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http://balkans.courriers.info/article25924.html
La Croatie est-elle en train de devenir un champ de bataille entre les Etats-Unis et la Russie, comme l’affirme le quotidien de Zagreb Jutarnji List ? Cette inquiétude est née de la réaction russe à la visite en Croatie de Christopher Murphy, président du sous-comité pour l’Europe du Comité pour les Affaires étrangères du Sénat américain.
Murphy a rencontré les autorités croates pour discuter de l’actuel conflit entre la holding hongroise MOL et le gouvernement de Zagreb à propos de l’entreprise pétrolière INA, mais aussi du possible achat par la Croatie d’hélicoptères militaires « Blackhawk », de fabrication américaine.
Les Etats-Unis se sont portés volontaires pour résoudre le conflit qui oppose les deux principaux propriétaires de la compagnie INA - le gouvernement croate et la compagnie hongroise pétrolifère MOL. MOL a annoncé, il y a quelques mois, la possible vente de sa participation dans INA à la compagnie russe Rosneft. Les Etats-Unis craignent qu’à travers l’achat d’INA, les Russes ne parviennent à fortifier leur présence en Europe centrale et méridionale.
Vente d’hélicoptères
Zagreb n’a pas évoqué jusqu’à présent une vente de ses actions d’INA, mais le gouvernement, en pleine vague de privatisations, est toujours à la recherche d’argent pour améliorer ses comptes publics. Les Américains sont donc venus en Croatie pour obtenir l’assurance que le gouvernement n’entend pas céder le contrôle d’INA. Murphy a suggéré que « l’UE ou les Etats-Unis pourraient aussi trouver un moyen d’aider financièrement les autorités croates », même s’il s’agit « d’une somme considérable ».
La deuxième raison de la rencontre de Christopher Murphy avec le Président croate, le Premier ministre et le ministre de la Défense concerne la vente d’hélicoptères militaires « Blackhawk », que la Croatie pourrait acheter pour remplacer les actuels hélicoptères russes « MI-8 ». Selon Jutarnji list, le ministère de la Défense avait commencé à négocier il y a quelques mois avec Washington et que « selon le ministre, la Croatie, en tant que membre de l’OTAN, ne peut plus faire confiance à la technologie russe ». Le gouvernement serait décidé à conclure l’affaire, qui concerne entre 12 et 14 appareils, en dépit de l’opposition de Moscou.
Les Russes ont réagi violemment à la visite de Christopher Murphy à Zagreb. Selon le ministère des Affaires étrangères de Moscou, « après avoir adopté des sanctions contre la Russie, Washington exerce à présent une pression croissante sur les pays de l’Europe du sud-est, et notamment sur la Croatie, afin de limiter notre coopération militaire et énergétique avec les pays de la région. Nous considérons cette pression comme étant un acte d’arrogance ».
Sanctions supplémentaires
Le représentant américain a réagi d’une façon plus souple. « Les autorités croates m’ont assuré qu’elles ne sont pas intéressées à vendre leur propriété d’INA à Gazprom, et il n’y a, à ma connaissance, aucune offre russe à ce propos ». En ce qui concerne les hélicoptères, Murphy a noté que « la Croatie est un allié des Etats-Unis, mais qu’elle dépend toujours de l’équipement militaire de Moscou, notamment pour les hélicoptères. Le gouvernement croate veut changer cette situation, mais pour cela ils ont besoin de notre aide ».
Le gouvernement croate n’a fait aucune déclaration officielle, mais pour Bože Kovačević, ancien ambassadeur à Moscou, la réaction des autorités russes est motivée par « l’aggravation générale des relations entre la Russie et les Etats-Unis. En dépit de la valeur effective du différend, dans le contexte actuel la Russie répondra de façon hostile à toute initiative des Etats-Unis, même pour celles qui, auparavant, n’auraient eu aucun intérêt pour Moscou ».
Selon Kovačević, il existe la possibilité que Moscou réponde à ce rapprochement entre Zagreb et Washington avec des sanctions ultérieures qui pénaliseraient les entreprises croates. « Moscou peut utiliser l’arme des sanctions pour déstabiliser la région. Par exemple, Poutine pourrait décider de bannir l’importation de produits d’entreprises serbes appartenant à des citoyens croates ». Pour l’ancien ambassadeur, le dernier conflit entre les deux puissances serait le contrôle du marché européen du gaz, les Américains tentant de réduire l’influence de la Russie pour se substituer en tant que principal fournisseur.
Pressions sur Viktor Orban
Selon des sources russes évoquées par l’agence de presse Reuters, « les Etats-Unis auraient exercé des pressions diplomatiques pour convaincre la Hongrie de ne pas céder la participation de MOL aux Russes. Une source de Gazprom assure que les Russes auraient eu des contacts avec les croates en mars, mais que les négociations n’auraient pas abouti. MOL assure que la vente de ses actions d’INA est toujours une option valable, mais refusent de divulguer le nom des acheteurs potentiels. Pour empêcher la vente des actions de MOL, le département d’Etat américain aurait exercé des pressions énormes sur le Premier ministre hongrois Viktor Orban ».
