Informazione
http://balkans.courriers.info/article26014.html
Mardi 11 novembre, la Russie s’est abstenue lors du vote au Conseil de sécurité sur une prolongation de la mission de l’EUFOR en Bosnie-Herzégovine. L’ambassadeur russe à l’ONU, Vitali Tchourkine, a même souligné qu’il était « inacceptable que la Bosnie-Herzégovine soit poussée vers l’UE depuis l’étranger ».
Le ministère allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, à de son côté salué la prolongation du mandat de la mission militaire européenne. « Il est regrettable que, cette fois, tous les membres du Conseil de sécurité n’aient pas activement soutenu cette mission. La Grande-Bretagne et l’Allemagne ont récemment lancé une initiative pour engager des réformes visant à accélérer le rapprochement de la Bosnie-Herzégovine avec l’Union européenne. Mais l’avenir de ce pays est entre les mains de ses dirigeants », a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères à Berlin, faisant allusion à la déclaration de Vitali Tchourkine. Lors du débat sur la mission de l’EUFOR, l’ambassadeur russe a ainsi déclaré que l’on avait déjà constaté « de mauvais exemples, où l’intégration d’un pays à l’UE s’est faite sur la base de pressions exercées depuis l’étranger ».
Un signal clair à la Russie
Pour Tobias Flessenkemper, expert des Balkans auprès du Centre international de formation européenne (CIFE) à Nice, le vote de la Russie est le signe que ce pays a le potentiel d’influencer positivement ou négativement le cours des événements dans les Balkans. « Même en tenant compte de cette dernière abstention, jusqu’à maintenant, la Russie a soutenu le chemin de la Bosnie-Herzégovine vers l’Union européenne. Les déclarations récentes de Vitali Tchourkine sont un motif de préoccupation, puisque ce soutien ne semble plus d’actualité. Cependant, une grande majorité des citoyens de Bosnie-Herzégovine, les autorités, les partis qui négocient actuellement pour former un nouveau gouvernement et même le Président de Republika Srpska, Milorad Dodik, ont soutenu le processus d’intégration européenne. Je ne vois aucune raison de dramatiser », a-t-il déclaré. De fait, la Russie aurait pu amorcer un changement radical de stratégie sur le dossier bosnien, si elle avait mis son veto au Conseil de sécurité, pour empêcher la poursuite de la mission EUFOR.
La nouvelle stratégie russe
Pour Erich Rathfelder, correspondant à Sarajevo du journal allemand Tageszeitung, ces derniers évènements au sein du Conseil de sécurité et les déclarations de l’ambassadeur russe Tchourkine indiquent que la Russie n’est plus seulement de manière rhétorique « du côté serbe ». « La Russie soutient de plus en plus clairement Milorad Dodik sur les questions de politique intérieure. Cela pourrait favoriser à long terme une sécession de la Republika Srpska ».
Pour Erich Rathfelder, les embryons de cette nouvelle stratégie sont apparus dès 2011 et 2012, avant le début de la crise en Ukraine. En mai 2014, des désaccords sont apparus au sein du PIC (Peace Implementation Council – Conseil pour la mise en œuvre de la paix). La Russie n’était plus prête à garantir la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Bosnie-Herzégovine. « Le fait que la Russie ait refusé de soutenir la prolongation du mandat de l’EUFOR est une continuation de cette nouvelle stratégie », explique-t-il. « La Russie a brisé le consensus qui existait au sein du PIC depuis la signature des Accords de Dayton. Cette stratégie vise à contrôler la Republika Srspka et la Serbie et à les pousser à s’interroger sur le bien fondé d’une intégration à l’Union européenne », affirme-t-il.
La réponse de l’Ouest
Tobias Flessenkemper croit néanmoins que les déclarations de Vitali Tchourkine vont avoir l’effet inverse. Les ministres des Affaires étrangères de l’UE discuteront cette semaine de l’initiative germano-britannique pour une nouvelle approche du processus d’intégration de la Bosnie-Herzégovine. Selon lui, il est nécessaire que l’Accord de stabilisation et d’association (ASA) prenne rapidement effet et que des réformes économiques et sociales soient rapidement appliquées en Bosnie-Herzégovine. « Je pense que les déclarations de Vitali Tchourkine vont favoriser l’initiative germano-britannique. Cela crée désormais une pression sur les épaules des chefs de la diplomatie européenne. Il est devenu encore plus clair que la Bosnie-Herzégovine a besoin de davantage de soutien pour intégrer l’UE ».
