Informazione


IL BENPENSANTE

Imperversa ancora con le sue prediche, questo signore occidentale, propagandista dei punti di vista di Berlino e di Bruxelles.
Accusa di razzismo gli altri, ma vomita costantemente pregiudizi contro i serbi – intesi proprio come popolo, anzi \"etnia\", cioè razza – senza curarsi di andare completamente fuori tema. Addirittura per commentare i disservizi delle FS!
Ha scritto: 
<< La dissoluzione della Jugoslavia insegna. Dopo aver saccheggiato il paese, la dirigenza post-comunista, per non pagare il conto, ha scagliato serbi contro croati e quel che segue. >>
Sbagliato. Doveva scrivere:
<< La dissoluzione della Jugoslavia insegna. Dopo aver saccheggiato il paese, gli strozzini occidentali, per non pagare il conto, hanno scagliato tutti contro i serbi e quel che segue. >>
Allora l\'articolo, pur moralista e ipocrita (perché non spiega le ragioni prime dell\'immigrazione, cioè le guerre che lui e i suoi colleghi fomentano con i loro scritti), sarebbe stato quasi sottoscrivibile.
Ma è una vera e propria ossessione. Anche nei suoi diari di viaggio, nei suoi libri di montagna, ovunque, questa persona cita la Jugoslavia decine di volte. Usando la parola \"serbo\" sempre come dispregiativo. 

La paralisi bianca e l’uomo nero
di Paolo Rumiz, 26 Febbraio 2018

(a cura di Fabrizio e Andrea)




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(français / english / srpskohrvatski)

La souveraineté imaginaire du Kosovo

1) Le Kosovo, État croupion, a déjà 10 ans (Jean-Luc Mélenchon)

2) Beograd 20.2.2018., Округли сто о Косову и Метохији:
BRUSSELS UNITES THE ALBANIANS AND DIVIDES THE SERBSБРИСЕЛ УЈЕДИЊУЈЕ АЛБАНЦЕ А РАЗБИЈА СРБЕ
[dalla Tavola Rotonda tenuta a Belgrado il 20 p.v. sulla situazione in Kosmet / con VIDEO]


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Le Kosovo, État croupion, a déjà 10 ans

Jean-Luc Mélenchon

Mardi 20 février 2018

Le 17 février, c’était le 10ème anniversaire de la déclaration unilatérale d’indépendance du Kosovo. 10 ans plus tard, une grande partie de la communauté internationale ne reconnait pas cette déclaration d’indépendance. C’est le cas de 80 pays, par exemple de la Chine, la Russie, le Brésil, l’Inde, l’Espagne ou la Grèce. Mais aussi de l’Union européenne. Je veux revenir sur cet évènement car il a son importance dans la déstabilisation de l’ordre international dont nous subissons aujourd’hui les conséquences.

Le 23 mars 1999, l’OTAN décide de bombarder le territoire yougoslave et sa région du Kosovo. 13 000 morts pour la bonne cause ! Celle-ci était déstabilisée par une vague de violences entre Albanais et Serbes depuis 1996 en raison de l’action déstabilisatrice d’une organisation « nationaliste » kosovare, l’UCK et de la répression du gouvernement serbe qui s’en est suivie. Les États-Unis se sont alors érigés en défenseurs des minorités et du Bien pour justifier leur intervention militaire comme ils le feront plus tard dans le cas de l’Irak. Et comme ils le font partout. Comme ils le font pour prendre la main sur une zone. Ici il s’agissait de rayer de la carte l’influence politique de la Serbie. Bien sûr, il s’agissait essentiellement de propagande guerrière. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les conséquences de leurs bombardements. D’après l’association humanitaire Human Rights Watch, ils ont entrainé la mort de 528 civils, dont deux tiers de réfugiés kosovars, censés être protégés par l’intervention américaine. Les manipulations médiatiques pour camoufler des bombardements en « opération humanitaire » ont été largement analysées dans le livre de Serge Halimi et Dominique Vidal « L’opinion, ça se travaille ».

La guerre du Kosovo est un cas d’école de l’alignement médiatique sur les éléments de langage fournis par l’armée américaine. Les journaux atlantistes français se sont encore couverts de honte. Mais leurs méthodes de bourrage de crâne et de saturation de l’opinion par des manipulations est cependant efficace, il faut bien en convenir. Dix ans, après le lavage de cerveau tient ses effets : personne ne se rappelle de rien, le mot Kosovo a disparu du vocabulaire mémorisé. Les trafics d’organes prélevés sur les prisonniers par les héros libérateurs du Kosovo sont passé inaperçus, l’installation d’une base géante des USA dans l’État croupion n’a pas été commentée. La responsabilité des mafias albanaises protégées par le pouvoir dans ces trafics et quelques autres ne se discute pas. Et pas davantage n’ont été à la une les révélations de la présidente du Tribunal Pénal International révélant qu’elle avait été menacée par les voyous kosovars. Le Kosovo est presque une réussite parfaite des capacités de manipulation du soft power médiatique contemporain.

À l’époque, étant donnée l’asymétrie des forces, l’offensive de l’OTAN a rapidement mené au retrait de l’armée yougoslave. Le 10 juin 1999, le conseil de sécurité de l’ONU adopte à l’unanimité une résolution de compromis qui admet la présence de forces de l’OTAN au Kosovo avec des pouvoirs de police très importants mais dans le même temps réaffirme la souveraineté de la République yougoslave (qui deviendra la Serbie) sur sa province sud, le Kosovo. La présence militaire de l’OTAN est conçue dans la cadre d’un statut inédit de protectorat international provisoire. L’indépendance du Kosovo n’est pas envisagée. Elle ne pourrait pas être acceptée, en particulier par la Russie dont l’allié historique dans les Balkans est la Serbie. Blablabla. Tout cela sera foulé aux pieds et les habituels thuriféraires de « la communauté internationale » ont fermé leurs grandes bouches.

La situation a vite évolué. L’ONU rouvre ensuite les négociations sur le statut du Kosovo en 2006. Des vagues de violence télécommandées gâchaient opportunément le paysage. Les organisations « nationalistes » kosovares s’en donnaient à cœur joie. Le résultat de ces négociations est inacceptable pour la Serbie : c’est le plan Ahtisaari. Il propose de fait l’indépendance du Kosovo. Plus précisément, il propose tous les attributs de l’indépendance. L’ONU ne peut pas déclarer l’indépendance d’un État qui procède uniquement de deux actes : une déclaration et la reconnaissance par la communauté internationale.  Comme prévu, la résolution présentée devant le conseil de sécurité est cette fois refusée, du fait de l’opposition évidente de nombreux pays et notamment de la Chine et de la Russie. Qu’importe, les États-Unis ont décidé que leur protectorat devait se séparer de la Serbie. Ainsi, le 17 février 2008, le Parlement kosovar déclare unilatéralement son indépendance et sa sécession de la Serbie.

