Informazione
"E' bene quel che finisce bene... E' bene che tutto il Paese sia
unito in questa soddisfazione perchè è finito il rischio per la vita
di due persone".
(Fausto Bertinotti alla notizia, il 24/9/07, della liberazione dei
due agenti del SISMI detenuti in Afghanistan dai guerriglieri che si
oppongono alla occupazione militare del loro paese. Nell'azione per
la liberazione dei due erano state ammazzate nove persone: http://
www.adnkronos.com/IGN/Politica/?id=1.0.1341782054).
Roma, 5 ott. (Adnkronos/Ign) - Il presidente della Repubblica
Napolitano e il presidente della Camera Bertinotti hanno reso omaggio
oggi pomeriggio al sottufficiale del Sismi, Lorenzo D'Auria, morto
ieri all'ospedale militare del Celio dove era ricoverato da giorni
dopo essere rimasto ferito gravemente in Afghanistan...
http://notizie.interfree.it/cgi-bin/desc.cgi?id=124427
(segnalato da E. Magnone su scienzaepace @...)
Crise financière mondiale
L’US $ est une monnaie privée
Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.
L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries d’Andrew Carnegie.
Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des « Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.
Le XVIe amendement de la Constitution états-unienne, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens états-uniens. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient :
1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
2. La Banque Lazard frères de Paris
3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
4. La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
5. La Banque Lehmann à New York
6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
8. La Banque Goldman Sachs à New York.
Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.
En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.
Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables états-uniens augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement états-unien et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar.
Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignement. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.
Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les matières premières et autres valeurs au monde.
Nato nel 1922 presso Benkovac, tra la Krajina e Dalmatinska Zagora,
Jerkov frequenta le scuole superiori a Valjevo in Serbia. All'inizio
degli anni Quaranta, durante la guerra di Liberazione, Jerkov e' a
Zagabria. Impegnato nel movimento giovanile cattolico, egli guarda
con stupore ed angoscia a quello che sta succedendo nello Stato
Indipendente Croato degli ustascia, guidato dal nazista Ante Pavelic
con l'appoggio di tutto il clero. Sono anni di traumi e scissioni per
ogni coscienza: lo stesso Alojzije Stepinac, arcivescovo di Zagabria
collaborazionista di Pavelic, viene colto da Jerkov mentre piange la
morte del fratello partigiano. La disapprovazione di Stepinac per la
lotta partigiana non fa esitare Jerkov, che entra a far parte del
Movimento Popolare di Liberazione (NOP), per il quale svolge compiti
della massima importanza, e pericolosi.
E' il periodo della storica assemblea del Comitato Antifascista di
Liberazione Popolare della Jugoslavia (AVNOJ: Jajce, Bosnia, fine
novembre 1943), che promuove la lotta per la liberta'
dall'occupazione straniera e la creazione di una Federazione di tutti
i popoli dell'area. Jerkov e' ormai uno jugoslavista convinto, e tale
rimarra' fino alla morte.
A noi diceva: dobbiamo sempre parlare di "Jugoslavia", e lo
"jugoslavo" e' la nostra lingua. Atteggiamento valido a maggior
ragione adesso, quando si vuole cancellare il nome della Jugoslavia
dalle coscienze e dalla Storia, dopo averlo proditoriamente
cancellato dalle mappe geografiche.
Trasferitosi a Roma si laurea, nel primo dopoguerra, in Storia e
Filosofia. Diventa giornalista, analista della politica vaticana,
addetto culturale all'Ambasciata. Fonda un Centro di informazione
politica, e prosegue fino agli anni Novanta in un lavoro di
documentazione ed analisi minuziosa, sui mille risvolti della vita
politica jugoslava, che lo portera' a creare e dirigere il bimestrale
"Balcanica", unica fonte di informazione di orientamento jugoslavista
in un panorama politico-diplomatico devastato dalla guerra e dai
voltafaccia. E' l'ennesima occasione, per Jerkov, di dimostrare il
suo amore per la sua terra, i popoli e le nazionalita' che la abitano.