Erich Rathefelder souligne pourtant que les pays occidentaux sont toujours divisés sur la question bosnienne, tout comme sur les initiatives de la Russie dans les Balkans. « J’espère que l’initiative germano-britannique va renforcer le rôle de l’Allemagne en Bosnie-Herzégovine. J’espère que cette question ne sera plus abordée d’une façon aussi légère ».
http://www.pandoratv.it/?p=1951
VIDEO: http://www.youtube.com/watch?v=_PTKcXm-UmE ***
Altri link:
Ucraina, la tregua è carta straccia. Arrivano i panzer tedeschi (Marco Santopadre, 15 Settembre 2014)
On September 1, 2014, the German federal government resolved to deliver weapons to the war zone in Iraq. In doing so, it took another major step towards reviving German great-power politics. The media were absolutely delighted with the decision…
One year ago today German President Joachim Gauck announced that Germany once again is striving to be a world power…
http://italian.ruvr.ru/news/2014_10_04/La-Germania-pronta-ad-inviare-in-Ucraina-200-paracadutisti-2600/
http://www.german-foreign-policy.com/de/fulltext/58964
The German government is preparing the Bundeswehr's deployment in Ukraine. According to reports, in support of the OSCE mission to monitor the ceasefire between the Kiev government troops and the insurgents, up to 200 German soldiers will be deployed in the East of the country. The decision on the deployment is expected to be made in the next few days. Following armament and training operations in Iraq and the airlift to West Africa, this would be the third intervention to have been decided in a short period time. It shows that the German government is increasingly willing to supplement its foreign policy activities with military engagement. With the planned Bundeswehr deployment in Ukraine, Germany wants to reinforce its direct control over military activities inside that country. It would be the first combat mission of German troops since WW II on territory of the former Soviet Union, placing German soldiers close to the Russian border. This goes hand in hand with considerations to actually place the state administration under German-European tutelage…
http://www.german-foreign-policy.com/en/fulltext/58789
http://www.wsws.org/en/articles/2014/05/08/gree-m08.html
https://it.groups.yahoo.com/neo/groups/crj-mailinglist/conversations/messages/8036
1914-2014, German "Left" Ready for War
https://it.groups.yahoo.com/neo/groups/crj-mailinglist/conversations/messages/8038
Lo "spazio vitale tedesco" (1995)
https://it.groups.yahoo.com/neo/groups/crj-mailinglist/conversations/messages/8022
Merkel’s “Hun Speech” against Russia
By Johannes Stern
19 November 2014
On July 27, 1900, Kaiser Wilhelm II delivered his infamous “Hun speech” (Hunnenrede) in Bremerhaven. Addressing the German East Asian Expeditionary Corps, which was traveling to China to bloodily suppress the Boxer Rebellion, he said that the German army had been “built up during thirty years of faithful, peaceful labour.”
He accused China of “upsetting international law” and having “mocked the sacredness of the envoy, the duties of hospitality in a way unheard of in world history.”
Finally, he made the infamous threat: “Just as a thousand years ago the Huns under their King Attila made a name for themselves, one that even today makes them seem mighty in history and legend, so may the name German be affirmed by you in such a way in China that no Chinese will ever again dare to look cross-eyed at a German.”
Angela Merkel’s frontal attack on Russia following the G20 summit in Australia brings to mind this type of German great power politics. Like Wilhelm II, Merkel is trying to present her own aggressive conduct as a means of defending peace and international law and brand her antagonist, in this case Russia, as the aggressor.
At a meeting in Sydney at the Lowy Institute for International Policy, a think tank run by the multibillionaire Frank Lowy, the fourth-richest Australian, Merkel accused Russian President Vladimir Putin of “trampling on international law,” refusing to “resolve the conflict by democratic and constitutional means,” relying on the “supposed right of the strongest,” and “following the horrors of two world wars and the Cold War…placing in question the entire European order of peace.”
That is “exactly what took place with the illegal annexation of Crimea by Russia at the beginning of this year,” the chancellor declared. Now this finds “its continuation in Russian efforts to destabilize eastern Ukraine in Donetsk and Luhansk.” Russia had violated “the territorial integrity and state sovereignty of Ukraine,” and thinks in terms of “spheres of influence,” she added.
In her remarks, the chancellor spoke against a “military solution to the crisis.” However, her accusations against Russia not only lacked any foundation, the logic of her reproach implied that Moscow’s alleged breach of international law and peace led to a military confrontation. Her bellicose remarks were designed to further poison the political climate in order to create the conditions for encircling Russia militarily and pushing it into a corner.
The G20 summit was dominated by an intensification of the conflict with Russia. The heads of government of the imperialist powers closed ranks against Putin and provoked his early departure. In her speech, Merkel demonstratively stood behind the anti-Russian government in Ukraine and promised she would support it “politically and economically.”
With this backing, Ukrainian President Petro Poroshenko on the same day threatened Russia with “total war.” Speaking on the fringes of a commemoration in Bratislava, he said, “I have no fear of war with Russian troops and we have prepared for such a scenario of total war. Our army is currently in a much better state than five months ago and we have support from all over the world.”
The German government is playing a central role in the aggressive moves against Moscow. In February, in close collaboration with the US government and fascist forces, it organised a putsch against then-Ukrainian President Viktor Yanukovych after he had refused to sign an Association Agreement with the European Union. Since then, it has worked closely with the Poroshenko regime and is playing a leading a role in the military encirclement of Russia.
