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Milosevic : "rendez-moi mon droit à me défendre"


1. Procès Milosevic: les juges pourraient intimer à certains témoins de
déposer (AFP, 18 octobre)

2. Milosevic : "rendez-moi mon droit à me défendre" (AFP, 21 octobre)

3. Le procès Milosevic ajourné jusqu'au 9 novembre faute de témoins
(AFP, 22 octobre)

4. Le Monde : Le procès de Slobodan Milosevic tourne à l'imbroglio (23
octobre 2004)

5. UN OUVRAGE CHOC, UN DOCUMENT DE RÉFÉRENCE :
le texte intégral de l'exposé fait par Slobodan Milosevic au Tribunal
pénal international de La Haye, le 31 août et le 1er septembre 2004

[ Nota:      LA TRADUZIONE INTEGRALE IN LINGUA ITALIANA DELL'APERTURA
DELL'AUTODIFESA DI  SLOBODAN MILOSEVIC E' STATA DA NOI GIA' EFFETTUATA.
IL TESTO E' IN VIA DI CORREZIONE, E PRESTO SEGNALEREMO LA URL ALLA
QUALE ESSO SI POTRA' LEGGERE.         ICDSM-Italia ]


SOURCE:
http://fr.groups.yahoo.com/group/alerte_otan/messages

---( 1 )---

Procès Milosevic: les juges pourraient intimer à certains témoins de
déposer

AFP, 18 octobre

LA HAYE (AFP) - Les juges du Tribunal pénal international (TPI) pour
l'ex-Yougoslavie ont assuré lundi qu'ils n'hésiteraient pas à lancer
des citations à comparaître dans le procès de Slobodan Milosevic,
environ la moitié des témoins à décharge pour le dossier Kosovo
refusant de se présenter.

Ces témoins récalcitrants protestent ainsi contre la décision du TPI
d'assigner deux avocats à l'ancien président yougoslave contre son gré.

"Bien sûr, une citation à comparaître est le dernier recours, mais si
toutes les procédures sont épuisées, la Chambre émettra des citations à
comparaître", a déclaré le juge Patrick Robinson lors d'une audience de
procédure.

"Nous devons montrer aux témoins que ce procès est d'une importance
fondamentale", a-t-il ajouté.

Les juges ont déjà, dans la phase consacrée à l'accusation, contraint
certains témoins à faire le voyage de La Haye.

Environ la moitié des 138 témoins retenus par la défense de M.
Milosevic pour le dossier Kosovo ne veulent pas venir à la barre tant
que l'ancien chef d'Etat ne mènera pas sa défense lui-même, a indiqué
le juge Robinson, se basant sur des informations fournies par les
avocats commis d'office.

Ces personnes sont des experts, des anciens membres du régime de
Slobodan Milosevic appelés communément "initiés", des fonctionnaires
internationaux ayant servi dans les pays de l'ex-Yougoslavie ou encore
des témoins d'ordre général sur les événements dans la province du
Kosovo.

Les juges espèrent que la décision sur l'appel interjeté contre la
désignation des avocats permettra de débloquer la situation et
convaincra certains témoins récalcitrants de venir à la barre
volontairement.

La Chambre d'appel du TPI entendra jeudi les arguments des parties pour
et contre la désignation des deux avocats. Elle devrait rendre sa
décision ultérieurement.

Certains experts juridiques doutent qu'une injonction à témoigner
puisse améliorer le déroulement du procès, si les juges d'appel
maintiennent les deux avocats commis d'office.

"Un fonctionnement au forceps n'est guère réjouissant", remarquait à ce
sujet Joël Hubrecht, expert à l'Institut (français) des hautes études
sur la justice.

"Les citations à comparaître ne sont pas vraiment une solution car les
juges sont dépendants de la volonté des Etats pour les faire appliquer,
ou du Conseil de sécurité, or dans le passé on a vu que les Etats
coopèrent plus ou moins bien", explique à l'AFP Heikelina Verrijn
Stuart, une juriste néerlandaise qui suit le procès comme experte pour
des médias nationaux.

Elle regrette que les témoins "choisissent de ne pas se présenter pour
des raisons politiques" mais estime que la désignation des avocats n'a
pas apporté de véritable amélioration dans le déroulement du procès.

"Les juges semblent obsédés par la célérité du procès mais ce n'est pas
l'argument le plus important", affirme-t-elle en estimant que Slobodan
Milosevic ne conduisait pas si mal sa défense.

Les juges ont nommé le 2 septembre deux avocats britanniques pour
assister l'ancien président, alors que le procès avait été interrompu à
de nombreuses reprises en raison des problèmes de santé de l'accusé qui
présentait lui-même sa défense.

Slobodan Milosevic comparaît depuis le 12 février 2002 afin de répondre
de plus de 60 accusations de génocide, crimes contre l'humanité et
crimes de guerre pour son rôle dans les trois conflits majeurs qui ont
déchiré les Balkans dans les années 1990: Croatie, Bosnie et Kosovo.
Ces trois guerres ont fait plus de 200.000 morts.

---( 2 )---

Milosevic : "rendez-moi mon droit à me défendre"

AFP, 21 octobre

L'ancien président yougoslave Slobodan Milosevic a réclamé jeudi que la
chambre d'appel du Tribunal pénal internationalpour l'ex-Yougoslavie
lui rende son droit à se défendre personnellement, soutenu par ses
avocats commis d'office qui ont dit leur incapacité à faire leur
travail.