Cette indépendance est immédiatement reconnue par les États-Unis et leurs alliés. Ils trahissent donc la parole qu’ils avaient donné 9 ans plus tôt en votant la résolution reconnaissant la souveraineté de la Serbie sur le Kosovo. Bien sûr, la souveraineté du Kosovo est essentiellement imaginaire. 19 ans après 1999, les troupes de l’OTAN sont toujours présentes massivement au Kosovo qui dépend entièrement de cette présence pour son existence. L’enclave, privée de toutes ressources, n’en finit pas de plonger dans la misère : le taux de chômage chez les jeunes y atteint 60%. Le Kosovo n’existe pas. Cette enclave est ingouvernable et non viable.

Au plan des relations internationales, le résultat de cet épisode de l’Histoire est la rupture des règles sur lesquelles repose la confiance entre les puissances. La Chine et la Russie ne croient plus la parole américaine. C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, elles ne peuvent plus compter sur la simple bonne foi des États-Unis pour accepter des résolutions au Conseil de sécurité dès que le contenu permet une interprétation guerrière par les USA et leurs supplétifs. Le précédent du Kosovo a porté un coup au principe d’intangibilité des frontières en Europe, un pilier de la stabilité géopolitique sur notre continent. Dès lors, on comprend par exemple que le ministre des affaires étrangères russe y fasse référence pour justifier le rattachement de la Crimée à la Russie en 2014. Même si, à la différence des Américains et de leurs alliés, les russes n’ont bombardé personne en Crimée.

L’affaire du Kosovo est un exemple parmi d’autres de la façon dont les États-Unis, par leurs actions agressives, déstabilisent l’ordre international. Quant à notre pays, il ne peut pas, en étant dans l’OTAN, promouvoir le respect du droit international et de l’ONU comme cadre de dialogue entre les États. En redevenant indépendants, le moment venu, la France pourra au contraire contribuer à faire émerger le nouveau monde qu’il est urgent de faire naitre pour que la paix soit préservée. Un monde où les États-Unis auront été ramené à la raison.


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Beograd, utorak 20.2.2018.
u 11 sati u Svecanoj sali Doma Vojske Srbije, Brace Jugovica br.11

Округли сто о Косову и Метохији

Govore: Z. Jovanovic, M. Miladinovic, R. Radinovic, L. Kastratovic, S. Stojanovic, T. Petkovic
Organizuju: Beogradski Forum, Klub Generala i Admirala

Tutti i video della Tavola Rotonda sul Kosovo-Metohija tenuta a Belgrado il 20/2 u.s.:

Округли сто о Косову и Метохији, Београд, 20. фебруар 2018.
VIDEO: https://www.youtube.com/playlist?list=PLNUCvycbSX3wflGJUtchdb5ZS0GiOiIS8

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BRUSSELS UNITES THE ALBANIANS AND DIVIDES THE SERBS

Živadin Jovanović, President of the Belgrade Forum for a World of Equals
Intervention at the Round Table on Kosovo, held in Belgrade on Feb. 20, 2018.

United Nations Security Council Resolution 1244 (1999) guaranteeing sovereignty and territorial integrity of Serbia and the wide autonomy of Kosovo and Metohija within Serbia, is the highest binding legal document that obliges all members to this World Organization, including the member states of the EU, NATO, the OSCE, the OIC, the AU, and the EAU. Resolution 1244 is the only reliable basis and the framework for any negotiations concerning status. Owing to grave mistakes made by the former Serbian authorities, the UN system has produced certain damaging documents of advisory and non-binding character. It is vital that no similar or even greater mistakes are made either presently or in the future, which would make Serbia’s future position and prospects more difficult.

The single most important parameter is the Constitution of the Republic of Serbia. It is expected to be observed by all, and the relevant responsibility grows with the rising position of each of us in the society. Respect towards the country’s Constitution is the measure of the seriousness of the state, statesmen and citizens.

Trading’ Kosovo and Metohija for gaining EU membership is unacceptable, because the values concerned are not comparable. Membership is welcome, provided it is offered devoid of blackmails and ‘an exclusive membership fee’.

Having regard to all the experiences so far it is clear that any guarantees of the EU for any future agreements or solutions concerning Serbia could not be trustworthy. EU has been initiating agreements in which the rights of Serbia are but a bait, luring Serbia to consent and sign, whereas the true goal is to establish Serbia’s obligationsin favour of the other side and, thus, gain foothold for endless blackmails using unique “argument”: ‘If you want EU membership!’ The only implemented provisions of the UNSC Resolution 1244 are those in the interest of the Albanians, and none of those which guarantee the rights of the Serbs and of Serbia. Serbia has fulfilled all of her obligations stemming from the EU sponsored Brussels Agreement of 2013, whereas the Albanians failed to observe the only one they pledged to – the establishment of the Community of the Serbian Municipalities. The EULEX was accepted as being ‘status-neutral’, but in reality this Mission was and remains the key instrument for the establishment of an illegitimate quasi-state on a part of the territory of Serbia. It is shadowed by unsolved serious suspicions of corruptive behaviour of its staff. The resulting mistrust may only be neutralized through the implementation of unfulfilled obligations towards Serbia and the Serbs, together with genuine impartiality, identifying and prosecuting those responsible for perpetrated crimes against the Serbs.

Under the negotiations thus far, Serbia has gone above and beyond in granting concessions to Prishtina and the West and, in return, was not given as little as a minimal protection of her rights and interests. Belgrade should be wise enough to infer proper conclusions from this practice.. It should not involve in any new arrangement or obligation, least of all enter any new ‘legally binding agreement’ for so long until the implementation of all obligations towards Serbia and the Serbian people, including free and safe return of almost 250,000 persons expelled in an ethnic cleansing episode. What kind of normalization would it be without having it conditioned with the safe return of a quarter million of expelled persons?

A legally binding agreement would be used for the accelerated creation of Greater Albania. While remaining outside the UN, Kosovo could hardly unite with Albania, as it is not a subject of international law. Another obstacle is its formally being under the mandate of the UN under UNSCR 1244.

For Serbia, the status of the Province of Kosovo and Metohijais a vital issue which will be open for so long as the negotiations produce a just and selfsustainable solution, as set forth under UNSCResolution 1244. None has the right to blackmail Serbia by means of setting any deadline, or to impose solutions tailor-made to meet their owngeopolitical interests..

Serbia’s obligation and invested efforts to ensure the basic human rights of the Serbian people in Kosovo and Metohija, such as personal security, freedom of movement, and inviolability of property rights - enjoy full support of citizens. This obligation, together with duty to ensure observance of the status and inalienable rights of the Serbian Orthodox Church,neitherlessennor eliminate the essential interest, which is - the status of the Province in line with UNSC Resolution 1244 and the Serbian Constitution. 

We find unacceptable both indifference, and indulging the malicious propaganda which touts that Kosovo and Metohija is but a burden Serbia should get rid of, and soon, so to enable her economy and the citizens embark onto the future, investments, development, better standard of living, higher population growth, almost a paradise on Earth. This all is yet another great deception. In any given country, standard of living and economy depend on the economic policy and systems, on the diversification of economic cooperation and the sources of investment, rather than on renouncing any vital national or state interest.

