Informazione

(francais / italiano)

L'eroica resistenza del popolo iracheno (3)

1. Signor Ministro dica la verità sulla strage dell’ambulanza a
Nassiriya (Domenico Gallo)

2. L'anéantissement du patrimoine culturel irakien (Reseau Voltaire)


== 1 ===

http://www.uruknet.info/?s1=1&p=5086&s2=27

No ad una nuova Ustica. Signor Ministro dica la verità sulla strage
dell’ambulanza a Nassiriya

Domenico Gallo*, Articolo 21

27 agosto 2004 - Il Governo si deve presentare alle Camere il 27 agosto
per informare il Parlamento sugli sviluppi della situazione irachena.
In questa sede il Ministro della Difesa Martino non può far finta che a
Nassiriya non sia successo niente. Il Ministro deve render conto dei
fatti denunziati dal giornalista americano Micah Garen, il quale ha
documentato, attraverso filmati ed interviste, parzialmente trasmesse
dalla RAI, che nella notte fra il 5 ed il 6 agosto scorso il
contingente militare italiano, nel corso di una operazione militare ha
colpito un’ambulanza, facendola esplodere e provocando la morte di 4
delle sette persone a bordo, fra le quali vi era una partoriente.
E’ scandaloso che le autorità militari e politiche abbiano tenuto
nascosta questa strage all’opinione pubblica, si siano rifiutate di
riconoscere e prestare soccorso alle vittime e di rispondere agli
interrogativi sollevati dalla diffusione dell’inchiesta effettuata dal
coraggioso giornalista americano, opponendo un muro di gomma, a cui –
non casualmente -ha fatto riscontro un “rumoroso” silenzio stampa da
parte dei massimi organi di informazione.
Ugualmente scandaloso è stato il comportamento delle autorità
militari, che invece di fare le dovute indagini per verificare la
fondatezza della notizia di reato diffusa da Garen, hanno sottoposto il
giornalista ad un’estenuante interrogatorio, “trattandolo come un
criminale”, come emerge dalle e. mail che lo stesso giornalista ha
inviato ai suoi conoscenti prima del rapimento.
Sparare sulle ambulanze è sempre un evento gravissimo ed inaccettabile
(un crimine), anche nel corso di operazioni militari di tipo bellico,
ma sarebbe ancora più grave tentare di nascondere la verità su quanto è
effettivamente avvenuto a Nassiriya e di insabbiare le indagini, come è
avvenuto per la strage di Ustica.
Il Ministro della Difesa deve fare la massima chiarezza su questi
episodi e riferire anche sull’intervento che il suo Dicastero avrebbe
effettuato nei confronti della RAI per imporre il silenzio sulla
strage, secondo quanto riferito dallo stesso Garen.
Le autorità militari non devono frapporre ostacoli all’accertamento
della verità. Ogni menzogna sarebbe un atto di correità.

*Giurista

http://www.articolo21.com/notizia.php?id=921


=== 2 ===

Da: rifondazione_paris
Data: Sab 28 Ago 2004 18:51:22 Europe/Rome
A: info_prc_paris@ yahoogroups. com
Oggetto: L'anéantissement du patrimoine culturel irakien


http://www.reseauvoltaire.net/article13987.html

Guerre des civilisations

L'anéantissement du patrimoine culturel irakien

Un an après le sac du musée de Bagdad, le Conseil provisoire de
gouvernement assure que l'ampleur des pillages a été surestimée et que
les forces de la Coalition ont récupéré la presque totalité des objets
volés. La vérité est toute autre : avec la complicité du Pentagone, un
gang de trafiquants s'est emparé de ce qui pouvait l'être lors de la
chute du régime. Puis, il a organisé de vastes fouilles sauvages sur
les sites archéologiques, notamment assyriens et babyloniens. En outre,
les forces états-uniennes ont détruit quantité de monuments omeyyades
et abbassides au cours des récents combats urbains contre la
résistance. Le remodelage US du Proche-Orient passe-il par
l'anéantissement des cultures ?

24 mai 2004


Dans une déclaration jeudi 20 mai 2004 à l'agence de presse allemande
DPA, le ministre de la culture du Conseil provisoire irakien de
gouvernement, Mufid Jazairi, a indiqué que l'on était toujours sans
nouvelles de 9 000 à 10 000 œuvres d'art volées au musée de Bagdad.
« Nous allons retrouver de nombreuses œuvres lorsque les conditions de
sécurité se seront améliorées », a-t-il poursuivi, optimiste [1].

D'ailleurs, les principales pièces du musée, une collection de bijoux
du VIIIe siècle et connues sous le nom de « Trésors de Nimrod », ont
été exposées en grande pompe, le 3 juillet dernier. Pendant trois
heures et en présence de centaines de journalistes étrangers,
l'ambassadeur L. Paul Bremer III et le conseil archéologique de la
Coalition, l'ambassadeur Piero Cordone, avaient doctement expliqué que
sur les 180 000 pièces du musée, seules 3000 manquaient encore à
l'appel, dont uniquement 47 de valeur unique [2].