"Ce que je veux, c'est qu'on me rende le droit de me défendre,
d'appeler les témoins, de les interroger", a lancé l'ancien homme fort
de Belgrade. "Je ne peux accepter moins, car c'est une décision de
principe dont je ne démordrai pas".

M. Milosevic intervenait devant la chambre d'appel du TPI qui examinait
un recours contre la désignation d'office d'avocats. La cour a pris
cette décision début septembre, contre le gré de l'accusé, après des
rapports médicaux établissant qu'il n'était pas apte à assurer sa
propre défense. La chambre d'appel n'a fixé aucune date pour rendre sa
décision et les audiences régulières doivent reprendre mardi.

M. Milosevic a expliqué que l'assignation d'avocats était un élément
d'une "campagne qui dure depuis trois ans pour m'empêcher de parler.

"Aucun avocat n'est capable de me représenter, c'est un procès
politique", a-t-il déclaré. "C'est au-delà de la compétence d'un
avocat. La vérité sur les événements dans l'ex-Yougoslavie doit être
dite ici".

De son côté, l'avocat britannique Steven Kay, l'un des deux défenseurs
de M. Milosevic, a dit son impuissance. "Mon équipe et moi-même sommes
incapables de remplir nos fonctions", a-t-il déclaré. "On se leurre si
on croit que ce qui se déroule ici est une défense correcte".

"Le bricolage de dossier (en assignant des avocats, ndlr) me place dans
une situation éthique et professionnelle difficile", a-t-il ajouté,
évoquant notamment le "conflit" et "l'antagonisme" entre l'accusé et
lui-même et le refus de nombre de témoins de la défense de lui parler.

"J'ai essayé", a assuré Steven Kay, "mais c'est désormais vain". "Je ne
peux pas de manière efficace et correcte défendre ce dossier".

M. Milosevic a assuré un peu plus tard n'avoir "rien de personnel"
contre Me Kay.

"Si (Me) Kay démissionne, ce sera problématique", commentait à l'issue
de l'audience Ana Uzelac, qui suit ce procès pour la fondation
Institute for War and Peace Reporting (IWPR). "Théoriquement, il y a
pléthore d'avocats qui seraient heureux d'endosser le rôle, mais
pratiquement je ne vois personne capable de reprendre l'affaire sans
avoir besoin d'un long délai", a-t-elle ajouté.

L'acusation a quant à elle plaidé pour le maintien des avocats,
estimant que M. Milosevic utilisait son état de santé, aggravé par une
prise de médicaments hasardeuse, pour contrôler le déroulement du
procès.

Entamé en février 2002, le procès de Slobodan Milosevic a été suspendu
à une douzaine de reprises, l'accusé âgé de 63 ans souffrant notamment
d'hypertension.

"Qui dirige ce tribunal : l'accusé ou les juges embauchés pour faire ce
travail?", a demandé le procureur Geoffrey Nice.

M. Nice a dénoncé le comportement "irrationnel" de l'accusé, qui tient
des discours historico-politiques sans évoquer les faits qui lui sont
reprochés. "Cet homme n'est pas capable de se représenter lui-même",
a-t-il lancé.

---( 3 )---

Le procès Milosevic ajourné jusqu'au 9 novembre faute de témoins

AFP, 22 octobre

Les juges du Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie
ont ajourné vendredi le procès de l'ancien président yougoslave
Slobodan Milosevic jusqu'au 9 novembre, la défense n'ayant plus de
témoins à faire déposer d'ici à cette date.

Cette décision fait suite à une déclaration de ses avocats selon
lesquels la défense «n'a plus de témoins pour la semaine du 26 au 28
octobre», a indiqué le tribunal dans un communiqué.

Les juges avaient déjà prévu une suspension du procès pour une semaine
à partir du 1er novembre, ce qui signifie que ce procès fleuve, qui a
débuté en février 2002, reprendra le 9 novembre au terme de deux
semaines d'interruption.

Environ la moitié des 138 témoins retenus par la défense de M.
Milosevic pour le dossier Kosovo ne veulent pas venir à la barre tant
que l'ancien président yougoslave n'assurera pas sa défense lui-même.

La chambre d'appel du TPI a examiné jeudi un recours contre la
désignation d'office d'avocats, que récuse M. Milosevic, soutenu par
ses avocats qui ont dit leur incapacité à faire leur travail. La
chambre d'appel n'a fixé aucune date pour rendre sa décision.

---( 4 )---

Le Monde, 23 octobre 2004

Le procès de Slobodan Milosevic tourne à l'imbroglio

Le regard sombre, surligné de la perruque blanche des avocats du
Commonwealth, Me Steven Kay a plaidé, jeudi 21 octobre, contre
lui-même. Avocat imposé à l'ex-président Slobodan Milosevic, le
Londonien a demandé à la chambre d'appel du tribunal pénal
international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) de laisser à cet accusé
particulier le droit de se défendre seul dans le prétoire.

"Les témoins ne se présentent pas et l'accusé affirme que je ne défends
pas sa cause", a déclaré l'avocat, plaidant vigoureusement sa propre
répudiation. De fait, plusieurs centaines de témoins - appelés pour
défendre l'accusé - boycottent le tribunal par solidarité avec lui.
Tant et si bien que ce procès fleuve, intenté pour génocide, crimes
contre l'humanité et crimes de guerre, va de suspensions en reports.