Negli ultimi anni continuava a viaggiare, nonostante la salute
precaria: si recava alle terme di Rogaska Slatina in Slovenia, si
fermava a Trieste, ed in ogni occasione curava i contatti con i
rappresentanti delle comunita' serba, croata, slovena, e con tutti
gli amici della Jugoslavia.
Su "Balcanica" si impegno' in particolare a promuovere la conoscenza
della Macedonia di Gligorov, che del suo grande paese ormai
frammentato manteneva la struttura multinazionale, fondata sui valori
di Unita' e Fratellanza. La vittoria elettorale delle destre
nazionaliste muto' tragicamente lo scenario anche in Macedonia, con
esiti tuttora imprevedibili. I valori ai quali Antonio Jerkov ha
dedicato tutta la propria vita restano oggi piu' giusti e
indispensabili che mai.
I compagni del Coordinamento Romano
2003-2007
Un Conseil européen des relations étrangères (European Council on Foreign Relations - ECFR), équivalent du CFR états-unien, sera lancé en grande pompe le 9 novembre 2007, à l’occasion du 18e anniversaire de la chute du Mur de Berlin.
Selon nos informations, les réunions préparatoires ont été organisées par George Soros à New York. L’ECFR a immédiatement engagé vingt employés et ouvert des bureaux dans sept capitales Berlin, Londres, Madrid, Paris, Rome, Sofia et Varsovie, mais pas Bruxelles. Il est principalement financé par la Fondation George Soros, par le Fundación para las Relaciones Internacionales y el Diálogo Exterior (liée à El Pais), et par la Communitas Foundation (c’est-à-dire la banque bulgare BRIB).
Les adhésions se font par cooptation pour une durée de 5 ans. Les 50 premiers membres sont :
Urban Ahlin - Martti Ahtisaari - Giuliano Amato - Hannes Androsch - Marek Belka - Svetoslav Bojilov - Emma Bonino - Robert Cooper - Marta Dassu - Gijs de Vries - Jean-Luc Dehaene - Gianfranco Dell’Alba - Andrew Duff - Sarmite Elerte - Brian Eno - Joschka Fischer - Timothy Garton Ash - Bronislaw Geremek - Diego Hidalgo - Mary Kaldor - Gerald Knaus - Caio Koch-Weser - Rem Koolhaas - Ivan Krastev - Mart Laar - Mark Leonard - Adam Lury - Alain Minc - Christine Ockrent - Leoluca Orlando - Cem Özdemir - Simon Panek - Teresa Patricio Gouveia - Chris Patten - Diana Pinto - Andrew Puddephatt - Sigrid Rausing - Albert Rohan - Pierre Schori - Narcís Serra - Elif Shafak - Aleksander Smolar - George Soros - Dominique Strauss-Kahn - Helle Thorning Schmidt - Michiel Van Hulten - Mabel Van Oranje - Antonio Vitorino - Stephen Wall - Andre Wilkens.
Trois co-président sont été désignés : Martti Ahtisaari, Joschka Fischer, et Mabel van Oranje (représentant George Soros).
Au menu des travaux immédiats : l’indépendance du Kosovo et l’intégration des Balkans —Turquie incluse— dans l’Union. À moyen terme, le Conseil devra pallier au rejet du projet de Traité constitutionnel par les peuples français et néerlandais en favorisant, d’une manière ou d’une autre, la fusion des fonctions de Haut Représentant et de Commissaire chargé des relations extérieures. Enfin, à long terme, le Conseil favorisera l’intégration complète des politiques étrangères des États membres dans l’Union « afin qu’elle ne parle que d’une seule voix ».
La création de l’ECFR reprend le projet de l’ambassadeur George Kennan en 1947, mais va au-delà encore pour assurer la perennité du système américaniste. Au moment où les États-Unis montrent des signes de faiblesse, il s’agit de créer une Europe unie qui fasse le pendant des États-Unis et constitue avec eux un vaste ensemble transatlantique.
http://www.voltairenet.org/article149903.html
Contrôle des médias & Colonialisme
Quand les États-unis se justifient à travers les médias irakiens
par Ossama Lotfy
Une supercherie peut en cacher une autre. Peu de temps aura suffi pour réaliser l’incroyable mystification que constituaient « les armes de destruction (distractions ?) massives », dont nul n’a jamais trouvé trace, avant comme après l’invasion de l’Irak. Que ce soit la commission de contrôle, d’inspection et de vérification de l’ONU, dirigée par Hans Blix, ou bien l’administration Bush, embarrassée et silencieuse, à l’image d’un Colin Powell qui avouait à demi-mot plus récemment qu’elles n’avaient jamais existé [1].