Les déclarations de Jacques Chirac qualifiant les cambriolages des
musées irakiens de crimes contre l'humanité et l'effervescence de
l'UNESCO [3] qui suivit n'étaient donc que des manifestations
hystériques d'anti-américanisme. Les mises en cause d'un groupe de
marchands d'art, l'American Concil for Cultural Policy (ACCP), que nous
avions publiées, il y a un an, étaient donc diffamatoires (cf. « Qui a
planifié le pillage des musées nationaux irakiens ? », Voltaire, 17
avril 2003). C'est tout au moins ce que les forces d'occupation et
leurs collaborateurs souhaitent faire croire et c'est la propagande
lénifiante que reprennent certains de nos confrères.

En réalité et contrairement aux communications officielles US, le
problème est plus grave encore que nous ne l'avions rapporté. Le
pillage des œuvres irakiennes a bien été planifié à l'avance et exécuté
avec la complicité active de l'armée des États-Unis. Il s'est agi à la
fois de vols systématiques des pièces conservées dans les musées
nationaux, mais surtout de fouilles industrielles des sites
archéologiques. En outre, les forces de la Coalition ont détruit de
très nombreux monuments et sites, parfois par méconnaissance, souvent
de manière délibérée.

Pour comprendre les enjeux de cette polémique, remémorons-nous la
période précédant la guerre. Depuis une décennie, Irchad Yassine,
beau-frère de Saddam Hussein, exporte discrètement des œuvres
irakiennes. À partir de 1994, des marchands d'art états-uniens,
regroupés autour de l'avocat Aston Hawkins [4] au sein de l'ACCP,
acquièrent le monopole de cette filière. Yassine leur vend les
principales pièces du musée d'Assour. Ils s'intéressent aussi à l'art
dans toutes les zones de conflit, notamment l'Afghanistan. À l'annonce
de la guerre, ils reçoivent des commandes de richissimes clients qui
indiquent sur catalogue les pièces de musées qu'ils souhaitent acheter.
Des scientifiques du monde entier se mobilisent pour prévenir le
pillage annoncé. Colin Powell demande un avis à son conseiller Thomas
Warrick. Celui-ci rend au printemps 2002 un rapport, intitulé Projet
pour l'avenir de l'Irak. Il y indique qu'une période d'anarchie suivra
la chute du régime de Saddam Hussein et que les trafiquants en
profiteront pour piller les musées. Powell transmet le rapport à la
Maison-Blanche et au Pentagone [5]. Pendant ce temps, les scientifiques
multiplient les courriers aux responsables politiques. Interviennent
ainsi des spécialistes de renom comme McGuire Gibson (Oriental
Institute, université de Chicago) ou Neil MacGregor (directeur du
British Museum).

La catastrophe semblant inévitable, le député français Didier Julia,
lui-même archéologue, se rend en Irak, en février 2003, pour convaincre
la conservatrice nationale de protéger son patrimoine [6]. Il organise
le transfert des dizaines de milliers de pièces dans des caves qui sont
aussitôt murées. M. Julia, qui masque le but de son voyage, est
vivement critiqué dans son parti, l'UMP, où l'on accuse de collusion
avec la dictature de Saddam Hussein. L'Élysée publie un communiqué pour
feindre son « étonnement ». En réalité, le député, qui est appuyé dans
sa démarche par des scientifiques français, notamment ceux de la revue
Archeologia-Magazine, a informé à l'avance Jacques Chirac et bénéficie
de la « bienveillance » de ses services [7].

Comme annoncé, Bagdad sombre dans l'anarchie à la chute du raïs. Les
forces de la Coalition ne sécurisent que le ministère du Pétrole et les
sièges des services de répression [8]. Des experts-cambrioleurs se
ruent dans les musées nationaux et emportent ce qui peut l'être. Ils
pillent identiquement les bibliothèques et mettent le feu derrière eux
pour empêcher que l'inventaire de leurs vols ne puisse être établi.
Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Jean-Jacques Aillagon [9]
ameutent la communauté internationale. Mikhaïl Chvydkoï en
rajoute [10]. L'ONU [11] et l'UNESCO se saisissent de l'affaire, tandis
que le conseiller culturel de la Maison-Blanche, Martin Sullivan, sert
de fusible et démissionne [12]. La Coalition, qui continue à prétendre
qu'elle est venue libérer le peuple irakien, prend tardivement des
mesures [13]. Le département de la Justice détache un groupe de treize
agents, le Joint Inter-Agency Coordination group (JIACG), commandé par
le procureur-colonel Matthew Bogdanos, pour enquêter sur les faits et
récupérer les objets volés. On arrête ici et là des journalistes et des
hommes d'affaire indélicats, mais la filière ACCP n'est pas inquiétée,
de sorte qu'en pratique, la Coalition lui assure un monopole du trafic
et des profits maximaux. En juin 2003, la Coalition achève le
déblaiement de la Banque nationale d'Irak, qui a été détruite par les
bombardements, et atteint les chambres fortes. Elle y trouve une partie
des œuvres cachées par les Irakiens et les Français. La directrice des
Antiquités, Nawada al-Mutawali, révèle où se trouvent entreposées les
autres et les collections sont reconstituées. Néanmoins plusieurs
milliers manquent à l'appel [14]. Il s'agit surtout de sceaux-cylindres
et de tablettes cunéiformes qui restaient au musée pour études, mais
aussi de quelques pièces majeures dont la liste est communiquée à
Interpol.