Last weekend, Die Welt reported that the Bundeswehr (Armed Forces) will lead a rapid reaction force that NATO is establishing in response to the Ukraine conflict for the purpose of sending a “clear signal to Moscow.” In September, Germany took the lead in aerial patrols over the Baltic States and has doubled its contingent in the Multinational Northeast Corps in Szczecin, Poland. Last week, German NATO General Hans-Lothar Domröse raised the threat of major NATO maneuvers on the Russian border.
For years, NATO has been extending its borders eastwards and is now making increasingly open preparations for war against Russia. But in Sydney, Merkel accused Russia of systematically extending its area of influence. “It’s not just about Ukraine, it’s about Moldavia, it’s about Georgia, she declared. “If this continues, one can ask: Does one need to add Serbia, must one add the western Balkan states? In any case, that is not compatible with our values.”
“We also know from history that one cannot afford to be too peaceable, that one has to take seriously what is said and listen carefully,” Merkel continued.
When a German head of government says history teaches that Germany must not be “too peaceable” towards Russia, one’s blood runs cold. Seventy-five years ago, Germany carried out a war of annihilation against the Soviet Union, committing the most heinous crimes in the history of mankind, including the Holocaust, the murder of 27 million Soviet citizens, and the devastation of large parts of Eastern Europe.
Merkel said the conflict over Ukraine “cannot be solved militarily,” but then added threateningly, “On the other hand, one can’t say: Because we cannot solve the crisis militarily, we can’t solve it at all.”
The German ruling elite is very aware of its historic crimes. In Sydney, Merkel recalled “the beginning of World War II 75 years ago and the collapse of civilization embodied in the Shoah, and even more importantly, the beginning of the First World War 100 years ago.”
But all her talk of “diplomatic” and “not military” solutions, supposedly based on the experiences of the wars of the last century, is crude propaganda. It is aimed at cloaking the return of Germany to militarism and great power politics, and, as under Kaiser Wilhelm, portraying an aggressive war policy as the “politics of peace.”
With reference to the “primal catastrophe of the 20th century,” Merkel asked, “Ladies and gentlemen, how could things go so far between peoples and nations one hundred years ago?”
Merkel should know. Today, just as then, the ruthless and aggressive imperialist policies of the great powers threaten to cast humanity into the abyss. The Western-orchestrated putsch in Ukraine, the military encirclement of Russia and China, and the renewed war in the Middle East have turned the world into a powder keg that could explode at any time. As in the first half of the last century, Germany is now playing an especially aggressive role.
Big business candidate wins Romanian presidential elections
By Andrei Tudora and Tina Zamfir
20 November 2014
The Romanian Social Democratic government is in political crisis following the decisive defeat of premier Victor Ponta in the second round of the presidential elections by the conservative candidate Klaus Iohannis.
Ponta was widely tipped as a possible successor to outgoing President Traian Basescu, having finished the first round with a 10 percent lead over Iohannis. According to opinion polls prior to the runoff, Ponta was the clear favorite. Final results gave Iohannis 54,5 percent, with Ponta getting 45,5 percent of the votes. At the November 16 runoff, turnout was 64 percent with more people showing up to vote than in the first round. Ponta lost the vote in traditional social democratic strongholds and in the major cities, including the capital Bucharest, as well as Constanta and Iasi.
The clear rebuff that Ponta received at the polls represents a rejection of the policies he has pursued in the last two years. Installed in 2012, in the wake of a political crisis created by mass anti-austerity protests, the Social Democratic-led government stands out as one of the most right-wing and viciously anti-working class administrations in the last 25 years.
With the close cooperation of the unions, Ponta became the champion of the austerity program of the EU and the IMF, overseeing mass layoffs and wage freezes in the public sector, privatizations of state companies and the systematic destruction of the remnants of the welfare state, including the privatization of the country's health system.
With the beginning of the Ukrainian crisis and the NATO encirclement of Russia, Ponta became an ardent proponent of the transformation of Romania into a militarized outpost of NATO and a center for further provocations against Russia, sparing no expense in the process. His presidential campaign was used to further increase tensions in the region, encouraging the former Soviet republic of Moldova to speed up its European integration and vowing to become the president of a Greater Romania by 2018, by absorbing Moldova.
An immediate result of Romanian and EU intervention in Moldova has been the worsening of relations with the breakaway territory of Transnistria, which is supported by Russia. Transnistrian leader Evgheni Sevciuk was attacked earlier this month at Chisinau airport while attempting to board a flight to Moscow. Sevciuk’s bodyguards were detained by the assailants and handed over to Moldovan police, who also subjected his car to a “search for weapons”. The attack was claimed by the National Liberal Party of Moldova.
The essentially undemocratic character of the bourgeois election process was clearly evidenced by the virtual identity of the competing election platforms and by the complete disenfranchisement of the vast majority of the population.
Klaus the president elect, while attempting to pose as a nonaligned technocrat in the election campaign, openly represents the interests of big business and imperialism. Like the outgoing president Basescu, he is connected to European conservatives, and received the backing of Germany’s Chancellor Angela Merkel during the election campaign.