Cependant, l’intoxication médiatique dont a été victime – et complice - la presse dominante [2], manipulée afin de conditionner l’opinion publique à la possibilité d’une guerre dès 2003, a longtemps occulté la façon dont des médias irakiens et du Moyen-Orient étaient depuis le début du conflit contrôlés par les États-unis.
Il aura fallu attendre la fin de l’année 2005, et les premières révélations de scandale par la presse mainstream états-unienne pour réaliser que la justification de l’occupation de la Coalition et de ses desseins colonialistes d’un Irak soi-disant démocratisé – par de récentes élections législatives -, se faisaient « par tous les moyens nécessaires ». Y compris par la corruption d’un des baromètres de la liberté d’expression d’un pays prétendument démocratique : la presse. C’est ce que le Los Angeles Times et le New York Times ont rapporté quelques mois après la presse arabe, entre fin novembre 2005 et janvier 2006 [3]. Ils ont donné de nombreux exemples de situations où, des journalistes irakiens, travaillant dans « des journaux indépendants » et dont les articles vantaient les mérites de l’armée d’occupation – et donc fustigeant de facto la rébellion, étaient en fait soudoyés. De sorte que ces espaces rédactionnels étaient achetés et rédigés directement depuis l’ « Operation information Task force » par des militaires états-uniens travaillant aux « opérations d’informations », alors même que ces journaux présentaient ces sujets comme des récits et comptes rendus indépendants de leurs journalistes. Ce mode de propagande fait de good stories —caractéristique de la presse anglo-saxonne—, de reportages, de comptes-rendus partiels et partials d’opérations militaires aux sources non-identifiables, était connu des rédacteurs en chef de ces médias. Lorsque des explications leur ont été demandées, certains d’entre eux ont répondu que la « provenance inconnue » et le contenu pro-US de ces articles ne les dérangaient pas, qu’ils les publiaient en connaissance de cause.
Bien loin de n’être que quelques cas isolés, ces informations ont révélé l’existence d’une corruption institutionnalisée par un ensemble d’entreprises de relations publiques à la solde du département de la Défense, la plus efficace et influente d’entre elles étant le Lincoln Group [4]. Un système de propagande estimé à 300 millions de dollars qui s’est étendu dans tous le Moyen Orient, où il n’est pas rare que les rédacteurs en chef de certaines rédactions reçoivent certains coups de fil de ces « entreprises de relations publiques ».
Ce que l’ancien secrétaire de la défense Donald Rumsfeld aux paraphrases énigmatiques, avec la rhétorique ironique qui a toujours été la sienne, appelait : « des méthodes non traditionnelles permettant de fournir des informations exactes au peuple irakien ». [5]
Ce que l’on ne savait cependant pas, c’est que comme pour la propagande des « armes de destructions massives », ce plan de contrôle des médias irakiens et de conditionnement de leur population à un régime d’occupation, était déjà préparé avant l’invasion de l’Irak par le département de la Défense. Trois mois avant, plus exactement.
« Rapid Reaction Media Team », le rôle des médias dans l’Irak libéré
Ce système de propagande, synthétisé dans Rapid Reaction Media Team, un document récemment révélé par la National Security Archive [6], avait été préparé quelques mois avant l’invasion de l’Irak. Rédigé par le Bureau des opérations spéciales et des conflits de basses intensités, ainsi que par le Bureau des plans spéciaux pour les affaires du Proche-Orient et de l’Asie du Sud (Plans spéciaux), dépendants tous deux du département de la Défense [7], ce rapport avait pour objectif, d’une part, de persuader la population irakienne de la stabilité du pays et du bien fondé de l’occupation, d’autre part, de maintenir une vision acceptable du conflit aux États-unis.
