAMO IL MASSACRO DI FALLUJA

Siamo ormai al ventitreesimo giorno dell'assedio di Falluja, iniziato
il 6 aprile quando le truppe statunitensi hanno circondato la città
chiudendo con muri di sabbia tutte le vie di accesso e lanciando un
attacco militare dalla terra e dal cielo.
Centinaia i civili già morti, comprese donne e bambini; decine di
migliaia di persone hanno dovuto lasciare la città ed ora si trovano
ospitati in ricoveri di fortuna a Baghdad e in tutta l'area circostante.
E' in corso una "punizione collettiva" della popolazione della città,
come è stata definita da esponenti dello stesso Consiglio di Governo
iracheno, per aver resistito alla occupazione militare statunitense.

•  A Falluja sono state violate tutte le convenzioni internazionali
• A Falluja è stato negata la istituzione di zone di sicurezza e di
corridoi umanitari per soccorrere i feriti ed inviare aiuti
• A Falluja è stato impedito ai feriti di raggiungere l'ospedale
cittadino
• A Falluja cecchini statunitensi hanno sparato sulle ambulanze, su
persone che entravano ed uscivano dagli ospedali, su persone con le
mani alzate o che brandivano bandiere bianche.
A Falluja è stato impedito alla popolazione in fuga di uscire dalla
città
• A Falluja sono state utilizzate bombe a grappolo e negli ultimi
giorni sono stati effettuati più bombardamenti aerei su zone civili.

Tutto ciò è stato fatto dai "nostri migliori amici", senza che nemmeno
una protesta si sia levata da parte del nostro governo.

• Chiediamo che il Governo e le forze politiche italiane condannino
con forza il massacro di Falluja e si attivino per evitare che accada
la stessa cosa nella città santa di Najaf.
• Chiediamo che il Governo e le forze politiche italiane sostengano la
richiesta del Consiglio Cittadino della città di Falluja per un
intervento urgente del Segretario Generale dell'Onu.
• Invitiamo la società civile italiana e il movimento per la pace a
mobilitarsi con urgenza

Un Ponte per…


Associazione di Volontariato Internazionale – ONG
"Un ponte per…"
Piazza Vittorio Emanuele II, n.132 - 00185 Roma
Tel. 06-44702906 - Fax 06-44703172
Mail to: uff-stampa@...;

www.unponteper.it

Da: Andrea Della Regina
Data: Mer 28 Apr 2004 12:00:52 Europe/Rome
A: jugocoord
Oggetto: A riflettori spenti - Genova

Vi segnalo questa iniziativa che stiamo curando in questi giorni, nel
caso la troviate interessante vi sarei grato se la poteste segnalare
nella vostra mailing-list, che seguo con piacere. I complimenti sono di
rito ma li meritate davvero. Nel caso vi stiate chiedendo cosa sia lo
Zmaj, potete vederne alcune immagini del 1999 in un documentario di
Fulvio Grimaldi, "Serbi da morire" se non sbaglio.

Tanti saluti e grazie mille,

Andrea Della Regina
Coordinatore del progetto

--------

L'Associazione bambini vittime di Genova in collaborazione con gli
autori del documentario "Guadi sul ponte" ed il gruppo di volontari
MaiDireZmaj organizza la presentazione in anteprima del documentario
realizzato nell'Orfanotrofio Jovan Jovanovic Zmaj di Belgrado, Serbia.
In questa occasione, oltre a discutere la situazione della Serbia e
Montenegro a 5 anni dalla guerra, saranno presentati i progetti a
sostegno dell'istituto Zmaj a cui l'Associazione bambini vittime ha
deciso di aderire per il sostegno finanziario.

Associazione bambini vittime - Onlus

A riflettori spenti
Bambini, guerra, media

8 maggio 2004 ore 9.30

Aula magna Liceo Cassini
via Galata, 34 Genova

Interverranno

Salvatore Ottavio Cosma - Presidente dell'Associazione bambini vittime
Antonella Beccaria - Giornalista e coautrice del documentario "Guadi
sul ponte"
Matteo Zamboni - Portavoce dell'Orfanotrofio Zmaj di Belgrado e
componente del gruppo MaiDireZmaj
Lucia Barbarini - Psicologa e Psicoterapeuta
Ennio Remondino - Giornalista, inviato di guerra
Giovanni Demartis - Presidente Associazione Olojaustoi

Moderatore della tavola rotonda
Fanca Brignola - Giornalista e Direttrice Telegenova

Associazione bambini vittime - Onlus
vico Salvagni 34, Genova 010.2518277
e-mail: bambinivittimeonlus@...