The 55-year-old Iohannis, a Transylvanian of German origin, began his political career in the 1990s, as a member of the right-wing Democratic Forum of Germans in Romania (FDGR). From 2000 onwards, he served as mayor of the city of Sibiu. The FDGR’s close relations with the pro-market National Liberal Party prompted the liberals to back Iohannis for the post of premier in 2009, cultivating his image as a technocrat and outsider in Bucharest politics. His bid was at the time rejected by President Basescu.
In February 2013, Iohannis was invited to join the National Liberal Party, which was at the time the junior partner of the Social Democrats in government. He was quickly elevated to the leadership of the party, becoming its president in June 2014. By then the Liberals were in opposition, and Iohannis led the party into an alliance with the conservative Liberal Democratic Party of former Prime Minister Emil Boc.
The two parties are set to merge in the coming period. Iohannis has already positioned himself as a staunch representative of the Romanian ruling class. Speaking of the “optimal position” occupied by Romania as a result of the military encirclement of Russia, his electoral program calls for an even greater US presence in Eastern Europe, “in the spirit of article 5 of the North Atlantic Treaty”, and for the increasing militarization of the country.
According to Iohannis, “The concentration of forces in the Baltic states and Poland is important, but in the new context, just as important is an increase of military presence in Romania and Bulgaria”, in order to “create an equilibrium between the Northern and Southern flanks in Eastern Europe”.
Romania will also increase its military spending, modernize the country’s armaments industry and increase the role of the secret services. This would, the future Romanian president argues, transform Romania into an “important landmark on the world geopolitical map, by becoming a provider of security on the regional field and consolidating its role as an operational basis for the main allies, including within the context of the antimissile defense system of the US, pending its integration into the NATO system.”
The new president will also step up the provocations concerning Moldova, vowing to gather all the factions of the bourgeoisie into a “national consensus”, to push for the European integration of Moldova. Highlighting the pernicious role that the EU is playing in stoking regional antagonisms, Iohannis says that counterpoising “reunification” and “[European] integration” is “faulty and useless”, the two being part of the same process.
http://www.german-foreign-policy.com/de/fulltext/58999
6 Novembre 2014
da kprf.ru | Traduzione dal russo di Mauro Gemma
Ai lavori del Congresso hanno preso parte 119 delegati di 17 partiti comunisti, riuniti nell'UPC-PCUS.
Quale luogo per lo svolgimento del XXXV Congresso non a caso è stata scelta la capitale della Bielorussia – la città-eroe Minsk. Proprio qui, dal 1 al 3 marzo del 1898 fu celebrato il primo congresso del Partito Operaio Socialdemocratico Russo.
Il forum di partito ha avuto luogo nella sala delle conferenze del nuovo edificio che ospita il Museo di storia della Grande Guerra Patriottica.
Un telegramma di saluto al Congresso è stato indirizzato dal presidente della Bielorussia A.G. Lukashenko, che è stato letto dal leader dei comunisti bielorussi I.V. Karpenko. I partecipanti all'assise hanno accolto questo saluto con grandi applausi.
Il rapporto introduttivo è stato presentato dal presidente del Consiglio Centrale dell'UPC-PCUS G.A. Zyuganov. Il rapporto della Commissione di Controllo è stato letto da A.V. Svird.
E' stata quindi data la parola al Primo segretario del CC del Partito Comunista di Ucraina P.N. Simonenko, che, non casualmente, è intervenuto immediatamente dopo la lettura dei rapporti introduttivi. La ragione sta nel fatto che gli avvenimenti politici in Ucraina hanno suscitato turbamento tra tutti i delegati del Congresso. Le questioni riguardanti l'Ucraina hanno trovato ampio spazio nelle relazioni e praticamente in tutti gli interventi dei delegati.
Piotr Nicolaevich con toni forti ha descritto il regime arrivato al potere in Ucraina, definendolo “filo-occidentale e fantoccio”. A suo parere, il territorio dell'Ucraina si è trasformato in un banco di prova per l'imperialismo americano, che sta attuando la pratica del “caos controllato”.
Il governo di Kiev sottopone il proprio popolo a una psicosi senza precedenti, e ha scatenato la guerra civile.
Una campagna di menzogne e calunnie contro il Partito Comunista nei mezzi di comunicazione, arresti illegali e persino la tortura e l'assassinio di comunisti – tutto è diventato realtà nell'Ucraina di oggi. Il PCU è stato espulso dal parlamento, contro di esso è stato imbastito un infame processo. P. Simonenko ha affermato che le nuove autorità dell'Ucraina non nascondono neppure i loro piani di vietare persino l'ideologia comunista.
Ma, nonostante tutte le persecuzioni e le vessazioni, i comunisti ucraini non hanno perso il loro ottimismo storico. Essi sono convinti della giustezza della propria causa. Sanno che la vittoria sarà comunque loro.