Germany exploits the present Brussels’ format of negotiations to promote its own and, to a certain degree, the general Western, geopolitical interests. This dovetails with the way of resolving the Albanian national question, the weakening of the Serbian people and Serbia as a political factor in the Balkans, and with the further deterioration of the unresolved Serbian national question. An important argument supporting this assessment is the actual prevention of 250,000 Serbs and other non-Albanians to exercise the universal right to free, safe and dignified return to their homes and properties. 

A just compromise is only possible within the framework of UNSCResolution 1244 and the Constitution of Serbia. It is neither a compromise nor a durable solution to let Pristina acquire independence, economic and natural wealth, membership to the UN, UNESCO, the OSCE, whereas all the Serbs get new divisions, new international borders instead of the administrative line, status of national minority, and a Community of Serbian Municipalities reduced to an NGO.

Having in mind all of the above, and in particular the altered circumstances, inadequate format of Brussels’ negotiations, the blackmailing dimension of tying the status of Kosovo and Metohija to Serbia’s EU membership negotiations, one can surmise that presently do not exist prerequisitesfor the reaching of a balanced, just, and durable solution. Such prerequisites may be created by involving Russia and China in the negotiations process and guaranties, that is, by reverting the process back to the United Nations, where it has originally begun.

Serbia has been and remains willing to search for a compromise, toharmonize interests, not in an uncharted space, but within the domain of principles and law. Serbia should not opt for exiting this domain of principles and law, and strive into the future better life by giving priority to injustice over the justice. The justice is a part of reality, too.

Proposing the so-called “two Germanies models” is an obvious attempt to justify and deceive, and an offer for “face saving”. However, the two situations, relevant international circumstances, their origins and root causes are incomparable. Serbia is not the former Federal Republic of Germany, nor is Kosovo and Metohija ir the former German Democratic Republic. Serbia has already expressed her opinion of Zeigmar Gabriel’s ultimatum. It would be better that both Europe and the EU state their position, and thus preclude Gabriel from his habit of proclaiming which parts of territories do or do not constitute the part of other states. Let us recall this year is 80th  year of the Munich Agreement?


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БРИСЕЛ УЈЕДИЊУЈЕ АЛБАНЦЕ А РАЗБИЈА СРБЕ

Живадин Јовановић, председник Београдског форума за свет равноправних
Из Излагања на Округлом столу о Косову и Метохији, Београд, 20. фебруар 2018.

- Резолуција СБ УН 1244 је најважнији опште-обавезујући правни докуменат који обавезује све чланице светске организације укључујућу чланице ЕУ, НАТО, ОЕБС-а, ОИК, АУ, ЕАУ. Резолуција СБ 1244 је једина поуздана основа и оквир свих преговора о статусу. Услед озбиљних грешака ранијих српских власти, из система УН проистекли су и неки неповољни докуменати  саветодавног, необавезујућег карактера. Изузетно је битно да се данас и убудуће не чине сличне или веће грешке које би отежале положај и перспективе Србије у будућности.

- Најважнији параметар је Устав Републике Србије. Очекује се да га сви поштују а одговорност за то расте са положајем свакога од нас у друштву. Однос према Уставу је мера озбиљности државе, државника и грађана.

- «Погодба» - Косово и Метохија за чланство у ЕУ није прихватљива јер се ради о вредностима које нису упоредиве. Чланство – да, али без уцена и «уникатне чланарине».

- Гаранције ЕУ, за било какве будуће договоре или решења, за Србију, нису кредибилне. Пракса показује да Запад и ЕУ иницирају споразуме у којима су права Србије само мамац да их прихвати и потпише, а прави циљ да утврди обавезе Србије у корист друге стране и да на тај начин добије основ за бескрајне уцене:  „Ако желите чланство!“ Из резолуције СБ 1244 извршене су само оне одредбе које су од интереса за Албанце, није извршена ни једна одредба којима се гарантују права Срба и Србије. Из Бриселског споразума од 2013 Србија је извршила све своје обавезе, Албанци нису извршили једину обавезу коју су прихватили – успостављање Заједнице српских општина. ЕУЛЕКС је прихваћен као «статусно неутралан», у стварности, био је и остао кључни инструмент за успостављање илегалне квази државе на делу територије Србије. Остале су нерасветљене озбиљне сумње на коруптивно понашање.  Само извршавање неизвршених обавеза према Србима и Србији, истинска непристрастност, откривање и процесуирање одговорних за злочине према Србима - могу отклонити неповерење.

- Србија је у досадашњим преговорима отишла предалеко у давању уступака Приштини и Западу а за узврат није добила ни приближну заштиту својих права и интереса. Београд из тога треба да извуче одговарајуће закључке. Не треба да иде у нове договоре и обавезе нити у нови «правно обавезујући споразум» све док се претходно не изврше све обавезе према Србији и српском народу укључујући слободан и безбедан повратак 250.000 протераних у етничком чишћењу. Каква би то била нормализација без услова за безбедан повратак четврт милиона протераних људи?

- Правно обавезујући споразум био би искоришћен за убрзање стварања Велике Албаније. Док је изван ОУН Косово тешко може да се уједини са Албанијом, јер није субјекат међународног права. Сметњу представља и што је формално под мандатом УН-а.

- Статус Косова и Метохије за Србију је кључно питање које је отворено дотле док се преговорима не дође до праведног и одрживог решења како је предвиђено резолуцијом СБ УН 1244. Нико нема права да Србију уцењује постављањем било каквих рокова, или да намеће решења по мери својих геополитичких интереса.

- Обавеза и напори Србије да се обезбеде основна људска права припадника српског народа на Косову и Метохији као што су лична безбедност, слобода кретања, неприкосновеност права својине - уживају пуну подршку грађана. То и старање да се обезбеди поштовање статуса и неотуђивих права Српске православне цркве не умањују нити отклањају суштински интерес а то је - статус Покрајине у складу са резолуцијом СБ 1244 и уставом Србије.  

- Нису прихватљиви индиферентност или чак и повлађивање злонамерној пропаганди да је Косово и Метохија тег о врату Србије којег треба што пре да се ослободи да би њена економија и грађани кренули у будућност, инвестиције, развој, виши животни стандард, већи природни прираштај, готово, у земаљски рај. То је још једна велика обмана. Животни стандард и економија у свакој земљи зависе од економске политике и система, од диверсификације економске сарадње и извора инвестиција а не од одустајања од било којег виталног националног или државног интереса.

- Досадашњи формат преговора Немачка користи за промоцију својих, а делом и западних геополитичких интереса уопште. У то се уклапа и начин решавања албанског националног питања, слабљење српског народа и Србије као политичког фактора на Балкану, као и даље заоштравање нерешеног српског националног питања. Важан аргумент у прилог овакве оцене представља фактичко спречавање 250.000 Срба и других неалбанаца да остваре универзално право на слободан, безбедан и достојанствен повратак у своје домове и на своја имања.  

- Праведни компромис је могућ само у оквиру резолуције СБ 1244 и Устава Србије. Није компромис нити одрживо решење да Приштина добије независност, економска и природна богатства, чланство у УН, УНЕСКО, ОЕБС, а Срби међународну на место административне границе, статус припадника националне мањине и НВО ЗСО.