Dans la même logique que les opérations psychologiques menées par les PSYOPS [8]le document prévoyait à l’avance comment les médias irakiens devaient être réorganisés, « dans le cas où les hostilités seraient nécessaires pour libérer l’Irak ». (sic)
White Paper « Rapid Reaction Media Team » Concept
2.0 Concept Overview (extrait) :
« Après la cessation des hostilités, le fait de mettre immédiatement en place des équipes de médias irakien entraînés par des professionnelles états-uniens, pour présenter un nouvel Irak (par les Irakiens et pour les Irakiens) avec des espoirs de prospérité et de démocratie futur, aura un impact psychologique et politique sur le peuple irakien. »
Aussi était-il dors et déjà prévu qu’une campagne d’information d’ensemble de la « Rapid Reaction Media Team » devait se préparer, « durant la phase précédant les hostilités en Irak ». Pour ensuite servir de « pont entre les médias contrôlés par le régime de Saddam Hussein et à long terme, les réseaux de “médias libres d’Irak“ dans l’ère suivant Saddam ». Ceux-là devant servir d’exemple « d’émancipation », « de modèle dans le Moyen Orient où tant de médias arabes détestés agissent comme des armes de destructions massives » [9].
Presse écrite, radios, chaînes de télévisions ; des médias à créer – l’ « Iraqi free media » - aux premières estimations de leurs coûts, jusqu’aux nombres d’heures que ceux-ci doivent émettre, ainsi que les émissions préprogrammées... Avec minutie, le département de la défense avait préparé ce que devait être la presse « libre et indépendante » de la « démocratie » irakienne.
Conformément à ce qui était prévu, l’Iraqi Media Network (IMN), regroupant une chaîne de télévision, deux radios et le quotidien Al-Sabah, a été créé exactement 9 jours avant l’invasion du pays. Un groupe de presse reprenant presque mot pour mot les objectifs énoncés dans le rapport [10], et dont les liens de financements et de contrôle directs par le département de la Défense états-unien se sont précisés au fur et à mesure des mois [11].
Parallèlement à cela, dès les premiers jours de l’invasion, Al Jazeera a été à plusieurs reprises la cible des forces de la coalition. Plusieurs de ses journalistes ont été tués, jusqu’à ce qu’elles décident de détruire les bureaux de la chaîne qatarie à Bagdad. Ce, pendant que la « presse indépendante » irakienne, majoritairement corrompue comme nous l’avons vu, se développait de façon exponentielle.
Quelques jours après, le 10 avril 2003, date de la première diffusion de la chaîne de télévision de l’IMN, le directeur Ahmad al-Rikaby [12], pouvait ainsi annoncer à ses téléspectateurs, depuis une tente de l’armée états-unienne, la « Bienvenue dans un nouvel Irak ». Quelques semaines plus tard, Paul Bremer, à la tête de l’Autorité provisoire de la coalition, déclarait que l’IMN devait prendre provisoirement la place du ministère de l’Information, tout puissant sous le régime de Saddam Hussein. Lieu où, quelques semaines après l’avoir bombardé, l’IMN s’est symboliquement installé.
Documents joints
[1] « Colin Powell regrette ses accusations contre l’Irak », Réseau Voltaire, 12 septembre 2005.
[2] Voir aussi, « Judith Miller, journaliste d’intoxication massive », par Paul Labarique, Réseau Voltaire, 5 mars 2004.
[3] "U.S. Military Stages Media Offensive in Iraq", Marc Mazzetti et Borzou Daragahi. Article paru dans le Los Angeles Times, 29 novembre 2005. Ainsi que le New York Times à partir de janvier 2006.
[4] Ndlr : le Lincoln Group a été crée suite à l’invasion de l’Irak en 2003, pour prendre son appellation et sa constitution définitive en 2004.