Lors de l'audition des trois seuls témoins de la défense, M. Milosevic
a constamment semé le doute sur les performances de l'avocat,
l'accusant d'être, à dessein, contre-productif. Mais il a refusé la
proposition des juges de poser ses propres questions pour ne pas
"ramasser les miettes d'un droit" dont il se dit lésé. "La situation
est si conflictuelle entre l'accusé et mon équipe que nous ne sommes
d'aucune efficacité dans ce procès", a estimé Me Kay.

Le conflit s'est aussi déplacé hors du prétoire, depuis le dépôt d'une
plainte contre l'avocat auprès du conseil de l'ordre des Pays-Bas.
Cette procédure ne semble, cependant, pas perturber Me Kay, qui,
professionnel, continue de traduire en termes juridiques les arguments
politiques de l'accusé : "L'accusation est à bout et cherche à empêcher
l'accusé de retrouver ses droits, a-t-il dit, mais il serait bon de
cesser de nous tromper nous-mêmes, en faisant croire que ce qui est
présenté ici est une défense." Pour Me Kay, qui a déjà mené deux
affaires devant les tribunaux pour l'ex-Yougoslavie et le Rwanda, "le
risque couru est celui d'un déni de justice".

"QUI DIRIGE CE TRIBUNAL ?"

Bras croisés sur son pupitre, le procureur, Geoffrey Nice,
contre-attaque : "Qui dirige ce tribunal ?" "Nous sommes ici en
présence de pressions, de marchandage, et Me Kay agit comme un agent
entre les juges et l'accusé", dit-il. L'accusé fait "obstruction",
adopte un comportement "irrationnel" et profère des "insultes" à
l'égard du tribunal en le déclarant illégal. "C'est l'hôpital qui se
moque de la charité", s'offusque Steven Kay. "Nous ne sommes pas au
marché !", renchérit Slobodan Milosevic.

Le procureur a insisté pour que "la chambre d'appel ne se soumette pas
aux pressions" de l'accusé Milosevic : s'il "ne veut pas présenter à la
barre d'autres témoins, la présentation de ses moyens est terminée".

Les juges d'appel disposent de peu d'alternatives. Ils doivent trancher
entre "déni de justice" et menace sur l'autorité du tribunal. En
acceptant de laisser M. Milosevic conserver deux rôles dans le
prétoire, celui d'avocat et d'accusé, ils laisseraient à l'ancien
président yougoslave la possibilité de sortir victorieux de l'épreuve
de force. L'ex-homme fort de Belgrade deviendrait alors, pour ainsi
dire, le nouvel homme fort de La Haye.

Stéphanie Maupas

---( 5 )---

From: "louis dalmas" <lodalmas @ wanadoo.fr>
Sent: Monday, October 25, 2004 6:49 PM

UN OUVRAGE CHOC, UN DOCUMENT DE RÉFÉRENCE

L'association "Vérité et Justice" publie, sous la forme d'un livre
format 18 x11 cm de 150 pages, le texte intégral de l'exposé fait par
Slobodan Milosevic au Tribunal pénal international de La Haye, le 31
août et le 1er septembre 2004, en introduction à sa "période de
défense".

Sous le titre "Ma vérité", il analyse le contexte de la dernière
décennie de guerre dans les Balkans.

Quelle que soit l'opinion qu'on peut avoir sur l'homme, il est
intéressant de connaître sa version des faits pour avoir une vue
d'ensemble du conflit.

Le livre peut être commandé directement à
CAP 8, BP 391, 75869 Paris cedex 18, France
par lettre, par fax au + 33 (0) 1 42 23 07 30
ou par e-mail à lodalmas @ wanadoo.fr

Le prix du livre est de 15 euros (10 euros pour les abonnés de B. I. et
les membres de l'association "Vérité et Justice".

Le numéro 93 (novembre 2004) de B. I.,
Le journal mensuel qui publie ce que vous ne lisez pas ailleurs, vient
de paraître.
Visitez son site web : <http://www.b-i-infos.com/>
pour le sommaire du numéro, ses principaux articles, les secrets de
l'actualité politique internationale, et comment vous abonner (si vous
ne l'êtes pas déjà).

Merci de faire suivre ce message au plus grand nombre possible de
destinataires.

EDITORIAL DU N° 93 (novembre 2004)

PRÉSUMÉ COUPABLE

Le système américain du "plaider coupable" a fait son entrée dans notre
droit. Il s'agit d'un "arrangement" par lequel l'accusé accepte une
sanction de son délit proposée d'avance, évitant ainsi d'aller devant
un tribunal. La justice économise les frais d'un procès ; le coupable
ne court pas le risque d'une sentence plus lourde.

A première vue, tout le monde y gagne. Sauf qu'il s'agit d'un déni de
principe, d'une dangereuse imprudence et d'un abus de pouvoir.

La présomption d'innocence, fondement de la légalité, disparaît, la
culpabilité étant considérée comme prouvée et punissable avant d'être
jugée.

Cette certitude de culpabilité n'est pas acquise au terme de longs
débats d'audiences, mais à la suite de simples enquêtes dont on sait
combien elles peuvent être bâclées et incomplètes, d'où un risque
d'erreur sérieusement accru.