- Имајући у виду изнето а посебно измењене услове, неадекватност формата преговора, уцењивачку димензију везивања статуса Косова и Метохије са преговорима о чланству Србије у ЕУ данас не постоје услови за постизање уравнотеженог, праведног и одрживог решења. Ти услови се могу створити укључивањем Русије и Кине, односно, враћањем процеса у Уједињене нације у коме је и започет.

- Србија је била и остаје спремна да тражи компромис,  усклађује интересе, али не на  брисаном, неозначеном простору, већ на терену принципа и права. Не би смела да напушта терен права и принципа и да, хита у будућност бољег живота дајући предност неправу у односу на право. И право је део стварности.

- Нуђење тзв. модела две Немачке  је провидан покушај оправдавања, заваравања и понуда за „чувања образа“. Ситуације, међународне околности , порекло и корени проблема, нису упоредиви. Србија није бивша СРН, нити Косово и Метохија бивша НДР. Србија је већ рекла шта мисли о ултиматуму Габриела Зигмара. Било би добро када би и Евроопа и ЕУ изразили своја мишљења пре него што Зигмару не би прешло у навику  да проглашава који делови чине, а који не чине територије других земаља. Да ли је икоме потребан омаж Минхенском споразуму 80 година после?





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(english / deutsch / italiano)

Continuano le fake news della RAI sulla Siria

1) Double Standards (GFP 27.2.2018)
2) Curdi e siriani ad Afrin: «Siamo una cosa sola» (N. Brauns / jW, 22.2.2018)


Sul tema della disinformazione strategica mirata allo squartamento dello Stato siriano si veda anche il video-editoriale di Mario Albanesi:
IL PIANO ELETTORALE (23 feb 2018) – Se l\'esito della consultazione elettorale consentirà ad una forza politica di governare, uno dei principali compiti sarà quello di limitare lo strapotere disinformativo delle reti televisive, in particolare di quelle Rai...
VIDEO: https://www.youtube.com/watch?v=dMoA2lMJjaQ


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ORIG.: Doppelte Standards (GFP 26.2.2018)
Mit verstärktem politischen Druck sucht die Bundesregierung sich im Machtkampf um Syrien wieder stärker ins Spiel zu bringen. Im Hinblick auf die furchtbare Lage der Zivilbevölkerung in der heftig umkämpften Ost-Ghouta - einem Gebiet im Osten von Damaskus, das von einem Al Qaida-Ableger und mehreren mit diesem kooperierenden Milizen beherrscht wird - wirft Bundeskanzlerin Angela Merkel Syriens Regierung einen Krieg \"nicht gegen Terroristen\", sondern gegen die \"eigene Bevölkerung\" vor. Ähnliche Vorwürfe waren bereits während der Schlacht zur Rückeroberung Ost-Aleppos laut geworden; ihr fielen laut westlichen Quellen beinahe 3.500 Zivilisten zum Opfer. Vergleichbare Vorwürfe gegen die mit Beteiligung der Bundeswehr Krieg führende Anti-IS-Koalition sind niemals laut geworden; in deren Schlachten zur Rückeroberung Raqqas und Mossuls kamen mindestens 1.400 bzw. 9.000 bis 11.000 Zivilisten zu Tode. Doppelte Standards sind typisch für Politik und Medien in Kriege involvierter Staaten - vor allem dann, wenn diese vor einer politischen Niederlage stehen...



Double Standards

02/26/2018

DAMASCUS/BERLIN (Own report) - The German government is increasing political pressure, in its efforts to have a greater impact in the power struggle over Syria. In view of the civilian population\'s horrible situation in the fiercely contested region of East Ghouta, east of Damascus - dominated by an al Qaida offshoot and several of its allied militias - Chancellor Merkel is accusing the Syrian government of not waging a war \"on terrorists\" but on \"its own people.\" Similar accusations have already been raised during the battle to retake Eastern Aleppo, which cost the lives of nearly 3,500 civilians, according to western sources. No such accusations, however, were raised against the anti-IS war coalition - with German Bundeswehr participation - when at least 1,400, and from 9000 - 11,000 civilians were killed in their battles to retake Raqqa and Mosul respectively. Double standards are typical for politicians and media in countries involved in war, particularly when they face defeat.

Battle for East Ghouta

The German government is again attempting to have a greater impact on the power struggle over Syria, in view of the battles to take control of the region of East Ghouta, east and northeast of Damascus - with a current population of 400,000 according to UN estimates. The region is one of the so-called de-escalation zones agreed to by Russia, Iran and Turkey in the Astana talks last year. Attempts to salvage the de-escalation and prevent a new flare-up of the war in East Ghouta had been thwarted by Salafist jihadi militia on November, 14, 2017. Following a series of minor skirmishes, they launched attacks on government troop positions in Harasta, a town near the border of the Salafist-controlled region. The battles have not calmed since. The East Ghouta Salafist jihadi militias have begun to arbitrarily launch rockets into residential areas of Damascus, killing dozens of civilians. These attacks target particularly residential districts with Christian populations, apparently to spread fear and panic among non-Muslims.[1]

A Repressive Regime

In view of the ongoing shelling of residential areas of Damascus, the Syrian government has recently launched a military offensive to retake East Ghouta, once and for all. The four militias in control of the area include Hayat Tahrir al Sham directly allied with al Qaida and Ahrar al Sham, which has been cooperating with al Qaida for several years and has been explicitly classified by the German judiciary as a terrorist organization.[2] A third militia, Failaq al Rahman, has officially disassociated itself from al Qaida but, according to reports, has concluded a de-facto military alliance with al Qaida\'s offshoots, to have a better standing within the power struggles among East Ghouta\'s various Salafist jihadi militias. Even experts, who adamantly oppose the government of Bashar al Assad, admit that the militias in East Ghouta have established a repressive regime, enforcing \"conservative religious laws\" and brutally suppressing any opposition. It has been confirmed repeatedly -also by Amnesty International - that the militias are preventing civilians from fleeing, even arresting people for simply asking permission to leave the war zone.[3]

East Aleppo, Mosul, Raqqa, East Ghouta

From the military point of view, the situation in East Ghouta strongly resembles those in the re-capturing of East Aleppo, (June - December 2016), Mosul (October 2016 - July 2017) and Raqqa (June - October 2017). The combat, including the air raids, are carried out in a densely urbanized area. This is a horrible situation for the civilian population. According to the Atlantic Council - an organization above suspicion of harboring prejudices toward the Assad government or of being pro-Russian - nearly 3,500 civilians were killed during Aleppo\'s recapture.[4] The battle for Mosul, according to comprehensive research by the Associated Press (AP) news agency - also not under suspicion of being anti-western - at least between 9,000 and 11,000 civilians were killed. AP has proof that at least 3,200 had been killed directly by the US-led anti-IS coalition attacks; another two-thirds were killed by the IS, and one-third had been caught in crossfire, so it is unclear, who had actually fired the fatal shots.[5] It can be assumed that not all of these victims had been killed by IS. Iraqi Prime Minister Haidar al Abadi has admitted to only 1,260 civilians killed, whereas the anti-IS coalition admits to a mere 326 victims of their attacks.[6] In the battle over Raqqa, according to the organization Airwars - which relies on multiple documented cases and whose claims are occasionally criticized for being too low - at least 1,400 civilians had been killed by anti-IS coalition bombing, in the period only between June and October 2017.. Of the estimated 2,878 civilians killed throughout that year by anti-IS coalition\'s air raids, more than 80 percent had been killed in Raqqa.[7]