[5] "Guerre Médiatique", Donald Rumsfeld. Tribune parue dans La Libre Belgique, mars 2006. Propos exacts : « En Irak, par exemple, l’armée américaine, en étroite collaboration avec le gouvernement irakien, a recherché des méthodes non traditionnelles permettant de fournir des informations exactes au peuple irakien. Mais cette démarche a été qualifiée "d’achat d’informations".L’explosion du nombre d’articles de presse critiques qui en résulte provoque un arrêt général de toute activité et de toute initiative. Cela mène à un « effet de gel »parmi ceux qui servent dans le domaine des affaires publiques militaires, qui en concluent qu’aucune innovation n’est tolérée. »
[6] Rapid Reaction Media Team, document consultable sur : http://www.gwu.edu/ nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB219/index.htm
[7] « Le dispositif Cheney », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 6 février 2004.
[8] Les Plans du Pentagone pour contrôler l’information, Ossama Lotfy
[9] Se référer aux deux premières parties du Rapid Reaction Media Team.
[10] L’IMN se définit comme étant : « un corps intérim ayant pour objectif de construire de nouvelles infrastructures, d’entraîner des journalistes et poser les fondations d’une politique de media public. »
[11] Information parue dans le Washington Post du 16/10/2003
[12] Ahmad al-Rikaby quitta ses fonctions en août 2003. Estimant que l’IMN ne pouvait concurencer Al-Jazeera ou les autres sources d’informations alternatives. (Source : dépêches de l’Associated Press du 6/08/2003)
### https://www.cnj.it/INIZIATIVE/torino2007.htm ###
Torino 17-19 ottobre 2007
La memoria rimossa -
l'occupazione italiana della Jugoslavia (1941 - 1943)
Gruppi consiliari
della Provincia di Torino
del Comune di Torino
della Regione Piemonte
in collaborazione con
Archivio Nazionale Cinematografico della Resistenza,
Anpi provinciale di Torino,
Istituto friulano per la storia del movimento di liberazione,
Istituto piemontese per la storia della Resistenza e della società contemporanea,
Coordinamento Nazionale per la Jugoslavia
L'occupazione italiana della Jugoslavia (1941 1943)
LA MEMORIA RIMOSSA
Mercoledì 17 ottobre 2007
Sala proiezioni del Museo Diffuso della Resistenza
- ore 10: presentazione della manifestazione
-ore 10,30: Occupazione in 26 immagini di Lordan Zafranovic, introduce l'autore
-ore 16: La caduta dell'Italia di Lordan Zafranovic, introduce l'autore
-ore 20,15: materiali filmici inediti sulla Resistenza jugoslava presentati da Lordan
Zafranovic
Giovedì 18 ottobre 2007
Sala proiezioni del Museo Diffuso della Resistenza
-ore 16: Fascist Legacy di Ken Kirby e Massimo Sani, introduce Massimo Sani
-ore 18: Quell'Italia del '43, di Massimo Sani, una o più puntate
-ore 20,15: Fascist Legacy (edizione italiana) di Ken Kirby e Massimo Sani, introduce
Massimo Sani
Venerdì 19 ottobre 2007
Sala dei Consiglieri della Provincia di Torino
Coordina i lavori Angelo Del Boca
-ore 9,30: Introduzione di Angelo Del Boca
-ore10: Alberto Buvoli interviene su fascismo e persecuzione antislava nella Venezia Giulia
-ore 11: Alessandra Kersevan presenta i temi della sua ricerca sul campo di
concentramento di Gonars
-ore 12: The Gonars memorial 1941- 1943: il simbolo della memoria italiana perduta, di
Alessandra Kersevan e Stefano Raspa
-Intervallo per il pranzo
-ore 14,30: Eric Gobetti interviene su caratteri e conseguenze dell'occupazione italiana
della Jugoslavia dal 1941 al 1943
-ore 15,30: Lordan Zafranovic e Massimo Sani intervengono sulla produzione
cinematografica che ha affrontato il tema dell'occupazione italiana della Jugoslavia
-ore16,30: Riccardo Marchis interviene su approcci didattici possibili alle molteplici
implicazioni della storia del confine orientale nell'ambito della storia dell'Italia nel
Novecento
-ore 17,30: Conclusione dei lavori
-ore 18: Presentazione di materiali filmici sulla Resistenza jugoslava
Replica di The Gonars memorial 1941- 1943: il simbolo della memoria italiana perduta.