P.N. Simonenko ha ringraziato i delegati del Congresso per l'aiuto e la solidarietà. Vede la reale minaccia della diffusione del fascismo e dello scatenamento di un'altra guerra mondiale. A questo proposito, egli ha fatto appello all'organizzazione di un possente movimento antifascista. A suo parere, tutte le forze progressiste antifasciste dovrebbero unirsi attorno ai comunisti.
Petro Nikolaevich ha anche proposto l'istituzione da parte dell'UPC-PCUS di un centro di studi del marxismo-leninismo. Secondo lui, c'è un disperato bisogno di un'analisi sistematica e di indagine in merito ai processi che avvengono nel mondo contemporaneo, a partire proprio da un punto di vista marxista.
La parola è stata data subito dopo al presidente del Partito dei Comunisti della Repubblica di Moldova V.N. Voronin, che ha parlato anche della necessità di consolidare le forze comuniste nello spazio post-sovietico. In questo processo di unificazione ha voluto mettere in rilievo il ruolo fondamentale dei comunisti russi e personalmente di G.A. Zyuganov.
L'oratore ha descritto la situazione nell'attuale Moldavia. Dopo il colpo di stato, che ha visto i comunisti per la seconda volta all'opposizione, la vita dei cittadini comuni nel paese è peggiorata in modo drammatico. Ora i cittadini fanno un paragone tra la vita di oggi e quella del tempo dei comunisti. E il paragone non è certo favorevole al governo anticomunista.
E' intervenuto poi il leader dei comunisti georgiani T.I. Pipya. Egli sostiene che la Georgia ha vissuto l'avvento al potere dei fascisti ancora prima dell'Ucraina, se si ha presente il periodo del regime del presidente Saakashvili. A suo parere, anche oggi sul paese incombe la minaccia del ritorno al potere dei fascisti.
In Georgia è ancora in vigore il divieto dei simboli comunisti. Allo stesso tempo Pipya ha voluto evidenziare la crescita di sentimenti anti-americani nella società, mentre con sempre maggiore speranza e fiducia i cittadini comuni si rivolgono ai comunisti.
T.I. Pipya è convinto che solo l'unione fraterna con la Russia permetterà al suo paese e a tutti gli altri paesi, ex repubbliche dell'URSS, di sottrarsi alla dipendenza coloniale. Un compito unificante oggi è svolto dall'UPC-PCUS. Egli ha anche valorizzato il ruolo importante nell'integrazione dei nostri popoli svolto dal Presidente della Bielorussia A.N. Lukashenko.
Il Segretario del CC del Partito Comunista della Lituania C.I. Visotsky ha illustrato la situazione nel proprio paese. L'industria è stata distrutta, e la popolazione si è impoverita. I giovani se ne vanno per trovare lavoro in Europa. “I comunisti lituani sono condannati all'illegalità, le autorità li perseguitano e li buttano in carcere”. Ma i comunisti non si arrendono e continuano la loro lotta, nonostante tutti i divieti.
Dalla tribuna è intervenuto poi il leader dei comunisti della Transnistria O.O. Khorzhan, che ha letto un telegramma di saluto al Congresso del presidente della Repubblica Moldava della Transnistria E.V. Shevchuk. Egli ha descritto i buoni risultati economici della repubblica, affermando che questa esperienza va attentamente studiata e messa in pratica.
E' seguito l'intervento del Presidente del CC del Partito Comunista dell'Azerbaigian R.M.Kurbanov che ha parlato della necessità di rafforzare la disciplina di partito che, a suo parere, permette di unire attorno ad esso nuove forze sane. Nel 2015 in Azerbaigian si svolgeranno le elezioni parlamentari. Già da oggi i comunisti azerbaigiani si stanno preparando alla campagna elettorale. Nonostante la limitatezza dei mezzi, pensano di ottenere comunque dei seggi nel nuovo parlamento.
A nome dell'Unione Internazionale delle organizzazioni giovanili comuniste che partecipano al Congresso, è intervenuto I.I. Gasipov. Egli ha parlato del lavoro per il rafforzamento dei processi di integrazione tra i nostri popoli, condotto sulla base della linea della Gioventù comunista (Komsomol). A conclusione del suo intervento, Gasipov ha espresso la speranza che già il prossimo Congresso dell'UPC-PCUS possa svolgersi nella capitale di una rinnovata Unione delle repubbliche socialiste sorelle – Mosca.
Ha parlato anche il rappresentante del Partito Comunista di Ucraina, noto dirigente di partito ancora in epoca sovietica, G.K. Kriuchkov, affermando la necessità di nuovi orizzonti nella teoria rivoluzionaria e ha sostenuto l'idea avanzata da Simonenko della creazione presso l'UPC-PCUS di un centro di studi del marxismo-leninismo. Secondo Kriuchkov, il distacco della pratica dalla teoria conduce inevitabilmente al fallimento. Per questo, occorre occuparsi attivamente non solo del lavoro pratico, ma anche di quello teorico.