\"Worse than Auschwitz\"

Berlin had strongly criticized the battle for East Aleppo and is now condemning the battle for East Ghouta.. German Chancellor Angela Merkel, for example, has accused the governments of Russia, Iran and Syria of responsibility for \"targeted [!] attacks on civilians and hospitals.\" \"Those crimes must be punished.\"[8] German media, at the time, were referring to \"genocide,\" a \"war of annihilation\" - and even trivializing the Shoah - claiming \"Aleppo is worse than Auschwitz.\"[9] Accusations concerning the civilian victims of air raids on Mosul and Raqqa were completely absent in western politics and in a large segment of western media. If punishment would be demanded for these war crimes, the commanders of the Bundeswehr and the German government, itself, would also be charged - after all, the German Air Force\'s reconnaissance flights were playing a central role in the bombings carried out by the anti-IS coalition. Only now, in reference to the battles for control of East Ghouta, the accusation of a \"war of annihilation\" is again in use.[10] In the Bundestag last week, Chancellor Merkel literally alleged that in Syria, \"it is not a case of a regime combating terrorists, but its own people.\"[11] Merkel and France\'s President Emmanuel Macron wrote a letter to Russia\'s President Vladimir Putin - which included the allegation that in East Ghouta, the civilian population is being submitted \"to an unprecedented level of violence.\" Moscow should therefore \"talk sense to the Syrian government.\"[12]

Facing Defeat

Double standards are typical for politicians and the media in countries involved in wars, particularly when they face, like Germany, political defeat. Since the summer of 2011, Berlin has been banking on the Assad government\'s overthrow. In 2012, in cooperation with representatives of the Syrian opposition in exile, it established a road map for Syria\'s post-war reorganization, entitled \"The Day After.\"[13] Within the framework of the international \"Friends of Syria\" alliance, Germany has been participating in preparations for the aftermath of Assad\'s overthrow.[14] In August 2012, the German Federal Intelligence Service (BND) bragged of having made an \"important contribution ... to the overthrow of the Assad regime.\"[15] The anticipated overthrow, however, did not materialize. German hopes received their first heavy blow with Russia\'s intervention in the early fall 2015.[16] The run-up to the ultimate defeat came with the battle for Aleppo, when Russia assumed the leadership in ceasefire negotiations and a solution to the war.[17] If the Syrian government can recapture East Ghouta, it would further consolidate its position, whereas the Berlin-supported segment of the (exiled) opposition would possibly face ultimate defeat. Berlin\'s current political offensive against Syria is an attempt to turn the tide at the last moment.

 

[1] Gudrun Harrer: Assads Topgeneral vor den Toren der Ost-Ghouta. derstandard.at 21.02.2018. Aron Lund: Understanding Eastern Ghouta in Syria. irinnews.org 23.02.2018.

[2] See also Steinmeier und das Oberlandesgericht and Terrorunterstützer.

[3] Aron Lund: Understanding Eastern Ghouta in Syria. irinnews.org 23.02.2018.

[4] Atlantic Council: Breaking Aleppo. Washington, February 2017.

[5] Susannah George: Mosul is a graveyard: Final IS battle kills 9,000 civilians. apnews.com 21.12.2017.

[6] AP: Death toll in Mosul 10 times higher than acknowledged. cbsnews.com 20.12.2017.

[7] Julian Borger: US air wars under Trump: increasingly indiscriminate, increasingly opaque. theguardian.com 23.01.2018.

[8] Dirk Hoeren: Merkel verurteilt Russland und Iran.. bild.de 16.12.2016.

[9] See also Die Schlacht um Mossul (IV).

[10] Vernichtungskrieg. Frankfurter Allgemeine Zeitung 21.02.2018.

[11] Massaker unverzüglich beenden. bundesregierung.de 23.02.2018.

[12] Merkel und Macron schreiben an Putin. bundesregierung.de 25.02.2018.

[13] See also The Day After and The Day After (IV).

[14] See also Im Rebellengebiet.

[15] Christoph Reuter, Raniah Salloum: Das Rätsel des deutschen Spionage-Schiffs. spiegel.de 20.08.2012.

[16] See also Consistencies in Western Hegemonic Policy.

[17] See also Aleppo, Mossul und die Hegemonie and Vom Krisenstaat zum Gestalter.



=== 2 ===

ORIG.: »Wir sind eins« (von Nick Brauns, jW 22.2.2018)
Erdogan zeigt sich von Ankunft syrischer Regierungstruppen unbeeindruckt und setzt Angriffe auf Afrin fort...
https://www.jungewelt.de/artikel/327809.wir-sind-eins.html?sstr=Acilciler



Curdi e siriani ad Afrin: «Siamo una cosa sola»

di Nick Brauns *
23 febbraio 2018

Erdogan si mostra indifferente rispetto all’arrivo di truppe governative siriane e continua gli attacchi contro Afrin.

Dopo un attacco dell’esercito turco contro un convoglio con combattenti di una milizia leale al regime di Damasco, nel nord della Siria si delinea un nuovo inasprimento della guerra su più fronti. Il convoglio era in viaggio verso il cantone autogovernato di Afrin, sotto attacco da parte dell’esercito turco da oltre un mese, quando è stato colpito dal fuoco di un drone e dell’artiglieria della Turchia. Due miliziani sono rimasti uccisi e altri tre feriti.

Dopo giorni di trattative, le Unità di Difesa del Popolo curde YPG e il governo di Damasco martedì hanno raggiunto un patto militare. «Le nostre forze hanno chiesto al governo e all’esercito della Siria di assolvere i loro compiti nella difesa di Afrin e dei confini», ha dichiarato il portavoce delle YPG Nuri Mahmud. «Su questa base il governo siriano ha inviato unità militari nella regione. Queste unità verranno posizione sulla linea di confine e difenderanno i confini e l’integrità territoriale della Siria». Da parte del governo siriano finora non ci sono dichiarazioni ufficiali sull’accordo.

Le truppe siriane inviate a Afrin sono unità delle Forze di Difesa Nazionali (NDF). Queste unità di volontari sono state formate nel 2012 da Damasco per il sostegno dell’esercito arabo-siriano. Le unità NDF ora arrivate a Afrin, provengono dalle città di Nubl e Zahra. Durante un assedio da parte del Fronte Al-Nusra, propaggine siriana di Al-Qaeda, durato quasi quattro anni, queste enclave sciite erano state rifornite da Afrin attraverso un corridoio tenuto aperto dalle YPG. Filmati diffusi attraverso i social network mostrano i miliziani dopo il loro arrivo a Afrin città. Insieme a sostenitori delle YPG sventolano bandiere dello Stato siriano e i gagliardetti triangolari delle YPG. Contemporaneamente risuonano grida di «Siamo una cosa sola».