Condamné d'avance, l'inculpé est soumis à une pression qui a plus à
voir avec l'ultimatum du plus fort qu'avec l'application de la loi. On
lui dit : "De toute façon, tu seras condamné. Ou tu marches avec nous
pour une peine réduite, ou tu seras matraqué par la cour."

Dans le langage ordinaire, ça s'appelle un chantage pur et simple.

Mais comment s'étonner de voir le procédé étrangler les individus alors
qu'il étrangle depuis longtemps les collectivités?

Car que fait-on d'autre qu'imposer le "plaider coupable" aux Serbes
quand la communauté internationale les invite à reconnaître les crimes
qui leur sont attribués, sous peine de connaître un sort encore plus
misérable ? On ne les a jamais présumés innocents. L'instruction de
leur cause a été basée pendant une décennie sur des mensonges
flagrants. Ils sont l'objet d'un chantage permanent qui conditionne
leur survie à leur obéissance.

Que fait-on d'autre qu'imposer le "plaider coupable" quand on force les
prisonniers du Tribunal pénal international de La Haye aux aveux et aux
dénonciations en échange d'une relative indulgence des magistrats ? Ils
sont coupables d'office. Tout les accuse. On les menace du pire s'ils
n'acceptent pas de coopérer.

Il arrive qu'un des condamnés d'avance refuse le marchandage. Il se
considère innocent et a le courage de vouloir le proclamer, au mépris
des conséquences. C'est le cas de Slobodan Milosevic.

Récemment, sur une de nos chaînes câblées, un épisode d'un feuileton
américain, consacré aux aventures d'un cabinet d'avocats, racontait
l'histoire d'une jeune fille de 17 ans arrêtée en possession de drogue
qu'elle cachait sous son oreiller, au cours d'une descente de police,
pour protéger son frère. Accusée d'être toxicomane elle-même, elle
risque 15 ans de prison. Au cours de la négociation du "plaider
coupable", on lui propose 10 mois de prison, puis 4, à la place de
cette lourde condamnation. Le juge, le procureur, ses avocats la
supplient d'accepter. Mais elle ne s'est jamais droguée, elle se sait
innocente, elle ne veut pas mentir, aller en prison pour un crime
qu'elle n'a pas commis Elle résiste à la pression, et affronte le jury.
Comme il s'agit d'un film américain, l'intégrité paie et elle est
déclarée innocente.

On souhaite à Milosevic de voir récompenser ainsi son courage, mais la
sinistre instance de La Haye n'est pas le décor d'un studio de cinéma
et le système du "plaider coupable" est d'une redoutable efficacité.

Avec l'ex-président yougoslave, les autres prisonniers de La Haye et
les Serbes en général, combien de ces présumés coupables cèderont au
chantage et s'accuseront de méfaits imaginaires, ou refuseront le
compromis sans connaître le dénouement heureux du feuilleton de
télévision ?

Louis DALMAS.

DEMOCRAZIA REALE


<<... In Lettonia, il partito comunista è fin dall’inizio fuorilegge, e
i membri del Partito Comunista di Lettonia non hanno il diritto di
partecipare come candidati ad ogni tipo di consultazione elettorale,
non possono venire naturalizzati (*), e ottenere la cittadinanza della
Lettonia, non godono del diritto di esercitare qualsiasi impiego
statale, dal momento che, nella “democratica” Lettonia che fa parte
della “democratica” Unione Europea, si discriminano persone per le loro
convinzioni politiche. Avere a che fare con il nostro partito, che è
composto in prevalenza da ex membri del Partito Comunista di Lettonia,
è ritenuto sconveniente, o più semplicemente pericoloso: si può essere
licenziati e anche subire altre repressioni ...>>

Dall’intervento del Partito Socialista di Lettonia all’incontro dei
partiti comunisti e operai, Atene, 8-10 ottobre 2004
Fonte: http://www.vide.lv/lsp/ , mailto:treikals @...
in http://www.solidnet.org
Traduzione dal russo di Mauro Gemma

(*) Ciò vale per gli appartenenti ad etnie diverse da quella lettone,
considerate di “serie B” dall’attuale regime dell’apartheid accettato,
senza obiezioni di rilievo, nell’Unione Europea. NdT

41 parenti di vittime dell'11 Settembre, e piu' di cento attivisti ed
intellettuali statunitensi, chiedono una nuova inchiesta sulla tragedia
delle "due torri", che chiarisca le incongruenze della versione
ufficiale e faccia piazza pulita delle menzogne del regime dei
"neocons" ...

[ Sullo stesso argomento sono usciti anche in Italia diversi libri, tra
i quali "Il sacrificio", di M. Ragnedda (vedi:
http://www.criticalpoint.it/news.php?cod=4 ) ]


http://www.911truth.org/article.php?story=20041026093059633

911 Truth Statement

HELP SPREAD
THESE WORDS!

Please contribute! We are
raising funds to place ads
featuring this 9/11 Truth
Statement in major New
York papers and media:

Donate Here!