Per informazioni:
segreteria organizzativa
Laura Brindasso 339.8306434

----

Per ulteriori informazioni sulla nostra attività vi invitiamo a
visitare il sito http://www.maidirezmaj.it/

Testo del progetto di documentario "Guadi sul ponte"
in italiano
ftp://ftp.maidirezmaj.it/pub/docs/videos/guadisulponte.pdf
e in inglese
ftp://ftp.maidirezmaj.it/pub/docs/videos/fordsonthebridge.pdf

"A BAS LE MUR!, VIVE LE MUR!"

"A bas le Mur!" criait Washington pendant des années, contre le Mur de
Berlin.

"Vive le Mur!" crie Washington aujourd'hui pour soutenir les crimes de
Sharon.

"Vive le Mur!" crie Washington depuis cinquante ans pour interdire la
réunification de la Corée.

"Vive le Mur!" crie Washington en se barricadant pour empêcher des
Mexicains pauvres de venir récupérer un tout petit peu de ce que les
multinationales US leur ont pris.

La morale de cette histoire ? C'est qu'ils n'en ont pas. Kissinger (un
connaisseur) disait : "Les grandes puissances n'ont pas de principes.
Seulement des intérêts."

Michel Collon

IRAQ = JUGOSLAVIJA / 9


Anno: 2004

FALLUJA COME ORADOUR, LIDICE, KRAGUJEVAC, MARZABOTTO, GHETTO DI VARSAVIA


Roma, aprile - Mentre il mondo commemora un genocidio di dieci anni fa,
quello del Ruanda, si assiste a un altro massacro a cui non si reagisce
con lo sdegno dovuto.

Evidentemente e' piu' facile istituire Giorni della memoria e dedicare
un minuto di silenzio in memoria delle vittime a distanza di tanti
anni, che non intervenire per far cessare un crimine che si svolge in
diretta, per di piu' commesso dal Paese piu' potente del pianeta con
cui molti governanti del mondo si dichiarano solidali.

Ma d'altronde, quando la barbarie imperversava per l'Europa, la sorte
del Ghetto di Varsavia, i settemila studenti e insegnanti sterminati a
Kragujevac (Jugoslavia), il massacro di Lidice (Cecoslovacchia), per
punire la citta' che ha reso il mondo un posto migliore eliminando un
tal Heydrich, l'esecuzione in una chiesa di Oradour sur Glane (Francia)
di 250 tra studenti e insegnanti, oppure la carneficina di Marzabotto,
avevano forse suscitato immediatamente rifiuto e sdegno per quello che
era stato commesso?

Certo che no.

Scandalizzarsi, rivoltarsi, solidarizzare, denunciare e commemorare
quanto e' accaduto, e' molto piu' comodo quando il responsabile del
crimine non e' piu' in grado di nuocere.

Per questa ragione i crimini continuano ad essere commessi e anche in
un'epoca in cui l'informazione permette di avere un quadro immediato di
quello che sta succedendo anche dall'altra parte del mondo, si
preferisce esporsi il meno possibile.

Quello che sta accadendo da alcuni giorni a Falluja per mano delle
forze americane, non e' un'operazione militare, anche se si vuole
presentarla come tale, ma e' un'operazione terroristica.

Quando si prende in ostaggio una citta' di oltre centocinquantamila
abitanti, le si tagliano acqua e luce e si va all'attacco con tutti i
mezzi militari disponibili, senza rispetto nemmeno per i luoghi di
culto, per piegare alla propria volonta' una comunita', si commette un
atto terroristico.

Nel caso di Falluja possiamo parlare di rappresaglia terroristica,
proprio come nel caso di quelle localita' europee appena ricordate,
dove bisognava infliggere una lezione alla popolazione, dopo che quella
aveva manifestato ostilita', perche' non osasse piu' opporsi ai disegni
del conquistatore.