Il Presidente turco Recep Tayyip Erdogan si è mostrato indifferente rispetto a immagini del genere. Le milizie dopo «spari di avvertimento» sarebbero tornate indietro, ha sostenuto martedì a Ankara in spregio della verità. L’argomento con questo sarebbe «per ora chiuso», ha dichiarato Erdogan secondo il quotidiano Zeitung Hürriyet D\aily News. Nel corso di telefonate all’inizio della settimana con il Presidente russo Vladimir Putin e il Presidente iraniano Hassan Rohani a questo proposito ci sarebbe stato accordo. «Purtroppo alcuni gruppi terroristici in solitaria a volte prendono decisioni sbagliate. Questo è inaccettabile. Dovranno pagare per questo.» Con questo Erdogan assume la posizione che le NDF sarebbero forze irregolari che agiscono senza essersi accordate con il governo siriano, ovverosia i suoi alleati russi e iraniani.

Il Presidente turco non sbaglia del tutto. Perché come all’inizio della settimana ha riferito il portale di notizie The Region facendo riferimento a rappresentanti curdi di Afrin, il governo russo avrebbe cercato di impedire il patto militare tra Damasco e Afrin per non mettere in pericolo l’accordo di Astana. Lì la Turchia è coinvolta come forza di garanzia per una soluzione pacifica in Siria. Per riguardo a Mosca quindi evidentemente il punto decisivo della difesa antiaerea è stato tenuto fuori dall’accordo tra Damasco e Afrin. Perché un controllo dello spazio aereo tecnicamente sarebbe possibile solo attraverso l’esercito ufficiale siriano (SAA) e in accordo con l’esercito russo. Dopo che l’artiglieria turca nella notte ha sparato contro il territorio della città di Afrin, l’aviazione mercoledì ha di nuovo effettuato attacchi aerei contro la città capoluogo di Jindires.

Intanto il capo della milizia «Resistenza Siriana – Fronte Popolare della Provincia di Iskenderun», Mihrac Ural, ha dichiarato di andare con un «secondo contingente» di truppe governative a Afrin. Come misura di creazione di fiducia nei confronti delle YPG, Ural ha pubblicato vecchie foto che lo ritraggono in Siria insieme al fondatore del PKK Abdullah Öcalan. Solo la scorsa settimana Ankara aveva messo Ural, il segretario dell’organizzazione turca marxista-leninista «Acilciler», che dal golpe militare del 1980 vive in Siria, sulla lista dei «terroristi» più ricercati e aveva messo sulla sua testa una taglia di quattro milioni di Lire turche (ca. 850.000 Euro) per la sua cattura. Obiettivo dichiarato di Ural, alevita arabo di Hatay, è la liberazione di quella provincia siriana annessa dalla Turchia alla fine degli anni ‘30.

da https://www.jungewelt.de/

Traduzione di Rete Kurdistan





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(hrvatskosrpski / italiano)

Da Torino la nostra replica al revanscismo e al presidente Mattarella

1) Grande successo del nostro Convegno del 10 Febbraio
2) Comunicato di replica al presidente della Repubblica Mattarella
3) „Dan Sjećanja“ 2018. (V. Kapuralin za SRP)
4) Un Ricordo da aggiustare (F. Salmoni per Maverick)


=== 1 ===

Grande successo del nostro Convegno del 10 Febbraio

Si è tenuto il giorno sabato 10 febbraio 2018 a Torino, presso il caffé Basaglia, in via Mantova 34 dalle ore 10 alle 17.30, il convegno nazionale: GIORNO DEL RICORDO, UN BILANCIO

 

Grande il successo del nostro Convegno, che ha visto un centinaio di partecipanti, con relazioni di alto livello ed i saluti, tra gli altri, del vicesindaco Montanari, presente in sala con un assessore, e della presidente nazionale dell\'ANPI Carla Nespolo. Tutte le informazioni e materiali disponibili alla pagina:

https://www.cnj.it/home/it/iniziative/8732-torino-10-2-2018-giorno-del-ricordo,-un-bilancio.html


=== 2 ===

https://www.cnj.it/home/it/valori/8746-in-risposta-al-presidente-della-repubblica-sergio-mattarella.html

Replica al presidente della Repubblica Mattarella da relatori e organizzatori del Convegno Giorno del Ricordo. Un bilancio  tenuto a Torino il 10 febbraio 2018

 

Comunicato di replica al presidente della Repubblica Mattarella


I partecipanti e gli organizzatori del convegno “Giorno del ricordo. Un bilancio”, tenutosi a Torino, in data odierna, hanno preso atto del comunicato del Presidente della Repubblica, sulla ricorrenza del 10 febbraio, inserita, con legge del Parlamento del marzo 2004, nel calendario delle feste civili della Repubblica. Le parole del massimo rappresentante dello Stato lasciano sgomenti, in quanto non sono altro che una riproposizione degli elementi portanti della propaganda revanscista e persino neofascista. Accanto al vago riconoscimento “della durissima occupazione nazi-fascista di queste terre”, il presidente Mattarella addita ancora una volta alla pubblica ignominia il “comunismo titino”, mostrando una inaccettabile ignoranza dei fatti storici (ci limitiamo per esempio a far notare che a fianco delle formazioni partigiane jugoslave erano combattenti di ogni nazionalità e i loro nemici, prima ancora che gli italiani o i nazisti tedeschi, furono soprattutto croati “ustascia”, sloveni “domobrani”, serbi “cetnizi”, albanesi “balisti”) e accodandosi a uno sciagurato uso politico della storia: una storia manipolata, riscritta, e “adattata” ad usum.  

I risultati del nostro convegno, al contrario, confermano, una volta di più, che quella delle “foibe” è una vera e propria operazione politico-culturale, sancita dalla istituzione della legge n. 92/2004, che ha contribuito a creare o consolidare un senso comune anticomunista, e anti-antifascista, volto a favorire una memoria contraffatta. In essa, invece di una necessaria, indispensabile, sebbene tardiva assunzione di responsabilità del Paese, si è propalata ancora una volta l’autoassolutoria idea della innocenza degli “italiani brava gente”. Dal capo dello Stato ci saremmo aspettati ben altra cautela, tanto più in una fase storico-politica che vede un sempre più invadente e pericoloso ritorno del fascismo (più che del “nazionalismo”, come prudentemente scrive Mattarella).

Sebbene emarginati, e spesso impediti di parlare, ostacolati nella stessa attività di ricerca, gli studiosi e le studiose, oggi presenti a Torino, assieme agli organizzatori e a coloro che ci hanno testimoniato la loro vicinanza e solidarietà si impegnano a continuare il proprio lavoro, con lo studio, la testimonianza, la divulgazione. E la lotta.  

Torino, 10 febbraio 2018



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Il Presidente della Repubblica, Sergio Mattarella, ha rilasciato la seguente dichiarazione (fonte):

«Il Giorno del Ricordo è stato istituito dal Parlamento per ricordare una pagina angosciosa che ha vissuto il nostro Paese nel Novecento. Una tragedia provocata da una pianificata volontà di epurazione su base etnica e nazionalistica. 

Le foibe, con il loro carico di morte, di crudeltà inaudite, di violenza ingiustificata e ingiustificabile, sono il simbolo tragico di un capitolo di storia, ancora poco conosciuto e talvolta addirittura incompreso, che racconta la grande sofferenza delle popolazioni istriane, fiumane, dalmate e giuliane.