Le conclusioni sono state tratte dal Presidente del CC dell'UPC-PCUS G.A. Zyuganov. Egli ha assicurato che il sostegno alla sorella Ucraina da parte dell'UPC-PCUS sarà totale e il più deciso. I delegati del Congresso hanno salutato questa affermazione del Presidente con grandi applausi.
Zyuganov ha anche proposto di dedicare un Plenum del Consiglio dell'UPC-PCUS alla preparazione al 100° anniversario della Grande Rivoluzione Socialista di Ottobre.
(Il Congresso si è concluso con l'approvazione dei documenti congressuali, di alcune risoluzioni e con l'elezione del nuovo Consiglio Centrale dell'organizzazione, con la riconferma alla presidenza di Zyuganov e di Taysaev a primo vicesegretario, ndt)
Il saluto di Aleksandr Lukashenko al Congresso
skpkpss.ru
“Voi difendete i diritti e gli interessi della gente semplice”
Il Presidente della Repubblica di Bielorussia A.G. Lukashenko ha inviato il seguente telegramma di saluto ai delegati del XXXV Congresso dell'UPC-PCUS:
Stimati compagni!
Saluto con calore i delegati e gli ospiti del XXXV Congresso dell'Unione dei Partiti Comunisti-Partito Comunista dell'Unione Sovietica in terra bielorussa.
Non è casuale che come luogo di svolgimento di questa iniziativa sia stata scelta la città di Minsk. Proprio qui nel 1898 fu celebrato il I Congresso del Partito Operaio Socialdemocratico Russo, da cui hanno avuto origine i partiti dei lavoratori dell'Unione Sovietica multinazionale.
Oggi i vostri partiti come nel passato sostengono l'idea della via socialista di sviluppo, difendono i diritti e gli interessi della gente semplice.
Belarus si è sempre pronunciata a favore del rafforzamento della partnership strategica con paesi e popoli, della collaborazione negli ambiti economici e sociali, del rafforzamento dei legami scientifici e umanitari.
Sono convinto che i vostri sforzi continueranno ad essere indirizzati nella lotta per la giustizia e l'uguaglianza delle opportunità, per una vita pacifica, per il diritto delle nazioni all'autodeterminazione.
Auguro ai delegati e agli ospiti del Congresso un proficuo lavoro, e buona salute a voi, ai vostri parenti e vicini.
Aleksandr Lukashenko
Le foto del congresso
http://kprf.ru/photoreports/266.html
НКПЈ ПОЗДРАВИЛА РАД 16. СВЕТСКОГ САМИТА КОМУНИСТИЧКИХ И РАДНИЧКИХ ПАРТИЈА
Нова комунистичка партија Југославије (НКПЈ) поздравила је посебним писмом учеснике 16. Светског самита комунистичких и радничких партија који се ове године одржава у Еквадору.
НКПЈ је у писмо које је упутила учесницима 16. Светског самита комунистичких и радничких партија изразила жаљење што због материјалне ситуације у којој се налази Партија, као и велика већина грађана земље, није могла присуствовати овом значајном састанку који окупља комунистичке и радничке партије из целог света, што је иначе по први пут од када се овај најзанчајнији самит Међународног комунистичког покрета у години организује, да НКПЈ не присуствује. НКПЈ је узела учешће на свих петнаест до сада организованих састанака.
НКПЈ је у поруци нагласила да је: "ситуација у којој се наша земља налази катастрофална и по многима безизлазна, али да за комунисте не постоји немогуће и не постоје несавладиве препреке. И поред све већих пресија против наших чланова, напада и претњи ми данас са оптимизмом гледамо у будућност", додајући да се : "Светски комунистички покрет скоро три деценије налази се у тешкој идеолошкој, организационој и материјалној кризи. Суочени смо са ситуацијом да су многе комунистичке партије прешле на линију ревизионизма и опортунизма. Одрекле су се класне борбе и прешле на пут тзв. социјалног дијалога и компромиса са владајућом класом. Радничке маршеве и штрајкове заменили су удобним посланичким фотељама и кабинетима. Ипак „Ма какве биле тешкоће и могући привремени неуспеси или таласи контрареволуције - коначна победа пролетаријата је неизбежна“ (В.И.Лењин). Пред нама је да се улазак у последњу фазу капитализма-империјализам, као неизбежна пресудна борба између буржоазије и пролетаријата, усмери у корист пролетаријата, за опстанак човечанства и човечности".
НКПЈ је на крају изразила велику наду "да ће овакви састанци и надаље доприносити оснажењу револуционарних марксистичко-лењинистичких принципа у нашем заједничком деловању, као и у деловању наших партија понаособ. Настављамио даље борбу за свет социјалне правде и прогреса, за свет социјализма/комунизма, пожелевши нове успехе у борби до коначне победе".
Секретаријат НКПЈ,
Београд,
14.11.2014
Dall'Italia presente il solo PdCI.
L'incontro si è concluso con l'approvazione di un documento che contiene gli impegni di iniziativa e di lotta assunti unitariamente da tutti i partiti per il prossimo anno. E con una dichiarazione a cura del PC dell'Ecuador che illustra in modo ampio le problematiche che sono state oggetto dell'incontro.