Introduce l'autrice
--- > Museo Diffuso della Resistenza: corso Valdocco 4/A, Torino
Sala dei Consiglieri della Provincia di Torino: via Maria Vittoria,Torino
Info: 011 4380111 <---
Konferencija u Torinu, 17.-19. oktobra 2007. s naslovom:
"Uklonjeni dio povjesti -
Talijanska okupacija Jugoslavije 1941 1943"
Organizatori konferencije su:
Provincija i Opcina Torino
u suradnji s
Filmskog arhiva Pokreta otpora (ANCR),
ANPI-Nacionalnim udruenjem partizana,
Institutom za povjest pokreta za oslobodenje iz regije Friuli,
Institutom za izucavanje povjesti Pokreta otpora regije Piemonte,
Italijanska Koordinacija za Jugoslaviju (CNJ)
Vise informacija i linkovi na nasim stranima
### https://www.cnj.it/INIZIATIVE/torino2007.htm ###
Ulteriori informazioni e link sulle nostre pagine
Discorso-Autodifesa pronunciato davanti al Tribunale di Berlino
Erich Honecker
Difendendomi dall'accusa manifestamente infondata di omicidio non intendo certo attribuire a questo Tribunale e a questo procedimento penale l'apparenza della legalita'. La difesa del resto non servirebbe a niente, anche perche' non vivro' abbastanza per ascoltare la vostra sentenza. La condanna che evidentemente mi volete infliggere non mi potra' piu' raggiungere. Ora tutti lo sanno. Basterebbe questo a dimostrare che il processo e' una farsa. E' una messa in scena politica.
Nessuno nelle regioni occidentali della Germania, compresa la citta' di prima linea di Berlino Ovest, ha il diritto di portare sul banco degli accusati o addirittura condannare i miei compagni coimputati, me o qualsiasi altro cittadino della RDT, per azioni compiute nell'adempimento dei doveri emananti dallo Stato RDT.
Se parlo in questa sede, lo faccio solo per rendere testimonianza alle idee del socialismo e per un giudizio moralmente e politicamente corretto di quella Repubblica Democratica Tedesca che piu' di cento stati avevano riconosciuto in termini di diritto internazionale. Questa Repubblica, che ora la RFT chiama Stato illegale e ingiusto, e' stata membro del Consiglio di Sicurezza dell' O.N.U., che per qualche tempo ha anche presieduto, e ha presieduto per un periodo la stessa l'Assemblea generale. Non mi aspetto certo da questo processo e da questo Tribunale un giudizio politicamente e moralmente corretto della RDT, ma colgo l'occasione di questa messa in scena politica per far conoscere ai miei concittadini la mia posizione.
La situazione in cui mi trovo con questo processo non e' un fatto straordinario. Lo Stato di diritto tedesco ha gia' perseguitato e condannato Karl Marx, August Bebel, Karl Liebknecht e tanti altri socialisti e comunisti. Il terzo Reich, servendosi dei giudici ereditati dallo Stato di diritto di Weimar porto' avanti quest'opera in molti processi, uno dei quali io stesso ho vissuto in qualita' di imputato. Dopo la sconfitta del fascismo tedesco e dello Stato hitleriano, la RFT non ha avuto bisogno di cercarsi nuovi procuratori della repubblica e nuovi giudici per riprendere a perseguitare penalmente in massa i comunisti, togliendo loro il lavoro e il pane nei tribunali del lavoro, allontanandoli dagli impieghi pubblici tramite i tribunali amministrativi o perseguitandoli in altri modi. Ora capita a noi quello che ai nostri compagni della Germania occidentale era gia' capitato negli anni '50. Da circa 190 anni e' sempre lo stesso arbitrio che si ripete. Lo Stato di diritto della Repubblica Federale Tedesca non e' uno stato di diritto ma uno stato delle destre [gioco di parole in tedesco, N.d.T.].