Alla durissima occupazione nazi-fascista di queste terre, nelle quali un tempo convivevano popoli, culture, religioni diverse, seguì la violenza del comunismo titino, che scatenò su italiani inermi la rappresaglia, per un tempo molto lungo: dal 1943 al 1945. 

Anche le foibe e l\'esodo forzato furono il frutto avvelenato del nazionalismo esasperato e della ideologia totalitaria che hanno caratterizzato molti decenni nel secolo scorso. 

I danni del nazionalismo estremista, dell\'odio etnico, razziale e religioso si sono perpetuati, anche in anni a noi molto più vicini, nei Balcani, generando guerre fratricide, stragi e violenze disumane. 

L\'Unione Europea è nata per contrapporre ai totalitarismi e ai nazionalismi del Novecento una prospettiva di pace, di crescita comune, nella democrazia e nella libertà. 

Oggi, grazie anche all\'Unione Europea, in quelle zone martoriate, si sviluppano dialogo, collaborazione, amicizia tra popoli e stati. 

Le stragi, le violenze, le sofferenze patite dagli esuli giuliani, istriani, fiumani e dalmati non possono essere dimenticate, sminuite o rimosse. Esse fanno parte, a pieno titolo, della storia nazionale e ne rappresentano un capitolo incancellabile, che ci ammonisce sui gravissimi rischi del nazionalismo estremo, dell\'odio etnico, della violenza ideologica eretta a sistema ».

Roma, 9 febbraio 2018



=== 3 ===

http://www.srp.hr/dan-sjecanja-2018/

„Dan Sjećanja“ 2018.

U talijanskom parlamentu je 30. III. 2004. godine, pod pritiskom desničarskih i podrškom partija lijevog centra, izglasan i time ustanovljen „Dan sjećanja“ 10. februara. Tim činom se u Italiji ustoličila nova praksa, kojom se pristup iseljavanju u Italiju većeg broja Talijana, ali i Slavena, sa oslobođenih područja Istre, Dalmacije i otoka nakon II. svjetskog. rata i pripajanja tih dijelova Jugoslaviji izdvaja od dotadašnje percepcije i daje mu drugu dimenziju. U prošlosti bi se na  talijanskoj strani problem aktualizirao kada bi se pojavila politička potreba za njim. Određivanjem 10. februara „Danom sjećanja“ povod je institucionaliziran i on više nije prepušten političkoj potrebi trenutka, već se on permanentno nudi kao argument, čime si je institut vlasti zadao obavezu i ona vlast koja ne bude posegnula za njim riskira da bude doživljena kao nepatriotska.

U ovogodišnjoj izjavi talijanski predsjednik Sergio Mattarella, odaslao je poruke u kojima je neizazvano, nepoticano, često i opstruirano iseljavanje iz tog razdoblja, okarakterizirao kao planirano etničko i nacionalno čišćenje.

Razdoblje od 1943. do 1945. na ovim prostorima Mattarella vidi kao nasilje nad nemoćnim talijanima od strane „titinovog komunizma“.

http://www.quirinale.it/elementi/Continua.aspx?tipo=Comunicato&key=3539

Tim povodom, nevladina neprofitna organizacija Coordinamento Nazionale per la Jugoslavia (CNJ) organizirala je 10. februara u Torinu konferenciju na kojoj je nastupilo veći broj povjesničara i politologa.

https://www.cnj.it/home/it/iniziative/8732-torino-10-2-2018-giorno-del-ricordo,-un-bilancio.html

Učesnici tribine ocijenili su riječi šefa države kao izvlačenje argumenata revanšističke pa čak i neofašističke propagande. Osim nejasnog priznanja „oštre okupacije tih krajeva“, učesnici tribine zamjeraju Mattarelli izraz „titinov komunizam“ kao neprihvatljivo ignoriranje povijesnih činjenica u funkciji dnevno-političke upotrebe.

Rezultati tribine, ističu učesnici, da je slučaj „fojbi“ sadržan u zakonu no. 92/2004 doprinesao stvaranju i konsolidaciji općeg dojma usmjerenog ka antikomunizmu i anti-antifašizmu čiji je cilj favoriziranje krivotvorene memorije umjesto neophodne, iako zakašnjele, preuzete odgovornosti.

Od čelnika države očekujemo mnogo više opreza, osobito u povijesno-političkoj fazi u kojoj je povratak fašizma sve izvjesniji i opasniji od „nacionalizma“, kako Mattarella oprezno piše, stoji u izjavi.

Suočeni s problemom otežanih mogućnosti istraživanja i nastupanja, znanstvenici prisutni na tribini u Torinu, zajedno s organizatorima i onima koji ih podržavaju, obavezali su se nastaviti sa započetim radom, istraživanjem, svjedočenjem, otkrićima i borbom.

11. II. 2018.

Vladimir Kapuralin


=== 4 ===

https://mavericknews.wordpress.com/2018/02/12/un-ricordo-da-aggiustare/#more-1472