Entrambi i documenti, oltre agli interventi dei vari partiti, saranno resi pubblici nei prossimi giorni e sarà nostra cura farli circolare anche nel nostro Paese.
Dipartimento esteri PdCI
DI SEGUITO TROVATE ALCUNE FOTO DELL'INCONTRO E DEL CORTEO PROMOSSO DAL P.C.E. - CON TUTTE LE DELEGAZIONI INTERNAZIONALI - CHE HA ATTRAVERSATO IL CENTRO DELLA CITTA' DI GUAYAQUIL, IN OCCASIONE DELLA COMMEMORAZIONE DEGLI OLTRE 1000 LAVORATORI CHE IL 15 NOVEMBRE 1925 FURONO MASSACRATI NEL CORSO DI UNA MANIFESTAZIONE IN DIFESA DEI LORO DIRITTI
LE FOTO: https://www.facebook.com/PartidoComunistadelEcuadorCC/photos/a.404963239654157.1073741887.153281354822348/404963719654109/?type=1&permPage=1
Il massacro a scapito del popolo della Palestina deve finire adesso. Comunicato congiunto di partiti comunisti e operai.
16 luglio 2014
Noi, partiti comunisti e operai che firmiamo questo comunicato congiunto condanniamo l’aggressione barbara e criminale dello Stato di Israele contro il popolo della Palestina.
Esprimiamo la nostra piena solidarietà con il popolo della Palestina e chiamiamo i lavoratori di tutto il mondo a mobilitarsi affinché si rafforzi l’ondata di condanna contro Israele e a manifestare concreta solidarietà con il popolo della Palestina.
Gli Stati Uniti hanno grandi responsabilità per questi sanguinosi sviluppi in quanto appoggiano in ogni modo Israele nella continua oppressione e massacro del popolo palestinese.
Anche l’UE ha responsabilità in quanto mantiene una posizione di “equidistanza” tra aggressore e vittima mentre sviluppa la cooperazione con Israele a livello militare, economico e politico.
I partiti comunisti e operai firmatari di questo comunicato esigono:
• La condanna del crimine contro il popolo palestinese
• La fine immediata dei continui bombardamenti aerei contro il popolo della Palestina e la rinuncia delle operazioni di terra.
• Il ritiro dell’esercito israeliano d’occupazione.
• La liberazione di tutti i prigionieri politici nelle carceri israeliane.
• La demolizione dell’inaccettabile muro di divisione e l’abolizione di tutte le forme di blocco contro i palestinesi a Gerusalemme, in Cisgiordania e nella Striscia di Gaza.
• La cessazione degli insediamenti e il ritiro di tutti i coloni che si sono insediati al di là dei confini del 1967.
• Il diritto al ritorno di tutti i rifugiati palestinesi alle loro case, in base alle relative decisioni dell’ONU.
• La cancellazione delle esercitazioni militari e di tutti gli accordi di cooperazione militare con Israele.
• Uno Stato palestinese nei confini del 1967, con Gerusalemme Est come capitale.
1. Partito Comunista d’Albania
2. PADS, Algeria
3. Partito Comunista d’Australia
4. Partito del Lavoro d’Austria
5. Tribuna Democratica Progressista, Bahrain
6. Partito Comunista del Bangladesh
7. Partito Operaio del Bangladesh
8. Partito Comunista Operaio di Bielorussia
9. Partito Comunista Brasiliano
10. Partito Comunista Britannico
11. Nuovo Partito Comunista di Gran Bretagna
12. Partito Comunista del Canada
13. Partito Comunista del Cile
14. Partito Socialista Operaio di Croazia
15. AKEL, Cipro
16. Partito Comunista in Danimarca
17. FARC-EP, PCCC
18. Partito Comunista di Finlandia
19. Polo della Rinascita Comunista in Francia
20. Partito Comunista Tedesco
21. Partito Comunista di Grecia
22. Partito Operaio d’Ungheria
23. Partito Comunista d’India (Marxista)
24. Partito Tudeh, Iran
25. Partito Comunista d’Irlanda
26. Partito Comunista, Italia
27. Partito Comunista Giordano
28. Partito Comunista del Lussemburgo
29. Partito Comunista del Messico
30. Nuovo Partito Comunista dei Paesi Bassi
31. Partito Comunista di Norvegia
32. Partito Comunista Palestinese
33. Partito del Popolo Palestinese
34. Partito Comunista Peruviano
35. Partito Comunista Filippino (PKP-1930)
36. Partito Comunista di Polonia
37. Partito Comunista Portoghese
38. Partito Comunista di Romania
39. Partito Comunista della Federazione Russa
40. Partito Comunista Operaio di Russia
41. Nuovo Partito Comunista di Jugoslavia, Serbia
42. Partito Comunista di Slovacchia
43. Partito Comunista dei Popoli di Spagna
44. Partito dei Comunisti di Catalogna, Spagna
45. Partito Comunista Sudanese
46. Partito Comunista di Svezia
47. Partito Comunista, Svezia
48. Partito Comunista Siriano
49. Unione dei Comunisti d’Ucraina
Announcement of the INITIATIVE against anticommunism, against the banning of Communist Parties and their symbols (3/14/14)
Iniziativa dei Partiti comunisti e operai d'Europa | initiative-cwpe.org
14/03/2114
Le vicende e fatti storici devono essere valutati sulla base dell'esperienza storica, col criterio della lotta e degli interessi dei lavoratori.