Pendant ce temps, le groupe de trafiquants lié au département de la
Défense, poursuit son pillage. Non plus dans les musées, mais dans les
sites archéologiques. Partout, on procède à des travaux sauvages. On
exhume des dizaines de milliers d'objets qui sont immédiatement sortis
du pays, dont les frontières sont pourtant officiellement fermées, et
vendus sur des marchés parallèles [15]. Les pilleurs agissent avec soin
pour ne pas abîmer les marchandises, mais ils ne s'intéressent pas aux
contextes de leurs trouvailles. Ils se préoccupent uniquement de leur
valeur esthétique et commerciale. Pour les archéologues, c'est une
nouvelle catastrophe : ces objets sont privés de leur histoire et leurs
découvertes n'apporteront aucune connaissance nouvelle sur les
civilisations disparues [16]. Le conseiller culturel de la Coalition,
l'ambassadeur et archéologue italien Piero Cordone, tente d'arrêter les
fouilles sauvages, mais il en est dissuadé lorsque son convoi est
attaqué par les GI's qui tuent son inteprète [17].

Pour le peuple irakien et pour la mémoire de l'humanité, le drame ne
s'arrête pas là. Si les forces de la Coalition ont pris soin de ne pas
bombarder de sites historiques [18], elles en ont détruit un grand
nombre par la suite, sans que l'on sache ce qui relève du vandalisme
ignorant et de la vengeance barbare. Sans aucun doute, le scandale
maximum a été atteint avec le bétonnage d'Ur : l'US Air Force a
construit une base militaire sur le site où s'éleva, il y a six mille
ans, la cité d'Eridu et où vécu l'Abraham biblique. Cette destruction
est interprétée, à tort ou à raison, par les Irakiens comme l'ultime
vengeance des troupes israélo-états-uniennes contre Babylone. Ils se
souviennent comment les troupes d'Ariel Sharon procédèrent à des
destructions systématiques de sites archélogiques lorsqu'elles
envahirent le Liban. En outre, lors des récentes batailles dans le Sud,
non plus contre la dictature de Saddam Hussein mais contre la
résistance populaire, les forces de la Coalition ont détruit de
nombreux monuments islamiques, omeyyades et abbassides. Au cours des
combats urbains, l'armée états-unienne dégage le terrain en détruisant
tous les édifices.

Devant l'ampleur des pillages et destruction, sans équivalent connu
dans l'Histoire, on ne peut que s'interroger sur l'attitude de
Washington. Le remodelage du Proche-Orient passe-t-il par
l'anéantissement des identités et des cultures locales ?