Respected Leaders and Families Launch 9/11 Truth Statement Demanding
Deeper Investigation into the Events of 9/11

NEW YORK CITY, NY (Oct. 26, 2004) - An alliance of 100 prominent
Americans and 40 family members of those killed on 9/11 today
announced the release of the 911 Truth Statement, a call for immediate
inquiry into evidence that suggests high-level government officials may
have deliberately allowed the September 11th attacks to occur. The
Statement supports an August 31st Zogby poll that found nearly 50% of
New Yorkers believe the government had foreknowledge and "consciously
failed to act," with 66% wanting a new 9/11 investigation.

Focusing on twelve questions, the Statement highlights areas of
incriminating evidence that were either inadequately explored or
ignored by the Kean Commission, ranging from insider trading and
hijacker funding to foreign government forewarnings and inactive
defenses around the Pentagon. The Statement asks for four actions: an
immediate investigation by New York Attorney General Eliot Spitzer,
Congressional hearings, media analysis, and the formation of a truly
independent citizens-based inquiry.

The Statement's list of signatories includes notables spanning the
political spectrum, from Presidential candidates Ralph Nader, Michael
Badnarik, and David Cobb to Catherine Austin Fitts, a member of the
first Bush administration, as well as Washington veterans like Pentagon
whistleblower Daniel Ellsberg and retired CIA analyst Ray McGovern.
Other signers range from peace activists like Code Pink co-founder
Jodie Evans and Global Exchange's Kevin Danaher to former US Ambassador
and Chief of Mission to Iraq, Edward L. Peck; from environmentalists
like Randy Hayes and John Robbins to business leaders such as Paul
Hawken and Karl Schwartz, CEO of Patmos Nanotechnologies; from populist
journalist Ronnie Dugger to renowned investigative reporter Kelly
Patricia O'Meara.

The Statement also includes 43 noted authors, including New York Times
#1 bestseller John Gray, as well as 18 eminent professors, historians,
and theologians. Other notables include five-term Georgia Congresswoman
Cynthia McKinney, singers Michelle Shocked and Michael Franti, and
actors Ed Asner and Mimi Kennedy.

The Statement was facilitated by 911truth.org, a leading coalition. The
organization has also announced a press conference outside of Eliot
Spitzer's Manhattan office (corner of Cedar and Nassau) at 2:00PM on
Thursday, Oct. 28th where 9/11 family members and victim group
representatives will file a formal complaint demanding the first
criminal investigation of 9/11 events by the New York Attorney General.

The Statement

We Want Real Answers About 9/11

On August 31, 2004, Zogby International, the official North American
political polling agency for Reuters, released a poll that found nearly
half (49.3%) of New York City residents and 41% of those in New York
state believe US leaders had foreknowledge of impending 9/11 attacks
and "consciously failed" to act. Of the New York City residents, 66%
called for a new probe of unanswered questions by Congress or the New
York Attorney General.

In connection with this news, we have assembled 100 notable Americans
and 40 family members of those who died to sign this 9/11 Statement,
which calls for immediate public attention to unanswered questions that
suggest that people within the current administration may indeed have
deliberately allowed 9/11 to happen, perhaps as a pretext for war.

We want truthful answers to questions such as:

Why were standard operating procedures for dealing with hijacked
airliners not followed that day?
Why were the extensive missile batteries and air defenses reportedly
deployed around the Pentagon not activated during the attack?
Why did the Secret Service allow Bush to complete his elementary school
visit, apparently unconcerned about his safety or that of the
schoolchildren?
Why hasn't a single person been fired, penalized, or reprimanded for
the gross incompetence we witnessed that day?
Why haven't authorities in the U.S. and abroad published the results of
multiple investigations into trading that strongly suggested
foreknowledge of specific details of the 9/11 attacks, resulting in
tens of millions of dollars of traceable gains?
Why has Sibel Edmonds, a former FBI translator who claims to have
knowledge of advance warnings, been publicly silenced with a gag order
requested by Attorney General Ashcroft and granted by a Bush-appointed
judge?
How could Flight 77, which reportedly hit the Pentagon, have flown back
towards Washington D.C. for 40 minutes without being detected by the
FAA's radar or the even superior radar possessed by the US military?
How were the FBI and CIA able to release the names and photos of the
alleged hijackers within hours, as well as to visit houses,
restaurants, and flight schools they were known to frequent?
What happened to the over 20 documented warnings given our government
by 14 foreign intelligence agencies or heads of state?
Why did the Bush administration cover up the fact that the head of the
Pakistani intelligence agency was in Washington the week of 9/11 and
reportedly had $100,000 wired to Mohamed Atta, considered the
ringleader of the hijackers?
Why did the 911 Commission fail to address most of the questions posed
by the families of the victims, in addition to almost all of the
questions posed here?
Why was Philip Zelikow chosen to be the Executive Director of the
ostensibly independent 911 Commission although he had co-authored a
book with Condoleezza Rice?

Those who are demanding deeper inquiry now number in the hundreds of
thousands, including a former member of the first Bush administration,
a retired Air Force colonel, a European parliamentarian, families of
the victims, highly respected authors, investigative journalists, peace
and justice leaders, former Pentagon staff, and the National Green
Party.

As Americans of conscience, we ask for four things:

An immediate investigation by New York Attorney General Eliot Spitzer
Immediate investigation in Congressional Hearings.
Media attention to scrutinize and investigate the evidence.
The formation of a truly independent citizens-based inquiry.

Given the importance of the coming election, we feel it is imperative
that these questions be addressed publicly, honestly, and rigorously so
that Americans may exercise their democratic rights with full awareness.