Per questo processo, come per altri in cui altri cittadini della RDT vengono perseguitati per la loro contiguita' col sistema di fronte ai tribunali penali o del lavoro, sociali o amministrativi, c'e' un argomento principe che viene usato. Politici e giuristi sostengono: dobbiamo condannare i comunisti perche' non lo abbiamo fatto con i nazisti. Questa volta dobbiamo fare i conti con il nostro passato. A molti sembra un ragionamento ovvio, ma in realta' e' totalmente falso. La verita' e' che la giustizia tedescooccidentale non poteva punire i nazisti perche' i giudici e i procuratori della repubblica non potevano punire se stessi. La verita' e' che questa giustizia della Germania Federale deve il suo attuale livello, comunque lo si voglia giudicare, ai nazisti di cui ha assunto l'eredita'. La verita' e' che i comunisti e i cittadini della RDT vengono perseguitati oggi per le stesse ragioni per cui sono sempre stati perseguitati in Germania. Solo nei 40 anni di esistenza della RDT le cose sono andate in senso opposto. e' con questo spiacevole inconveniente che bisogna ora fare i conti. Il tutto naturalmente nel pieno rispetto del diritto. La politica non c'entra assolutamente niente!
I giuristi piu' eminenti di questo paese, tanto dei partiti di maggioranza che della SPD, giurano che il nostro processo altro non e' che un normale processo penale, non un processo politico, non una messa in scena. Vengono arrestati i membri di uno dei piu' alti organismi statali del paese confinante e si dice che pero' la politica non c'entra niente. Si contestano ai generali della contrapposta alleanza militare le decisioni prese, ma si sostiene che la politica non c'entra niente. Quelle stesse personalita' che ieri venivano ricevute con tutti gli onori come ospiti di stato e interlocutori degli sforzi congiunti per impedire che potesse mai piu' scaturire una guerra dal suolo tedesco, vengono oggi etichettate come criminali. Ma anche questo non avrebbe niente a che fare con la politica.
Si mettono sotto accusa i comunisti, che da quando sono apparsi sulla scena politica sono sempre stati perseguitati, ma nella RFT oggi tutto cio' non avrebbe niente a che fare con la politica.
Per me e, credo, per chiunque non sia prevenuto, e' evidente che questo processo e' politico come solo puo' esserlo un processo contro la dirigenza politica e militare della RDT. Chi lo nega non sbaglia, chi lo nega mente. Mente per ingannare ancora una volta il popolo. Con questo processo si fa proprio cio' di cui noi veniamo accusati: ci si sbarazza degli avversari politici con i mezzi del diritto penale. Ma naturalmente tutto avviene secondo la legge.
Anche altre circostanze mostrano senza ombra di dubbio che con questo processo si perseguono fini politici. Come mai il cancelliere federale, come mai il signor Kinkel, gia' capo dei servizi segreti, poi ministro della giustizia e infine ministro degli esteri della RFT si sono tanto impegnati per riportarmi a qualsiasi costo in Germania e rinchiudermi nel carcere di Moabit dove sono gia' stato sotto Hitler? Come mai il cancelliere ha lasciato che io volassi a Mosca per poi far pressioni su Mosca e sul Cile perche' mi consegnassero, contro ogni principio del diritto internazionale? Come mai i medici russi che avevano fatto la diagnosi giusta al primo esame l'hanno poi dovuta falsificare? Come mai io e i miei compagni, che di salute non stanno tanto meglio di me, veniamo trascinati di fronte al popolo come facevano anticamente gli imperatori romani con i loro avversari prigionieri?