[1] Il manque encore 10 000 œuvres d'art au musée de Bagdad, AFP, 20
mai 2004.
[2] Les "trésors de Nimrod" exposés pendant trois heures au Musée de
Bagdad, AFP, 3 juillet 2003.
[3] Voir Discours de Koïchiro Matsuura, 6 juin 2003. Communiqué, 27
juin 2003. Communiqué, 16 juillet 2003. Communiqué, 29 juillet 2003.
Communiqué, 6 août 2003.
[4] Maître Aston Hawkins est ancien vice-président du Metropolitan
Museum de New York.
[5] « Blueprint for a Mess » par David Rieff, in New York Times du 2
novembre 2003.
[6] Ancien élève du philosophe Martin Heiddeger, Didier Julia est
philosophe et égyptologue. Auteur d'ouvrages sur Fichte et directeur du
Dictionnaire Larousse de philosophie, il est député gaulliste de
Seine-et-Marne depuis 1967.
[7] Entretien de Didier Julia avec Thierry Meyssan, 23 avril 2003
[8] Pourtant, un mémo de cinq pages signé par le général Jay Garner, le
26 mars 2003, établissait une liste de sites à sécuriser. Le musée
national y figurait en deuxième place. Il ne fut pas respecté, le
mandat de Garner n'étant effectif qu'après la chute du régime. Cf.
« Troops were told to guard treasures » par Paul Martin, in The
Washington Times du 20 avril 2003.
[9] Cf. « Un saccage indigne », tribune de Jean-Jacques Aillagon,
ministre français de la Culture, Le Figaro du 17 avril 2003.
« Communiqué conjoint des ministères français de la Culture et des
Affaires étrangères », 30 juin 2003.
[10] Cf. »Lettre de Mikhaïl Chvydkoï, ministre de la Culture de la
Fédération de Russie au directeur général de l'UNESCO », 28 mars 2003.
[11] Cf. « Communiqué de Kofi Annan », 15 avril 2003.
[12] Cf. US governement implicated in planned theft of Iraqi artistic
treasures par Ann Talbot, World Socialist Web Site, 19 avril 2003.
[13] Cf. « Coopération pour la protection des antiquités et de la
propriété culturelle de l'Irak », déclaration de Colin Powell,
secrétaire d'État des États-Unis, 14 avril 2003. Voir aussi le
« Communiqué du département d'État » du 30 avril 2003.
[14] Lors d'une communication à la 49e rencontre assyriologique
internationale, qui s'est tenue le 11 juillet 2003 au British Museum,
le colonel Bogdanos a reconnu qu'il manquait environ 10 500 pièces au
musée de Bagdad, alors qu'il avait évoqué 35 pièces seulement dans ses
conférences de presse. Cf. Update by Colonel Matthew Bogdanos on the
situation at the Iraq Museum, document téléchargeable au format Doc.
[15] Ces objets n'étant pas répertoriés, il est impossible d'en
connaître le nombre précis. Cependant la multiplication des offres de
vente en Occident de pièces prétendument retrouvées dans des greniers
permet aux spécialistes de se livrer à des estimations.
[16] Lire « Le Massacre du patrimoine irakien », enquête
d'Archéologia-Magazine n°402, juilllet-août 2003. Et Le Pillage de
l'Irak par Philippe Flandrin, Éditions du Rocher, 2004.
[17] Tir américain contre la voiture d'un diplomate italien en Irak, un
Irakien tué, AFP, 19 septembre 2003. Le président Bush a téléphoné au
président italien du Conseil, Silvio Berlusconi, dès le lendemain, pour
lui présenter ses « excuses ».
[18] Cf. Point de presse des officiers de la Coalition chargés de la
protection du patrimoine culturel irakien, 5 avril 2003.

http://www.reseauvoltaire.net/

The Cost of the US Colonial War Against Iraq

by Lenora Foerstel

www.globalresearch.ca   28 August 2004

The URL of this article is:
http://globalresearch.ca/articles/FOE408A.html


Most citizens of the world assume that when their country declares war,
the country's army and weapons industry will be called upon to fight
the battle.  But what we find today is that a group of CEOs heading
privatized military firms are sharing the power once vested exclusively
in the President and Congress. Private military contractors are the new
corporate face of war.  They have sent their own mercenaries to
Croatia, Macedonia, Columbia, Afghanistan and Iraq.  These contractors
enable the United States to wage war by proxy and without the kind of
congressional voting or media coverage to which conventional wars were
earlier subjected.

The US government increasingly relies on corporate enterprises such as
Military Professional Resources Incorporated (MPRI), which specializes
on supplying military training and expertise to the US government and
other countries.  MPRI sees war as a commercial enterprise.  On March
24, 1994, the defense minister of Croatia appealed to the United States
for military assistance against Serbia.  Under the United Nations arms
embargo, the US could not legally provide any military assistance to
the entities of the former Yugoslavia, but the Pentagon simply referred
the Croatian minister to MPRI for aid.  Just months after MPRI was
hired, the Croatian army under their guidance launched a stunningly
successful military operation [Uluja) or "Storm"] against Krajina, a
region of Croatia inhabited almost exclusively by ethnic Serbs.  The
MPRI employed air power, artillery and infantry forces, resulting in
the death of countless Serbs and causing 250,000 of them to flee the
country.  And so Krajina was ethnically cleansed.

A large number of the private military corporations have crossed the
fine line of legality, employing illegal business practices and hiring
employees with criminal records while serving potentially illegal
clients.  Congress, the Defense Department and the Pentagon
inadequately supervise the use of private military contractors,
allowing them to break down the traditional norms of control. 

Some 15,000 to 20,000 contractors are stationed in Iraq.  There is a
mercenary in place for every ten occupation soldiers.  The contracted
individual has a free hand in threatening or killing an Iraqi citizen. 
As mercenaries, these contractors do not fall under the UN charter, the
Geneva Accords or the Nuremberg doctrines.  On October 6, 2003, the
Washington Times reported that military contractors guarding ministries
killed Iraqi citizens without punishment or inquiries.  Many of these
contractors are not US citizens and are not subject to US laws

Blackwater USA, one of the largest of these corporations, flew in a
group of sixty former commandos from Chili.  May of them were trained
under the military government of Augusto Pinochet.  Squads of
Filipinos, Bosnians and US men are trained and hired for tasks ranging
from military training, intelligence, combat, and local security
including protecting administrators like Paul Bremer. The salaries paid
these mercenaries are as high as 1,000 to 1,500 US dollars a day. 
Philipinos, often referred to by their employers in racist terms,
usually get $4000 a month. 