Un Ricordo da aggiustare

12 febbraio 2018

Mentre nel Paese si scatena la retorica nazionalista sulle foibe ed è in pieno sviluppo il ritorno alla superficie delle organizzazioni nazifasciste,  un Convegno di studi a Torino cerca di ristabilire la verità storica e si impegna a contrastare la contraffazione della memoria. Il “comunicato di replica” a Mattarella.
di Fabrizio Salmoni
E’ il momento di reagire alla disinformazione storica e di andare all’attacco!” Questa l’esortazione che chiude il convegno sul Giorno del Ricordo, tenutosi al Caffè Basaglia di Torino, sabato 10 febbraio. Organizzato dal Coordinamento nazionale per la Jugoslavia Onlus e dalla rivista Historia Magistra con l’adesione  dell’Anppia (Ass. Naz. perseguitati Politici Italiani antifascisti ) nazionale e sezioni di Torino, Genova e Cuneo, delle sezioni Anpi di Grugliasco (To), Chivasso (To), Montebelluna (Tv), Casale Monferrato (Al), Avigliana (To), Bassi Viganò (Mi), Valle Elvo e Serra (Bl); dell’Aicvas (Ass. Italiana Combattenti Volontari Antifascisti di Spagna), del Cvig (Centro Iniziative Verità e Giustizia), del Centro Studi Italia-Cuba, del Comitato di lotta antifascista per la memoria storica di Parma, della redazione di Marx.21.it, di Casa Rossa Milano, del Comitato contro la guerra di Milano.
Tra gli altri, hanno inviato messaggi di saluto i partigiani Bruno Segre, Lidia Menapace, Italo Poma e il vicesindaco di Torino Guido Montanari.
Nella lunga lista di adesioni, spicca l’assenza dell’Anpi provinciale, un segnale inquietante che si spiega con le esitazioni espresse a livello nazionale dopo i fatti di Macerata. Sala piccola ma strapiena con gente fuori.
Sotto accusa la legge 92/2004 che istituisce il Giorno del Ricordo su basi storiche molto discutibili e su pressione degli ambienti dei profughi istriani e neofascisti.  Una pressione facilitata dalle tendenze revisioniste maturate fin dagli anni Novanta all’interno della sinistra istituzionale. Vengono infatti ricordate le incursioni degli ex Pci Luciano Violante (a Trieste nel 1991 con Fini per sdoganare “i ragazzi di Salò) e le  successive dichiarazioni di Fassino e di Napolitano nella stessa direzione.
Perchè è necessario secondo gli organizzatori un chiarimento sulla verità delle foibe e sul vergognoso cover up istituzionale che “rovescia” i termini della “questione del confine orientale” a favore delle destre? Sostanzialmente perchè quella che è diventata in brevissimo tempo una vulgata nazionalista, vittimistica e “politicamente corretta” sui cosiddetti “martiri delle foibe” cancella i tanti elementi discordanti dalla verità ufficiale: In particolare, il contesto e le cause:
  1. L’aggressione contro Jugoslavia, Grecia e Albania scatenata dal regime fascista, che vide atrocità e stragi contro la popolazione civile;
  2. La complicità dei collaborazionisti italiani di Istria e Dalmazia nella repressione della Resistenza jugoslava;
  3. La vittoriosa controffensiva finale del 1945 dei partigiani jugoslavi (nei cui ranghi erano confluiti dopo l’8 settembre 1943, 40.000 soldati italiani) contro i fascisti croati, serbi e albanesi che coinvolse direttamente nella “resa dei conti” l’Istria e i tanti collaborazionisti italiani (e quanti rimasero indifferenti alla repressione contro i patrioti jugoslavi) i quali furono colpiti duramente e cacciati (un esodo che andrebbe spiegato all’interno della logica dei Trattati di pace, imposti a una nazione sconfitta).
Tre elementi di una verità storica che quella istituzionale tende a cancellare insieme alle responsabilità italiane nelle vicende che segnarono gli ultimi mesi e l’immediato dopoguerra con la ridefinizione dei confini: l’Italia perdeva l’Istria perchè aveva perso la guerra da essa stessa scatenata.
Sulle foibe, gli interventi al convegno hanno contestato i numeri accreditati delle vittime, “cifre iperboliche, inventate dagli ambienti neofascisti” come risulta dalla ricerca dell‘Istituto Friulano per la Storia del Movimento di Liberazione condotta negli anni 1987-1992 su tutti gli archivi civili e militari e alleati disponibili,  pubblicata dall’Anpi regionale: su 71 foibe esplorate sul territorio di Gorizia e Trieste, le salme recuperate furono 464, identificate e suddivise tra civili, partigiani, militi della Rsi, forze varie di polizia, militari italiani e tedeschi. Cifre che troverebbero conferma nel numero delle decorazioni (341) riconosciute alle vittime in base alla legge 92/2004, “la gran parte appartenenti alle forze armate dell’Italia fascista, che per di più avevano giurato fedeltà a Hitler, o a personale politico fascista, molti dei quali veri e propri criminali di guerra” come riferisce Umberto Lorenzoni, presidente Anpi di Treviso. Solo alcuni dei tanti che sfuggirono alla meritata punizione – ha sottolineato Davide Conti, autore de Gli uomini di Mussolini (Einaudi 2017) – perchè alla fine del conflitto, “nessuno di quelli denunciati da Jugoslavia, Grecia, Albania, Francia e dagli angloamericani venne mai processato in Italia o epurato o estradato o giudicato da tribunali internazionali, ma tutti furono reinseriti negli apparati dello stato postfascista con ruoli di primo piano” con conseguenze nefaste per gli equilibri democratici dell’Italia negli annni a venire. Alcuni di quei personaggi ebbero ancora un ruolo nei tentativi autoritari e nella strategia della tensione.
Lo storico Angelo D’Orsi ha relazionato sulle tappe della “lunga marcia del revisionismo” storico, un processo favorito dai politici di destra e di sinistra, dagli spazi concessi ad una ristretta cerchia culturale di destra, da un Pci (e successivi derivati) sempre voglioso di riciclarsi come Partito della Nazione. I risultati (e i danni alla memoria storica) nel tempo sono stati, sempre secondo D’Orsi, “il giudizio riduttivo sulla Resistenza, essenzialmente quella comunista, la sua banalizzazzione,…l’equiparazione tra repubblichini e combattenti per la libertà, la retorica della memoria condivisa...”, tutti elementi di un “rovesciamento dei fatti” che portano alla legge suddetta voluta e firmata da Napolitano e alla successiva conseguente strumentalizzazione fascista. Una versione accettata e diffusa da tutti i media e poco contrastata in sede politica e culturale da chi dovrebbe farlo, che fa anche danni collaterali, per esempio nell’istruzione dove – secondo Alessandra Kersevan, insegnante e ricercatrice – “insegnanti e storici sono indotti a un’autocensura che costringe a non parlare, a non approfondire, a un silenzioso ‘lasciar fare’ accettando le versioni imposte“.Una denuncia, quella della Kersevan che porta alla proposta di una lettera al Ministro dell’Istruzione in cui si chiede che “rievocazioni e iniziative nella scuola non siano lasciate in modo esclusivo alle associazioni degli esuli istriani, fiumani e dalmati…; che vengano fatti conoscere i crimini dell’Italia fascista nei Balcani…; che vengano ricordate e commemorate le migliaia di soldati italiani…che scelsero di combattere…con la Resistenza jugoslava… e in 20.000 morirono riscattando l’Italia dall’onta in cui il fascismo l’aveva gettata“.
Il Convegno ha avuto luogo in una giornata difficile ma esemplare per le tante manifestazioni nel Paese a cominciare da quella di Macerata ove la pressione dei partecipanti ha fatto annullare il divieto del il ministro Minniti e costretto il suo partito a convocarne un altra in differita per non infastidire troppo l’elettorato “moderato”. Una retromarcia che ha coinvolto l’apparato Cgil e il corpaccio istituzionale dell’Anpi nazionale, ancora dominato dal Pd. Incertezze e contraddizioni interne da tempo latenti che la virulenza attuale dell’offensiva delle destre sta facendo emergere in tutta la sua forza, tra una pratica antifascista attiva e popolare e un antifascismo commemorativo istituzionale sempre più simbolico, compromissivo e inefficace. Contraddizioni forse rivelatrici di un duro confronto politico interno tra le due anime. Non a caso, il gradito messaggio al Convegno della Presidente Carla Nespolo esorta a riportare in superficie la verità storica sulle foibe e sul contesto che ne fu causa e fa il paio con le sue dure parole di condanna della deriva fascista della Lega e conseguente richiesta al ministro Minniti di “sciogliere le forze politiche dichiaratamente fasciste…perchè la Costituzione parla chiaro” (La Stampa).  Un messaggio che tutti gli antifascisti aspettavano da tempo.
Come atto finale, il Convegno ha indirizzato un “Comunicato di replica” al Presidente Mattarella in cui si critica il Comunicato del Quirinale (...) sulla ricorrenza del 10 febbraio e si contesta la contraffazione della memoria. Un segnale incoraggiante da una comunità di studiosi e docenti che si affianca organicamente alle proteste popolari di questi giorni. Nel complesso, un segnale allarmante per tutta la classe politica. (F.S. 12.2.2018)
 



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