Non so se tutto questo abbia una spiegazione razionale. Forse si conferma il detto antico che coloro che Dio vuole perdere prima li acceca. Una cosa comunque e' chiara, ed e' che tutti quegli uomini politici che un tempo mi chiedevano udienza ed erano felici di potermi a loro volta ricevere, non usciranno indenni da questo processo. Anche i bambini in Germania sapevano che degli uomini erano stati uccisi al muro e che tra i politici viventi il massimo responsabile del muro ero io, presidente del Consiglio Nazionale della Difesa (CND), segretario generale, presidente del Consiglio di Stato della RDT. Non ci sono percio' che due sole possibilita': la prima e' che i signori politici della RFT abbiano coscientemente, liberamente e persino avidamente cercato di avere rapporti con un assassino. La seconda e' che essi coscientemente e con soddisfazione lasciano adesso che un innocente venga incolpato di omicidio. Di queste due possibilita' nessuna torna a loro onore. Una terza possibilita' non c'e'. Ma chi accetta un dilemma di questo genere e risulta percio' comunque, tanto in un caso come nell'altro, una persona priva di carattere, o e' cieco oppure persegue altri fini che gli premono piu' del proprio onore.
Ammettiamo pure che ne' il signor Kohl, ne' il signor Kinkel, ne' gli altri signori ministri e dirigenti di partito della Repubblica Federale Tedesca siano ciechi (cosa che non mi sento affatto di escludere). Rimane, come scopo politico di questo processo, la volonta' di discreditare totalmente la RDT e con essa il socialismo in Germania. Il crollo della RDT e del socialismo in Germania e in Europa evidentemente ancora non gli basta. Devono eliminare tutto cio' che puo' far apparire questo periodo in cui gli operai e i contadini hanno governato in una luce diversa da quella della perversione e del delitto. La vittoria dell'economia di mercato (come chiamano oggi eufemisticamente il capitalismo) deve essere assoluta, e cosi' la sconfitta del socialismo. Si vuole fare in modo, come diceva Hitler prima di Stalingrado, che quel nemico non si rialzi mai piu'. I capitalisti tedeschi in effetti hanno sempre avuto un'inclinazione per l'assoluto.
Questa finalita' del processo, questa volonta' di uccidere ancora una volta il socialismo gia' dato per morto, mostra quale sia il giudizio che il signor Kohl, il governo e anche l'opposizione della RFT danno della situazione. Il capitalismo ha vinto economicamente scavandosi la fossa, cosi come aveva fatto Hitler vincendo militarmente. In tutto il mondo il capitalismo e' entrato in una crisi priva di sbocchi. Non gli e' rimasta altra scelta che sprofondare in un caos ecologico e sociale oppure accettare la rinuncia alla proprieta' privata dei mezzi di produzione e quindi il socialismo. Ambedue le alternative significano la sua fine. Ma per i potenti della Repubblica Federale Tedesca il pericolo piu' grave e' chiaramente il socialismo. E questo processo deve servire a prevenirlo, cosi' come deve servire a prevenirlo tutta la campagna contro la ormai scomparsa RDT, che deve essere marchiata come stato ingiusto e illegale.
Tutti i casi di morte per ragioni non naturali nel nostro paese ci hanno sempre colpito. Le uccisioni al muro non solo ci hanno colpito umanamente, ma ci hanno anche danneggiati politicamente. Piu' di ogni altro io porto dal maggio 1971 il peso della responsabilita' politica del fatto che si e' sparato, in base alle disposizioni sull'uso delle armi da fuoco, contro chi cercava di attraversare senza autorizzazione il confine tra la RDT e la RFT, tra il Patto di Varsavia e la NATO. e' una pesante responsabilita', certo. Diro' piu' avanti perche' me la sono assunta. Ma ora, in sede di definizione di quella che e' la finalita' politica di questo processo, non posso fare a meno di sottolineare anche il tipo di mezzi che vengono utilizzati per cercare di raggiungere il fine di diffamare la RDT. I mezzi utilizzati sono i morti al muro. Questi morti devono servire e servono a rendere appetibile ai media questo processo, come altri in precedenza. Tra i morti mancano pero' le guardie di confine della RDT assassinate. Abbiamo gia' visto, e soprattutto voi avete gia' visto, come le immagini dei morti siano state oggetto di mercato, senza rispetto per la pieta' e la decenza. Questi sono i mezzi con cui si fa politica e si crea il giusto clima. Cosi' si usano, anzi cosi si abusa dei morti nella lotta che i padroni conducono per mantenere la proprieta' capitalistica. Perche' di questo e niente altro si tratta nella lotta contro il socialism
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Eine Putschstrategie