These are good times  for recruiting mercenaries.  Since the end of the
Cold War some six million service men have been thrown into the
unemployment market.  With minimal job skills, they use their combat
training to find work with private military corporations which offer
them high salaries. 

Private military corporations now do an estimated $100 million in
business world-wide each year.  Much of it goes to top US corporations
like Halliburton, it's subsidiary Kellogg, Brown and Root, or DynCorp
and Raytheon.  These corporations frequently overcharge the government
for their services, and Congress and the Pentagon have begun 
investigations into how the money is being spent.  Some $1.6 million is
now being withheld from Halliburton for overcharging for meals that
were never sent to soldiers in Iraq. (1) Another Halliburton scam was
to charge exorbitant amounts for delivering equipment in Iraq, using
trucks that carried nothing.  Such practices cost US taxpayers hundreds
of thousands of dollars. 

DynCorp has a contract worth tens of millions of dollars to train an
Iraqi police force.  This same corporation had an earlier contract to
train the police force in Bosnia, but a scandal developed when the
contractors were implicated in a sex slavery scandal which involved the
buying and selling of young girls from Eastern Europe.  No one was
prosecuted, but the two whistle blowers were fired. 

DynCorp also functions as an intelligence network for the Pentagon and
the CIA.  Following DynCorp advice in Haiti, the US occupation force in
Haiti integrated former members of Ton ton Macoutes, the private death
squad  begun by Haitian dictator Francois Duvalier, into the Haitian
National police (HNP) and installed military officers involved in the
1991 coup d'etat in prominent positions. (3)

Private military corporations have penetrated Western warfare so deeply
that they now constitute the largest portion of coalition forces in
Iraq after the US military.  Corporate power has always played a role
in war, but it has never been so blatant in exercising its power.  When
their activities are questioned, corporations claim that private
businesses cannot be subject to government scrutiny.  Vice President
Cheney refused to release the notes and attendees of his energy Plan to
the Supreme Court, claiming "executive privilege" and protection of
"national security."  All of this to protect corporate power.

The US army estimated that of the $87 billion earmarked in 2004 for the
Iraqi campaign, Central Asia and Afghanistan, thirty billion of this
money will be paid to private military corporations.  On July 22, the
House of Representatives voted overwhelmingly to approve more than $400
billion in defense spending, including some $25 billion in emergency
funding for operations in Iraq and Afghanistan.  While the House of
Representatives rubber stamps billions of dollars for the war, the
budget for children in poverty, the disabled and the elderly had been
drastically cut, leaving 36 US states in deep crisis.  Aside from
eliminating proper services for US citizens, the US government is now
running a $444 billion deficit.

According to estimates provided by the US law Report and US Labor
against War in June 2004, the war in Iraq has already cost the United
States $118, 518, 293, 319.  As we move into 2005, the increased budget
for the rebuilding of Iraq will cost billions more.

References

(1) Associated Press, May 14, 2004

(2) Guardian, UK, Article by Ian Traymore, December 10, 2003

(3) Silverman, Ken, "Privatizing War", The Nation, July 28, 1997

For more information on Halliburton- recommended reading: "The
Halliburton Agenda" by Dan Briody, published by John Wiley and Sons.


To express your opinion on this article, join the discussion at Global
Research's News and Discussion Forum , at
http://globalresearch.ca.myforums.net/index.php

The Centre for Research on Globalization (CRG) at www.globalresearch.ca
grants permission to cross-post original Global Research (Canada)
articles in their entirety, or any portions thereof, on community
internet sites, as long as the text & title of the article are not
modified. The source must be acknowledged as follows: Centre for
Research on Globalization (CRG) at www.globalresearch.ca .  For
cross-postings, kindly use the active URL hyperlink address of the
original CRG article. The author's copyright note must be displayed.
(For articles from other news sources, check with the original
copyright holder, where applicable.). For publication of Global
Research (Canada) articles in print or other forms including commercial
internet sites, contact: crgeditor@ yahoo.com

For media inquiries: crgeditor@ yahoo.com

© Copyright belongs to the author, 2004. For fair use only/ pour usage
équitable seulement.

UNA LINGUA "BOSNIACA", PER DECRETO OSCE

Sul sito dell'OSCE dedicato alla Bosnia-Erzegovina, cosi' come su molti
altri siti di istituzioni internazionali, si fa riferimento ad una
chimerica lingua "bosniaca" (in certi casi persino "bosgnacca", secondo
la vulgata del separatismo musulmano). Essa e' talvolta apparentemente
affiancata dalle lingue "serba" e "croata", ma ovviamente i documenti
presentati sono IDENTICI a meno della diversa grafia (cirillica vs.
latina) o di disgustose forzature (soprattutto arcaismi e forme gia'
desuete). In realta', infatti, nello spazio linguistico serbocroato
esiste una ed una sola lingua, che si puo' chiamare serbocroata o
croatoserba, con minime varianti di pronuncia e regionali.
Questa pratica differenzialista usata dall'OSCE, che continua da una
decina d'anni in forza dell'omertoso silenzio in materia da parte di
linguisti ed accademici (talvolta, d'altronde, corresponsabili dello
scempio), mira a cronicizzare la frattura inter-culturale tra le varie
componenti linguistiche, per giustificare il "nuovo ordine" balcanico
voluto da nazionalisti, neonazisti ed imperialisti stranieri. (Italo
Slavo)