Dagli anni Novanta assistiamo alla continua falsificazione della storia. La volgare e intellettuale ondata di anticomunismo che ossessiona l'Europa sta tentando di screditare il contributo storico del socialismo in Unione sovietica e negli altri paesi socialisti. Questa campagna è in incessante aumento, proporzionalmente al continuo peggioramento del tenore di vita della maggioranza della popolazione dei paesi dell'Unione europea.
La "INIZIATIVA dei Partiti comunisti e operai per lo studio, lo sviluppo delle questioni europee e il coordinamento delle loro attività" denuncia l'immoralità degli argomenti delle forze anticomuniste, che oggi hanno il potere e il controllo dei meccanismi di propaganda.
1. Le modifiche del codice penale approvate dai parlamenti di alcuni paesi ex socialisti dell'Ue sono una continuazione dell'offensiva ideologico-politica della classe dominante per imporre i propri interessi.
2. La modifica del codice penale si basa sulle prevalenti teorie del totalitarismo, tracciate durante il XX secolo negli Stati uniti come arma ideologica nella lotta contro l'Unione sovietica, contro il socialismo. Esse stabiliscono un parallelismo tra nazismo e comunismo. Quella del totalitarismo è divenuta l'ideologia ufficiale dell'Unione europea e dei governi di molti stati membri, come di quelli di altri stati capitalisti. Il fine della legislazione anticomunista è il rafforzamento della dittatura del capitale. I sostenitori del sistema sono consapevoli del fatto che la maggioranza dei lavoratori non ha un'opinione positiva sul sistema, e si concentrano quindi sull'indottrinamento, la manipolazione e l'intimidazione dei popoli. L'obiettivo è la criminalizzazione della lotta per il socialismo, la vera alternativa al capitalismo, in modo che le persone siano intimidite e rinuncino alla lotta per l'abolizione dello sfruttamento dell'uomo da parte dell'uomo.
3. L'intensificazione dell'offensiva anti-comunista nel suo complesso e in particolare nei paesi ex socialisti, con il divieto dei simboli comunisti, è cresciuta durante la crisi del capitalismo, peggiorando la situazione della classe operaia, disilludendo gli strati popolari e accentuando la paura e l'insicurezza per il futuro. Caratteristico è il caso dell'Ucraina, dove Stati uniti e Unione europea sostengono un governo a cui partecipano anche i partiti fascisti. Denunciamo l'anticomunismo e gli atti di vandalismo contro i monumenti di Lenin e gli altri monumenti antifascisti. Condanniamo i piani per vietare il Partito comunista e l'ideologia comunista in Ucraina.
La campagna anticomunista ha anche esempi concreti in altri paesi europei, dove è portata avanti con meccanismi giuridici incentratati sull'impedimento delle attività dei Partiti comunisti e operai, con una campagna ideologica volta a screditare la lotta per il socialismo, mostrando quindi la paura della classe dirigente circa la possibilità di una crescita dell'azione rivoluzionaria tra le masse lavoratrici.
L'offensiva anticomunista va anche di pari passo con l'aumento dell'aggressività imperialista e tenta di ostacolare la lotta dei comunisti contro la guerra e gli interventi imperialisti di Usa, Nato ed UE dalle dolorose conseguenze per i popoli.
4. Dentro tali sviluppi si segnalano la crescita delle forze del fascismo ed il rafforzamento delle tendenze filo-fasciste, il razzismo, la xenofobia e il militarismo. Il capitalismo è la matrice del fascismo, il suo strumento contro la lotta del movimento operaio e comunista.
5. La modifica del codice penale rappresenta un supporto legale per i processi e gli interventi politici che ostacolano la ricerca storica oggettiva, pregiudicando le sue conclusioni e utilizzandole per calunniare socialismo.
La "INIZIATIVA dei Partiti comunisti e operai per lo studio, lo sviluppo delle questioni europee e il coordinamento delle loro attività" invita i lavoratori ad una maggiore resistenza contro la persecuzione e la messa fuori legge dei partiti comunisti e operai e dei loro simboli, per abolire nella pratica ogni misura anticomunista. La lotta della classe operaia deve considerare quest'azione come una priorità, in quanto la campagna anticomunista cerca di impedire sempre più il raggiungimento dell'obiettivo finale di emancipazione di tutti gli sfruttati. Portiamo avanti la nostra lotta nonostante queste leggi anticomuniste. I loro argomenti sono deboli, si sgretolano e possiamo combatterli con decisione in una lotta comune insieme alle forze popolari.