In closing, we pray and hope for the strength to approach this subject
with wisdom and compassion so that we may heal from the wounds
inflicted on that terrible day.

Signed,

Signatories

Note: All organizations are mentioned for identification purposes only.
Individuals have signed this statement as an act of their own
conscience, not to signify organizational endorsement.
Virginia Deane Abernethy, Ph.D., anthropologist, author, Population
Politics
Ed Asner, actor, activist
Marshall Auerback, international portfolio strategist for David W. Tice
& Associates, Inc.
Catherine Austin Fitts, Asst. Secretary of Housing in the first Bush
administration
Keidi Obi Awadu, aka The Conscious Rasta, talk show host, LIBRadio
Michael Badnarik, Libertarian candidate for President
Byron Belitsos, publisher, Origin Press, author Planetary Democracy
Philip J. Berg, Esquire, former deputy attorney general, Pennsylvania
Medea Benjamin, activist, author, co-founder, Global Exchange and Code
Pink
Dennis Bernstein, investigative reporter, radio host of KPFA's
Flashpoints
Steve Bhaerman aka Swami Beyondananda, author, political comedian
Brad Blanton, Ph.D., psychotherapist, author, Radical Honesty
Saniel Bonder, spiritual teacher and author, Great Relief
Dr. Robert Bowman, USAF Lt. Col. (Rtd.), founder, Institute for Space
and Security Studies
John Buchanan, author, candidate for the Republican Party Presidential
nomination, 2004
Gray Brechin, Ph.D., author, environmental historian, professor, UC
Berkeley
Fred Burks, presidential interpreter for Bush, Clinton, Cheney, and Gore
Norma Carr-Rufino, Ph.D., author, professor of management, San
Francisco State University
Angana Chatterji, Ph.D., scholar-activist and professor of anthropology
Paul Cienfuegos, co-founder, Democracy Unlimited of Humboldt County
David Cobb, attorney, national presidential candidate, US Green Party
John Cobb, Ph.D., theologian, co-author, For the Common Good
Ernest Callenbach, founder/editor, Film Quarterly, author, Ecotopia
Kevin Danaher, Ph.D., author, speaker, co-founder, Global Exchange
Stephen Dinan, author, Radical Spirit
Ronnie Dugger, journalist/author, co-founder, Alliance for Democracy
Rachel Ehrenfeld, Ph.D., Director, American Center for Democracy,
author, Funding Evil
Daniel Ellsberg, author, Secrets: A Memoir of Vietnam and the Pentagon
Papers
Jodie Evans, co-founder, Code Pink
Richard Falk, Professor Emeritus of International Law, Princeton
University
Michael Franti, musician, filmmaker, human rights worker
Janeane Garofalo, actress, comedienne, talk show host, Air America Radio
Jim Garrison, Ph.D., president, State of the World Forum, author,
America as Empire
Bruce Gagnon, Chair, Global Network Against Weapons & Nuclear Power in
Space
Ric Giardina, author, consultant, speaker, former Director of
Trademarks and Brands for Intel
John Gray, Ph.D., #1 bestselling author, Men Are from Mars, Women Are
from Venus
Stan Goff, 25-year Army Special Ops veteran, author, Full Spectrum
Disorder
Melvin Goodman, senior fellow, Center for International Policy, author,
former Senior Analyst, CIA, professor, National War College
Morton Goulder, Deputy Secretary for Intelligence and Warning under
Nixon, Ford, and Carter
David Ray Griffin, Ph.D., theologian, author, New Pearl Harbor
Doris "Granny D" Haddock, campaign finance crusader, NH Democratic
candidate for Senate
Thom Hartmann, radio host; author, Unequal Protection
Richie Havens, singer, songwriter, performer, artist
Paul Hawken, bestselling author, environmentalist, entrepreneur,
founder of Smith & Hawken
Randy Hayes, founder, Rainforest Action Network, US National Director,
Direction Conservation
Richard Heinberg, author, The Party's Over, core faculty, New College
of California
Van Jones, executive director, Ella Baker Center for Human Rights
Rob Kall, editor, OpEdNews.com, president, Futurehealth, Inc.
Georgia Kelly, executive director, Praxis Peace Institute
Sean Kelly, Ph.D., author, professor of philosophy and religion, CA
Institute of Integral Studies
John Joseph Kennedy, Democratic Write-in Presidential Candidate for 2004
Mimi Kennedy, actress, Dharma and Greg, progressive activist
Faiz Khan, M.D., Triage Emergency Physician on 9/11, Assistant Imam
David Korten, author, When Corporations Rule the World
Frances Moore Lappé, author, Diet for a Small Planet; founder, Small
Planet Institute
Scott M. Legere, 25 year radio broadcaster as Scott Ledger, Tampa FL
Rabbi Michael Lerner, editor, TIKKUN Magazine, author, Healing
Israel/Palestine
Michael Levine, bestselling author of Deep Cover, journalist, 25-year
veteran of the DEA
Joanna Macy, Ph.D., eco-philosopher, author
Enver Masud, founder, The Wisdom Fund, author, The Truth About Islam
John McCarthy, former Special Forces Captain, president, Veterans Equal
Rights Protection Advocacy
Ray McGovern, former CIA analyst, co-founder, Veteran Intelligence
Professionals for Sanity
Cynthia McKinney, five-term Congresswoman from Georgia
Ralph Metzner, Ph.D., author, professor, co-founder, Green Earth
Foundation
Mark Crispin Miller, media critic, author, professor, New York
University
Joseph W. Montaperto, New York City Fire Department
Leuren Moret, geoscientist, radiation specialist, environmental
commissioner
Ralph Nader, Independent candidate for President
Craig Neal, author, co-founder, The Heartland Institute, former
publisher, Utne Reader
Jeff Norman, executive director, Tour of Duty
Jenna Orkin, Esquire, World Trade Center Environmental Organization
Kelly Patricia O'Meara, investigative journalist, public relations
Michael Parenti, Ph.D., author, Superpatriotism and The Terrorism Trap
Edward L. Peck, former US Ambassador and Chief of Mission to Iraq,
former Deputy Director to the White House Task Force on Terrorism
Peter Phillips, Ph.D., professor, Sonoma State University, director,
Project Censored
Henri Poole, Internet pioneer, board member, Free Software Foundation
Robert Rabbin, author, speaker, creator of TruthForPresident.org
Paul H. Ray, Ph.D., sociologist, author, The Cultural Creatives
John Renesch, business futurist, author, Getting to the Better Future
John Rensenbrink, professor emeritus, Bowdoin College, co-founder, US
Green Party
John Robbins, author, founder, EarthSave International
William Rodriguez, 9/11 rescue effort hero, founder, Hispanic Victims
Group
Neal Rogin, Emmy-award winning writer, performer, social observer
Allen Roland, Ph.D., psychotherapist, published author and peace
activist
Rosemary Radford Ruether, professor of feminist theology, Graduate
Theological Union
Michael Ruppert, publisher/editor, From The Wilderness, author,
Crossing the Rubicon
Chris Sanders, founder, Sanders Research Associates
Karl W. B. Schwarz, President, CEO, Patmos Nanotechnologies, LLC
Peter Dale Scott, Ph.D., Professor Emeritus, author, Drugs, Oil, and War
Firefighter Kevin Shea, FDNY Hazmat Operations
Michelle Shocked, singer/songwriter, activist
Indira Singh, risk management and computer systems consultant
J. Michael Springmann, attorney, former Foreign Service Officer, US
Department of State
Douglas Sturm, Ph.D., university professor emeritus, Bucknell University
Marjorie Hewit Suchocki, Ph.D., theologian, author
Chuck Turner, Boston City Council
James W. Walter Jr., venture investor, philanthropist, founder of
Walden Three
Dan Whaley, E-commerce pioneer, founder of GetThere.com, acquired for
$750M
Burns H. Weston, J.S.D., Professor of Law Emeritus, Director, Center
for Human Rights, U-Iowa
Howard Zinn, professor, historian, author, A PeopleÕs History of the
United States