Ma, molim vas, koji je to bosanski (iliti bosnjacki) jezik kojim pisete
na sajtu?! Zar samo zato sto pisete latinicom, jekavski, negirate da je
to srpskohrvatski iliti hrvatskosrpski jezik?
Prestanite vec jednom da zaludjujete i razdvajate narod - uz blagoslov
OSCE-a! (Ivan Istrijan)

www.reseauvoltaire.net

aout 2004

L'USAID et les réseaux terroristes de Bush

Au même titre que la Fondation nationale pour la démocratie (NED), les
États-Unis utilisent leur service de coopération et d'assistance
humanitaire, l'USAID, comme couverture pour leurs actions secrètes
d'infiltration et de déstabilisation. Le journaliste mexicain Edgar
González
Ruiz rapporte pour Réseau Voltaire/Red Voltaire le soutien de l'USAID
aux
formations d'extrême droite cubaines et vénézuéliennes pour renverser
les
présidents Fidel Castro et Hugo Chavez.

__________________________

Le terrorisme de l'administration Bush a inclus l'invasion de l'Irak, le
coup d'État en Haïti et la tentative de coup d'État au Venezuela, ainsi
que
le harcèlement constant de Cuba, dont la déstabilisation est l'un des
principaux objectifs de son gouvernement, qui peut compter pour cela
sur le
soutien des exilés cubains d'extrême droite.

Le gouvernement Bush s'active à la création de groupes de soutien
artificiels qui, financés par des fonds étasuniens, se chargent de
déstabiliser les gouvernements qu'il cherche à renverser, et justifie de
telles agressions par une rhétorique dans laquelle abondent les
invocations
à Dieu, à l'« amour », à la « compassion » et à la « défense de la
démocratie ».

La Fondation nationale pour la démocratie (NED) et l'Agence étasunienne
pour le développement international (USAID) sont autant d'instruments
destinés à financer les ONG de droite qui espèrent installer dans leurs
pays respectifs des gouvernements fidèles aux intérêts étasuniens.

Le 15 janvier 2004, l'USAID diffusait une note informative sur le
Programme
cubain dont le thème était de « favoriser une transition rapide et
pacifique
vers la démocratie à Cuba » et qui par sa nature même constitue un
projet
ouvert de subversion du gouvernement de ce pays.

Selon l'USAID, le Programme cubain avait jusqu'alors mobilisé un total
de 26
millions de dollars de donations bénéficiant à 28 ONG pour promouvoir «
la
solidarité avec les défenseurs des droits de l'homme cubains, permettre
aux
journalistes cubains indépendants de s'exprimer, développer des ONG
cubaines indépendantes et tracer un plan de transition vers la
démocratie
par le biais de dons aux universités et aux ONG ».

En juin 2004, le gouvernement des États-Unis annonçait, dans le cadre
d'un
ensemble de mesures contre le gouvernement cubain, qu'il portait à 36
millions de dollars la subvention accordée par le Département d'État et
l'USAID et destinée à « aider les proches des dissidents emprisonnés à
Cuba et pour soutenir des programmes de démocratisation de l'île ».

Les activités visant à faciliter le renversement du gouvernement cubain
incluent la distribution de dix mille radios à ondes courtes à Cuba
pour que
les insulaires aient accès à la propagande anticastriste, ainsi que le
financement et le maintien de journalistes et ONG opposés au régime
cubain,
qui manifestement ne sont pas indépendants de cet argent étasunien et
républicain.

Il convient de souligner qu'une stratégie identique, consistant à
financer
des organisations de droite dont la plupart sont d'inspiration
patronale,
fut adoptée par le gouvernement Bush dans le but de provoquer la révolte
en Haïti et de promouvoir le référendum contre Chavez au Venezuela.

Les fonds anticastristes de l'USAID ont été aiguillés vers l'Université
de
Rutgers, l'Université de Miami, le Fondation internationale pour les
systèmes électoraux (IFES) ainsi que le Conseil Patronal
États-Unis-Cuba.

Parmi les groupes ayant bénéficié de l'argent étasunien figure l'agence
CubaNet, qui soutient le journalisme anticastriste et a reçu pour cela
plus
de 800 000 dollars ainsi que The Freedom House, prétendu groupe de
défense des droits de l'homme présidé par l'ancien directeur de la CIA
James Woolsey, qui a reçu, en plus d'autres dons, la somme d'un million
trois cent mille dollars pour publier près de quarante mille livres,
pamphlets et autres publications sur Cuba.