Che cosa puo' interessare al bambino iracheno assassinato da una
pallottola di un marine o da un razzo lanciato da un Apache, se la
coalizione ha portato la liberta' e la democrazia sulle rive del Tigri
e dell'Eufrate: a lui ha saputo regalare solo la morte.

E che nessuno osi parlare di operazione di pace: non si va in un altro
Paese armati a imporre una volonta' che non e' mai stata legittimata
ne' dalla comunita' internazionale, ne' dal popolo occupato. Come
nessuno ha il diritto di nascondersi dietro la scusa che terroristi e
assassini usano donne e bambini per ripararsi dietro e sparare sui
bravi militari giunti in Iraq per creare un futuro migliore agli
iracheni. Il militare, anche se deve rispettare gli ordini, ha una
propria coscienza e deve sapere che quello non e' il suo Paese e se
rischia di scalfire anche un solo civile, ha il dovere di non farlo.

Nel secondo dopoguerra si e' voluto spesso ricordare quei soldati
tedeschi i quali, a rischio della propria vita, hanno detto no, quando
si trattava di commettere dei crimini. Di recente diversi ufficiali
israeliani hanno avuto il coraggio e la rettitudine morale, rifiutando
di partecipare alle campagne criminali contro il popolo palestinese.
Gli esempi quindi non mancano.

E' una straordinaria coincidenza che esattamente a un anno dalla caduta
di Saddam Hussein, la coalizione della prepotenza si trovi a
fronteggiare una popolazione irachena decisamente insoddisfatta, per
non usare un altro termine. Una popolazione che sta superando le
divisioni religiose, vista la colonna di aiuti inviata alla gente di
Falluja dalle moschee sciite e sunnite di Baghdad. Si fa presto a dire
che coloro che si sono rivoltati a Baghdad, a Mosul, a Bassora, a Kut,
a Najaf, a Falluja, a Ramadi, a Karbala, a Tikrit, a Samarra, a Kirkuk,
a Kufa, sono una minoranza di assassini e terroristi con i quali non ci
sara' mai nessuna trattativa. Se questa posizione dell'amministrazione
americana non dovesse cambiare: gli Stati Uniti sono gia' a un nuovo
Vietnam.

Alla rabbia dei sunniti, che hanno visto tramontare il loro potere,
alla paura dei cristiani, che hanno visto crescere e rendersi
aggressiva la militanza islamica, all'ansia dei turcomanni, che vivono
nel terrore di diventare sudditi di un'amministrazione curda, si e'
aggiunta la determinazione degli sciiti di scegliere da soli il futuro
e non accettare intromissioni americane. Non ci vuole nulla, perche' il
diffuso malcontento si sommi.

Moqtada al Sadr sicuramente non rappresenta la maggioranza degli sciiti
iracheni, ma il grande ayatollah Ali al Sistani si. Quest'ultimo ha
chiesto a piu' riprese elezioni generali il piu' velocemente possibile
e l'amministrazione del Paese da affidare, nel frattempo, alle Nazioni
unite.
Certamente l'esito del voto gli Usa non lo potranno influenzare e
tantomeno esigere garanzie per il futuro, ne' per se stessi, ne' per
gli "amici". Che gli Stati Uniti facciano fatica ad accettare questo,
dopo il prezzo pagato per l'invasione del Paese e senza la certezza che
l'Iraq possa diventare una base per Washington e un partner per Tel
Aviv, particolare assai importante, e' piu' che comprensibile.

Ma sarebbe proprio compito degli alleati degli Stati Uniti, europei in
testa, a far comprendere alla Casa Bianca che il danno e' stato fatto:
il calcolo si e' rivelato sbagliato, come l'intelligence sulle armi di
distruzione di massa o la presenza di al Qaeda, il livello di ostilita'
dell'opinione pubblica irachena ha raggiunto livelli di guardia, un
autentico cortile del terrore e' emerso in Medio Oriente in quel Paese
che sarebbe stato liberato, destabilizzando ulteriormente la regione, e
che per la salvaguardia della stabilita' internazionale, la sovranita'
va restituita subito agli iracheni.

La redazione di Arabmonitor

http://www.arabmonitor.info