Family Members

   1. Joanne Barbara, wife of FDNY Asst. Chief of Dept. Gerard Barbara
   2. Gayle Barker, sister of William A. Karnes, WTC
   3. Michele Bergsohn, wife of Alvin Bergsohn, Cantor Fitzgerald
   4. Derrill Bodley, father of Deora Bodley, passenger on Flight 93
   5. Kathryn C. Bowden, sister of Thomas H. Bowden, Jr. WTC1, 104th
floor
   6. Janet Calia, wife of Dominick Calia, Cantor Fitzgerald, WTC1
   7. Maggie Cashman, wife of William Joseph Cashman, United Flight 93
   8. Lynne Castrianno Galante, sister of Leonard Castrianno, 1WTC,
105th floor
   9. Elza Chapa-McGowan, daughter of Rosemary Chapa, Pentagon
  10. Bruce De Cell, father-in-law of Mark Petrocelli North Tower, 92nd
floor
  11. Ralph D'Esposito, father of Michael DÕEsposito, WTC, 96th floor
  12. Loisanne Diehl, Surviving Spouse, Michael D. Diehl, WTC2, 90th
floor
  13. Jonathan M. Fisher, son of Dr. Gerald Paul "Geep" Fisher, Pentagon
  14. Michael J. Fox, brother of Jeffrey L. Fox, Tower 2, 89th floor
  15. Laurel A. Gay, sister of Peter A. Gay, AA Flight 11
  16. Ilene Golinsky, wife of Col. Ronald F. Golinski USA RET, Pentagon
  17. Kristen Hall, daughter of fallen firefighter Thomas Kuveikis 9/11
  18. Kurt D. Horning, father of Matthew D. Horning, WTC Tower One,
95th floor
  19. Jennifer W. Hunt, wife of William C. Hunt, Euro Brokers
  20. Lori, Jerry, and Beatrice Guadagno, sister and parents of Richard
Guadagno, Flight 93
  21. John Keating, son of Barbara Keating, passenger on AA Flight 11
  22. L. Russell Keene II, father of Russ Keene III, WTC2, 89th floor,
KBW
  23. Peter Kousoulis, sister died in WTC
  24. Barbara Krukowski-Rastelli, mother of William E. Krukowski, NYC
firefighter
  25. Laura and Ira Lassman, parents of Nicholas C. Lassman, died in
WTC, Tower One
  26. Johnny Lee, husband of Lorraine Greene
  27. Alicia LeGuillow, mother of Nestor A. Cintron III
  28. Francine Levine, sister of Adam K. Ruhalter, who died on 9/11
  29. Christopher Longing, husband of Laura M. Longing, WTC1
  30. Bob McIlvaine, father of Robert McIlvaine, WTC, Merrill Lynch
  31. Mary McWilliams, mother of FF Martin E. McWilliams- Engine 22
  32. Daryl J. Meehan, brother of Colleen Ann Barkow, WTC 1, 105th floor
  33. Elvira P. Murphy, wife of Patrick Murphy, WTC 1
  34. Natalee Pecorelli, sister of Thomas Pecorelli of Flight 11
  35. James L Perry, M.D and Patricia J. Perry, parents of John W.
Perry, Esq., NYPD Officer 9/11
  36. Elaine Saber, mother of Scott Saber
  37. Julie Scarpitta, mother of Michelle Scarpitta, WTC Building 2,
84th floor
  38. Kathleen A. Stanton, WTC South, Injured Survivor
  39. Elizabeth Turner, wife of Simon Turner, lost on 11th September
2001
  40. Joan W. Winton, mother of David Winton, WTC, South Tower, 89th
floor
  41. David Yancey, husband of Vicki Yancey, American Airlines Flight 77
 