C'est précisément à l'Université de Miami que le 17 octobre 2002, en
présence de la parlementaire cubano-étasunienne Ileana
Ros-Lehtinen, partisane de Bush et de causes réactionnaires allant de
l'anticastrisme au militantisme anti-avortement, l'administrateur de
l'USAID
Adolphe Franco, se présentant comme « un exilé cubain et fils d'exilés
cubains », inaugura un séminaire sur le « Projet de transition de Cuba
de
l'Université de Miami », et demanda avec insistance son soutien au
président
Bush, ainsi qu'à d'autres fonctionnaires parmi lesquels on trouve le
sous-secrétaire chargé de l'Amérique du sud Otto Reich, autre exilé
cubain
à la trajectoire sombre. Franco est un sympathisant actif et résolu de
l'extrême droite cubaine à Miami.

À l'Université de Miami, Franco a également déclaré qu'« il n'existe
aucun
substitut au leadership nord-américain dans le domaine de le promotion
des
droits de l'homme et la prospérité économique dans toute l'hémisphère
occidentale. ». Il a ajouté que « (.) le régime de Fidel Castro ne
s'est pas
assoupli et ses relations avec les États-Unis ne se sont pas améliorées
»
et, reprenant le lexique terroriste dont Bush fit usage dans un discours
prononcé le 20 mai 2002, a affirmé que « La normalisation complète des
relations avec Cuba, à savoir la reconnaissance diplomatique, le libre
commerce et un programme d'aide solide, ne sera possible que lorsque
Cuba
sera dotée d'un nouveau gouvernement. » En Irak, l'USAID poursuit ses
travaux selon une vision dictée par la surprenante rhétorique
terroriste de
Bush et du secrétaire d'État Colin Powell, qui dans son article « Du
cauchemar à la liberté : le réveil de l'Irak libre », diffusé par
l'USAID
sur ses pages internet, signale que face aux alarmantes nouvelles en
provenance du conflit se déroulant jour après jour en Irak, « il y a
également une abondance de bonnes nouvelles (...) Ces bonnes nouvelles
émanent d'une vérité irréversible et décisive : le peuple d'Irak est
libre ».

Il poursuit : « (...) cette liberté est tellement nouvelle pour les
Irakiens, contraste tellement avec l'énorme cauchemar du ouvernement de
Saddam Hussein, que beaucoup d'Irakiens demeurent indécis et désorientés
(...) », néanmoins :

« La société civile irakienne (sic) prospère. En Irak, où l'on ne
trouvait
auparavant qu'une source officielle d'informations à laquelle les
Irakiens
ne faisaient jamais confiance, aujourd'hui se développe une presse
libre.
Ses dirigeants peuvent communiquer la vérité et non plus l'odieuse
propagande du parti Ba'ath. Les tribunaux fonctionnent. Les banques sont
ouvertes et concèdent des prêts. Les commerces se multiplient, comme
on peut le constater en survolant rapidement les produits disponibles
dans les marchés de n'importe quelle ville irakienne. Les salaires
augmentent, les économies ne sont plus cachées, les gens dépensent
et gagnent de l'argent. ».

Pourtant « Au final, lorsqu'on trahit la confiance, il est difficile de
la
restaurer, sans parler de faire redémarrer une économie. Quand la vie de
générations entières s'est avérée être un cauchemar absolu, le
processus de
rétablissement est d'autant plus difficile. Les Irakiens doivent se
persuader eux-mêmes, de nouveau, qu'ils sont des personnes bonnes et
honorables, qu'il n'y a plus lieu de se sentir intimidé par les
conditions
qui leur étaient imposées par Saddam Hussein et sa légion de bandits et
criminels. ».

Toujours dans la même malheureuse rhétorique, Powell écrit : « Peu
importe
combien la vie des étasuniens et tous ceux qui veulent donner vie au
nouvel
Irak est difficile ou dangereuse, notre meilleur allié est le peuple
irakien. Si il est prêt à se sentir fort et à se préparer à un grand
voyage,
alors nous devons également persévérer, se tenir à ses côtés jusqu'à ce
que
notre mission soit menée à bien. ».

En Irak ainsi que dans d'autres pays, le personnel de l'USAID a,
particulièrement sous le gouvernement Bush, une fonction beaucoup plus
dangereuse que celle de disséminer les armes rhétoriques de Powell et
Bush.

Si la mauvaise foi des accusations du gouvernement Bush selon lesquelles
l'Irak détenait des armes de destruction massive nucléaires ou
bactériologiques, pouvant être utilisées lors d'une guerre contre les
États-Unis, a été démontrée, récemment des éléments ont fait surface
concernant la « dissémination » d'armes chimiques par les États-Unis
sur le
territoire irakien, par le biais de chargements étiquetés du nom
d'organisations humanitaires comme la Croix rouge et l'USAID. Selon des
sources irakiennes, les responsables irakiens se sont vus interdire
l'inspection de tels chargements et avisés que toute question relative
à ces
conteneurs devait être transmise aux « forces de la coalition ».