S’il faut en croire les déclarations officielles des représentants russes et croates en mars dernier, les négociations entre les deux parties concernaient surtout la possibilité que la Russie investisse dans l’exploration et l’exploitation de possibles gisements de pétrole et de gaz en Croatie. L’INA n’aurait pas été mentionnée.
Mais le conflit entre Moscou et Washington en Croatie n’est pas seulement énergétique, il est aussi militaire. La coopération militaire entre les Etats-Unis et la Croatie est significative - les Etats-Unis rappellent souvent que la Croatie est un allié américain et un partenaire de l’OTAN. Il y a moins de deux mois, le général Martin Dempsey, chef d’Etat-major des armées des Etats-Unis, s’est rendu en visite officielle à Zagreb. Les Etats-Unis ont aussi fourni 212 véhicules blindés MRAP.
Припадник наше организације видео је, у оквиру одржаних манифестација, сцену што заслужује посебну пажњу. Послао је о томе писмо београдској ”Политици” и новосадском ”Дневнику” и редакцији портала СУБНОР на интернетској мрежи.
”Са великим интересовањем пратимо обележавање слободе у Србији, посебно како су текле октобарске свечаности у Београду увеличане доласком председника Русије.
На једној московској ТВ запазио сам накнадно велику емисију посвећену нашем слављу и заједничкој победи партизана и Црвене армије у Другом светском рату. Доста простора је било издвојено за војну параду у Београду и, наравно, боравку председника Путина.
У том склопу и веома важном детаљу већем од сваког симбола: код Споменика ослободиоцима Путин је пришао борцима НОР (препознао сам председника СУБНОР-а проф.Зечевића), присно их поздравио, на снимку се видео и разговор. За то време председник Србије стајао је поред аутомобила, са стране, као неко кога уопште не интересује с ким и о чему то прича његов и гост наше државе.
Путин је испоштовао ветеране, Николић није и поред тога што су ови дани пуни поштовања (бар на речима) према антифашизму и ослободицима Србије која је увек, тако и садашња власт говори, била на правом путу. Наш председник се, у поменутом случају, изгубио. Нестао је кад је морао да укаже част. На начин ништа мањи од оног како је урадио председник Русије” – написао је Света Атанацковић из Новог Сада.
http://www.portalnovosti.com/bjelogrliceva-mina-za-partizane?alphabet=mixed
Bjelogrlićeva mina za partizane
Fonti:
http://italian.ruvr.ru/news/2014_11_05/Due-bambini-sono-stati-uccisi-nel-bombardamento-di-Donetsk-2371/
… in occasione del Pisa Book Festival 2014
nella Sala BLU del Palazzo dei Congressi di Pisa (Via Matteotti 1 – N.B. venerdì 7 novembre l'ingresso è gratuito)
UOMINI E NON UOMINI
La guerra in Bosnia Erzegovina nella testimonianza di un ufficiale jugoslavo
Presentazione del libro di Goran Jelisić (Zambon 2013)
presentano:
Jean Toschi Marazzani Visconti - giornalista e saggista, curatrice del libro
Manlio Dinucci - membro del Comitato scientifico del Coord. Naz. per la Jugoslavia Onlus
La parzialità e la colpevole incompetenza dei giudici del preteso tribunale internazionale dell’Aja, finanziato dagli USA, dai Paesi Arabi, dalla Fondazione Soros e sostenuto dai Paesi occidentali e dalla NATO, che ne hanno stabilito le regole di funzionamento e le competenze (il tribunale non é autorizzato a giudicare cittadini degli Stati Uniti).
si terrà la presentazione del libro
NGUYEN VAN TROI simbolo della lotta di liberazione del Vietnam
di Phhan Thi Quyen curato da Adriana Chiaia (Zambon 2014)
Nguyen Van Troi, davanti al plotone di esecuzione e ai giornalisti invitati ad assistervi, rivendica la giustezza della sua azione rivoluzionaria (è condannato a morte per aver tentato di dinamitare un ponte sul quale avrebbe dovuto passare McNamara, segretario alla Difesa degli USA) e proclama la sua fede nella causa della liberazione della sua patria. Il sacrificio della sua giovane vita, si inserisce nel grande, generale movimento rivoluzionario della guerra di popolo che, a sua volta, affonda le radici in una aspirazione millenaria, – all’indipendenza del popolo vietnamita.
L’introduzione al libro si propone di inquadrare la mirabile vicenda di Nguyen Van Troi nel suo contesto storico. A questo scopo ci si è serviti soprattutto di documenti originali vietnamiti, con ampie citazioni degli scritti di Vo Nguyen Giap, di Ho Chi Minh, e di testi tratti da Études Vietnamiennes. Si è inoltre fatto ricorso alle opere dello storico Jean Chesneaux e della ricercatrice Enrica Collotti Pischel, studiosi dei problemi dell’Estremo Oriente ed in particolare delle rivoluzioni cinese e vietnamita.
Il libro è arricchito da due schede tematiche, la prima sulla Guerra chimica, cui gli Stati Uniti hanno fatto ampiamente ricorso nel Vietnam e sulle sue conseguenze, e la seconda su I movimenti di lotta contro la “sporca guerra” nel Vietnam, sorti negli stessi Stati Uniti.