Take action!

Send this information to your congresspeople and journalists, demanding
attention
Help New York citizens and 9/11 family members, beginning Thursday,
Oct. 28th, by signing an online petition in support of their formal
complaint to be filed with New York Attorney General Eliot Spitzer.
Petition at www.justicefor911.org
Stay informed here at www.911truth.org and get active in local groups
at www.septembereleventh.org


=========== DEUTSCH ===========

Erklärung zu den Ereignissen des 11.September 2001

Vollstandig in Englisch
www.911truth.org/article.php?story=20041026093059633
 
Eine Allianz von 100 prominenten Amerikanern und 40 Familienmitgliedern
der Todesopfer des 11.September hat die Veröffentlichung einer
Erklärung angekündigt..
 
Die Erklärung verlangt eine sofortige unabhängige Untersuchung von
Anhaltspunkten die darauf hinweisen, dass hochgestellte
Regierungsmitglieder die Terroranschläge vom 11.9.2001 vorsätzlich
zugelassen haben.
 
Die Umfrage des anerkannten Meinungsforschungsunternehmens Zogby, hat
Ende August dieses Jahres feststellt dass fast 50% der New Yorker
Bürger von einer Verstrickung der US Regierung in die Terroranschläge
ausgehen., 66% fordern eine neue Untersuchung des Falles.
 
Die Erklärung der Allianz konzentriert sich auf 12 Hauptfragen :
verdächtige Finanztransaktionen u.a. an Tatverdächtige, ausländische
Geheimdienst-Vorwarnungen etc.
 
Gefordert wird u.a. die Einsetzung eines Untersuchungsausschusses in
New York unter dem Vorsitz von Generalstaatsanwalt Eliot Spitzer.
Die Liste der Unterzeichner schliesst Persönlichkeiten aus dem
öffentlichem Leben aus allen politischen Lagern ein.
 
Vollstandig in Englisch
www.911truth.org/article.php?story=20041026093059633

VOCE JUGOSLAVA / JUGOSLAVENSKI GLAS


Svakog utorka, od 14,00 do 14,30 sati, na Radio Città Aperta, i valu FM
88.9 za regiju Lazio, emisija
JUGOSLAVENSKI GLAS
Emisija je u direktnom prijenosu. Moze se pratiti  i preko  Interneta:
http://www.radiocittaperta.it
Kratke intervencije na telefon (0039) 06 4393512.  Emisija je
dvojezicna,  po potrebi i vremenu na raspolaganju.
Podrzite taj slobodni i nezavisni glas, kupujuci knjige, video kazete,
brosure, koje imamo na raspolaganju.
Pisite nam na jugocoord @ tiscali.it, ili fax  +39 06 4828957.
Trazimo zainteresirane za usvajanje na daljinu, t.j. djacke stipendije
za djecu prognanika. Odazovite se.
 

Ogni martedì dalle ore 14,00 alle 14,30,  
VOCE JUGOSLAVA  
su Radio Città Aperta, FM 88.9 per il Lazio. La trasmissione si può
seguire, come del resto anche le altre della radio, via Internet:
http://www.radiocittaperta.it
La trasmissione è bilingue (a seconda del tempo disponibile e della
necessità) ed in diretta. Brevi interventi allo 06 4393512.
Sostenete questa voce libera ed indipendente acquistando le video
cassette, i libri, i bollettini a nostra disposizione. Sono possibili
adozioni a distanza (borse di studio). Scriveteci all' email: jugocoord
@ tiscali.it, oppure tel/fax 06 4828957. 


Program - programma  26. X. 2004

1. Jucer, danas sutra, datumi ...da se ne zaboravi. 
    Kragujevac, grad Otpora i grad mucenik (1941. - 1945.). 
    Kragujevac, nakon NATO zlocina 1999.  
2. "Od Triglava do Vardara...".
 
   
1. Ieri, oggi, domani, date da non dimenticare.
    Kragujevac, città patriota e città martire.
    Kragujevac, città operaia, dopo la barbara aggressione NATO del
1999.  
2.  "Dal monte Triglav al fiume Vardar, dal Danubio al Mare
Adriatico...".