Comme en Irak, pour mettre fin à une « dictature » et étendre les «
bienfaits du libre échange », les États-Unis ont organisé une révolte
sanglante en Haïti, en ayant recours à des organisations comme l'IRI
(filiale républicaine de la NED) et aux ressources de l'USAID.

Fidèle à sa conception de l' « éducation à la démocratie », l'IRI a
entraîné, en République Dominicaine et avec l'assentiment de son
président
Hipolito Mejia, des groupes d'opposition à Aristide qui devaient
traverser
la frontière pour entrer en Haïti.

Le sénateur démocrate Christopher Dodd a déclaré que l'IRI avait reçu
1,2
millions de dollars en provenance de l'USAID pour entraîner des
Haïtiens, et
il a par ailleurs ajouté que conformément aux plans du département de la
défense, les États-Unis avaient livré 20 000 fusils d'assaut M-16 ainsi
que
d'autres équipements au gouvernement dominicain durant les deux
dernières
années, laissant en suspens la question de savoir si ces armes s'étaient
retrouvées entre les mains des opposants à Aristide.

En décembre 2003, Adolphe Franco faisait référence à Haïti en reprenant
les
termes de Colin Powell, expliquant que les États-Unis « ne
travailler[aient]
pas avec le gouvernement haïtien tant que ne ser[ait] pas résolu le
problème
politique qui afflige le pays depuis un certain temps, en grande partie

aux dernières élections législatives (...) ils pensent qu'elles ont été
l'objet de fraudes ».

Selon Franco, le gouvernement étasunien a canalisé l'aide économique «
directement » en direction du « peuple haïtien » et non pas par
l'intermédiaire de son gouvernement, selon une stratégie qui bien
entendu
fait partie du processus de déstabilisation fomenté par le gouvernement
Bush.

La manière dont l'USAID « aidait » directement le peuple haïtien est
illustrée par le témoignage suivant, celui de Tom Reeves, qui relate son
expérience lors d'un voyage qu'il fit à Haïti après le coup d'État
contre
Aristide : « A Jacmel, nous nous sommes réunis avec des étudiants, des
femmes et des syndicats qui avaient formé des groupes spécifiquement
anti-Aristide. Pierre J.G.C. Gestion, dirigeant de MHDR (Mouvement
haïtien
pour le développement rural) se vantait orgueilleusement de ses liens
avec
l'USAID, le programme du Département d'État pour le renforcement de la
démocratie et la NDI. " Ils nous ont entraînés et nous ont appris à nous
organiser ; nous avons organisé les groupes qui sont venus ici pour
exiger
que soit destitué le gouvernement corrompu d'Aristide" » [1].

Au Venezuela, l'USAID a installé ses bureaux à Caracas le 1er août 2002,
dans le but prévisible de « fournir une assistance adéquate et flexible
afin
de renforcer la démocratie », objectif qui, comme on le sait bien, s'est
matérialisé avec l'aide de la NED en un mouvement visant à expulser
Chavez par le biais d'un coup d'État ou d'un référendum.

Le 31 mai 2004, Jorge Valero, ambassadeur du Venezuela au Conseil
permanent de l'OEA, s'indignait de ce que « L'année du coup d'État,
l'Agence
étasunienne pour le développement international (USAID) du département
d'État, avait également déboursé 2 millions de dollars pour soutenir les
dirigeants et institutions vénézuéliennes qualifiées de " modérées "
mais
qui en pratique étaient opposées au président Hugo Chavez ».

« Durant les six mois précédant le coup d'État, six autres bureaux du
Département d'État ont fait des versements d'un montant de 695 300
dollars
pour financer des conférences et séminaires bénéficiant à l'opposition
».

* * * *

Edgar González Ruiz

Journaliste d'investigation mexicain, auteur de Los Abascal, De los
cristeros a Fox, La sexualidad prohibida, Cruces y Sombras ainsi que
d'autres livres sur la droite mexicaine et sud-américaine.

[1] « Retour à Haïti », par Tom Reeves, http://www.counterpunch.org

---

SOURCE:
CUBA SOLIDARITY PROJECT
http://perso.club-internet.fr/vdedaj/cuba/
"Lorsque les Etats-Unis sont venus chercher Cuba, nous n'avons rien
dit, nous n'étions pas Cubains."

Pour vous abonner à ce groupe, envoyez un email à :
CubaSolidarityProject-subscribe@ yahoogroupes.fr
Pour diffuser un message aux abonnés:
CubaSolidarityProject@ yahoogroupes.fr
Pour contacter directement le responsable
(commentaires, réactions, menaces et lettres d'amour)
cubasolidarity@ club-internet.fr
Lettre aux députés européens
http://perso.club-internet.fr/vdedaj/cuba/lettre_deputes.html

Liens Yahoo! Groupes