Informazione
Castro says Spain's Aznar sought to bomb Serb media
Sun Sep 30, 2007 12:00pm EDT
By Marc Frank
HAVANA (Reuters) - Cuban leader Fidel Castro accused Spain's former prime minister on Sunday of recommending that Serbian media be bombed during the war in Kosovo, publishing what he said was a transcript of a talk Jose Maria Aznar had with a U.S. official at the time.
Aznar's conservative Popular Party was stung last week by publication of a compromising conversation Aznar had with U.S. President George W. Bush just before the Iraq war. Castro did not say how he obtained his transcript.
Castro remains in seclusion after abdominal surgeries over the last 14 months for an unknown ailment.
The now frail revolutionary, who is 81, occasionally appears in videos and photographs and has taken to writing essays for the state-run media as his younger brother Raul Castro runs the country.
In the official Juventud Rebelde newspaper on Sunday, Castro published what he said was a transcript of an Aznar conversation about strategy during NATO's bombing of Serbian forces in 1999 to force them to stop attacking ethnic Albanians in Kosovo.
Aznar also speaks disparagingly in the transcript about then French President Jacques Chirac. "When I want to have a good time with Chirac, I start by telling him those Americans are really horrible," he says in the transcript. Castro did not explain how or when he obtained the transcript and does not identify the U.S. official or publish the U.S. official's part of the conversation.
Castro had claimed previously to have a transcript of a conversation between former U.S. President Bill Clinton and Aznar.
He says Aznar in the new transcript discusses the possibility of a ground war if NATO's bombing campaign fails, urging a stepped-up air campaign. "My idea is that to win this war communications must be cut between the Belgrade government and the people. It's vital to cut all Serbian communications, radio, television and telephone," he is quoted as saying.
Spain's relations with Cuba reached a breaking point under Aznar. His Popular Party opposes the new Socialist government's efforts to improve relations with the Communist island.
Castro had accused Aznar before of wanting to bomb the media. He first made the charge after Aznar's conservative government led European Union protests over the jailing of 75 Cuban dissidents in 2003.
Castro introduced the transcript on Sunday by repeating his earlier accusation that Aznar told Clinton on April 13, 1999: "I do not understand why we still have not bombed Serbian radio and television." That was also based on an alleged transcript that Castro said he had.
Castro wrote in Sunday's article that he would publish more "public and confidential" materials in forthcoming essays.
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"E' bene quel che finisce bene... E' bene che tutto il Paese sia
unito in questa soddisfazione perchè è finito il rischio per la vita
di due persone".
(Fausto Bertinotti alla notizia, il 24/9/07, della liberazione dei
due agenti del SISMI detenuti in Afghanistan dai guerriglieri che si
oppongono alla occupazione militare del loro paese. Nell'azione per
la liberazione dei due erano state ammazzate nove persone: http://
www.adnkronos.com/IGN/Politica/?id=1.0.1341782054).
Roma, 5 ott. (Adnkronos/Ign) - Il presidente della Repubblica
Napolitano e il presidente della Camera Bertinotti hanno reso omaggio
oggi pomeriggio al sottufficiale del Sismi, Lorenzo D'Auria, morto
ieri all'ospedale militare del Celio dove era ricoverato da giorni
dopo essere rimasto ferito gravemente in Afghanistan...
http://notizie.interfree.it/cgi-bin/desc.cgi?id=124427
(segnalato da E. Magnone su scienzaepace @...)
Crise financière mondiale
L’US $ est une monnaie privée
Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.
L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries d’Andrew Carnegie.
Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des « Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.
Le XVIe amendement de la Constitution états-unienne, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens états-uniens. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient :
1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
2. La Banque Lazard frères de Paris
3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
4. La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
5. La Banque Lehmann à New York
6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
8. La Banque Goldman Sachs à New York.
Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.
En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.
Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables états-uniens augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement états-unien et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar.
Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignement. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.
Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les matières premières et autres valeurs au monde.